bal de campagne 2

- Par l'auteur HDS Poesexe -
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Récit libertin : bal de campagne 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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bal de campagne 2
BAL DE CAMPAGNE 2

Suite à une soirée bien plus animée que ce que j’espérais d’un week-end à la campagne, je retrouve mon cousin et ses amis. Nous embarquons tous dans trois voitures . Christophe, son frère Michel, sa copine Sarah, et une grande brune nommée Joelle, dans la première.
Mon cousin Pierre a embarqué dans sa 4l, Stéphanie, la cow-girl d’hier soir, et une de ses amies, tout aussi blonde Gaelle, ainsi que Cathy. Je suis donc seul dans ma petite autobianchi , avec Marie. N’étant pas un local, je me place en queue de peloton et me contente de suivre les autres en devisant avec Marie.
Je ne peux m’empêcher de l’interroger :
- Ta sœur Cathy, elle est avec Pierre ?
- Penses tu ! négative t’elle, Ils s’amusent ensemble, mais rien de sérieux.
Tu es bien comme les autres.
- Ah bon ?
- Ma sœur, elle est maigre, elle n’a pas de seins, mais tous les mecs courent après son petit cul
- C’est vrai qu’elle ne le cache pas vraiment, observai-je, mais j’avoue que tu es bien plus gaulée. Dis-je en posant une main sur sa cuisse, largement découverte.
- Concentre toi sur la route, me dit elle
Aussitôt, elle plonge dans son sac, et en ressort un mini slip de bain noir, qu’elle se met en devoir d’enfiler, en se contorsionnant sur le siège passager. Sa robe légère remonte, et dévoile ses cuisses pleines. J’ai le temps d’apercevoir sa petite chatte avant qu’elle la recouvre partiellement par le mince tissu qu’elle vient nouer sur chacune de ses hanches.
- Difficile de ne pas être distrait dans ces conditions. Dis-je
- Vilain coquin, il y a un temps pour chaque chose.
Nos voitures parquées dans un champ, à l’ombre des arbres, nous nous acquittons de notre entrée et entrons dans « l’espace loisirs » pompeusement nommé « Lac d’émeraude » qui n’est, au plus qu’un étang, et dont la couleur émeraude a tendance à devenir terreuse, une fois les rives piétinées par d’innombrables baigneurs.
Tout autour du lac, de vastes étendues herbeuses, ombragées ça et là, par une végétation un peu sèche accueillent les baigneurs, avec de loin en loin des tables de pique-nique en bois.
Les filles, habituées du lieu, nous entrainent vers le bout de ces plages engazonnées, là où la foule devient éparse. Courageusement, nous les suivons, chargés de glacières horriblement lourdes, de tapis de plage, et de sacs de victuailles. Nos finissons par nous arrêter sur une place, mi soleil, mi-ombre, et les tapis de plage sont rapidement étalés au sol. Les filles commencent à faire voler leurs habits et sont rapidement en maillot de bain, la plupart assez sexy pour l’époque. (le string n’est pas encore à la mode, mais des maillots minimalistes tenus par des ficelles dévoilaient déjà grandement les charmes de ces demoiselles.Pour les garçons, c’est slip de bain ou bermuda. Je suis le seul à avoir opté pour un boxer-short, plus court qu’un bermuda, mais moins « poutre apparente qu’un slip.
Visiblement, les uns et les autres sont habitués à ces tenues et personne ne fait de remarque.
- Allez, au bain ! s’écrie Christophe, qui part en courant vers l’eau, suivi par toute la bande. L’eau n’est pas froide et tous y entrons facilement. Nous passons un bon quart d’heure à nous ébattre dans l’eau, nous aspergeant, nous coulant, et nous frôlant parfois de près. Petit à petit, nous regagnons notre carré, pour attaquer le pique nique.
Je m’installe prudemment à l’ombre. Les filles se battent pour les places au soleil. Cathy dénoue son soutien gorge, et le pose dans l’herbe, vite imitée par Gaelle et Stéphanie. La table en devient plus appétissante, mais Marie réprimande sa sœur.
- Enfin Cathy, On est pas seules, et je te rappelle que le topless est interdit ici.
- Bah, On est loin et d’ailleurs ils ne disent jamais rien. Répond celle-ci.
- Les seins nus, à la plage, c’est autorisé partout, observe Stéphanie, alors pourquoi pas ici.
- Plutôt que de garder un maillot mouillé, on le fait sécher, et on prend le soleil. Renchérit Gaelle qui exhibe deux superbes seins orgueilleux, dépourvus de toute marque de bronzage. Vous feriez mieux de faire comme nous les filles.
- Je crois que les garçons ne s’en plaindraient pas conclut CAthy.
Joelle se laisse convaincre et fait voler son soutif, nous dévoilant une poitrine blanche, un peu lourde, aux larges aréoles, mais les autres restent inflexibles.
_Que ça ne nous empêche pas de prendre l’apéro ! s’exclame Pierre qui a sorti les bouteilles.
Deux ou trois verres plus tard, l’ambiance est monté d’un cran. Les baigneurs affluent autour du lac, mais restent à distance de ce groupe bruyant. Quelques garçons ont repéré les poitrines dénudées et observent à distance avec envie.
Après le repas, tous un peu pompettes, nous nous étendons sur les serviettes pour une sieste réparatrice. C’est le moment de calme. Michel flirte discrètement avec Sarah.
Pierre s’est habilement installé entre Gaelle et Stéphanie. Cathy, étalée sur le dos,semble dormir. Je suis allongé, non loin de Joelle, qui me demande de lui passer de la crème solaire sur le dos. Elle me tend le flacon et pose sa tête entre ses bras croisés.
J’enduis consciencieusement ses épaules, dégage ses cheveux d’un côté pour faire le cou, puis je descends sur son dos, jusqu’au creux des reins. Je m’approche de son slip de bain, et l’attrapant entre deux doigts, le fait descendre légèrement pour bien couvrir le haut des fesses. Elle a , à peine tressailli, mais m’a laissé faire.
J’enduis ensuite chaque jambe en commençant par les pieds et en remontant. Arrivé aux cuisses, je les masse longuement en la complimentant car elle est, effectivement, bien muclée.
-Je fais pas mal de tennis et de natation, me donne t’elle en explication.
Pendant ce temps, mes mains font des cercles qui vont vers l’intérieur de ses cuisses. Imperceptiblement, elle écarte les jambes pour me libérer l’accès. Quand j’atteinds la chair tendre, proche de la fourche, elle soupire doucement. Mes doigts effleurent le fond de son maillot, un peu humide. Reste de la baignade ou début de plaisir ? allez savoir.
-J’ai fini ! tournes toi si tu veux que je fasse le devant.
Je l’ai dit comme une boutade, mais voilà qu’elle se tourne sur le dos avant de se rallonger, et de fermer les yeux.
Encouragé par son attitude, je repars des épaules, et suis bientôt en train de masser deux seins volumineux dont les pointes s’érigent immédiatement. J’insiste un peu sur cette région, lui arrachant un soupir, mais je capte le regard de Marie, appuyée sur ses coudes, qui me fixe, visiblement irritée. Autour de nous, Pierre se fait maintenant masser par Stéphanie, et Gaelle, toutes deux copieusement brillantes d’huile, leurs seins orgueilleux pointant, et lui, reste à plat ventre, cherchant à éviter de trop dévoiler un développement récent de sa personnalité.
Un peu plus loin , Michel a glissé sa main sous le soutif de Sarah, et ils s’embrassent ardemment. Cathy semble toujours endormie, même si elle s’est retournée.
Je continue mon ouvrage, et après avoir oint la poitrine de Joelle, je fais glisser le slip de bain vers le bas, avant de m’occuper de son ventre. Son maillot est maintenant descendu au ras de sa toison, assez bas sur ses hanches. Mes mains malaxent doucement cette partie, s’aventurant le long du maillot de bain. Mes doigts passent parfois sous l’élastique effleurant le mont de vénus, qui se soulève légèrement au devant d’eux. Sentant la tension monter, je délaisse la zone pour m’occuper de ses jambes. L’électricité dans l’air s’est un peu calmée, mais dès que j’arrive sur le devant des cuisses, celles-ci s’écartent et m’invitent à malaxer l’intérieur, allant buter contre le tissu qui humide, moule ses trésors plus qu’il ne les masque. Vérifiant d’un œil que personne ne peut voir mes mains, je passe mes doigts sur le fond du slip et caresse, au travers du tissu, son sexe que je sens s’ouvrir. Elle ouvre la bouche, et aussitôt se mord les lêvres, avant de refermer ses cuisses. Je retire ma main, et m’étend sur le dos.
- Je vais te passer la crème.
Marie est debout à côté de moi, et derrière ses lunette de soleil, me provoque du regard.
Résigné, je mets sur le ventre pour masquer un début d’érection.
Le massage de Marie est plus dynamique que sensuel. Elle malaxe mon dos et mes jambes avant de me taper sur les fesses.
- Allez, on se tourne !
Je sens le regard des autres sur moi, mais je ne peux m’esquiver.
Aussitôt sur le dos, Elle m’enjambe et vient se poser à califourchon sur moi, pour m’enduire le torse. Le souci, c’est qu’elle est assise sur mon boxer short, et avec de petits mouvement du bassin, se frotte sur moi, provoquant un durcissement naturel, qui pour l’instant, reste invisible, mais ne manquera pas de se remarquer quand elle se lèvera. Elle s’amuse quelques instants de la situation avant de pivoter pour enduire mes jambes, toujours sur moi, mais dos à moi, agitant son joli popotin sous mon nez. Son travail effectué, elle se relève d’un coup, et je me tourne vivement, mon corps écrasant douloureusement ma verge comprimée. Elle se baisse et me murmure à l’oreille
- Ne cherche pas. Elle ne te fera pas jouir comme moi.
Une heure plus tard, tout le monde émerge de la torpeur d’après déjeuner et nous allons tous nous jeter dans l’onde rafraichissante.
Joelle nous surclasse tous aisément et s’éloigne d’un crawl souple. Je la suis à quelque distance et la rejoins près d’une bouée limitant l’aire de baignade. Accrochés au flotteur, nous nous rapprochons et j’en profite pour caresser ses seins aux bouts érigés par la fraicheur de l’eau. Une main habile se faufile dans mon boxer, et saisit mon sexe.
-hmm, il me semblait bien qu’il était réveillé, me glisse Joelle dans un sourire, tout en tirant mon short pour extirper ma queue.
Je sens deux jambes venir se cadenasser autour de moi, et son corps tiède vient se frotter contre mon érection. Elle s’accroche à mon cou d’une main, tandis que l’autre guide mon sceptre qui est absorbé par un puits brûlant. Le bassin de la brune s’agite sur moi et, alors que je me maintiens à flot avec difficulté, elle va et vient sur mon chibre, s’aidant de ses jambes pour propulser son bassin contre le mien de plus en plus fort.
Quelques minutes de ce traitement suffisent à son plaisir. Son bassin se soude au mien dans un tremblement, ses mains tirant sur mes fesses pour m’encastrer en elle, tandis qu’elle souffle doucement, les yeux dans le vague. Elle resta ainsi, un instant, puis dévérouille ses jambes et s’écarte brusquement de moi, avant de repartir vers la plage. Je reviens en nageotant, après avoir rangé mon érection insatisfaite dans mon boxer.

Après le bain, nous allons tous nous allonger pour une sieste réparatrice. Afin de prévenir toute intrusion, Marie vient s’étendre à mon côté, l’autre côté étant rapidement occupé par Cathy. Pierre est un peu plus loin choyé par Stéphanie, Gaelle, et Joelle qui vient les rejoindre, tandis que Michel s’isole avec Sarah.
Les soutien gorges sont vite oubliés, comme partout sur la plage, et les bas de maillots, bien remontés, ou carrément dénoués, ne cachent plus de grandes surface de chair.
Après avoir discuté un peu, la fatigue de la nuit précédente me rattrape, et je somnole sous le chaud soleil d’été.
Quand j’émerge, les rayons du soleil sont déjà bien obliques, et la plage s’est beaucoup vidée. Les filles sont reparties à l’eau. Seuls Michel et Sarah sont encore endormis enlacés.
Je m’étends, et me lève pour rejoindre le groupe qui chahute dans l’eau.
Joelle, seins nus est sur les épaules de Christophe, et tente de désarçonner Stéphanie qui chevauche Pierre. Je me jette sur Gaelle que je fais couler, mais Marie et Cathy lui viennent en aide. Je sens que mon boxer est tiré vers le bas.
Ah c’est comme çà ! Je croche, un lien de maillot et je tire d’un coup sec. Le bout de tissu me reste dans les mains. Je croyais faire reculer mes adversaires, mais ça ne les arrête pas. J’ai beau gesticuler, elles arrivent à s’emparer de mon boxer short, et je me retrouve, à poil comme Marie. Je finis par m’emparer du slip de Gaelle.
Au moins nous sommes à égalité. Mais la blonde ne l’entend pas de cette oreille. Elle s’accroche à mon cou et se frotte contre moi.
-Venez m’aider les filles ! on va le mettre en état pour ne plus sortir de l’eau !
Aussitôt, je sens un corps chaud venir se coller contre moi. Une main s’est emparée de ma queue et la branle doucement, pendant qu’une autre me malaxe les couilles. Ma réaction ne se fait pas attendre, et une érection incontrolée érige mon sexe.
Les trois filles m’entourent maintenant et me prodiguent des caresses toutes plus savantes, les unes que les autres.
Un regard vers les autres, et je sais que je ne peux attendre d’aide , de ce côté. Stéphanie, suspendue au cou de Pierre, est agitée d’un mouvement vertical, qui ne laisse aucun doute sur leur activité. Christophe, quand à lui, sort de l’eau, entrainant Joelle, nue comme un ver. Fort heureusement, la plage est maintenant déserte.
Celle-ci s’enveloppe rapidement dans une serviette pour se sécher.
Mon attention ne peut rester fixée sur ce qui se passe ailleurs, tant je suis sollicité. Un corps se glisse contre le mien et mon sexe est englouti par une bouche chaude qui l’aspire et le suce. Quelques secondes, et la bouche s’échappe. J’ai à peine le temps de sentir la fraicheur de l’eau qu’une autre prend sa place, et qu’une langue agile s’enroule autour de moi. Inconsciemment, je me tends vers ce plaisir, en écartant légèrement les jambes. Une main passe entre elles et masse mes testicules, puis mon périnée, avant de venir tournicoter autour de ma rosette, ajoutant à mon plaisir, jusqu’à ce qu’un doigt impérieux se plante dans mon anus et s’y enfonce. Je sursaute sous la caresse, mon érection à son paroxysme, mais tout s’interromp d’un coup, et les filles s’éloignent en riant.
Je les regarde s’éloigner, deux culottes à la main, résigné à attendre que l’eau fraiche vienne calmer mon ardeur. Je vois les filles sortir de l’eau dans le plus simple appareil, à l’exception de Cathy. Tout le monde se sèche et se rhabille, puis commence à ranger les affaires, et quand je sors, enfin de l’onde, je suis l’objet de quelques railleries.
- Alors, tu étais où ?
- Tu n’arrivais pas à revenir ? tu as perdu quelque chose ?
Le plus dignement possible, je rejoins ma serviette et après m’être séché, j’enfile un jean , un polo et mes baskets.
Au moment de repartir, Cathy se précipite vers ma voiture
-Allez, je fais le retour avec toi.
Michel rentre avec Sarah, ravissante dans une petite robe vichy, Joelle vétue d’un paréo sous lequel elle est visiblement nue, qui semble avoir jeté son dévolu sur Christophe.
Marie embarque avec Gaelle et Stéphanie dans la 4L de Pierre.
Les filles ont toutes opté pour des robes légères sauf Cathy qui est moulée dans un short en jean qui dévoile la moitié de ses fesses et un débardeur échancré. Les gars ont tous opté pour des bermudas ou des blue-jeans.
Tandis que je charge le coffre de mon Autobianchi, je vois partir les autres mais je suis confiant, car Cathy connaît le chemin. Heureusement car lorsque je rejoins la route principale, ils ont déjà disparu.
Cathy me guide et je roule tranquilement sur les petites routes de campagne.
- C’est Gaelle ou Stéphanie qui est avec Pierre ? demandai-je à Cathy.
- On voit que tu ne connais pas bien ton cousin.
- Il n’est pas avec elle ?
- Oh si ! il est avec les deux.
- Les deux ?
- Eh oui, le petit Pierrot, c’est une bête de sexe. Elles ne sont pas trop de deux pour le satisfaire.
- Elle te l’ont dit
- Non, je le sais. On a déjà flirté un peu, à l’époque.
- Flirté ?
- Oui, enfin, disons qu’on a déjà été ensemble, mais ça ne collait pas. Il a besoin de quelqu’un qui s’occupe de lui en permanence, et moi, j’ai besoin d’indépendance.
- Ça ne collait pas au lit ?
- Ah non, ça collait même trop, et trop souvent. Et puis moi j’aime le changement.
En disant ces mots, elle vient poser sa main sur mon sexe qu’elle commence à masser. Inévitablement, suite aux tensions de la fin d’après-midi une bosse durcit dans mon pantalon.
- Je ne suis pas sur que ta sœur apprécierait, lui dis-je
- Ne t’inquiète pas de ma sœur. Tu n’as pas envie de moi ?
- Je te trouve plutôt canon, mais..
- Tiens, tourne à droite à la prochaine
En quelques minutes, nous nous garons près d’une grange ouverte. Cathy descend et je la suis. Elle se débarrasse de son débardeur et vient se coller à moi. Nos lèvres se trouvent et un long baiser nous unit. Mes mains partent à l’exploration de son corps de liane. Elle me mord la lèvre quand je pince ses tétons érigés, gros comme des framboises. Elle m’entraine sous l’abri vers les bottes de paille, s’asseoit sur l’une et entreprend de défaire ma ceinture et de descendre mon jean. Ma queue, jaillit sous ses yeux et elle la saisit en la caressant, tout en lui parlant :
-là, tout doux, calme, ça va aller.
Puis elle se penche et commence à embrasser mon gland. Elle sort sa langue et parcourt ma hampe jusqu’en bas. Elle s’agenouille, et gobe mes couilles l’une après l’autre en me caressant. Elle remonte et embouche ma queue, en suçotant d’abord le bout, avant de s’avancer de plus en plus, sans cesser de me dévisager. De temps en temps, elle m’engloutit jusqu’à la garde, mon gland venant taper sur sa luette. Elle éructe, pleure un peu mais ne me rejette pas. Je sens qu’à ce rythme là je ne vais pas tenir longtemps et je l’en avertis. Elle me délaisse alors et grimpe sur la botte de paille, en m’attirant près d’elle.
A quelques centimètres de mes yeux je vois ses doigts défaire un à un les boutons de son short, qui s’écarte, petit à petit, me dévoilant sa peau nue et dorée, puis un ticket de métro de poils noirs très courts. Ses mains prennent les miennes et les posent de chaque côté du short, que je fais glisser, découvrant une fente aux lèvres légèrement entrouvertes sur la chair tendre rosée de son entrée intime. Le vêtement à ses pieds, elle s’en défait d’un coup sec et attire ma tête contre sa chatte, que je me mets à ouvrir avec ma langue. Je déniche son clito qui sort et se bande sous mes caresses buccales. La demoiselle mouille abondamment et m’encourage de la voix.
-ho, oui, continue, c’est bon, ah vas y, mais ah c’est encore mieux !
(je viens d’enfoncer deux doigts dans sa chatte)
Humm oui, les doiiiiiigts !
Elle a les jambes largement écartées et avec ma main libre je pars à l’exploration de son périnée, et atteins vite sa rosette que j’humecte de sa mouille avant d’y enfoncer un majeur impérieux. Mes doigts s’agitent de concert, en elle, et elle gémit de plus en plus fort, jusqu’à plaquer ma tête sur sa vulve, et jouir en tremblant.
Elle s’écroule à la renverse sur la paille, mais ne me lache pas
-Viens en moi, dit elle en m’attirant sur elle.
Elle est tellement mouillée et ouverte, que je pénêtre en elle sans effort, et m’y enfonce jusque aux couilles. Je me mets à la besogner sans retenue, ahannant sur elle comme un taureau en rut.
- Vas y , défonce moi, perfore moi, mais ne jouis pas en moi, me demande t’elle
Précision utile car, après les frustrations de l’après-midi, je sens que je ne vais pas tenir longtemps.
Je la baise à grands coups de boutoir, mon ventre venant taper contre le sien, ses jambes verrouillées sur mon dos, et je sens très vite la séve qui bouillonne en moi qui monte en une coulée irrepressible. Je m’écarte, juste à temps pour envoyer plusieurs giclées sur son ventre, ses seins, et même jusqu’à son cou.
Nous retombons, l’un à coté de l’autre, repus pour un temps. Elle dessine des arabesques sur son corps avec mon sperme. Puis elle se penche sur moi et vient me prendre en bouche pour nettoyer ma queue. Quand elle achève son ouvrage, je suis de nouveau, presque dressé.
- On dirait que tu veux jouer encore, me sussure t’elle avec un sourire fripon.
Aussitôt elle entreprend de m’aider à reprendre consistance d’une caresse buccale experte.
Je profite qu’elle est maintenant sur le côté pour enfouir deux doigts dans sa chatte et me mets à la branler énergiquement. Elle coule bientôt abondamment et ponctue mon action de grognements appréciateurs, sans relacher sa succion sur mon chibre, qui se raidit de plus en plus. Je sors mes doigts détrempés de sa vulve et humecte sa raie culière jusqu’à son anus, récupérant le précieux liquide qui continue à inonder son entrejambe. Un doigt, puis deux s’immiscent dans son anus, et je reprends le même mouvement que devant. Les grognements, un instant interrompus , reprennent de plus belle et son arrière train se projette contre ma main. Considérant son appel, j’introduis un troisième doigt dans son cul.
Elle se redresse, et s’empale sur mes doigts en poussant de petits cris, tout en masturbant ma queue de sa main venue remplacer sa bouche. Elle halète de plus en plus fort, écartant ses fesses au maximum et se met à jouir. Sa chatte coule comme une fontaine sur mes doigts qui dilatent son anus.
D’un coup elle repousse ma main, et se positionne à quatre pattes sur la botte de paille.
- Allez, encules moi, maintenant !
Je me positionne et viens appuyer mon gland contre son petit trou, à peine rétracté. Sans la moindre difficulté, mon membre est englouti , et mon ventre vient buter contre ses fesses. J’entame un long mouvement de va-et-vient, mais elle accentue l’intensité en projetant son cul contre moi, par saccades. Me mettant au diapason, je la saisis aux hanches et la défonce méthodiquement, sans plus de retenue. Elle se met à crier son plaisir en remuant furieusement sur ma queue, une main frottant son clito.
Je sens monter en moi une vague brûlante.
-Attention, je vais bientôt jouir !
- Vas y ! de ce côté, pas de risque, répond elle en accélérant sa cavalcade
Je la bourrine de plus en plus fort. Les claquements de nos peaux qui s’entrechoquent résonnent dans la grange. L’arrivée d’un geiser de plaisir me stoppe et je ponctue chaque giclée, d’un grand coup de rein, qu’elle reçoit avec un cri.
Nous restons collés un bon moment, puis je me désacouple. Elle se blottit dans mes bras.
Je vais chercher une serviette dans la voiture, et nous nous essuyons.
- décidément, vous êtes des numéros dans la famille.
- Je pourrais en dire autant.
- A propos, ce serait bien que ma sœur ne soit pas au courant. Inutile de la rendre jalouse.
- A vous seriez donc…
A ce moment nous entendons le bruit d’un tracteur qui se rapproche.
- Merde, mon oncle, vite habille toi ! m’ordonne t’elle
Sans réfléchir j’enfile mon jean et mon polo, pendant qu’elle s’équipe short et débardeur, en courant à la voiture. Je la rejoins, au moment où un tracteur tourne l’angle du batiment.
- Qu’est-ce qu’il fait là ?
- La grange est à lui, c’est normal qu’il vienne, mais je n’ai pas trop envie qu’il me voie
A poil avec un garçon. Il irait aussitôt tout raconter à ma mère.
- Qu’est-ce qu’on fait ?
- Démarre, je vais juste lui faire signe en passant.
- Il ne va pas être dupe.
- Oui mais il n’a rien vu de compromettant
Nous croisons le tracteur, avec un type d’une cinquantaine d’années au volant. Cathy a baissé sa vitre et lui crie
- salut tonton !
- Salut les jeunes ! répond il avec un sourire entendu.
Quinze minutes plus tard, nous arrivons chez Pierre.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Un récit délicieusement bien écrit tant sur le fond que sur la forme et qui m’a faite jouir à plusieurs reprises … hâte d’en lire davantage.



Texte coquin : bal de campagne 2
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