Grosse chaleur

Récit érotique écrit par PapyCharly [→ Accès à sa fiche auteur]
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Grosse chaleur
Aujourd’hui, il fait chaud et je n’ai rien envie de faire. Je décide donc de m’installer sur un transat, sous le parasol au bord de ma piscine.
Comme je vis seul et que ma petite propriété est entourée de haies me cachant à la vue des voisins, c’est dans le plus simple appareil que je m’allonge.
Cette chaleur m’incite à rêvasser et me ramène quelques trente ans en arrière, ,
A cette époque, j’étais encore en activité et ce jour-là, j’assistais à une réunion de formation au siège de la société pour laquelle je travaillais. Avec la chaleur qui régnait, mes collègues féminines avaient opté pour des tenues assez légères, là, une jupe très courte, bien au-dessus du genou, ici un décolleté profond permettant d’apercevoir plus que la naissance d’un sein.
Toute la journée, j’ai eu sous les yeux le décolleté très généreux de Virginie laissant, si on s’attardait un peu, voir un téton gracieux. A cette époque, je bandais pour un oui ou pour un non, et je vous assure que les seins de Virginie étaient loin de me laisser indifférent, je sentais ma bite gonfler dans mon pantalon.
Heureusement, la réunion s’est achevée assez tôt dans l’après-midi, au environ de 16h. J’avais une folle envie de sexe.
Je pouvais rentrer chez moi pour me taper une petite branlette en solitaire ou, alors, profiter de la fin de ma journée pour aller en ville visiter un ou deux sexe shop, peut-être faire appel à une professionnelle pour me vider les couilles.
Je débarque donc en ville vers 17h et commence à arpenter les rues sous un soleil de plomb. Il fait vraiment très chaud et lorsque j’aperçois un cinéma qui projette des films de cul sans interruption, je me dis que je serais mieux à l’intérieur.
Je ne sais pas quel est le titre du film en cours, mais je m’en fiche. L’air conditionné me fait le plus grand bien.
Je m’installe un peu au fond de la salle et commence à m’intéresser aux images.
Une belle blonde est en train de tailler une pipe à un mec monté comme un cheval. Malgré la longueur et l’épaisseur de l’engin de monsieur, elle arrive à faire une gorge profonde dégoulinante de salive. A la vue de ces images, je me mets à bander et je sens ma queue bien à l’étroit dans mon slip. Pour tenter de calmer les ardeurs de mon sexe, je me le frotte à travers le tissu de mon pantalon, mais le résultat n’est pas celui escompté, bien au contraire. De plus sur l’écran, les acteurs ont changé de position. L’Appolon est allongé sur le sol et la belle blonde vient le chevaucher face à la caméra. C’est la prise de vue que je préfère, au moins on a une vision sur l’ensemble du corps de la fille, ses seins magnifiques qui ballottent de haut en bas au rythme de la baise, sa chatte dilatée autour de la queue de son partenaire et notre jolie blonde monte et descend sur le chibre bien raide. Mais voilà que notre belle baisée se relève un peu pour que le monsieur puisse empoigner sa bite et la rediriger vers le petit trou étoilé de madame. Là, je n’en peux plus, de voir le gland rentrer lentement dans cette jolie caverne pour finir par s’y cacher complètement avant de reprendre le mouvement de va et vient. C’est le moment que je choisis pour sortir ma queue de mon pantalon et commencer à me branler sans vraiment faire attention à mon entourage.
A peine ai-je commencé ma masturbation, je sens une présence à côté de moi et j’entends une petite voix féminine me dire :
-Je peux vous aider Monsieur ?
Et bien avant que je puisse répondre, je sens sa main qui se pose sur mon sexe. J’enlève ma propre main pour lui laisser le champ libre. Et voilà que je me fais branler par une inconnue.
Est-elle belle, grande, petite, brune blonde ?
Je n’en sais rien, tout ce que je sais c’est qu’elle est très douée. Ses mouvements de va et vient sont relativement lents mais appuyés de façon à ne pas déclencher une jouissance prématurée.
Je ne veux pas rester en reste, et je lane ma main gauche vers mon inconnue, je remonte e long de sa cuisse jusqu’à son entrejambe que je découvre dépourvu de toute culotte et très mouillée. Je glisse un doigt puis deux dans la chatte de ma partenaire qui lance un gémissement de satisfaction. J’accélère le mouvement de ma main et, à ma grande surprise, c’est elle qui jouis en premier. Je suis à la limite de la jouissance et le film touche à sa fin. C’est le moment qu’elle choisit pour se pencher sur moi et gober ma queue gonflée comme jamais. Elle me lèche le gland et avale à nouveau ma bite toute entière, revient titiller mon gland pour avaler encore toute ma queue. Je n’en peux plus et je gicle tout mon foutre dans sa bouche.
Elle se redresse, on remet un peu d’ordre dans nos tenues et c’est le moment que le cinéma choisit pour se rallumer.
Pour la première fois, j’aperçois ma partenaire qui se lève et s’en va en e disant :
-Merci Monsieur, c’était très bon
Comme je vis seul et que ma petite propriété est entourée de haies me cachant à la vue des voisins, c’est dans le plus simple appareil que je m’allonge.
Cette chaleur m’incite à rêvasser et me ramène quelques trente ans en arrière, ,
A cette époque, j’étais encore en activité et ce jour-là, j’assistais à une réunion de formation au siège de la société pour laquelle je travaillais. Avec la chaleur qui régnait, mes collègues féminines avaient opté pour des tenues assez légères, là, une jupe très courte, bien au-dessus du genou, ici un décolleté profond permettant d’apercevoir plus que la naissance d’un sein.
Toute la journée, j’ai eu sous les yeux le décolleté très généreux de Virginie laissant, si on s’attardait un peu, voir un téton gracieux. A cette époque, je bandais pour un oui ou pour un non, et je vous assure que les seins de Virginie étaient loin de me laisser indifférent, je sentais ma bite gonfler dans mon pantalon.
Heureusement, la réunion s’est achevée assez tôt dans l’après-midi, au environ de 16h. J’avais une folle envie de sexe.
Je pouvais rentrer chez moi pour me taper une petite branlette en solitaire ou, alors, profiter de la fin de ma journée pour aller en ville visiter un ou deux sexe shop, peut-être faire appel à une professionnelle pour me vider les couilles.
Je débarque donc en ville vers 17h et commence à arpenter les rues sous un soleil de plomb. Il fait vraiment très chaud et lorsque j’aperçois un cinéma qui projette des films de cul sans interruption, je me dis que je serais mieux à l’intérieur.
Je ne sais pas quel est le titre du film en cours, mais je m’en fiche. L’air conditionné me fait le plus grand bien.
Je m’installe un peu au fond de la salle et commence à m’intéresser aux images.
Une belle blonde est en train de tailler une pipe à un mec monté comme un cheval. Malgré la longueur et l’épaisseur de l’engin de monsieur, elle arrive à faire une gorge profonde dégoulinante de salive. A la vue de ces images, je me mets à bander et je sens ma queue bien à l’étroit dans mon slip. Pour tenter de calmer les ardeurs de mon sexe, je me le frotte à travers le tissu de mon pantalon, mais le résultat n’est pas celui escompté, bien au contraire. De plus sur l’écran, les acteurs ont changé de position. L’Appolon est allongé sur le sol et la belle blonde vient le chevaucher face à la caméra. C’est la prise de vue que je préfère, au moins on a une vision sur l’ensemble du corps de la fille, ses seins magnifiques qui ballottent de haut en bas au rythme de la baise, sa chatte dilatée autour de la queue de son partenaire et notre jolie blonde monte et descend sur le chibre bien raide. Mais voilà que notre belle baisée se relève un peu pour que le monsieur puisse empoigner sa bite et la rediriger vers le petit trou étoilé de madame. Là, je n’en peux plus, de voir le gland rentrer lentement dans cette jolie caverne pour finir par s’y cacher complètement avant de reprendre le mouvement de va et vient. C’est le moment que je choisis pour sortir ma queue de mon pantalon et commencer à me branler sans vraiment faire attention à mon entourage.
A peine ai-je commencé ma masturbation, je sens une présence à côté de moi et j’entends une petite voix féminine me dire :
-Je peux vous aider Monsieur ?
Et bien avant que je puisse répondre, je sens sa main qui se pose sur mon sexe. J’enlève ma propre main pour lui laisser le champ libre. Et voilà que je me fais branler par une inconnue.
Est-elle belle, grande, petite, brune blonde ?
Je n’en sais rien, tout ce que je sais c’est qu’elle est très douée. Ses mouvements de va et vient sont relativement lents mais appuyés de façon à ne pas déclencher une jouissance prématurée.
Je ne veux pas rester en reste, et je lane ma main gauche vers mon inconnue, je remonte e long de sa cuisse jusqu’à son entrejambe que je découvre dépourvu de toute culotte et très mouillée. Je glisse un doigt puis deux dans la chatte de ma partenaire qui lance un gémissement de satisfaction. J’accélère le mouvement de ma main et, à ma grande surprise, c’est elle qui jouis en premier. Je suis à la limite de la jouissance et le film touche à sa fin. C’est le moment qu’elle choisit pour se pencher sur moi et gober ma queue gonflée comme jamais. Elle me lèche le gland et avale à nouveau ma bite toute entière, revient titiller mon gland pour avaler encore toute ma queue. Je n’en peux plus et je gicle tout mon foutre dans sa bouche.
Elle se redresse, on remet un peu d’ordre dans nos tenues et c’est le moment que le cinéma choisit pour se rallumer.
Pour la première fois, j’aperçois ma partenaire qui se lève et s’en va en e disant :
-Merci Monsieur, c’était très bon
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