Pas vraiment un coup d'un soir finalement

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
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Récit libertin : Pas vraiment un coup d'un soir finalement Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Pas vraiment un coup d'un soir finalement
Enfin divorcée.



3 ans de bonheur, 2 ans de galère et enfin libre.



La faute à qui, pas facile à savoir. On s’est sans doute mariés trop jeunes. Quand on s’est rencontrés, à 19 ans, il était drôle, très débrouillard pour trouver les bons plans et s’occuper agréablement.



Pour ne rien gâcher, il était très mignon, très doué avec sa langue aussi…



On s’amusait beaucoup et on avait de nombreux amis. Mais une fois bien installée professionnellement, j’ai eu envie de freiner un peu les sorties, de voir à plus long terme, investir dans l’immobilier si possible…



Marc n’avait pas cette vision des choses et clairement, n’allait jamais l’avoir. Je ne pense pas qu’il soit complètement négatif de toujours vouloir s’amuser quand on veut profiter de la vie de cette façon mais il faut le bon conjoint pour ça et je n’étais pas celle qui fallait à Marc.



J’ai vraiment essayé de rester avec Marc mais au final, on n’était plus heureux. Il m’a demandé de tenter le coup encore, m’a dit qu’il m’aimait. Je le croyais et il était adorable mais son côté fêtard reprenait le dessus très rapidement, dilapidant ses économies, ou le temps qu’on aurait dû passer ensemble.



La fin de notre mariage a été la plus dure. Marc m’en voulait terriblement d’initier notre rupture. Il voyait ça comme un échec. Moi aussi mais je voyais surtout notre rupture comme le moyen de pouvoir être à nouveau heureuse.



Heureusement, Marc a fini par me comprendre et être d’accord avec moi et ça a vraiment beaucoup simplifié notre séparation.



A 25 ans, je me retrouvais donc à nouveau célibataire. Ce n’était pas vraiment le plan que j’avais en tête en me mettant en couple à 19 ans. Tout était à refaire. J’étais juste heureuse de ne pas encore avoir eu d’enfant avec Marc.



J’ai commencé à faire des choses me correspondant plus que les excursions endiablées dans lesquelles m’entraînait Marc, des petits weekends à la mer, les expositions d’art…



Mais je sortais aussi avec des copines, des collègues. Je me faisais draguer à nouveau et pour la première fois depuis 6 ans, je répondais aux flirts. Au bout de 2 mois, un peu éméchée, j’ai fini dans le lit d’un mec. Il était gentil et attentionné… Jusqu’à ce que je sois dans son lit. Un bourrin qui n’avait en tête que son propre plaisir. Il s’est effondré pour ronfler à peine après avoir éjaculé dans le préservatif et j’en ai profité pour m’éclipser.



Marc n’était peut-être pas exceptionnel au lit, mais il savait me donner du plaisir, très souvent avant de prendre le sien.



Ça s’est reproduit 2 autres fois. L’un était doué et m’a fait bien jouir mais s’est révélé être un connard arrogant au réveil. Quant à l’autre, il avait beau être gentil et beau comme un dieu, il avait été vraiment nul. Même sa langue n’avait rien pu me faire d’agréable alors que d’après mon expérience, c’est quand même compliqué de ne rien ressentir avec cette caresse.



1 an est passé comme ça, entre flirts, moments de célibat et même un ou deux mois à fréquenter le même mec. Je me suis jurée de ne plus chercher, de juste aller avec le courant, sans chercher à nouer une relation, pendant un an au minimum.



Et puis, finalement, c’est arrivé. 300km de chez moi, une sortie en boîte avec les copines, un regard…



Je lui donnais 2 ou 3 ans de plus que moi. Il était d’un charme et d’une virilité à couper le souffle au premier regard. Plus aucune autre fille ne l’intéressait non plus. On a dansé un peu mais ce n’était pas la peine de tourner autour du pot.



J’ai fait signe à mes amies que je quittais la boîte et elles m’ont juste souri.



Sitôt passé la porte de sa chambre d’hôtel, j’ai été emportée dans un tourbillon, mélange de douceur, de passion et de désir impossible à contrôler. Son corps appelait mes caresses, ma bouche. Je l’ai gouté, dévoré. Tout chez lui était puissant et viril, depuis son regard pénétrant jusqu’au gland énorme, la veine sur le côté de son sexe épais et long, ses pectoraux couverts de quelques poils…



Ses doigts et sa langue m’ont d’abord offert un bel orgasme, me permettant de me libérer du désir de jouir omniprésent.



Même lorsqu’il a déroulé le préservatif sur son sexe, je l’ai trouvé d’une sensualité incroyable.



Nos regards étaient intenses alors qu’il me pénétrait. Je le sentais progresser lentement. Conscient de sa taille conséquente, il était doux et patient. Quelques petits mouvements en moi et je feulais de plaisir. Il était partout en moi. J’étais tellement trempée qu’il a atteint rapidement le fond de ma chatte. Son corps était sur moi, bloquait tout mouvement de ma part. J’ai senti son sexe comme aucun autre avant lui. Il a commencé à me baiser plus vite, sa queue sortant presque pour replonger, créant des sensations incroyables.



Il adorait mon corps, me disait que j’étais parfaite, une déesse. Les compliments sur mes formes et ma qualité d’amante pleuvaient mais chaque fois qu’il m’appelait sa déesse, c’était comme si mon corps entier vibrait.



J’ai joui, joui encore. Il a rempli une première fois le préservatif. Ma bouche l’a aidé à rester bien dur pour moi et il m’a prise en levrette. Mon cul claquait contre son ventre. C’était bestial, érotique à en mourir pour moi. Je ne suis ni grande ni petite, fine sans être maigre et ses mains agrippaient parfaitement mes hanches. J’ai hurlé mon plaisir une 4ème, puis une cinquième fois alors qu’il se vidait, collé à mon corps qui disparaissait presque sous la masse de son corps de mâle.



Il m’a gardé longtemps contre lui alors que mon corps était encore traversé de spasmes de plaisir. Ses baisers étaient doux, sa langue délicieuse. Mes doigts s’enfonçaient dans son épaisse chevelure. J’étais dans un autre monde alors qu’on se cajolait l’un l’autre.



Je n’ai pas réfléchi quand je suis passée sur lui et que son sexe à nouveau dur comme du béton est entré au plus profond de moi. Je l’ai chevauché comme si je voulais jouir pour la première fois ce soir, prise d’une fièvre de désir et de plaisir. Ses doigts pétrissaient mes seins, parcouraient mes cuisses, mes hanches et ma taille. J’ai crié mon plaisir lors d’un énième orgasme et je me suis effondrée, incapable de bouger.



Quand j’ai rouvert les yeux, il faisait toujours nuit mais une faible lueur me disait qu’il allait bientôt faire jour. J’aurais voulu rester, apprendre à le connaître… Mais je m’étais jurée de ne pas m’engager dans quelque relation que ce soit.



Alors je suis partie comme une voleuse mais sur une impulsion, juste avant de partir, j’ai écrit sur un post-it « Merci pour la meilleure nuit de ma vie. C’était exceptionnel mais je suis à un moment de ma vie où je ne suis pas prête à plus. Ta déesse. »



Pendant des semaines, cette nuit a hanté mes pensées… Avant de hanter mon corps.



Mes seins ont d’abord été trop sensibles, presque douloureux, puis j’ai eu une légère sensation de nausée un matin. C’est tremblant de tout mon corps que les deux fameuses barres sont apparues sur le premier, puis le deuxième test de grossesse.



Je prenais tout le temps la pilule et on avait utilisé des préservatifs… Avant que le plaisir me fasse perdre la tête et que je m’empale sur mon amant sans lui laisser la moindre chance d’enfiler une protection. Il n’y était pour rien du tout et je ne me sentais ni coupable ni désolée.



En rigolant, je me suis dit que ça ne pouvait pas être autrement. A la moindre chance que je lui ai laissée, le sperme d’un homme aussi viril ne pouvait que me mettre enceinte. Quand on ne connaît qu’un prénom, « Matt », surement un diminutif en plus, aucune chance de le retrouver.



Je n’ai même pas réfléchi. Le bébé dans mon ventre avait été fait dans un tel moment de passion que j’allais le garder quoi qu’il arrive. Ma vie professionnelle allait sans doute en souffrir un peu mais j’avais les moyens de m’en occuper sans réel problème.



6 mois plus tard, je chérissais toujours le souvenir de ma folle nuit avec un parfait inconnu. Mon ventre s’arrondissait bien maintenant et j’étais fière de le montrer. Je ne vais pas dire que je n’appréhendais pas un peu la venue du bébé mais j’étais vraiment heureuse.



Bon, petit bémol, seul mon vibromasseur me donnait du plaisir depuis mon bel inconnu mais je n’avais pas vraiment envie qu’un autre homme me touche alors que je portais son enfant… Plus tard, peut-être…



J’étais en terrasse avec ma meilleure amie, en train de discuter au soleil avec un thé glacé à la main. Elle avait quelque chose à m’annoncer mais voulait garder le suspens. Je la questionnais depuis 10 minutes pour lui tirer les vers du nez. Finalement, elle m’a regardé dans les yeux.



Léa, depuis 6 mois, tu n’es sortie avec personne. Je sais que tu penses encore à ton bel inconnu, que tu ne penses qu’à lui d’ailleurs, comme à chaque fois que tu touches ton ventre et que tes yeux sont perdus dans le vague.
Oui, j’avoue. Je pense que j’ai fait une erreur monumentale en quittant sa chambre ce matin-là.
Je crois aussi.
On avait une connexion… Je ne sais pas… En tous cas, même outre le plaisir pris, je me sentais bien… Et je crois que lui aussi… Mais bon, on n’y peut rien, c’est comme ça. Je vais avoir mon bébé et c’est déjà bien.
Mais aujourd’hui, si ça se reproduisait, tu quitterais sa chambre le matin ?
Non. Peut-être que ça n’aurait pas marché entre nous mais ne serait-ce que pour qu’il connaisse son enfant, je ne partirais pas
Et si je te disais que tu pourrais peut-être encore essayer de voir si ça pourrait marcher entre vous ?
Et comment je fais ça ?


Elle s’est levée et m’a souri mais était gênée.



Surtout ne m’en veut pas…


J’ai senti une présence derrière moi alors que je voyais Marie partir.



Bonjour ma déesse !


La seule et unique personne à m’avoir appelée « ma déesse », c’était Matt. Il n’a même pas eu le temps de contourner ma chaise que j’avais les yeux embués de larmes.



Il s’est assis à côté de moi. C’était la première fois que je le voyais dans la lumière du jour et il était aussi beau que dans mon souvenir, carré, souriant. Extrêmement souriant.



Moi : Que… Comment c’est possible ?
Matt : Quand je me suis réveillé et que j’ai compris que tu étais partie, j’ai été déçu, comme rarement dans ma vie. Déçu de ne pas pouvoir apprendre à te connaître, déçu de ne pas t’avoir suffisamment comblée pour te donner envie de rester.
Moi : Non ! Tu…
Matt : Après, j’ai vu ton mot. J’ai été… Moins déçu… Mais je m’en voulais à mort de ne pas m’être réveillé avant toi. J’aurais voulu essayer de te convaincre d’accepter de me revoir.
Moi : Je n’aurais pas dû partir comme ça. Je suis désolée.
Matt : Et puis, au moment de quitter ma chambre, j’ai vu un petit morceau de carton rose pâle, juste au coin du lit…
Moi : Une de mes cartes de visite !!!
Matt : Oui.
Moi : Mais… Pourquoi avoir autant attendu pour me contacter ?
Matt : Dans ton mot, tu disais que tu n’étais pas prête. Alors j’ai décidé d’attendre et de te suivre de loin sur les réseaux sociaux. Ce qui n’est pas très facile car tu ne postes pas grand-chose. Il y a 2 mois, quand j’ai vu une photo de toi avec ta main sur ton ventre, je suis entré en contact avec Marie car j’ai compris qu’elle était proche de toi. Ne lui en veux pas. Je lui ai demandé de ne rien te dire.
Moi : ….
Matt : J’ai beaucoup parlé avec elle et elle m’a dit que tu regrettais de ne pas pourvoir me contacter… Pour le bébé. Apparemment, tu lui aurais dit qu’il n’y avait aucune chance que je ne sois pas le père.
Moi : Oui, je n’ai couché avec personne les deux mois avant toi… Et avec personne depuis toi.
Matt : Léa, je ne sais pas comment tu vois l’avenir pour toi et le bébé mais je veux que tu saches que je serais là pour lui… Et pour toi !
Moi : Mais… J’ai tellement de questions. Si tu as parlé avec Marie, tu sais des choses sur moi mais je ne sais rien sur toi. Tu vis où ? Tu fais quoi ?
Matt : Depuis qu’on a eu notre nuit et que j’attendais de pouvoir te revoir, je me demandais comment faire pour te revoir malgré la distance. Quand j’ai appris pour ta grossesse, ça a tout changé. J’avais une seule idée en tête, me rapprocher de vous. J’ai eu beaucoup plus de temps que toi pour y penser. Je suis avocat d’affaire et j’étais juste salarié dans un grand cabinet. J’ai cherché ici et avec mon expérience, j’ai trouvé très vite.
Moi : Oh ! Donc tu… viens vivre ici ?
Matt : Je commence mon nouveau poste dans un mois. Je vais déménager cette semaine.
Moi : Mais… Tu dois avoir des amis là-bas, de la famille peut-être ?
Matt : Des amis, oui ! Ma famille, je m’en rapproche un peu en venant ici. Mais, si ça ne te dérange pas, je veux faire partie de la vie de notre bébé… Et voir ce qui pourrait se passer entre nous. C’est bien plus important pour moi d’être proche de lui et de toi que de mes amis.


Les larmes me sont montées aux yeux. Cette grossesse fout mes hormones en vrac. Je pleure quand je suis heureuse ou quand quelque chose me contrarie. J’ai même pleuré parce qu’un enfant était tombé devant moi et s’était écorché le genou la semaine dernière…



Ce qu’il venait de me dire me touchait énormément.



Matt : Apprenons à nous connaître…
Moi : Bien sûr… J’en ai très envie… Et je vais avoir le temps prochainement vu que je compte faire la tête à Marie pendant un moment.


Ça l’a fait rire même s’il m’a dit à nouveau que je ne devais pas lui en vouloir.



Moi : Matt, je veux que tu saches un chose… J’allais avoir ce bébé sans toi mais je savais qu’il avait été conçu lors de la plus fabuleuse nuit de ma vie. Je n’avais pas bu et j’ai vécu cette nuit à 100%... Je suis contente que tu sois là… Mais si tu veux bien, on va prendre notre temps.
Matt : Je pense la même chose de notre nuit et je suis entièrement d’accord pour prendre notre temps… Mais tu es encore plus belle que dans mes souvenirs.
Moi : Même avec ce gros ventre ?
Matt : Encore plus comme ça ! D’accord ?
Moi : D’accord !


On a continué à parler pendant des heures. Entre temps, il m’avait emmené dîner. Quand il m’a déposé chez moi, j’étais exténuée émotionnellement mais aussi complètement sous son charme. Pas le même charme que celui qui m’avait attiré en boîte. Celui-là avait été physique, charnel… Sexuel. Là, j’étais conquise par une gentillesse qui me paraissait naturelle, par ses sourires francs, ses yeux rieurs, son humour.



Son regard sur mon ventre me faisait sourire. A un moment, j’ai pris sa main et je l’ai posée sur mon ventre.



Moi : Seules Marie et ma mère ont eu le droit de toucher mon ventre. Ce bébé est à moi… Et à toi maintenant.


Cette fois, ce sont ses yeux qui se sont embués et timidement, il a déposé un rapide baiser sur mes lèvres avant d’embrasser mon ventre. On était encore dans sa voiture, à l’abri des regards.



Pendant les 2 semaines suivantes, on s’est revu dès qu’on le pouvait. J’aimais tout ce que je découvrais de lui. Je n’ai pas pu faire la tête à Marie plus de 2 jours et la première fois qu’on s’est vues, elle sautait de joie de savoir qu’on continuait à faire connaissance.



Après une soirée chez Marie où j’ai présenté Matt à mes amis comme mon petit ami et le père du bébé, on est rentré chez moi. Ses lèvres étaient magiques, réchauffaient tout mon corps. C’est moi qui ai commencé à le déshabiller.



J’avais juste laissé une lampe d’ambiance. Il s’est laissé faire, s’est prêté à mes caresses. Son sexe était splendide. Dans la lumière tamisée, il était au moins aussi impressionnant que dans mon souvenir. J’ai passé un long moment à l’apprivoiser de mes doigts, de ma langue et de mes lèvres. Son corps entier se cabrait parfois.



J’aimais mon corps de femme enceinte mais comment allait-il le voir lui ?



Je n’aurais même pas dû m’en inquiéter. Son regard sur mon corps m’a rassuré autant que son sexe bandé à l’extrême. Une fois nue, il s’est occupé de moi. Chaque geste était doux, mesuré, et c’était ce dont j’avais besoin. Attentif à chacune de mes réactions, il est entré en moi et m’a fait l’amour. J’ai joui doucement la première fois, puis, j’ai crié de plaisir alors qu’il se vidait en moi et que je pleurais une nouvelle fois.



Matt m’a demandé de vivre avec lui le lendemain matin, après m’avoir laissé le chevaucher jusqu’à l’orgasme.



Je n’arrive pas à m’imaginer la vie sans lui aujourd’hui et se dire qu’un simple petit morceau de carton rose est à l’origine de sa présence à mes côtés, et que mon bébé a gagné un père…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très très belle histoire, très originale, parfaitement écrite, dont on ne se doute pas de la chute...
A toi lectrice ou lecteur de la découvrir!

Et un grand bravo à l'auteur pour ton imagination et ta plume!



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