Attirance au bureau
Récit érotique écrit par Queuedusexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Attirance au bureau
J’intervenais dans une société en tant qu’auditeur depuis deux jours.
Mon travail est très intéressant car les sociétés sont souvent très différentes l’une de l’autre. Je rencontre des gens (intéressants ou pas d’ailleurs) … Et je gagne très bien ma vie.
A 29 ans, je sais ce que je fais et je grimpe régulièrement dans la hiérarchie dans mon cabinet. Tout n’est pas toujours rose mais dans l’ensemble, ça va.
Cette fois-ci, j’intervenais suite à une grosse réorganisation dans la société et je devais m’assurer que les flux d’information circulaient bien entre les services. Un regard extérieur est toujours bon dans ces cas-là.
On m’a indiqué le bureau des ressources humaines et j’y suis allé pour faire quelques contrôles.
Quand je suis entré dans le bureau, Une jeune femme était dos à moi, en train de consulter un dossier posé sur le dessus d’une commode.
Une chevelure épaisse et un peu désordonnée était regroupée en chignon, dégageant sa nuque. Elle portait un pull un peu spécial qui laissait ses épaules dénudées mis à part les bretelles de son soutien-gorge. Mes yeux se sont attardés un moment sur la peau légèrement halée avant de descendre le long de son corps. Elle avait une taille fine et un peu de hanches. Sa jupe était courte et elle portait des bas noirs ornés de motifs.
Habituellement, je ne suis pas aussi « voyeur » mais sa silhouette et sa façon de s’habiller la rendait si féminine à mes yeux qu’il m’était impossible de ne pas l’admirer.
J’ai frappé à la porte du bureau.
- Moi : Bonjour !
- Elle : Bonjour !
- Moi : Je suis Alex M… Je fais un audit de l’ensemble des services de la sociétés et on m’a laissé savoir que vous attendiez ma visite. Vous êtes bien Lydia N…
- Lydia : Oui, oui ! C’est bien moi.
Un petit silence s’est installé et j’ai clairement vu ses yeux me détailler. Moi, j’avais eu l’occasion de le faire sans qu’elle me voie. Seulement je n’étais pas tiré d’affaire pour autant. Son sourire en me disant bonjour était magnifique, franc et sincère. Elle avait des fossettes adorables et des yeux en amande aux reflets dorés.
Je me suis fait violence comme rarement dans ma vie pour ne pas jeter un œil à son pull qui semblait mouler une poitrine bien généreuse.
Je sais que je ne suis pas moche et j’ai les moyens de m’acheter des costumes qui mettent en valeur ma carrure et mon physique sportif.
J’ai vu dans son regard qu’elle était un peu troublée elle aussi.
Je me suis repris et j’ai commencé mon audit avec son aide. Elle avait pris ce poste à peine un mois auparavant. Elle avait un peu d’expérience et tous les diplômes pour mais c’était quand même pas mal de responsabilités pour son âge (j’ai appris plus tard qu’elle avait 27 ans)
Mon audit s’est très bien passé. Au bout de 2 heures, j’avais bien relevé une ou deux anomalies mais vraiment rien de méchant.
Je l’ai vu se crisper un peu par moment et je l’ai presque sentie mal à l’aise par rapport à son physique, ou sa tenue, je ne savais pas trop. Pourquoi s’habiller si fémininement si c’était pour en être gênée ?
Je l’ai invité à prendre un café dans leur salle de pause et on a parlé un peu plus librement.
Elle venait d’emménager et ne connaissait visiblement pas grand monde dans la région. J’ai trouvé Lydia gentille, ouverte et timide en même temps. Tout ça combiné avec sa féminité lui donnait un charme fou à mes yeux.
Comme je connais bien la ville, elle m’a demandé si je connaissais une salle de fitness sympa où ils proposent des séances combinant step, zumba, cardio…. Je lui ai indiqué celle où je vais, bien sûr. Pas seulement pour avoir une chance de la revoir mais aussi par que le rapport qualité prix y est vraiment bon. J’ai aussi cru comprendre qu’elle aimait la musique.
Je terminais malheureusement ce jour-là mon audit et je trouvais que la possibilité de la revoir était mince. J’ai alors fait un des plus gros bobard de ma vie.
- Lydia, je devais aller voir un concert dans un pub vraiment très sympa demain soir mais le pote avec qui je devais y aller ne peux plus venir. C’est un mélange de pop et de rock. C’est sympa normalement. Est-ce que ça vous intéresserait de venir ?
- Je ne sais pas Alex…
- Je ne veux pas vous forcer la main mais je connais souvent du monde dans ce bar. Si vous ne connaissez personne ici, ce serait le moyen de rencontrer des gens… Sauf si vous n’aimez pas ce genre d’ambiance, je vous promets que c’est sympa et bon enfant.
- Je… D’accord, pourquoi pas.
On s’est échangé nos numéros pour se donner des précisions le lendemain plus facilement et Lydia avait rougi légèrement en me donnant ses coordonnées.
Le bobard, c’était que je n’avais pas du tout prévu d’y aller avec un pote mais je savais que le concert pouvait être bien. Je n’avais plus qu’à espérer que mon pote qui tient le bar pouvais me réserver une petite table.
Je l’ai appelé aussitôt et il m’a assuré qu’il n’y avait pas de problème.
Le lendemain, je suis passé prendre Lydia chez elle, toujours aussi mignonne. On est entré dans le pub et Luc m’a indiqué notre table. Il n’aurait pas pu mieux choisir. Juste ce qu’il fallait d’intimité mais avec une vue parfaite de la petite scène. Je connaissais déjà ce groupe très local et j’aimais bien leur musique. Lydia m’a paru aimer aussi.
J’ai passé une partie du début du concert à saluer des amis et à leur présenter Lydia. J’ai senti que mon plus gros problème allait être de tenir mes amis à distance d’elle car elle leur plaisait clairement.
A l’entracte, j’ai décidé de lui dire la vérité.
- Lydia, j’ai quelque chose à t’avouer…
- Tu es un serial killer et tu vas m’enlever pour me tuer et me dévorer ?
- Ahahah ! Non, en tous cas, je ne suis pas un sérial killer et je n’ai aucune intention te tuer, par contre l’autre idée…
Elle a rougi comme une tomate, ses yeux fixées à mes lèvres avant de rire.
- Eh ! c’est un peu cavalier je trouve !
- C’est toi qui m’as tendu la perche !
- Bon, qu’est-ce que tu as à m’avouer.
- Je n’avais pas prévu de venir avec un pote ce soir… J’avais fini ma mission dans ton entreprise et je cherchais juste un moyen pour faire ta connaissance.
- Oh ! D’accord. Dans ce cas-là, je vais prendre ça pour quelque chose de flatteur.
- Je sais que commencer par un mensonge n’est pas particulièrement bien vu mais je n’ai eu que cette idée sur le moment.
- … Tu aurais pu ne rien me dire et je n’aurais jamais su que tu m’avais menti… C’est déjà bien.
- Ouf !
A partir de ce moment, Lydia s’est détendue. On a parlé d’un sujet sans danger, nos goûts musicaux, pendant le reste du concert. La musique était un peu forte et il aurait été difficile de parler d’autre chose de toute façon. A la fin du concert, on a bu un verre debout au bar et elle a fait la connaissance d’une fille en particulier que je connaissais et qui allait à la salle de gym que je lui avais conseillée.
Je discutais avec 2 potes pendant ce temps-là.
A un moment, 2 mecs sont venus les draguer. Elles ont souri, sont restées polies mais rapidement, Lydia est venue à mes côtés alors que Marie rejoignait son copain.
Elle m’a murmuré dans l’oreille.
- Gentils mais un peu lourds ces deux-là !
L’un d’eux revenait vers Lydia alors j’ai passé mon bras autour de sa taille et elle s’est naturellement rapprochée de moi. Le mec est reparti d’où il venait.
- Merci ! il a compris au moins !
- Est-ce que ça veut dire que je dois enlever mon bras ?
Elle m’a regardé, comme si elle hésitait.
- Non… Tu peux le laisser. J’ai plus chaud comme ça ! Mais je bosse demain, il va falloir que j’y aille.
- Je te ramène. Moi aussi je dois bosser.
Une fois garés, elle s’est penchée vers moi et m’a fait la bise.
- Merci Alex, j’ai passé une bonne soirée.
- Moi aussi.
D’un coup, je me suis senti timide, chose rare pour moi. Seulement j’avais une boule dans le ventre car rarement dans ma vie, j’avais eu autant envie d’une réponse positive à la question que j’allais poser.
- Est-ce que… Est-ce que ça te dirait de manger avec moi un soir prochainement ? Je veux dire, dans un restaurant ou on pourra parler sans se crier dans l’oreille.
- … Oui, je veux bien… Je te laisse me recontacter et on voit quand est-ce qu’on peut tous les deux ?
- On fait comme ça !
J’avais à peine passé la porte de mon appartement que je lui envoyais un texto pour la remercier de la soirée et on a discuté comme ça par écrans interposés quelques minutes.
- Moi aussi. C’était très sympa. L’ambiance, le pub…
- En ce qui me concerne, je connaissais déjà tout ça donc pour moi, c’est ta compagnie que j’ai préférée
Elle a mis un peu de temps à répondre et je me suis dit que j’y avais peut-être été un peu fort mais finalement, j’ai vu les trois petits point clignoter, signe qu’elle me répondait
- Si on ne discutait pas par texto, tu m’aurais vu rougir un peu Alex ! Et oui, j’ai beaucoup apprécié ta compagnie aussi.
- Est-ce que tu es dans le coin ce weekend ? Si tu es dispo et que tu en as envie, j’aimerais vraiment t’emmener dîner.
- Je n’ai rien de prévu. Dis-moi quand ça t’arrange.
- Demain soir, 19h30 je passe te prendre ? Ça te va ?
- Oui, tu m’emmènes où ?
- Secret ! Mais rien de snob, tu peux porter ce que tu veux.
- D’accord.
J’ai réservé un petit restaurant pour le soir même et j’ai passé la journée au bureau à construire mes rapports en ayant continuellement une pensée pour Lydia.
Jamais une fille ne m’avait autant tapé dans l’œil. Comment était-il possible qu’elle soit célibataire ?
D’ailleurs, était-elle célibataire ? On n’avait pas abordé le sujet, même si tout me laissait penser qu’elle l’était.
Je suis passé la prendre avec un petit bouquet de fleurs. Elle m’a ouvert et m’a souri en rougissant à la vue du bouquet. Elle appréciait, c’était clair mais il y avait toujours ce petit côté timide qui m’intriguait. Comment pouvait-elle être si timide avec le physique qu’elle avait ?
On a pris un verre dans un petit bar branché de son quartier, parlant de notre journée, du fait qu’elle avait déjà appelé la salle de sport et que Marie l’avait contactée. Elle semblait vraiment contente d’avoir fait sa connaissance et j’avais vu qu’elles s’étaient bien entendues la veille soir.
Je l’ai ensuite emmenée dans un restaurant très proche. J’avais pensé que lui faire connaître les bars et restaurant de son quartier était une bonne idée.
Lydia portait un jean, un haut assez ample et une sorte de poncho, rien à voir avec sa tenue hyper féminine de l’autre jour à son travail mais ça ne m’empêchait pas de la trouver très jolie.
On a commandé et on a continué à parler et fini par poser la question que je voulais lui poser depuis le début de la soirée.
- Lydia, je voudrais te demander quelque chose mais si ça te gêne de répondre, surtout, dis-le moi d’accord ?
- Ca à l’air sérieux. D’accord
- En fait, on se connaît à peine mais quand j’ai posé les yeux sur toi il y a seulement 3 jours, j’ai tout de suite voulu te connaître. Je t’ai trouvée magnifique. Maintenant que je commence à te connaître, je vois que tu es intelligente, marrante, et que tu as énormément de charme. Tu me plais beaucoup.
Elle a rougi.
- Ta question me fait de plus en plus peur si tu te sens obligé de me faire tous ces compliments.
- En fait, ça fait partie de ma question et je t’assure que je pense tout ce que je viens de dire. Comment est-il possible que tu n’aies personne dans ta vie ?
Elle a aussitôt eu les larmes aux yeux. J’avais merdé !
- Oh merde ! Je n’aurais pas dû. Lydia, je suis désolé. Oublie ma question s’il te plaît.
- Non ! Je… Je crois que je te dois une explication. Mais avant… Même ce soir je te plais ? Habillée comme ça ?
- Comme ça ??? Ben oui, bien sûr ! Tu as des yeux magnifiques, un sourire qui me fait craquer, des cheveux dans lesquels j’ai envie de passer les doigts…
- Ok ! Bon, je vais te dire un peu pourquoi j’ai déménagé ici alors.
- Ne me dis rien que tu ne veuilles vraiment pas me dire surtout.
- J’ai changé de ville car j’avais besoin de changer d’air, complètement.
- …
- J’ai été en couple pendant 5 ans avec un mec, Lucas. Il a rompu avec moi il y a 6 mois. Avant, j’avais eu des petits amis mais rien de très sérieux. J’ai rencontré Lucas à la fac. Il s’est tout de suite intéressé à moi. Il était mignon, charmant. On est vite devenu un couple. J’avais l’impression que tout allait bien. En fait, il a joué un rôle pendant toute notre relation. Je l’ai présenté à mes parents, il m’a présenté à son père. Il m’a même demandé en mariage et comme une cruche, j’ai dit oui.
- Tu avais une raison de dire non ?
- Depuis quelques mois, je le trouvais un peu plus distant mais rien de méchant. Et puis, son père venait de décéder donc je pensais que c’était un contre coup. Un soir, il m’a invité dans un restaurant et m’a annoncé qu’il rompait avec moi. Je n’avais rien vu venir. Lucas était le fils d’une famille très aisée et venait de toucher l’héritage très conséquent laissé par son père. Je n’ai su que plus tard qu’il n’était avec moi pour ne pas froisser son père.
- Qu’est-ce que tu pouvais avoir à faire avec ça ?
- J’étais une façade pour lui… Une « jolie » petite amie, polie et bien élevée, qui ferait bien dans la famille… Lucas était bi et je n’en avais aucune idée. Mais il préférait les garçons et savait qu’il ne finirait pas sa vie avec moi. Son père était apparemment très homophobe et il ne voulait pas risquer de perdre son héritage.
- Mon dieu, tu as été utilisée comme ça ?
- Oui, et la plupart de nos amis le savaient. Et ceux qui ne le savaient pas n’ont pas osé dire quoi que ce soit à celui qui venait d’hériter d’une très grosse fortune. Ils sont restés amis avec lui.
- Je suis sans voix Lydia. Je n’imagine même pas par où tu as dû passer.
- …
- Ce que je peux t’affirmer c’est que tu ne mérites pas ça. Tu es incroyable à mes yeux. Et c’est un garçon 100% hétéro et amateur de la gente féminine qui te le dis.
- Merci. J’en ai douté longtemps.
- Je te trouve belle aujourd’hui, mais mercredi… Ta tenue, tout… Tu étais la plus belle, la plus féminine et charmante femme que j’aie rencontré.
- Je… Ma mère, la veille, m’avait demandé de faire un effort pour m’habiller, persuadée que ça allait me remonter le moral. C’était la première fois que je m’habillais comme ça depuis des mois.
- Est-ce que ça a marché ?
- Quoi ?
- Est-ce que ça t’a remonté le moral ?
Elle m’a regardé un peu plus intensément.
- Oui, ça a plutôt bien marché… Mais et toi, pourquoi es-tu célibataire ? Attends ! Tu n’as personne au moins ?
- Non, bien sûr que non je n’ai personne… En tous cas, pas officiellement pour l’instant… Je n’ai personne car moi aussi, j’ai été déçu par une relation. Je l’aimais et d’après elle, elle aussi. Ca ne l’a pas empêchée de partir à l’autre bout de la France pour « poursuivre sa carrière ». Je crois que son nouveau poste allait lui donner l’occasion de rencontrer des gens avec lesquels avoir une aventure serait une bonne chose donc j’étais un poids pour elle. Depuis, j’ai eu des rencontres occasionnelles, rien de sérieux.
- Des rencontres occasionnelles ? En tous cas, Marie m’a dit qu’elle allait passer le mot autour d’elle que tu n’es plus disponible.
Cette fois, c’est moi qui ai rougi un peu. J’avais plusieurs copines avec lesquelles je couchais de temps à autres et il y avait en effet des rencontres occasionnelles.
- Elle t’a dit ça ?
- Oui, tu es déçu ?
- Non, bien sûr que non… Mais je me demande de quoi vous avez bien pu parler d’autre alors que vous ne vous connaissez que depuis 2 jours.
- Je ne peux pas tout révéler mais j’ai appris des choses.
- Ouh là ! Alors là, j’ai vraiment peur !
Elle m’a regardé en rigolant.
- Tant que tu ne finis pas tout nu dans la piscine en sortant du resto !
- Je n’en reviens pas qu’elle t’aie raconté ça.
La tension était retombée et on a passé une soirée vraiment géniale. Je remarquais au fur et à mesure de la soirée des petits gestes que je trouvais adorables. Sa façon de se recoiffer, sa langue passant sur ses lèvres de temps en temps, la délicatesse de ses doigts fins.
Il y avait aussi par moment des regards qui suffisaient à faire gonfler mon entrejambe. J’avais envie d’elle, envie de goûter ses lèvres, de la tenir dans mes bras, nue et pantelante de plaisir.
Alex !
J’aimais sa voix grave, sa pomme d’Adam bien visible.
Les 2 premières fois que je l’avais vu, il portait un costume et même quand on est allé au pub puisqu’il est passé me prendre en sortant du travail. Son costume lui allait comme un gant et était très élégant.
Ce soir, il portait juste une chemise de coton, blanche et légère et un jean à l’aspect usé qui moulait bien ses jolies fesses.
Alex est sportif et ça se voit. Carré, grand et baraqué, plus qu’aucun des hommes ayant attiré mon attention auparavant.
J’aimais son visage souriant et ses yeux d’un bleu très clair. Ses cheveux mi-longs semblaient très doux et l’aspect barbe de 2 jours lui allait très bien.
Plus que tout… Je lui plaisais !!! Et ça faisait très longtemps que je n’avais pas ressenti ça aussi fort. Au fur et à mesure du repas, j’ai vu ses regards, sur ma bouche, mon cou ou mon décolleté sans jamais être vulgaire.
Je commençais à rêver à ses mains larges sur moi, à pouvoir sentir rouler sous mes doigts les muscles de ses bras ou ses pectoraux.
A un moment, il y a eu un court silence et on s’est aperçu qu’on regardait tous les deux les lèvres de l’autre.
J’ai alors fait une chose que je n’avais jamais faite de ma vie.
- Alex… J’habite à 2 pas…
Il m’a regardé intensément.
- Si je monte chez toi maintenant Lydia… Je vais explorer to corps entier, caresser, embrasser, lécher… Te pénétrer… Dans toutes les positions que tu m’autoriseras… Tu en as conscience ?
Il tenait ma main, en caressait déjà la paume.
- Oui… Et je veux tout ça…
On s’est levé et Alex a payé, en liquide, ne prenant pas le temps de récupérer la monnaie. Il était trop pressé. Et moi, j’étais pressée de sentir son corps contre moi. Mon string était trempé, je le sentais.
Sorti du restaurant, Alex m’a attiré à lui et on s’est embrassé pour la première fois. Il me faisait un effet de dingue, chaque baiser, chaque contact était bon, plus que bon.
Moins de 2 ou 3 minutes plus tard, on franchissait le seuil de mon appartement. Je n’ai pas perdu de temps et je l’ai attiré dans ma chambre. Il m’a freiné.
- Lydia, j’ai envie de toi comme pas possible mais je crois surtout que ça pourrait marcher entre nous. Si tu trouves que ça va trop vite, dis-le moi.
Pour seule réponse, j’ai tiré plus fort sur sa main. J’avais le sentiment que j’allais passer une nuit exceptionnelle et je n’allais pas laisser passer ça. Mon bas ventre était presque douloureux de désir et réclamait d’être soulagé.
J’aurais voulu lui arracher ses vêtements mais Alex avait une autre idée, bien meilleure finalement.
Notre effeuillage a été lent, sensuel, chacun enlevant un vêtement à l’autre à tour de rôle.
Alex était TRES bien fait. Mes lèvres étaient continuellement attirées par sa peau. J’adorais entendre ses grognements de plaisir quand mes dents frôlaient la peau douce de son cou, ses tétons.
Alex a dévoré mes seins tendus d’excitation, léché, mordillé chaque parcelle de ma poitrine et du haut de mon corps.
Ensuite, ma robe et mon string sont tombés à mes pieds. Et enfin, ses derniers vêtements ont quitté son corps. Son sexe m’a paru énorme, magnifique de puissance. Il était incroyablement raide mais doux en même temps.
On est tombé sur le lit et on a roulé, au gré de nos désirs de découvrir le corps de l’autre.
Le visage d’Alex s’est retrouvé entre mes cuisses, ses mains parcourant mon corps et mes jambes continuellement alors que sa langue et ses lèvres m’emmenaient au nirvana.
Il lâchait des mots qui m’excitaient encore plus si possible « Belle » « bonne » « douce » « parfaite »
J’ai joui une première fois avec sa langue et je crois qu’il aurait continué si je ne l’avais pas arrêté.
Il m’a laissé le mettre sur le dos et j’ai profité de son corps à mon tour. Il était si excité que son sexe ne touchait jamais son ventre, était pris de spasme par moment.
Mes doigts me paraissaient minuscules autour de son chibre. Tout en le caressant doucement, j’ai déposé des baisers sur son gland. J’ai léché, embrassé, avant de sucer son gland, incapable de prendre plus dans ma bouche.
- Ça n’a jamais été si bon Lucie !
Je l’ai regardé longtemps et j’ai souri car les mots qu’il m’avait dits allaient aussi très bien avec sa grosse queue.
- Belle ! Bonne ! Douce !
Il a rigolé un peu. J’ai saisi son sexe à 2 mains, le gland dépassant largement.
- Longue ! Grosse !
Je suis passée sur lui, alignant le gland avec ma chatte. J’ai pris appui sur ses pectoraux.
- Tu es tellement belle ! Tellement sensuelle Lucie !
Alors que j’allais m’empaler, Alex m’a retournée comme une crêpe. Sa bouche a pris possession de la mienne. Il voulait être en charge et ça m’allait complètement. J’étais soumise à ses désirs.
Son baiser a étouffé mes premiers gémissements. Il me pénétrait avec à peine plus que son gland et pourtant, j’étais déjà au paradis.
Il a glissé en moi facilement malgré sa taille, prenant son temps, m’embrassant. Mes précédentes expériences n’avaient rien à voir. Alex était plus gros, plus long, plus attentionné !
Le plaisir est arrivé par vagues. J’ai commencé à dire son nom, à l’encourager à continuer. Mon dieu il était si loin en moi. Je le sentais tellement bien. Son corps au-dessus du mien était trop bon, ferme et puissant.
Et j’ai joui !!!! Joui encore !!! Pour la première fois de ma vie, j’ai crié de plaisir, mon corps pris de tremblements.
Au sommet de ma jouissance, j’ai entendu ses râles de plaisir ; senti son corps se cabrer et expulser son sperme en moi.
Alors que je me remettais à peine de l’orgasme phénoménal que je venais de vivre, Alex m’a cajolé, caressé, embrassé partout où il pouvait et j’ai compris à quel point j’avais été aveugle.
Alex m’avait fait l’amour avant l’acte, m’avait fait l’amour pendant et me faisait encore l’amour après. Lucas ne m’avait jamais fait l’amour. Je voyais maintenant la différence.
Je me suis blottie contre lui et ses bras m’ont entouré, protecteurs, doux et forts.
Je me suis réveillée dans la nuit et j’ai réveillé Alex. Je suis passée sur lui et cette fois il m’a laissé m’empaler, le chevaucher. J’ai joui une première fois avec des mouvements de bassin lents et amples, puis une deuxième fois, en bougeant comme une folle sur cette queue parfaite pour moi, son gland tout au fond mon corps. Alex a joui peu après et on s’est à nouveau endormi.
Je me suis réveillée vers 9h30, paniquée de ne pas le sentir dans le lit à côté de moi. Est-ce que c’était juste une nuit de sexe pour lui ? Est-ce que je m’étais encore trompée ?
Je suis allée prendre une douche, mes larmes se mêlant à l’eau. Je me suis séchée et je suis sortie de la salle de bain. J’ai entendu parler dans ma cuisine.
- Non, je ne vais finalement pas venir aujourd’hui.
- …
- Je sais, je suis désolé sœurette. Je voulais venir mais j’ai un changement de programme et je ne peux pas faire autrement.
- …
- Ok, je ne veux pas faire autrement. Tu ne vas pas me lâcher…
- …
- J’ai rencontré quelqu’un et… Disons que je n’ai jamais ressenti ça avant donc je ne veux pas tout gâcher.
- …
- Merci. Et promis, je me rachèterai.
Il a raccroché et s’est tourné, pour me voir dans l’encadrement de la porte. Il y avait des viennoiseries et du pain frais sur la table. Voilà pourquoi il n’était pas dans l’appartement quand je me suis réveillée. Je me suis sentie très bête.
- Ça ne va pas ? Tu as pleuré ?
Je suis allée jusqu’à lui et je l’ai embrassé.
- Tu vas me prendre pour une folle… Tu n’étais pas là quand je me suis réveillée… Je n’ai pas pensé que tu pouvais être parti à la boulangerie et j’ai cru que pour toi, la nuit avait eu moins… D’importance que pour moi.
- Non, je t’assure que non.
- Je sais… Ce que tu as dit à ta sœur… Ça m’a fait beaucoup de bien. C’est ce que je pense.
- Tant mieux s’il n’y a plus de malentendu.
- Mais si tu dois aller voir ta sœur aujourd’hui, je comprends. Pas de problème. C’est normal.
- C’est l’anniversaire de mon neveu.
- C’est sans doute important pour lui, tu devrais y aller.
Son téléphone a vibré. Il l’a regardé et me l’a tendu. Sur l’écran, il y avait un message « Emmène-là »
- Elle a raison, j’aimerais que tu viennes.
- Ce n’est pas trop tôt ?
- Voyons voir… Je n’ai jamais ressenti ça pour une autre que toi… Ce matin, tu as pleuré en pensant que j’étais parti…
- Vu comme ça…
- Et enfin, je ne veux pas me vanter mais tu as crié mon nom plusieurs fois cette nuit.
Il avait dit ça avec un grand sourire. J’ai ouvert mon peignoir et il a maté mes seins ouvertement.
- Oui, mais j’ai bien l’impression qu’il me suffirait de faire ça pour que tu m’obéisses au doigt et à l’œil.
- Aucun doute là-dessus ma puce. Tu es splendide.
On a pris le petit déjeuner et après m’être habillée, Alex est passé chez lui pour se doucher et se changer.
On a passé une journée super agréable avec sa famille. J’avais pensé être mal à l’aise mais c’était sans compter sa sœur qui m’a accepté immédiatement.
Vers le milieu de l’après-midi, je me suis retrouvé seul avec sa mère.
- Lucie, je suis content de faire ta connaissance. Ca fait une éternité qu’il ne nous a pas présenté quelqu’un tu sais. Vous êtes ensemble depuis longtemps ?
J’ai rougi, très gênée.
- Si je vous dis que c’est depuis hier, vous allez penser quoi de moi ?
- Depuis hier ? Avec les regards que vous vous lancez ?
Elle m’a regardé en souriant.
- Je vais juste penser que vous êtes jeunes, qu’il y a de la passion dans l’air et que vous avez raison d’en profiter … Mais que si ça ne marche pas entre vous, je vais ramasser quelqu’un à la petite cuillère.
Elle avait dit ça en regardant son fils.
- Pour l’instant, si ça ne marche pas, c’est moi que vous allez ramasser à la petite cuillère.
Elle a rigolé.
Sans qu’on en ait parlé, Alex m’a ramené chez lui et a commandé des pizzas qu’on a mangé en regardant une série qu’on aimait tous les deux.
- Lydia, je peux te ramener chez toi si tu veux ?
Sa main caressait doucement ma cuisse. Le ton de sa voix était hésitant, presque timide et il ne m’avait pas habitué à ça.
- Tu veux me ramener chez moi ?
- Non, absolument pas.
J’ai fait passer mon haut par-dessus ma tête.
- Tant mieux parce que je n’ai aucune envie d’être ailleurs qu’avec toi.
J’ai bien fait comprendre à Alex que c’était moi qui menais la danse. Je l’ai déshabillé moi-même tout en m’effeuillant en même temps.
Assis dans son canapé, il me regardait faire. Je me suis mise sur lui, me faisant aussi sensuelle que possible. Chaque effleurement de mon corps sur le sien l’excitait. Son sexe était une barre de fer entre nous. J’aimais le sentir à ma merci.
Je suis descendue entre ses jambes et j’ai sucé, léché, branlé sa queue. Alex gémissait de plaisir et de désir.
Je suis passée à nouveau sur lui, les lèvres de mon sexe ont frotté sa verge et son gland. L’excitation était presque insoutenable. J’aurais pu m’empaler sur lui d’un coup tellement je coulais mais j’avais envie d’une chose depuis la première fois où j’avais posé les yeux sur lui.
Je me suis levée et je suis allée m’installer sur un fauteuil juste en face de lui. J’ai mis mes avant-bras sur le dossier, croupe tendue vers lui, reins cambrés. Alex était dans un état second, complètement hypnotisé par la vue que je lui offrais.
Il s’est levé et placé derrière moi. Sa queue tendue était calée dans la raie de mes fesses. Alex a pris son temps. Il m’a caressé le dos, a pris mes seins en coupe, pincé mes tétons. J’ai commencé à bouger mon bassin et à soupirer d’impatience. Enfin, ses grandes mains ont saisi ma taille. J’ai senti sa force, sa virilité, exactement ce que j’imaginais, ce dont j’avais besoin pour me sentir désirée, pour me sentir femme à nouveau.
J’étais à lui et il allait me prendre. Son gland s’est aligné avec ma chatte et il a poussé, lentement et implacablement jusqu’à ce que ses hanches pressent mes fesses. J’ai feulé tout du long de la pénétration avant de crié de plaisir sous la sensation de son gland logé au plus profond de moi. Il allait si loin comme ça, était si gros !
Alex a commencé à bouger… et moi à jouir ! Il maîtrisait tout dans cette position et était tout ce que je pouvais rêver qu’il serait, puissant, doué, attentif à mes réactions.
Il ne m’avait fallu que 3 jours pour être complètement et éperdument à lui.
Il s’est penché et m’a dit « je t’aime » 2, 3 , 4 fois tout en me baisant, en me faisant l’amour. Tout se mêlait.
Un énième orgasme m’a fait crier alors qu’il se vidait en moi. J’étais une poupée vidée de toute force après ça. Alex m’a portée jusqu’à son lit et je me suis blottie dans ses bras doux et forts.
Je lui ai dit je t’aime et il m’a serré encore plus contre lui avant qu’on s’endorme.
Nous ne nous sommes plus quittés depuis ce jour.
Mon travail est très intéressant car les sociétés sont souvent très différentes l’une de l’autre. Je rencontre des gens (intéressants ou pas d’ailleurs) … Et je gagne très bien ma vie.
A 29 ans, je sais ce que je fais et je grimpe régulièrement dans la hiérarchie dans mon cabinet. Tout n’est pas toujours rose mais dans l’ensemble, ça va.
Cette fois-ci, j’intervenais suite à une grosse réorganisation dans la société et je devais m’assurer que les flux d’information circulaient bien entre les services. Un regard extérieur est toujours bon dans ces cas-là.
On m’a indiqué le bureau des ressources humaines et j’y suis allé pour faire quelques contrôles.
Quand je suis entré dans le bureau, Une jeune femme était dos à moi, en train de consulter un dossier posé sur le dessus d’une commode.
Une chevelure épaisse et un peu désordonnée était regroupée en chignon, dégageant sa nuque. Elle portait un pull un peu spécial qui laissait ses épaules dénudées mis à part les bretelles de son soutien-gorge. Mes yeux se sont attardés un moment sur la peau légèrement halée avant de descendre le long de son corps. Elle avait une taille fine et un peu de hanches. Sa jupe était courte et elle portait des bas noirs ornés de motifs.
Habituellement, je ne suis pas aussi « voyeur » mais sa silhouette et sa façon de s’habiller la rendait si féminine à mes yeux qu’il m’était impossible de ne pas l’admirer.
J’ai frappé à la porte du bureau.
- Moi : Bonjour !
- Elle : Bonjour !
- Moi : Je suis Alex M… Je fais un audit de l’ensemble des services de la sociétés et on m’a laissé savoir que vous attendiez ma visite. Vous êtes bien Lydia N…
- Lydia : Oui, oui ! C’est bien moi.
Un petit silence s’est installé et j’ai clairement vu ses yeux me détailler. Moi, j’avais eu l’occasion de le faire sans qu’elle me voie. Seulement je n’étais pas tiré d’affaire pour autant. Son sourire en me disant bonjour était magnifique, franc et sincère. Elle avait des fossettes adorables et des yeux en amande aux reflets dorés.
Je me suis fait violence comme rarement dans ma vie pour ne pas jeter un œil à son pull qui semblait mouler une poitrine bien généreuse.
Je sais que je ne suis pas moche et j’ai les moyens de m’acheter des costumes qui mettent en valeur ma carrure et mon physique sportif.
J’ai vu dans son regard qu’elle était un peu troublée elle aussi.
Je me suis repris et j’ai commencé mon audit avec son aide. Elle avait pris ce poste à peine un mois auparavant. Elle avait un peu d’expérience et tous les diplômes pour mais c’était quand même pas mal de responsabilités pour son âge (j’ai appris plus tard qu’elle avait 27 ans)
Mon audit s’est très bien passé. Au bout de 2 heures, j’avais bien relevé une ou deux anomalies mais vraiment rien de méchant.
Je l’ai vu se crisper un peu par moment et je l’ai presque sentie mal à l’aise par rapport à son physique, ou sa tenue, je ne savais pas trop. Pourquoi s’habiller si fémininement si c’était pour en être gênée ?
Je l’ai invité à prendre un café dans leur salle de pause et on a parlé un peu plus librement.
Elle venait d’emménager et ne connaissait visiblement pas grand monde dans la région. J’ai trouvé Lydia gentille, ouverte et timide en même temps. Tout ça combiné avec sa féminité lui donnait un charme fou à mes yeux.
Comme je connais bien la ville, elle m’a demandé si je connaissais une salle de fitness sympa où ils proposent des séances combinant step, zumba, cardio…. Je lui ai indiqué celle où je vais, bien sûr. Pas seulement pour avoir une chance de la revoir mais aussi par que le rapport qualité prix y est vraiment bon. J’ai aussi cru comprendre qu’elle aimait la musique.
Je terminais malheureusement ce jour-là mon audit et je trouvais que la possibilité de la revoir était mince. J’ai alors fait un des plus gros bobard de ma vie.
- Lydia, je devais aller voir un concert dans un pub vraiment très sympa demain soir mais le pote avec qui je devais y aller ne peux plus venir. C’est un mélange de pop et de rock. C’est sympa normalement. Est-ce que ça vous intéresserait de venir ?
- Je ne sais pas Alex…
- Je ne veux pas vous forcer la main mais je connais souvent du monde dans ce bar. Si vous ne connaissez personne ici, ce serait le moyen de rencontrer des gens… Sauf si vous n’aimez pas ce genre d’ambiance, je vous promets que c’est sympa et bon enfant.
- Je… D’accord, pourquoi pas.
On s’est échangé nos numéros pour se donner des précisions le lendemain plus facilement et Lydia avait rougi légèrement en me donnant ses coordonnées.
Le bobard, c’était que je n’avais pas du tout prévu d’y aller avec un pote mais je savais que le concert pouvait être bien. Je n’avais plus qu’à espérer que mon pote qui tient le bar pouvais me réserver une petite table.
Je l’ai appelé aussitôt et il m’a assuré qu’il n’y avait pas de problème.
Le lendemain, je suis passé prendre Lydia chez elle, toujours aussi mignonne. On est entré dans le pub et Luc m’a indiqué notre table. Il n’aurait pas pu mieux choisir. Juste ce qu’il fallait d’intimité mais avec une vue parfaite de la petite scène. Je connaissais déjà ce groupe très local et j’aimais bien leur musique. Lydia m’a paru aimer aussi.
J’ai passé une partie du début du concert à saluer des amis et à leur présenter Lydia. J’ai senti que mon plus gros problème allait être de tenir mes amis à distance d’elle car elle leur plaisait clairement.
A l’entracte, j’ai décidé de lui dire la vérité.
- Lydia, j’ai quelque chose à t’avouer…
- Tu es un serial killer et tu vas m’enlever pour me tuer et me dévorer ?
- Ahahah ! Non, en tous cas, je ne suis pas un sérial killer et je n’ai aucune intention te tuer, par contre l’autre idée…
Elle a rougi comme une tomate, ses yeux fixées à mes lèvres avant de rire.
- Eh ! c’est un peu cavalier je trouve !
- C’est toi qui m’as tendu la perche !
- Bon, qu’est-ce que tu as à m’avouer.
- Je n’avais pas prévu de venir avec un pote ce soir… J’avais fini ma mission dans ton entreprise et je cherchais juste un moyen pour faire ta connaissance.
- Oh ! D’accord. Dans ce cas-là, je vais prendre ça pour quelque chose de flatteur.
- Je sais que commencer par un mensonge n’est pas particulièrement bien vu mais je n’ai eu que cette idée sur le moment.
- … Tu aurais pu ne rien me dire et je n’aurais jamais su que tu m’avais menti… C’est déjà bien.
- Ouf !
A partir de ce moment, Lydia s’est détendue. On a parlé d’un sujet sans danger, nos goûts musicaux, pendant le reste du concert. La musique était un peu forte et il aurait été difficile de parler d’autre chose de toute façon. A la fin du concert, on a bu un verre debout au bar et elle a fait la connaissance d’une fille en particulier que je connaissais et qui allait à la salle de gym que je lui avais conseillée.
Je discutais avec 2 potes pendant ce temps-là.
A un moment, 2 mecs sont venus les draguer. Elles ont souri, sont restées polies mais rapidement, Lydia est venue à mes côtés alors que Marie rejoignait son copain.
Elle m’a murmuré dans l’oreille.
- Gentils mais un peu lourds ces deux-là !
L’un d’eux revenait vers Lydia alors j’ai passé mon bras autour de sa taille et elle s’est naturellement rapprochée de moi. Le mec est reparti d’où il venait.
- Merci ! il a compris au moins !
- Est-ce que ça veut dire que je dois enlever mon bras ?
Elle m’a regardé, comme si elle hésitait.
- Non… Tu peux le laisser. J’ai plus chaud comme ça ! Mais je bosse demain, il va falloir que j’y aille.
- Je te ramène. Moi aussi je dois bosser.
Une fois garés, elle s’est penchée vers moi et m’a fait la bise.
- Merci Alex, j’ai passé une bonne soirée.
- Moi aussi.
D’un coup, je me suis senti timide, chose rare pour moi. Seulement j’avais une boule dans le ventre car rarement dans ma vie, j’avais eu autant envie d’une réponse positive à la question que j’allais poser.
- Est-ce que… Est-ce que ça te dirait de manger avec moi un soir prochainement ? Je veux dire, dans un restaurant ou on pourra parler sans se crier dans l’oreille.
- … Oui, je veux bien… Je te laisse me recontacter et on voit quand est-ce qu’on peut tous les deux ?
- On fait comme ça !
J’avais à peine passé la porte de mon appartement que je lui envoyais un texto pour la remercier de la soirée et on a discuté comme ça par écrans interposés quelques minutes.
- Moi aussi. C’était très sympa. L’ambiance, le pub…
- En ce qui me concerne, je connaissais déjà tout ça donc pour moi, c’est ta compagnie que j’ai préférée
Elle a mis un peu de temps à répondre et je me suis dit que j’y avais peut-être été un peu fort mais finalement, j’ai vu les trois petits point clignoter, signe qu’elle me répondait
- Si on ne discutait pas par texto, tu m’aurais vu rougir un peu Alex ! Et oui, j’ai beaucoup apprécié ta compagnie aussi.
- Est-ce que tu es dans le coin ce weekend ? Si tu es dispo et que tu en as envie, j’aimerais vraiment t’emmener dîner.
- Je n’ai rien de prévu. Dis-moi quand ça t’arrange.
- Demain soir, 19h30 je passe te prendre ? Ça te va ?
- Oui, tu m’emmènes où ?
- Secret ! Mais rien de snob, tu peux porter ce que tu veux.
- D’accord.
J’ai réservé un petit restaurant pour le soir même et j’ai passé la journée au bureau à construire mes rapports en ayant continuellement une pensée pour Lydia.
Jamais une fille ne m’avait autant tapé dans l’œil. Comment était-il possible qu’elle soit célibataire ?
D’ailleurs, était-elle célibataire ? On n’avait pas abordé le sujet, même si tout me laissait penser qu’elle l’était.
Je suis passé la prendre avec un petit bouquet de fleurs. Elle m’a ouvert et m’a souri en rougissant à la vue du bouquet. Elle appréciait, c’était clair mais il y avait toujours ce petit côté timide qui m’intriguait. Comment pouvait-elle être si timide avec le physique qu’elle avait ?
On a pris un verre dans un petit bar branché de son quartier, parlant de notre journée, du fait qu’elle avait déjà appelé la salle de sport et que Marie l’avait contactée. Elle semblait vraiment contente d’avoir fait sa connaissance et j’avais vu qu’elles s’étaient bien entendues la veille soir.
Je l’ai ensuite emmenée dans un restaurant très proche. J’avais pensé que lui faire connaître les bars et restaurant de son quartier était une bonne idée.
Lydia portait un jean, un haut assez ample et une sorte de poncho, rien à voir avec sa tenue hyper féminine de l’autre jour à son travail mais ça ne m’empêchait pas de la trouver très jolie.
On a commandé et on a continué à parler et fini par poser la question que je voulais lui poser depuis le début de la soirée.
- Lydia, je voudrais te demander quelque chose mais si ça te gêne de répondre, surtout, dis-le moi d’accord ?
- Ca à l’air sérieux. D’accord
- En fait, on se connaît à peine mais quand j’ai posé les yeux sur toi il y a seulement 3 jours, j’ai tout de suite voulu te connaître. Je t’ai trouvée magnifique. Maintenant que je commence à te connaître, je vois que tu es intelligente, marrante, et que tu as énormément de charme. Tu me plais beaucoup.
Elle a rougi.
- Ta question me fait de plus en plus peur si tu te sens obligé de me faire tous ces compliments.
- En fait, ça fait partie de ma question et je t’assure que je pense tout ce que je viens de dire. Comment est-il possible que tu n’aies personne dans ta vie ?
Elle a aussitôt eu les larmes aux yeux. J’avais merdé !
- Oh merde ! Je n’aurais pas dû. Lydia, je suis désolé. Oublie ma question s’il te plaît.
- Non ! Je… Je crois que je te dois une explication. Mais avant… Même ce soir je te plais ? Habillée comme ça ?
- Comme ça ??? Ben oui, bien sûr ! Tu as des yeux magnifiques, un sourire qui me fait craquer, des cheveux dans lesquels j’ai envie de passer les doigts…
- Ok ! Bon, je vais te dire un peu pourquoi j’ai déménagé ici alors.
- Ne me dis rien que tu ne veuilles vraiment pas me dire surtout.
- J’ai changé de ville car j’avais besoin de changer d’air, complètement.
- …
- J’ai été en couple pendant 5 ans avec un mec, Lucas. Il a rompu avec moi il y a 6 mois. Avant, j’avais eu des petits amis mais rien de très sérieux. J’ai rencontré Lucas à la fac. Il s’est tout de suite intéressé à moi. Il était mignon, charmant. On est vite devenu un couple. J’avais l’impression que tout allait bien. En fait, il a joué un rôle pendant toute notre relation. Je l’ai présenté à mes parents, il m’a présenté à son père. Il m’a même demandé en mariage et comme une cruche, j’ai dit oui.
- Tu avais une raison de dire non ?
- Depuis quelques mois, je le trouvais un peu plus distant mais rien de méchant. Et puis, son père venait de décéder donc je pensais que c’était un contre coup. Un soir, il m’a invité dans un restaurant et m’a annoncé qu’il rompait avec moi. Je n’avais rien vu venir. Lucas était le fils d’une famille très aisée et venait de toucher l’héritage très conséquent laissé par son père. Je n’ai su que plus tard qu’il n’était avec moi pour ne pas froisser son père.
- Qu’est-ce que tu pouvais avoir à faire avec ça ?
- J’étais une façade pour lui… Une « jolie » petite amie, polie et bien élevée, qui ferait bien dans la famille… Lucas était bi et je n’en avais aucune idée. Mais il préférait les garçons et savait qu’il ne finirait pas sa vie avec moi. Son père était apparemment très homophobe et il ne voulait pas risquer de perdre son héritage.
- Mon dieu, tu as été utilisée comme ça ?
- Oui, et la plupart de nos amis le savaient. Et ceux qui ne le savaient pas n’ont pas osé dire quoi que ce soit à celui qui venait d’hériter d’une très grosse fortune. Ils sont restés amis avec lui.
- Je suis sans voix Lydia. Je n’imagine même pas par où tu as dû passer.
- …
- Ce que je peux t’affirmer c’est que tu ne mérites pas ça. Tu es incroyable à mes yeux. Et c’est un garçon 100% hétéro et amateur de la gente féminine qui te le dis.
- Merci. J’en ai douté longtemps.
- Je te trouve belle aujourd’hui, mais mercredi… Ta tenue, tout… Tu étais la plus belle, la plus féminine et charmante femme que j’aie rencontré.
- Je… Ma mère, la veille, m’avait demandé de faire un effort pour m’habiller, persuadée que ça allait me remonter le moral. C’était la première fois que je m’habillais comme ça depuis des mois.
- Est-ce que ça a marché ?
- Quoi ?
- Est-ce que ça t’a remonté le moral ?
Elle m’a regardé un peu plus intensément.
- Oui, ça a plutôt bien marché… Mais et toi, pourquoi es-tu célibataire ? Attends ! Tu n’as personne au moins ?
- Non, bien sûr que non je n’ai personne… En tous cas, pas officiellement pour l’instant… Je n’ai personne car moi aussi, j’ai été déçu par une relation. Je l’aimais et d’après elle, elle aussi. Ca ne l’a pas empêchée de partir à l’autre bout de la France pour « poursuivre sa carrière ». Je crois que son nouveau poste allait lui donner l’occasion de rencontrer des gens avec lesquels avoir une aventure serait une bonne chose donc j’étais un poids pour elle. Depuis, j’ai eu des rencontres occasionnelles, rien de sérieux.
- Des rencontres occasionnelles ? En tous cas, Marie m’a dit qu’elle allait passer le mot autour d’elle que tu n’es plus disponible.
Cette fois, c’est moi qui ai rougi un peu. J’avais plusieurs copines avec lesquelles je couchais de temps à autres et il y avait en effet des rencontres occasionnelles.
- Elle t’a dit ça ?
- Oui, tu es déçu ?
- Non, bien sûr que non… Mais je me demande de quoi vous avez bien pu parler d’autre alors que vous ne vous connaissez que depuis 2 jours.
- Je ne peux pas tout révéler mais j’ai appris des choses.
- Ouh là ! Alors là, j’ai vraiment peur !
Elle m’a regardé en rigolant.
- Tant que tu ne finis pas tout nu dans la piscine en sortant du resto !
- Je n’en reviens pas qu’elle t’aie raconté ça.
La tension était retombée et on a passé une soirée vraiment géniale. Je remarquais au fur et à mesure de la soirée des petits gestes que je trouvais adorables. Sa façon de se recoiffer, sa langue passant sur ses lèvres de temps en temps, la délicatesse de ses doigts fins.
Il y avait aussi par moment des regards qui suffisaient à faire gonfler mon entrejambe. J’avais envie d’elle, envie de goûter ses lèvres, de la tenir dans mes bras, nue et pantelante de plaisir.
Alex !
J’aimais sa voix grave, sa pomme d’Adam bien visible.
Les 2 premières fois que je l’avais vu, il portait un costume et même quand on est allé au pub puisqu’il est passé me prendre en sortant du travail. Son costume lui allait comme un gant et était très élégant.
Ce soir, il portait juste une chemise de coton, blanche et légère et un jean à l’aspect usé qui moulait bien ses jolies fesses.
Alex est sportif et ça se voit. Carré, grand et baraqué, plus qu’aucun des hommes ayant attiré mon attention auparavant.
J’aimais son visage souriant et ses yeux d’un bleu très clair. Ses cheveux mi-longs semblaient très doux et l’aspect barbe de 2 jours lui allait très bien.
Plus que tout… Je lui plaisais !!! Et ça faisait très longtemps que je n’avais pas ressenti ça aussi fort. Au fur et à mesure du repas, j’ai vu ses regards, sur ma bouche, mon cou ou mon décolleté sans jamais être vulgaire.
Je commençais à rêver à ses mains larges sur moi, à pouvoir sentir rouler sous mes doigts les muscles de ses bras ou ses pectoraux.
A un moment, il y a eu un court silence et on s’est aperçu qu’on regardait tous les deux les lèvres de l’autre.
J’ai alors fait une chose que je n’avais jamais faite de ma vie.
- Alex… J’habite à 2 pas…
Il m’a regardé intensément.
- Si je monte chez toi maintenant Lydia… Je vais explorer to corps entier, caresser, embrasser, lécher… Te pénétrer… Dans toutes les positions que tu m’autoriseras… Tu en as conscience ?
Il tenait ma main, en caressait déjà la paume.
- Oui… Et je veux tout ça…
On s’est levé et Alex a payé, en liquide, ne prenant pas le temps de récupérer la monnaie. Il était trop pressé. Et moi, j’étais pressée de sentir son corps contre moi. Mon string était trempé, je le sentais.
Sorti du restaurant, Alex m’a attiré à lui et on s’est embrassé pour la première fois. Il me faisait un effet de dingue, chaque baiser, chaque contact était bon, plus que bon.
Moins de 2 ou 3 minutes plus tard, on franchissait le seuil de mon appartement. Je n’ai pas perdu de temps et je l’ai attiré dans ma chambre. Il m’a freiné.
- Lydia, j’ai envie de toi comme pas possible mais je crois surtout que ça pourrait marcher entre nous. Si tu trouves que ça va trop vite, dis-le moi.
Pour seule réponse, j’ai tiré plus fort sur sa main. J’avais le sentiment que j’allais passer une nuit exceptionnelle et je n’allais pas laisser passer ça. Mon bas ventre était presque douloureux de désir et réclamait d’être soulagé.
J’aurais voulu lui arracher ses vêtements mais Alex avait une autre idée, bien meilleure finalement.
Notre effeuillage a été lent, sensuel, chacun enlevant un vêtement à l’autre à tour de rôle.
Alex était TRES bien fait. Mes lèvres étaient continuellement attirées par sa peau. J’adorais entendre ses grognements de plaisir quand mes dents frôlaient la peau douce de son cou, ses tétons.
Alex a dévoré mes seins tendus d’excitation, léché, mordillé chaque parcelle de ma poitrine et du haut de mon corps.
Ensuite, ma robe et mon string sont tombés à mes pieds. Et enfin, ses derniers vêtements ont quitté son corps. Son sexe m’a paru énorme, magnifique de puissance. Il était incroyablement raide mais doux en même temps.
On est tombé sur le lit et on a roulé, au gré de nos désirs de découvrir le corps de l’autre.
Le visage d’Alex s’est retrouvé entre mes cuisses, ses mains parcourant mon corps et mes jambes continuellement alors que sa langue et ses lèvres m’emmenaient au nirvana.
Il lâchait des mots qui m’excitaient encore plus si possible « Belle » « bonne » « douce » « parfaite »
J’ai joui une première fois avec sa langue et je crois qu’il aurait continué si je ne l’avais pas arrêté.
Il m’a laissé le mettre sur le dos et j’ai profité de son corps à mon tour. Il était si excité que son sexe ne touchait jamais son ventre, était pris de spasme par moment.
Mes doigts me paraissaient minuscules autour de son chibre. Tout en le caressant doucement, j’ai déposé des baisers sur son gland. J’ai léché, embrassé, avant de sucer son gland, incapable de prendre plus dans ma bouche.
- Ça n’a jamais été si bon Lucie !
Je l’ai regardé longtemps et j’ai souri car les mots qu’il m’avait dits allaient aussi très bien avec sa grosse queue.
- Belle ! Bonne ! Douce !
Il a rigolé un peu. J’ai saisi son sexe à 2 mains, le gland dépassant largement.
- Longue ! Grosse !
Je suis passée sur lui, alignant le gland avec ma chatte. J’ai pris appui sur ses pectoraux.
- Tu es tellement belle ! Tellement sensuelle Lucie !
Alors que j’allais m’empaler, Alex m’a retournée comme une crêpe. Sa bouche a pris possession de la mienne. Il voulait être en charge et ça m’allait complètement. J’étais soumise à ses désirs.
Son baiser a étouffé mes premiers gémissements. Il me pénétrait avec à peine plus que son gland et pourtant, j’étais déjà au paradis.
Il a glissé en moi facilement malgré sa taille, prenant son temps, m’embrassant. Mes précédentes expériences n’avaient rien à voir. Alex était plus gros, plus long, plus attentionné !
Le plaisir est arrivé par vagues. J’ai commencé à dire son nom, à l’encourager à continuer. Mon dieu il était si loin en moi. Je le sentais tellement bien. Son corps au-dessus du mien était trop bon, ferme et puissant.
Et j’ai joui !!!! Joui encore !!! Pour la première fois de ma vie, j’ai crié de plaisir, mon corps pris de tremblements.
Au sommet de ma jouissance, j’ai entendu ses râles de plaisir ; senti son corps se cabrer et expulser son sperme en moi.
Alors que je me remettais à peine de l’orgasme phénoménal que je venais de vivre, Alex m’a cajolé, caressé, embrassé partout où il pouvait et j’ai compris à quel point j’avais été aveugle.
Alex m’avait fait l’amour avant l’acte, m’avait fait l’amour pendant et me faisait encore l’amour après. Lucas ne m’avait jamais fait l’amour. Je voyais maintenant la différence.
Je me suis blottie contre lui et ses bras m’ont entouré, protecteurs, doux et forts.
Je me suis réveillée dans la nuit et j’ai réveillé Alex. Je suis passée sur lui et cette fois il m’a laissé m’empaler, le chevaucher. J’ai joui une première fois avec des mouvements de bassin lents et amples, puis une deuxième fois, en bougeant comme une folle sur cette queue parfaite pour moi, son gland tout au fond mon corps. Alex a joui peu après et on s’est à nouveau endormi.
Je me suis réveillée vers 9h30, paniquée de ne pas le sentir dans le lit à côté de moi. Est-ce que c’était juste une nuit de sexe pour lui ? Est-ce que je m’étais encore trompée ?
Je suis allée prendre une douche, mes larmes se mêlant à l’eau. Je me suis séchée et je suis sortie de la salle de bain. J’ai entendu parler dans ma cuisine.
- Non, je ne vais finalement pas venir aujourd’hui.
- …
- Je sais, je suis désolé sœurette. Je voulais venir mais j’ai un changement de programme et je ne peux pas faire autrement.
- …
- Ok, je ne veux pas faire autrement. Tu ne vas pas me lâcher…
- …
- J’ai rencontré quelqu’un et… Disons que je n’ai jamais ressenti ça avant donc je ne veux pas tout gâcher.
- …
- Merci. Et promis, je me rachèterai.
Il a raccroché et s’est tourné, pour me voir dans l’encadrement de la porte. Il y avait des viennoiseries et du pain frais sur la table. Voilà pourquoi il n’était pas dans l’appartement quand je me suis réveillée. Je me suis sentie très bête.
- Ça ne va pas ? Tu as pleuré ?
Je suis allée jusqu’à lui et je l’ai embrassé.
- Tu vas me prendre pour une folle… Tu n’étais pas là quand je me suis réveillée… Je n’ai pas pensé que tu pouvais être parti à la boulangerie et j’ai cru que pour toi, la nuit avait eu moins… D’importance que pour moi.
- Non, je t’assure que non.
- Je sais… Ce que tu as dit à ta sœur… Ça m’a fait beaucoup de bien. C’est ce que je pense.
- Tant mieux s’il n’y a plus de malentendu.
- Mais si tu dois aller voir ta sœur aujourd’hui, je comprends. Pas de problème. C’est normal.
- C’est l’anniversaire de mon neveu.
- C’est sans doute important pour lui, tu devrais y aller.
Son téléphone a vibré. Il l’a regardé et me l’a tendu. Sur l’écran, il y avait un message « Emmène-là »
- Elle a raison, j’aimerais que tu viennes.
- Ce n’est pas trop tôt ?
- Voyons voir… Je n’ai jamais ressenti ça pour une autre que toi… Ce matin, tu as pleuré en pensant que j’étais parti…
- Vu comme ça…
- Et enfin, je ne veux pas me vanter mais tu as crié mon nom plusieurs fois cette nuit.
Il avait dit ça avec un grand sourire. J’ai ouvert mon peignoir et il a maté mes seins ouvertement.
- Oui, mais j’ai bien l’impression qu’il me suffirait de faire ça pour que tu m’obéisses au doigt et à l’œil.
- Aucun doute là-dessus ma puce. Tu es splendide.
On a pris le petit déjeuner et après m’être habillée, Alex est passé chez lui pour se doucher et se changer.
On a passé une journée super agréable avec sa famille. J’avais pensé être mal à l’aise mais c’était sans compter sa sœur qui m’a accepté immédiatement.
Vers le milieu de l’après-midi, je me suis retrouvé seul avec sa mère.
- Lucie, je suis content de faire ta connaissance. Ca fait une éternité qu’il ne nous a pas présenté quelqu’un tu sais. Vous êtes ensemble depuis longtemps ?
J’ai rougi, très gênée.
- Si je vous dis que c’est depuis hier, vous allez penser quoi de moi ?
- Depuis hier ? Avec les regards que vous vous lancez ?
Elle m’a regardé en souriant.
- Je vais juste penser que vous êtes jeunes, qu’il y a de la passion dans l’air et que vous avez raison d’en profiter … Mais que si ça ne marche pas entre vous, je vais ramasser quelqu’un à la petite cuillère.
Elle avait dit ça en regardant son fils.
- Pour l’instant, si ça ne marche pas, c’est moi que vous allez ramasser à la petite cuillère.
Elle a rigolé.
Sans qu’on en ait parlé, Alex m’a ramené chez lui et a commandé des pizzas qu’on a mangé en regardant une série qu’on aimait tous les deux.
- Lydia, je peux te ramener chez toi si tu veux ?
Sa main caressait doucement ma cuisse. Le ton de sa voix était hésitant, presque timide et il ne m’avait pas habitué à ça.
- Tu veux me ramener chez moi ?
- Non, absolument pas.
J’ai fait passer mon haut par-dessus ma tête.
- Tant mieux parce que je n’ai aucune envie d’être ailleurs qu’avec toi.
J’ai bien fait comprendre à Alex que c’était moi qui menais la danse. Je l’ai déshabillé moi-même tout en m’effeuillant en même temps.
Assis dans son canapé, il me regardait faire. Je me suis mise sur lui, me faisant aussi sensuelle que possible. Chaque effleurement de mon corps sur le sien l’excitait. Son sexe était une barre de fer entre nous. J’aimais le sentir à ma merci.
Je suis descendue entre ses jambes et j’ai sucé, léché, branlé sa queue. Alex gémissait de plaisir et de désir.
Je suis passée à nouveau sur lui, les lèvres de mon sexe ont frotté sa verge et son gland. L’excitation était presque insoutenable. J’aurais pu m’empaler sur lui d’un coup tellement je coulais mais j’avais envie d’une chose depuis la première fois où j’avais posé les yeux sur lui.
Je me suis levée et je suis allée m’installer sur un fauteuil juste en face de lui. J’ai mis mes avant-bras sur le dossier, croupe tendue vers lui, reins cambrés. Alex était dans un état second, complètement hypnotisé par la vue que je lui offrais.
Il s’est levé et placé derrière moi. Sa queue tendue était calée dans la raie de mes fesses. Alex a pris son temps. Il m’a caressé le dos, a pris mes seins en coupe, pincé mes tétons. J’ai commencé à bouger mon bassin et à soupirer d’impatience. Enfin, ses grandes mains ont saisi ma taille. J’ai senti sa force, sa virilité, exactement ce que j’imaginais, ce dont j’avais besoin pour me sentir désirée, pour me sentir femme à nouveau.
J’étais à lui et il allait me prendre. Son gland s’est aligné avec ma chatte et il a poussé, lentement et implacablement jusqu’à ce que ses hanches pressent mes fesses. J’ai feulé tout du long de la pénétration avant de crié de plaisir sous la sensation de son gland logé au plus profond de moi. Il allait si loin comme ça, était si gros !
Alex a commencé à bouger… et moi à jouir ! Il maîtrisait tout dans cette position et était tout ce que je pouvais rêver qu’il serait, puissant, doué, attentif à mes réactions.
Il ne m’avait fallu que 3 jours pour être complètement et éperdument à lui.
Il s’est penché et m’a dit « je t’aime » 2, 3 , 4 fois tout en me baisant, en me faisant l’amour. Tout se mêlait.
Un énième orgasme m’a fait crier alors qu’il se vidait en moi. J’étais une poupée vidée de toute force après ça. Alex m’a portée jusqu’à son lit et je me suis blottie dans ses bras doux et forts.
Je lui ai dit je t’aime et il m’a serré encore plus contre lui avant qu’on s’endorme.
Nous ne nous sommes plus quittés depuis ce jour.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bravo
Magnifique histoire, quu fait rêver...
Bien.
Sur la forme, il y a quelques bricoles à rectifier. Mais on s’en fout. Moi ce qui m’intéresse c’est le fond.
Je ne lis quasiment plus rien sur ce site, mais votre histoire, je l’ai lu jusqu’à la fin.
C’est très bien développé, la montée de l’envie puis des sentiments.
Quand les deux vont de paire on appelle ça l’osmose. Vous l’avez parfaitement décrit.
Bravo.
Sur la forme, il y a quelques bricoles à rectifier. Mais on s’en fout. Moi ce qui m’intéresse c’est le fond.
Je ne lis quasiment plus rien sur ce site, mais votre histoire, je l’ai lu jusqu’à la fin.
C’est très bien développé, la montée de l’envie puis des sentiments.
Quand les deux vont de paire on appelle ça l’osmose. Vous l’avez parfaitement décrit.
Bravo.
Une très belle et tendre histoire d'amour.
Je n'ai pas le talent pour faire beau et simple.
Je suis envieux.
Je n'ai pas le talent pour faire beau et simple.
Je suis envieux.