Attachés ou détachés, telle est la question
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Attachés ou détachés, telle est la question
Attachés ou détachés, telle est la questionDialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Et toi, ils sont comment tes cheveux pendant l’amour ?
— Heu, ça dépend de ce qu’on me fait. Si j’ai un mec devant et un autre derrière, chacun plus brutalement que l’autre, ils risquent d’être plutôt en bataille et ébouriffés.
— Je ne te parle pas de ça.
— Ou bien si je suis avec un bel amant tout doux tout tendre qui y plonge les mains et respire longuement chaque mèche, je suis encore mieux coiffée après qu’avant.
— Je ne te parle pas de ça non plus. Ils sont attachés ou détachés ?
— Détachés évidemment, en tout cas le plus possible.
— Avant je les laissais détachés aussi. Maintenant que je fais des trucs plus olé olé, je les attache.
— Voilà qui doit pas plaire aux mecs.
— C’est la condition de l’amour sauvage. Si on se retourne plusieurs fois dans différentes postures, ça finit par s’abîmer, s’accrocher… je perds des touffes, et le lendemain au boulot je ne parviens pas à avoir la bouille comme si de rien n’était.
— Je connais, l’amour sauvage ! Et je laisse quand même détaché.
— Ta chevelure est à toute épreuve. Pas la mienne.
— Il suffit qu’il te la tienne.
— Pas pendant tout le rapport, ce serait trop triste !
— Ou alors tu prépares avant, et tu vires de la chambre tout ce qui est dangereux. Moi quand j’organise une baise « champ de bataille » je mets plusieurs matelas par terre et j’enlève tout ce qu’il y a à côté. Lampe de chevet, table basse… On peut se retourner l’un sur l’autre autant qu’on veut sans aucun risque.
— C’est drôle ! Ça fait une pièce style préparation partouze alors que vous n’êtes que deux.
— Ça dépend des fois, ça dépend…— Et tes galipettes ne t’arrachent jamais le moindre cheveu ?
— T’as déjà vu les pubs pour shampoing dans lesquels une jolie blonde secoue la tête de façon à faire voltiger sa chevelure ? J’ai toujours trouvé ça hyper classe. Quand je le faisais à sept ans, ça faisait craquer la famille. À dix ans, les garçons de mon école se moquaient.
— À treize ans ils ne se moquaient plus du tout je parie.
— Au contraire, ils en étaient fascinés. Ça a beau être un cliché vieux comme le monde, enfin vieux comme l’histoire de la télé, c’est d’une efficacité terrible. D’autant qu’à force d’entraînement j’ai appris à le faire drôlement bien, et aussi à trouver les bons produits pour leur donner éclat et brillance.
— Tu n’as pas répondu à la question…— Si, justement. Pendant l’amour je fais voltiger ma chevelure selon la posture prise, pour qu’elle ne soit pas écrasée entre deux corps ou contre le matelas. Et en Andromaque je fais des free-styles qui font perdre la tête aux garçons. Avec certains je dois même me limiter, sinon ils éjaculent trop vite. Et toi, tu laisses tout le temps attaché ?
— Je commence attaché, je continue détaché. Mon chignon est fermé d’un nœud d’experte, aucun mec n’arrive à le défaire. Je suis la seule à pouvoir, ou alors le jour où je trouve celui qui sait du premier coup, avec lui j’avale. Bref ! On se fait des tas de coquineries, et au moment où il est allongé et mon corps à cheval sur lui, l’Andromaque comme tu dis, je manie la pénétration et hop ! Au moment où il s’y attend le moins et que ça devient plus intense, je défais le chignon et me secoue la tignasse.
— Ah, tu pratiques déjà !
— Qu’est-ce que tu crois ! Tu n’as pas le monopole de la chevelure secouée, et j’ai vu les mêmes pubs que toi quand j’étais petite.
— Je crois que je vais te piquer l’astuce. Ne pas les laisser détachés tout le temps, savoir plutôt les détacher et les secouer au bon moment. Pas bête ! Fallait y penser.
— De tous ceux à qui j’ai fait le coup, pas un qui ne soit tombé limite raide dingue. Même les plus terre-à-terre y sont sensibles, pour eux ça vaut toutes les pipes et toutes les sodomies du monde.
— Qui l’eut cru ? Les garçons sont plus romantiques qu’on ne le pense, en fait.
— Ou bien des cheveux dans le vent c’est plus sexuel qu’on ne le croit.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
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— Et toi, ils sont comment tes cheveux pendant l’amour ?
— Heu, ça dépend de ce qu’on me fait. Si j’ai un mec devant et un autre derrière, chacun plus brutalement que l’autre, ils risquent d’être plutôt en bataille et ébouriffés.
— Je ne te parle pas de ça.
— Ou bien si je suis avec un bel amant tout doux tout tendre qui y plonge les mains et respire longuement chaque mèche, je suis encore mieux coiffée après qu’avant.
— Je ne te parle pas de ça non plus. Ils sont attachés ou détachés ?
— Détachés évidemment, en tout cas le plus possible.
— Avant je les laissais détachés aussi. Maintenant que je fais des trucs plus olé olé, je les attache.
— Voilà qui doit pas plaire aux mecs.
— C’est la condition de l’amour sauvage. Si on se retourne plusieurs fois dans différentes postures, ça finit par s’abîmer, s’accrocher… je perds des touffes, et le lendemain au boulot je ne parviens pas à avoir la bouille comme si de rien n’était.
— Je connais, l’amour sauvage ! Et je laisse quand même détaché.
— Ta chevelure est à toute épreuve. Pas la mienne.
— Il suffit qu’il te la tienne.
— Pas pendant tout le rapport, ce serait trop triste !
— Ou alors tu prépares avant, et tu vires de la chambre tout ce qui est dangereux. Moi quand j’organise une baise « champ de bataille » je mets plusieurs matelas par terre et j’enlève tout ce qu’il y a à côté. Lampe de chevet, table basse… On peut se retourner l’un sur l’autre autant qu’on veut sans aucun risque.
— C’est drôle ! Ça fait une pièce style préparation partouze alors que vous n’êtes que deux.
— Ça dépend des fois, ça dépend…— Et tes galipettes ne t’arrachent jamais le moindre cheveu ?
— T’as déjà vu les pubs pour shampoing dans lesquels une jolie blonde secoue la tête de façon à faire voltiger sa chevelure ? J’ai toujours trouvé ça hyper classe. Quand je le faisais à sept ans, ça faisait craquer la famille. À dix ans, les garçons de mon école se moquaient.
— À treize ans ils ne se moquaient plus du tout je parie.
— Au contraire, ils en étaient fascinés. Ça a beau être un cliché vieux comme le monde, enfin vieux comme l’histoire de la télé, c’est d’une efficacité terrible. D’autant qu’à force d’entraînement j’ai appris à le faire drôlement bien, et aussi à trouver les bons produits pour leur donner éclat et brillance.
— Tu n’as pas répondu à la question…— Si, justement. Pendant l’amour je fais voltiger ma chevelure selon la posture prise, pour qu’elle ne soit pas écrasée entre deux corps ou contre le matelas. Et en Andromaque je fais des free-styles qui font perdre la tête aux garçons. Avec certains je dois même me limiter, sinon ils éjaculent trop vite. Et toi, tu laisses tout le temps attaché ?
— Je commence attaché, je continue détaché. Mon chignon est fermé d’un nœud d’experte, aucun mec n’arrive à le défaire. Je suis la seule à pouvoir, ou alors le jour où je trouve celui qui sait du premier coup, avec lui j’avale. Bref ! On se fait des tas de coquineries, et au moment où il est allongé et mon corps à cheval sur lui, l’Andromaque comme tu dis, je manie la pénétration et hop ! Au moment où il s’y attend le moins et que ça devient plus intense, je défais le chignon et me secoue la tignasse.
— Ah, tu pratiques déjà !
— Qu’est-ce que tu crois ! Tu n’as pas le monopole de la chevelure secouée, et j’ai vu les mêmes pubs que toi quand j’étais petite.
— Je crois que je vais te piquer l’astuce. Ne pas les laisser détachés tout le temps, savoir plutôt les détacher et les secouer au bon moment. Pas bête ! Fallait y penser.
— De tous ceux à qui j’ai fait le coup, pas un qui ne soit tombé limite raide dingue. Même les plus terre-à-terre y sont sensibles, pour eux ça vaut toutes les pipes et toutes les sodomies du monde.
— Qui l’eut cru ? Les garçons sont plus romantiques qu’on ne le pense, en fait.
— Ou bien des cheveux dans le vent c’est plus sexuel qu’on ne le croit.
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