Après Louise 3 - histoire érotique

Nous étions là, complètement à poil, entrain de siroter notre verre de vin blanc.
Je me préparais à raconter comment s’était passé le départ de Louise pour la Suède, quand Charlotte me dit :
-J’ai un petit creux, tu n’aurais pas quelque chose à grignoter ?
Je réponds :
-Oui, tu as raison. Voilà ce que je vous propose. Si vous voulez prendre une petite douche pendant que je prépare un petit casse-croute. Quelques pâtes, ça vous dit ?
-Oh ! oui répondent ils en cœur.
Nous voilà propres et habillés.
Nous dévorons les pâtes en silence et c’est Charlotte qui, une nouvelle fois, relance la discussion :
-Alors, qu’est-il arrivé à notre belle Louise le jour de son départ ? si on met à par qu’il a été différé au lendemain.
Je prends la parole :
-Vous n’allez pas me croire !
Louise a menti sur la date de son départ.
Elle a dit à tout le monde, même à sa mère, que son vol était le mercredi matin
-Oui, répond Adrien, et que pour des raisons de surbooking, elle était obligée d’attendre le lendemain à 14 heures !
Je lui réponds :
-Oui, c’est ce qu’elle a voulu vous faire croire. Mais la réalité est toute autre.
-A bon, reprennent-ils ensemble, alors que c’est-il réellement passé ?
-Aller, je vous dis tout
Le mardi matin, jour de son départ présumé, vers les 10 heures du matin, ça sonne à ma porte. Je n’attendais personne et j’étais en train de penser à Louise espérant un appel de sa part.
Je vais ouvrir et là, surprise, Louise est à la porte, je lui demande :
-Que fais-tu là ? Tu as raté ton avion ?
-Pas du tout, me répond-t-elle, mais je t’explique sur le pas de la porte ou tu me laisses entrer ?
-Bien sûr, entre.
A peine dans le hall, elle se jette littéralement sur moi et m’embrasse. Bien-sûr, je réponds à son baiser et commence lui passer les mains dans le dos et sur ses fesses.
De son côté, elle pose sa main sur ma queue qui, ça va sans dire, commence à gonfler terriblement.
Le désir est si fort que l’on se dépêche de se déshabiller l’un et l’autre en nous dirigeant vers le salon où le canapé nous attend.
J’étais maintenant complètement nu, mais pas elle. Elle a arrêté son effeuillage et m’a faisait face. J’ai voulu m’approcher d’elle, la prendre dans mes bras, lui donner ma bite à branler, à sucer, mais elle m’a stoppé en me disant :
-Attend, j’ai une surprise pour toi !
Je la regardais étonné, me demandant quelle surprise pouvait-elle bien me cacher. Il ne lui restait, en tout et pour tout, que sa petite culotte pour planquer quelque chose.
Elle me regarde dans les yeux en baissant le dernier rempart qui cachait encore sa petite chatte tant désirée.
Quand la lingerie a atteint le sol, elle s’est retournée, s’est penchée en avant pour me dévoiler qu’elle avait un très joli plug planté dans le trou de son cul
-Alors, tu en pense quoi ? me demande-t-elle
Après quelques secondes, je lui réponds
-Magnifique, ça me donne encore plus envie de te baisser
-Alors vas-y, je suis venue pour ça. Mais avant, laisse moi te dévorer la bite
-Avec plaisir, et j’en profiterai pour te bouffer le minou et le trou du cul, si tu m’autorise à manipuler ton jouet.
-Vas-y mon Charly, fais-moi du bien
Et aussitôt, on se retrouve sur le canapé pour un soixante-neuf endiablé.
Elle englouti littéralement ma queue en une gorge profonde dont elle seule a le secret. Je ne suis pas en reste, je me délecte de son coquillage dégoulinant de cyprine tout en faisant des mouvements du bassin de bas en haut. Je sens que la jouissance n’est plus vraiment loin, mais j’ai envie d’autre chose, alors, je me retire de sa bouche, me relève. Je vois dans ses yeux qu’elle se sent frustrée. Alors je la fais se mettre à quatre pattes sur le canapé en lui disant :
-Patience ma petite chérie, on ne fait que commencer !
Dans cette position, j’ai une vue splendide sur sa moule et sur son petit cul. Je lui plante tout de suite deux doigts dans la chatte, ce qui a pour effet de la faire réagir et se cambrer pour faciliter mon introduction. Je sens le plug qui réduit l’espace disponible du vagin. J’amorce alors quelques mouvements de va et vient dans sa grotte plus qu’humide et, à chaque fois que mes doigts entrent ou sortent, le frottement contre le petit envahisseur anal entraine des cris de plaisir qui tout à coup, sans crier gare, se transforme en une énorme jouissance.
Plusieurs contractions de son vagin serrent mes doigts et une mouille abondante s’écoule sur ma main, mon poignet, le long de ses cuisses, et jusqu’à mon pauvre canapé.
Je n’avais pas vraiment remarqué, mais mon récit, bien qu’inachevé, ne laisse pas mes auditeurs indifférents, moi non plus d’ailleurs, et je vois Adrien qui se bagarre pour extraire sa bite toute raide de son pantalon, alors que Charlotte, comme elle n’a pratiquement rien sur le cul, à part sa petite jupe très mini, se masturbe déjà profondément. A mon tour de sortir mon sexe de sa cachette, déjà très dur, en me dirigeant vers Charlotte sur laquelle je me jette littéralement, lui attrapant les deux jambes pour venir poser ses pieds sur mes épaules et la pénétrant presque brutalement.
Mais Charlotte semble vouloir me monter qu’elle apprécie cette invasion soudaine, rapide et profonde :
-Oh, ouiiiiiiiiiiiii. Vas-y, défonce-moi. C’est bon, plus fort
A ces mots, je réponds en la baissant encore plus fort.
Mais le premier à partir, c’est Adrien, qui s’était rapprocher de nous pour se branler et peloter les seins de Charlotte. Il lâche sur le dos de cette dernière, quatre ou cinq longs jets de sperme.
Dans les secondes qui suivent, je sens Charlotte qui se cambre encore en peu plus, alète de plaisir, hurle sa jouissance :
-Je viens ! Jute en moi ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
En même temps que la première contraction de son vagin, j’envoie tout ce que j’ai dans les couilles en plusieurs jets copieux de foutre.
Complètement abasourdi par nos jouissances, presque inconscients, nous nous écroulons tous les trois sur le canapé.
Quand je refais surface, je me dis :
-J’en étais qu’aux prémices de mon histoire avec Louise, et vu comme nous avons pris du plaisir déjà, je me demande ce que se sera quand je raconterai la suite……………..