soupçons1

- Par l'auteur HDS Poesexe -
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 62 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Poesexe ont reçu un total de 412 615 visites.
Récit libertin : soupçons1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 11 305 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
soupçons1
SOUPÇONS 1

Cette histoire est arrivée il y a quelques années déjà. Nous étions, ma femme Samantha et moi, mariés depuis une dizaine d’années, avec deux beaux enfants. Nous avions chacun un job passionnant et tout allait pour le mieux.

Ce matin de mai, je me rends à mon bureau à moto. L’air est printanier et la température agréable. J’adore ce moment de route, le nez au vent, respirant les effluves de la campagne que je traverse à bonne allure.
Un peu plus tard, je suis à mon bureau, et, chose exceptionnelle, pas de catastrophe à rêgler ce matin. Les productions en cours se déroulent bien. Pas de retards dans les livraisons, Bref, un début de journée studieux mais calme, quand soudain l’un des deux téléphones se met à sonner : « ca ne pouvait pas durer » me dis-je, fataliste, m’attendant à devoir gérer un souci soulevé par un de nos clients.
- Oui
- Lucas j’ai une dame pour toi.
- C’est qui ? quelle société ?
- Je ne sais pas, elle ne m’a rien dit, à part que c’est personnel.
- Personnel ? vas-y envoies. Dis-je, J’entends le déclic du transfert de ligne.clac. Je suis en ligne.
- Monsieur Durand ? interroge une voix, vraisemblablement féminine.
- Oui
- Monsieur Lucas DURAND ?
- Qui le demande ?
- Mon nom n’est pas important, monsieur Durand. Vous feriez bien de surveiller votre femme qui prend du bon temps dans votre dos !
- Mais que ? Bip-bip-bip. On a raccroché.
Je suis stupéfait, et les questions que j’allais poser m’assaillent aussitôt. Qui donc peut m’appeler ainsi sur mon lieu de travail ? Quelqu’un qui me connait assez bien pour savoir où je bosse. Je n’ai pas reconnu la voix, mais elle peut être déformée. Un voisin ? Un de nos amis ? ou plus surement une, car c’est bien une voix féminine que j’ai entendu. Serait-ce une amie qui me préviendrait ? mais de quoi ? une collègue de Samantha qui serait jalouse et voudrait lui faire du mal ?
Oui c’est ça ! surement une jalouse de son travail qui n’a rien trouvé de mieux pour lui nuire.
Où alors, une femme bafouée, qui veut se venger de la maîtresse de son mari ? ce qui voudrait dire que Sam… mais non.
En tout cas, la plaisanterie est d’assez mauvais goût.
Je balaie l’épisode d’un revers de main pour me reconcentrer sur mon travail. Mais insidieusement, la petite phrase fait son chemin, et revient sans cesse dans ma tête : »vous feriez bien de surveiller votre femme »
La jalousie pointerait elle son nez ?
En dix ans, je ne me suis jamais posé de question sur la fidélité de mon épouse, et l’inverse semble être vrai, également. Pas de questions quand l’un ou l’autre rentre tard, pas de fouille des vêtements, pas de flicage d’ordinateurs ou de téléphones. Jusque là, nous avions traversé la vie sans ces soupçons pernicieux, mais je sentais que cette période bénie était révolue.
J’essaie de me raisonner, en me disant que je vais en parler avec Samantha, et qu’après une franche explication, nous rirons ensemble de ces soupçons ridicules. Et puis Samantha travaille beaucoup, tout comme moi. Quand trouverait elle le temps pour une liaison.
D’ailleurs, elle craindrait trop que les enfants s’en aperçoivent et soient déstabilisés.

Ma curiosité naturelle me ramène sans arrêt à cette affirmation téléphonée. Il faut que j’en aie le cœur net. En rongeant mon frein, je patiente jusqu’à midi, et je décampe, après avoir décliné l’invitation d’une collègue à déjeuner.
En une vingtaine de minutes je suis aux abords de l’entreprise où Samantha travaille. Ma moto posée à l’ombre d’une haie, j’ai une vue parfaite sur le parking, juste devant les bureaux de sa société., de l’autre côté de la rue.
Les employés sortent seuls, ou en groupes pour aller déjeuner. Soudain, je l’aperçois. Elle rejoint de son petit pas pressé, sa voiture, et part vers le centre ville. Je suis le mouvement, de loin.
A peine quelques kilomêtres et elle tourne subitement sur un parking, pour aller s’arrêter devant GYMFORM, un centre de fitness et de musculation. Je sais qu’elle y est inscrite et s’y entretient durant la semaine. Samantha, un sac de sport à la main, s’engouffre dans le batiment. Me voilà bien avancé.
Ayant peur d’être repéré, je m’éloigne dans le petit centre commercial, et , ma moto bien rangée, à l’abri des regards, je vais m’acheter un sandwich. Je trouve un banc, à proximité, pour machônner mon jambon beurre, un œil sur les allées et venues du parking, le sourire revenu.
Je me suis fait des idées, me dis-je. Il a suffi d’un coup de fil mal intentionné pour remettre en cause la confiance en mon mariage. J’ai bien fait de venir. Je constate, de visu qu’il n’y a rien à voir. Je termine ma canette avant de retourner travailler quand j’aperçois Samantha qui sort du gymnase.
Elle est accompagnée par un homme qui devise avec elle. Ils ont tous deux les cheveux humides. Je la vois rire à ses mots tandis qu’il la raccompagne à sa voiture. Elle dépose son sac dans le coffre, et revient vers lui.
Mon cœur saute quelques battements.
Elle vient se coller à lui, et l’embrasse longuement tandis qu’il l’enlace. Les mains du bellâtre se promènent le long du corps de ma dulcinée et viennent attraper ses fesses en la tirant à lui. Ils flirtent un moment sans s’inquiéter des passants. avant de se séparer. Samantha repart pour son travail, le laissant planté sur le parking.

Inutile de dire que le reste de ma journée est plutôt sombre.
Je suis assailli de questions. Qu’ai-je fait pour mériter cette trahison. Qu’est-ce qui manque à Samantha dans notre famille. Nous avons deux beaux garçons , en pleine santé, qui réussissent bien leurs études, des salaires corrects qui nous permettent de nous priver de rien, une jolie maison, des amis, le ski l’hiver, les voyages l’été. Je ne vois pas.
Je pourrais, comme certains de mes amis l’ont fait, dans cette situation, aller pleurer chez eux pour raconter mes malheurs, mais à quoi bon.
Certes ils tenteraient de me réconforter, mais, qu’en penseraient ils vraiment ? et qu’est ce que ça changera pour moi ?
Dans tous les cas, pas question de méler nos enfants à ça. Je décide donc de faire comme si rien ne s’était passé.
Quand je rentre du boulot, Samantha est déjà là. Je la trouve affairée dans la cuisine à préparer le repas du soir. Je vais me changer et je pique une tête dans la piscine où les garçons se baignent déjà. Mon ainé a même invité un copain, qui prend congé rapidement, à mon arrivée. Après le repas, nous trainons devant la télé. Les enfants sont dans leurs chambres sur leurs ordinateurs.
Sam, est la première à aller se coucher. J’attends quelques minutes avant d’aller la rejoindre. Elle est allongée, en nuisette un livre en main quand j’arrive.
Je m’allonge près d’elle et tente une approche, en caressant sa hanche. N’ayant pas de résultat, ma main remonte sur son ventre et progresse vers son pubis, mais elle repousse ma main doucement.
-Pas maintenant, me dit elle, en me tournant le dos, je suis fatiguée.
Elle pose son bouquin et éteint sa lampe.

Le lendemain, matin, quand je m’éveille, elle est déjà debout. Dans la cuisine, mon fils ainé déjeune. Son frère est parti plus tôt. Je croise , à peine Samantha, qui s’enfuit vers la salle de bain.
-B’jour chéri, tu as du café chaud, me glisse t’elle en passant
Je l’accroche au passage et l’embrasse. Un rapide bécot et elle se dégage.
- Je me dépêche, je suis en retard. .
Je prends mon café en tête à tête avec mon fils. Ce soir, il part en week-end avec des copains ; c’est de son âge.
-OK, on sera seuls avec Julien.
-Je crois pas, emet Pierre (c’est son nom), Il a un truc de prévu lui aussi.
- OK alors bon week-end !
Je quitte la cuisine pour la salle de bain, mais Samantha l’a déjà désertée. Curieux, je la rejoins dans la chambre, pour voir comment elle s’habille. Je la trouve en sous vêtements : un tanga transparent qui ne cache rien du triangle de poils courts au-dessus des lêvres de sa chatte épilée. Un petit soutien gorge assorti complète l’ensemble. Elle met, d’habitude des culottes moins sexy et plus couvrantes, plus pratiques pour aller au bureau.
- Waow ! quelle tenue sexy ! C’est pour tes collègues ? ne puis-je m’empêcher de commenter.
- Idiot ! répond elle. Je n’avais que ça de propre.
- Hmm, tu es au courant que nous sommes seuls, ce week-end ?
- Pas vraiment, N’oublies pas que nous recevons les Renaud et les Saint Martin, .
- Demain ?
- Oui, mais les Saint Martin resteront sans doute dormir ici ; donc jusqu’à dimanche.
- Et les Renaud ?
- Normalement ils rentrent chez eux, mais tu sais si on picole un peu, ce sera plus sur de rester. De toute façon, les garçons seront absent, on aura suffisamment de chambres.
Tout en me parlant, elle a enfilé une petite robe bleue, à manches courtes, qui laisse ses jambes, déjà halées, dévoilées très haut et épouse parfaitement la courbe de ses seins, la cambrure de ses reins, sans pour autant être moulante.. Une paire d’escarpins aux talons très fins. Ses cheveux sont attachés en chignon, et un collier de perles souligne son cou gracile. Le maquillage est discret et met en valeur ses yeux verts et ses pommettes hautes. Un petit perfecto de cuir bleu vient parachever sa tenue. Je ne peux m’empêcher d’admirer sa silhouette parfaite, malgré sa petite taille.
-
Elle m’envoie un bisou du bout des lêvres et s’en va. après m’avoir fait remarquer que je ne vais pas être en avance. J’ai pris ma journée, mais ne lui en ai pas parlé. U ne fois qu’elle a quitté la maison, je vais ouvrir les tiroirs de la commode où elle range ses sous-vêtements. Dans un coin sont empilées, plusieurs culottes, que j’appelle « de grand-mère », une ou deux de chaque couleur, parfaitement propres et pliées.
Une fois seul, je profite de la matinée pour aller faire quelques longueurs de bassin, puis, je passe la tondeuse pour que le jardin soit impeccable pour le week-end.
En fin de matinée, je m’équipe, et prends ma voiture pour me rendre, de nouveau, près du travail de Samantha. J’ai hésité, mais me suis dit que ma moto, au bruit si caractéristique pouvait me faire repérer. Une fois sur place, je n’ai pas longtemps à patienter pour voir les employer quitter les lieux pour leur pause. Je suis, de loin mon épouse, qui me conduit à un restaurant, que je connais. Elle se faufile entre les tables, et rejoint, au bout de la terrasse, dans le coin bar, l’homme que j’ai aperçu hier.
J’ai pensé à prendre mes jumelles, et je peux les observer depuis ma voiture. Je reconnais alors, un des collègues de ma femme : Philippe RENAUD, celui-là même qui est invité chez nous le lendemain. L’homme est plus vieux que moi. Cheveux gris. Il est à peu près de ma taille , à ce que je vois quand il se lève pour l’accueillir. Mince, il est vétu d’un jean clair et d’une chemise, ouverte sur sa poitrine où brille une chaine en or. Ils s’embrassent, et prennent place dans les fauteuils bas du bar.
Un serveur vient prendre leur commande et repart. Je vois ma femme rire. L’homme lui prend la main et se penche vers elle. Sa courte robe est remontée et j’aperçois la tache blanche de sa culotte. Autant dire que le type en voit sans doute beaucoup plus que moi. Il lui prend la main. Elle l’écoute et écarte un peu ses jambes.
Le serveur arrive avec les apéros, et se penche pour les poser devant eux. Il marque un temps d’arrêt devant le spectacle offert, mais se relève et garde une apparence digne en partant. Les deux trinquent et sirotent leur apéro en papotant. Samantha a pris un Mojito. Je vois les feuilles de menthe dans son verre. C’est son cocktail préféré.. L’in connu face a elle, semble lui demander quelque chose. Elle jette des regards autour d’eux et secoue la tête négativement. Il se penche par-dessus la table et pose ses mains sur ses genoux, qu’il écarte doucement. De nouveau Samantha jette des regards autour d’eux, puis je la vois passer les mains sous sa robe, et soulevant son bassin, fait glisser son tanga le long de ses jambes. Elle se penche et le dégage de ses pieds, et en fait une boule au creux de sa main qu’elle lui tend.
Ce geste d’un érotisme torride, la laisse, robe relevée, sexe à l’air. Elle rabat sa robe, trop courte, qui ne peut cacher ses trésors, au fond de ce profond fauteuil.
Quand le serveur revient pour débarrasser, il ne peut que constater la disparition de la culotte, et, un peu rouge, prend rapidement la fuite.
Le couple se lève et s’avance vers le restaurant où une table leur est réservée. Heureusement, la nappe de la table masque le bas du corps de Samantha.
Le déjeuner traine en longueur, et je commence à m’ennuyer. Quand le couple se lève pour partir, j’ai même failli les rater. Ils sont montés tous deux dans la voiture de l’homme, garée au fond du parking à l’ombre. D’où je suis, je ne peux pas apercevoir grand-chose, mais je vois les deux têtes se rapprocher. Ils s’embrassent, de nouveau..
Samantha se penche vers lui, et disparait à ma vue. Je me déplace pour une vue plus latérale de la voiture. Les branches des arbres me gènent, mais le mouvement trahit ce qui se passe. La tête de Samantha, monte et descend devant le volant tandis que l’homme, assis au fond de son siège imprime le rythme de ses mains sur sa nuque.
Je suis anéanti.
Quelques instants plus tard elle se relève, et sort de la voiture, pour rejoindre la sienne.
Sa robe courte, volette autour d’elle, dévoilant fugacement ses fesses et son sexe nu. Heureusement le parking est désert. Je ne reconnais pas ma femme, si pudique d’ordinaire.
La petite voiture de ma femme quitte le parking, suivie par celle de mon rival. A ma grande surprise, les voitures ne prennent pas le chemin de leur travail, mais partent à l’opposé, et je comprends assez vite qu’on se dirige vers notre maison.
Apparemment je ne suis pas seul à avoir pris congé.
Les deux autos stationnent sur le petit parking, face à la maison, et ils entrent tous deux.
Garé dans une rue adjacente, j’entre par le sous-sol, par souci de discrétion. J’entre prudemment dans le séjour mais il n’y a personne. J’entends leurs voix à l’extérieur.

Me faufilant dans le chambre de Julien, qui donne sur la terrasse, côté piscine, je m’approche doucement de la fenêtre. Ils sont là tous les deux, en train de s’embrasser.
J’entrouvre discrètement le battant coulissant pour entendre ce qui se dit.
Renaud est derrière Samantha et lui caresse la poitrine. Elle s’appuie contre lui.
Il descend sa fermeture dans le dos, et dégage ses épaules, tire la robe vers le bas.
Samantha la laisse glisser jusqu’au sol.
- Si je t’avais laissé faire, tu m’aurais deshabillée devant tout le monde, au restaurant, dit elle.
En soutien-gorge , avec juste ses talons, elle pousse ses fesses contre lui.
Prestement il la débarrasse de son dernier vêtement, qu’il jette sur un transat. La voilà nue. Les voisins sont assez loin et les haies denses, pour nous protéger des regards indiscrets. Il la plaque contre lui, et envoie sa main parcourir sa fente, alors que l’autre malaxe un sein. Saisie, elle s’immobilise, deux doigts explorant sa fente qui s’ouvre, et se projette en avant pour absorber les curieux inquisiteurs. Commence alors un lent balai où ma femme ondoie sous les doigt de cet homme, cherchant son plaisir jusqu’à se figer dans un feulement orgasmique.. Elle se retourne alors et entreprend de le dévétir avec fougue, le jean et le caleçon suivent la chemise et l’homme lui apparait dans son insolente virilité, précédé d’un sexe fièrement érigé, de taille respectable. Elle le cajole un peu avant d’empoigner, les couilles, bien rondes, en glissant un doigt expert sur le scrotum en direction de son périnée.
Elle le pousse ensuite sur le lit de plage, et l’enjambe pour s’empaler sur son membre érigé. A genoux sur la banquette, elle le chevauche avec vigueur, son bassin coulissant sur le chibre érigé, les tétons triturés par son amant qui l’accompagne de mouvement du bassin propre à la désarçonner.

Elle gémit de plus en plus fort, et jouit bientôt une deuxième fois, avant de s’écrouler sur lui.
Je suis sidéré par ce que je découvre. La colère est le premier sentiment, mais je suis aussi excité par l’érotisme de ce que je vois. J’ai bien du mal à faire le tri dans mes sentiments. Ma tête dit jalousie, mais mon corps réagit autrement.

Après quelques instants de repos, les deux amants vont se rafraichir dans la piscine.
Dans l’eau, Samantha fait asseoir son amant sur les marches, et s’empare de son penis, encore bandé. Elle vient le chatouiller avec ses cheveux, l’embrasse délicatement avant de l’emboucher, et de lui prodiguer une fellation qui le fait râler de plaisir. A demi allongé dans l’escalier, il se contente de profiter du moment, et tend son bassin vers elle.
Samantha, glisse une main entre ses jambes, et vient enfoncer un doigt dans le cul de Philippe, provoquant un orgasme qu’elle avale de son mieux. Les secousses de son éjaculation, lui font ouvrir la bouche qui laisse échapper une partie de la semence . Elle déglutit et avale, avant de venir lécher le sexe de son amant pour le nettoyer. Puis elle se rejette en arrière dans une éclaboussure, en riant.
-Je te tenais, là, se moque t’elle.
-Que tu crois, répond il avant de sortir de l’eau.

Un peu plus tard, seché et rhabillé, il s’apprète à partir.
-Vous venez vers quelle heure demain ?
-Ça dépendra de Sybille, dans l’après-midi, je suppose.
- Elle ne se doute de rien ?
- Elle est plutôt contente que je ne la relance pas. Le cul, c’est pas sont truc,
Contrairement à toi.
- Ce n’était pas mon truc, non plus. Jusqu’à présent je pouvais m’en passer. C’est toi qui m’as dévergondée.
- Justement, demain ne mets pas de culotte ! ordonne t’il
- ?
- Ça te pose un problème ?
- Tu sais, c’est le fantasme de Lucas, alors, je ne pense pas qu’il y soit opposé, mais nous ne serons pas seuls.
- C’est ça le défi !
Je n’en reviens pas. Samantha accepte de ne pas porter de dessous, mais seulement avec des robes longues, et dans des endroits où on ne connait personne.

Son amant parti, Samantha, ramasse ses vêtements et va dans notre chambre, pendant que je me terre dans celle de Julien. Elle en ressort, après avoir enfilé un bas de maillot, et une petite robe sur le bras. Elle prend une bouteille d’eau dans le frigo, et part s’allonger sur la terrasse, ses lunettes de soleil sur le nez.
J’en profite pour rejoindre ma voiture. Assis devant mon volant, je réfléchis. Ainsi donc Philippe est l’amant dont parlait ma mystérieuse correspondante. Il y a donc de fortes chances pour qu’il s’agisse d’Olivia, la femme de Philippe. Je décide de l’appeler.
Elle me répond à la première sonnerie.

- Salut Lucas ! tu m’appelles pour demain ? On portera le dessert pour le soir.
- Oui, en fait, je n’appelais pas que pour ça. Tu es chez toi ?
- Non, pas encore, je fais quelques courses avant de rentrer. De toute façon, Philippe ne rentre pas de bonne heure en ce moment.
- J’ai besoin de te parler, mais pas au téléphone.
- Oh ! ça concerne ce week-end ?
- En partie oui.
- Un souci ?
- Pas vraiment, mais c’est mieux qu’on en parle de vive voix.
- Ok, si tu veux. Tu passes à la maison ?
- Non, on peut se retrouver dans un bistrot .
- Ok, il y en a un tout près. Tu connais le balto ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C est navrant de voir ce sang froid qui coule dans les veines de son mari « ,car tout homme sensé aurait de suite classer l affaire surtout qu il n’a rien à se reprocher en faisant le tour de la question, il fallait prendre des photos au lieu de jumelles ,des preuves flagrantes cette passivité est synonyme d acceptation je pense que ça va finir en queux de poisson cocu content

Histoire Erotique
Encore une garce qui fait la mijorée avec son mari mais fait la pute avec son amant.une seule chose à faire un constat d adultère et virer la salope et prévenant les enfants de la mauvaise conduite de leur mère.

Histoire Erotique
excellent...

Histoire Erotique
apparemment sans capote, risque de grossesse ou mst, il aurait du les filmer pour un futur divorce avant de les prendre en flag

Vivement la suite.
Personnelement, je serais intervenu beaucoup plus tôt...

Histoire Erotique
Vivement la suite.
je pense que je serais intervenu beaucoup plus tôt...

Histoire Erotique
La suite svp !!!!!!!!

On attend la réaction du mari. Vivement la suite!

J’ai bien l’impression que ça va brasser dans la maison.
Si j’avais été dans cette situation, c’est exactement ce que j’aurais fait. Appeler l’autre conjoint pour l’informer et trouver le plan d’action.

Histoire Erotique
Belle histoire dommage qye le mari ne fasse pas les valises de sa femmes et ne la dégage paw



Texte coquin : soupçons1
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Poesexe

Soupçons 3 - Récit érotique publié le 28-03-2023
souçons2 - Récit érotique publié le 27-03-2023
soupçons1 - Récit érotique publié le 26-03-2023
Jolies Fesses - Récit érotique publié le 11-03-2023
bal de campagne 2 - Récit érotique publié le 10-03-2023
Bal de campagne - Récit érotique publié le 09-03-2023
LE DOSSIER - Récit érotique publié le 08-03-2023
PIQUE_NIQUE CHAMPÊTRE - Récit érotique publié le 03-07-2020
UN PARFUM D'INTERDIT - Récit érotique publié le 01-07-2020
PAUSE DEJEUNER - Récit érotique publié le 29-06-2020