Louise - histoire érotique

Je me permets de rappeler à mes chers lecteurs et chères lectrices, que tout ce que j’écris n’est que fiction et fantasmes.


J’ai un peu plus de 70 ans et j’habite seul une maison assez grande avec trois belles chambres. Afin de me faire un petit complément de revenus et aussi dans le but d’avoir un peu de compagnie, j’ai décidé de louer une de mes chambres à un étudiant.
Je passe donc une petite annonce sur Le Bon Coin.
L’avantage d’internet, la diffusion est rapide et, dans mon cas, une heure après avoir émis mon message, j’avais déjà trois personnes susceptibles d’être intéressées.
Je décidais de répondre aux trois pour fixer un rendez-vous. La première personne ayant répondu me proposait de passer dans une heure, J’ai accepté.
Une heure après, on sonnait à ma porte.
Et c’est là que j’ai rencontré pour la première fois Louise.
Après une visite rapide, nous sommes tombés d’accord.
Une quinzaine de jours après, Louise prend possession de sa chambre.
Voilà presque trois mois que nous cohabitons et Noël approche. Louise me prévient qu’elle sera absente deux semaines. Je lui souhaite un bon Noël en famille.
Ça me fait bizarre de me retrouver tout seul, surtout le soir quand, dans mon lit, j’entends Louise qui pousse de petits gémissements trahissant son activité. Elle se masturbe. Moi, dans mon lit, j’imagine les doigts de Louise qui parcourent son jeune corps, qui pincent ses seins excitant ses tétons. Je devine sa main descendre de sa poitrine vers son bas ventre en passant par son nombril et finissant sur son sexe sans doute complètement mouillé. L’accélération du rythme de sa respiration me fait penser qu’elle vient de pénétrer sa chatte avec un, deux doigts pendant que moi je me branle de plus en fort. Ses gémissements de plus en plus rapprochés signalent qu’elle ne va tarder à jouir et effectivement un râle plus fort, plus profond et plus rauque que tous les autres, m’indique que sa jouissance est là. C’est le moment que je choisi pour éjaculer en jets assez puissants.
Nous venons de changer d’année, et malgré la journée bien avancée, je traine toujours en pyjama. Encore une petite semaine avant le retour de ma petite locataire et de nos soirées de plaisir solitaire.
Cette pensée excite mes sens et j’ai envie de me rincer l’œil en me masturbant. Je trouve sur internet un site de films de cul dans lequel je choisis la catégorie « old & teen ». Je lance la vidéo et quitte mon pantalon.
Sur ma télé un vieux monsieur, comme moi, et en train de se faire sucer par une petite blondinette à la chatte parfaitement épilée. Je commence à avoir une belle érection et je m’astique la bite tout en scrutant mon écran où les acteurs changent de position, la demoiselle se met à quatre pattes et son partenaire lui inflige une levrette endiablée lui défonçant la chatte à grands coups de reins. La jeune femme gémit et demande :
-Vas-y, défonce-moi bien ! Oh ouuuuuuuuuuuui
A ce moment-là, le baiseur retire sa bite de cette chatte si accueillante et place son gland à l’entrée du petit trous, situé juste au-dessus de son ancienne position.
Cette action m’excite au plus au point et je suis sur le point de jouir mais là, tout à coup, un bruit inattendu me stoppe immédiatement.
Je me lève de mon canapé et me dirige la queue à l’air, vers le couloir d’où venait ce vacarme et là, je reste figé ne pouvant détacher mon regard de Louise, chemisier complètement ouvert la main gauche essayant de cacher son sein droit dénudé et sur sa main droite logée entre ses cuisses.
A cette vision, ma queue qui avait perdu un peu de sa superbe après la surprise du bruit, et en train de redresser la tête comme pour se faire admirer de Louise. Un peu gêner, je tente de calmer mon érection avec ma main mais en vain, je suis de plus en plus excité. Je demande à Louise :
-Il y a longtemps que tu est là ?
Louise hoche simplement la tête pour me répondre, oui
-Tu as tout vu ?
Même réponse, pas un mot ne sort de sa bouche.
Alors, je m’approche d’elle doucement, me penche vers elle et lui glisse presqu’à son oreille
-Et, ça t’a plus ?
Là encore, elle répond oui d’un hochement de tête
Je bande de plus en plus fort, mais je ne veux pas bousculer Louise, c’est pour ça que je lui caresse doucement la joue. Je sens ma jeune locataire frémir au moment où ma main droite rentre en contact avec son visage. Pour moi, ce frisson est un encouragement, alors je viens déposer un très léger baiser sur ses lèvres qui provoque un nouveau frisson. Encouragé par ces réactions, je colle mes lèvres sur les siennes, l’embrasse d’une manière bien plus appuyée, ma langue cherchant à se glisser entre ses lèvres qui s’ouvrent et sa bouche m’accueille.
Je profite de ce baiser pour commencer à caresser Louise. Ma main droite passe sur son épaule, se glisse sous le chemisier ouvert, vient butter contre le soutien-gorge qui ne cache qu’un sein.
Pour la première fois, Louise bouge cherchant à enlever son chemisier. Bien sûr, je réagis à ce mouvement et viens l’aider à se défaire de ses hauts me permettant de pouvoir admirer sa poitrine que je caresse, m’attardant sur les tétons durs comme des petites pierres
-Ouah ! tu as vraiment de très beaux seins ! dis-je alors que ma main commençait sa descente vers son nombril et encore plus bas où je me retrouvais, bien momentanément, bloqué par la ceinture de la jupette. Pour franchir cet obstacle, je décide de descendre le long son corps, déposant plein de baisers sur toute les parcelles de peau atteignable, m’’attardant sur les deux seins puis sur le nombril, je suis accompagné et encouragé dans ma progression par des gémissements de plus en plus puissants.
Je suis maintenant accroupi devant Louise et à l’aide de me deux mains, je retire la petite jupe qui atterrit aux pieds de Louise bientôt rejoint par la petite culotte détrempée. Aussitôt la petite chatte dévoilée, j’y glisse une main qui rencontre un sexe débordant de cyprine. Je glisse un doigt dedans.
-Oh oui ! branle-moi
Alors je mets un puis deux autres doigts dans la moule de ma petite partenaire
-Plus fort Charly ! Je jouis,
Effectivement je sens que son vagini se contracte laissant échapper une longue coulée de mouille qui dégouline sur ma main et sur ses cuisses.
Louise râle et lance
-Baise-moi ! Charly, baise-moi !
Sur ces supplications, je me relève, attrape sa main et l’entraine vers ma chambre. Aussitôt arrivés, je dis à Louise
-Allonge toi
Et, pendant que je quitte le haut de mon pyjama, elle s’exécute.
Je m’approche d’elle et lui écarte les jambes, je ne peux m’empêcher de lorgner sur ses grandes lèvres déjà très ouvertes et débordantes de cyprine.
Je me glisse entre ses jambes, et je présente ma queue dure comme une lance à l’entrée de la grotte intime de Louise en feu. Je pousse tout doucement ma verge, il est hors de question pour moi de lui faire mal, alors je progresse avec lenteur et enfin j’arrive au fond de son vagin et là les râles deviennent des hurlements et une fois de plus, Louise jouit bien que je n’aie pas encore bougé
-C’est bon ! Je jouiiiiiiiiiiiiis !
Je commence des mouvements de va et vient qui arrachent de nouveaux cris de plaisir
-Oh ouuuuuuuuuuuui ! Plus fort ! c’est trop bon
J’accélère mes mouvements et j’arrive moi aussi à la jouissance, je lui dis
-Je vais jouir !
-Moi aussi ! me répond-elle
Et dans un même élan nous mélangeons nos fluides.
Après le dernier spasme, je l’embrasse et m’écroule à côté d’elle
Après ce moment extraordinaire, je suis en peu déboussolé, j’espère qu’elle n’aura pas de regrets d’avoir offert son corps à un vieux, comme moi.
J’en suis là quand, soudain, Louise se love contre moi, vient m’embrasser et me dit à l’oreille
-C’était trop bon, merci mon Papy Charly. Je n’ai qu’une envie !! Recommencer