Randonnée à oublier?

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Randonnée à oublier? Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Randonnée à oublier?
Je ne sais pas comment dire cela autrement. Je me suis laissée emporter.

Mon mari, Vincent, et moi Morgane, on s’est marié il y a 2 ans et on a prévu d’essayer d’avoir un enfant dans les 2 ans qui viennent.

Mais avant ça, on a décidé de se faire un beau voyage en pouvant choisir comme on voulait la période, les tarifs… On a donc opté pour un long périple au Canada. Pas donné mais on voulait un certain confort avec en prime des paysages et des sorties extraordinaires.

On est très sportifs l’un comme l’autre. La première partie du voyage était très active et on s’est vraiment éclaté. On rentrait le soir éreintés au point qu’on n’avait même plus la force de faire l’amour. On a fait des excursions, du camping, vu des paysages splendides et une nature quasi sauvage.

Vers la fin de la 2ème semaine, on devait faire Montréal pendant 2 jours et ensuite Québec pendant 6 jours et s’imprégner de l’ambiance de cette partie francophone du Canada. Une chose est venue tout chambouler. Peu après être arrivé à Montréal, Vincent a commencé à se plaindre de fatigue et de douleurs, notamment aux jambes. Mais une fois à Québec, c’était bien pire. Il a eu de la fièvre, était faible.

On a consulté et ils ont trouvé une trace de piqure d’insecte au niveau d’un mollet. C’était rouge tout autour, avec même une vilaine couleur un peu noirâtre au centre. Ils ont suspecté une piqure d’une quelconque araignée qui s’était infectée.

Le problème, c’est que l’infection était déjà bien avancée. Vincent avait en fait mal depuis une semaine mais pensait que ça allait passer alors il n’avait rien dit au début. Je lui en voulais un peu car pris au début et avec le bon antibiotique, il n’aurait certainement pas mal aujourd’hui.

Le traitement était un antibiotique puissant et du repos. La circulation du sang dans ses jambes était mauvaise et les médecins nous ont interdit de reprendre l‘avion dans ces conditions. On était donc coincés là pour une semaine entière.

L’antibiotique a directement rendu Vincent un peu comateux au début. Le premier jour, je suis restée avec lui quasiment en permanence. C’était très flippant de voir Vincent aussi mal car d’habitude, il est très gai, très actif.

Le 2ème jour, j’ai pu aller me balader un peu en ville. Il faisait un temps splendide et j’ai adoré le vieux Québec. Ce soir-là, Vincent était un peu mieux mais toujours faible et marcher était compliqué et douloureux.

En organisant notre voyage, on avait prévu une excursion à partir de Québec. On prenait un moyen de transport pour nous emmener un peu à l’écart de Québec et ensuite, on avait des sentiers de randonnée nous permettant d’aller de place en place.

Vincent m’a encouragé à y aller sans lui. Au début je n’ai pas voulu mais sa dernière analyse était meilleure. L’antibiotique faisait effet et il allait de mieux en mieux mais pas assez pour bouger de trop. Il culpabilisait de me faire louper l’excursion qui promettait d’être vraiment géniale.

Il a vraiment insisté et je dois avouer que c’était une sortie que j’attendais avec impatience alors j’ai cédé.

J’ai donc tout préparé et je suis allée au point de rendez-vous.

J’étais arrivée la première donc j’ai parlé à l’organisateur de l’absence de Vincent. Il m’a rassuré disant que c’était toujours bon enfant, que le soir, il y avait des animations dans les lieux où l’on dormait, que je ne m’ennuierai pas.

Il m’a dit qu’il nous retrouverait chaque soir aux différents points de rendez-vous. On partait à 6. On était 4 à avoir le même âge dont un couple et il y avait un couple un peu plus âgé.

Les 2 couples sont arrivés rapidement et on a fait connaissance, puis, le dernier participant est arrivé.

On est parti très rapidement sur le sentier. Au début, on a marché ensemble mais au bout de quelques temps, 2 groupes se sont formés. Le rythme de marche n’était pas le même pour tout le monde. Les 2 couples sont restés ensemble alors que moi et Marty marchions plus rapidement.

Nous nous sommes mis à parler énormément malgré notre rythme de marche. Je lui ai tout raconté de notre voyage, de la malheureuse mésaventure de Vincent et il m’a raconté sa vie à New York. Il avait un père américain et une mère française donc il parlait très bien français même s’il avait un léger accent.

Marty était vraiment très sympa. Il travaillait pour un grand cabinet d’avocats et avait eu besoin de faire une pause nature. Le fait que l’excursion soit composée de gens parlant français était un plus car il voulait pratiquer.

Il faisait vraiment une très bonne température pour marcher, autour de 25 degrés. Je voyais que Marty tentait de ne pas me détailler du regard trop ouvertement mais sans vouloir me jeter de fleurs, je sais à quoi je ressemble.

Je mesure un tout petit peu moins d’1,70m, sportive. J’étais en short assez court, moulant mes fesses et montrant mes jambes musclées juste ce qu’il faut et bronzées. Je portais également un teeshirt près du corps et avec le sac à dos sur les épaules, mes seins volumineux ressortait un peu outrageusement. Mes cheveux châtains blonds étaient retenus en une queue de cheval passée par le trou de la casquette.

Vincent me dit toujours que c’est l’une des tenues qu’il trouve les plus sexy sur moi et Marty semblait être d’accord. Je me suis surprise moi aussi à lancer des coups d’œil sur Marty. Le moins que je puisse dire, c’est que physiquement, il était aux antipodes de Vincent.

Vincent fait à peine quelques cm de plus que moi, très carré et musclé.

Marty devait faire pas loin d’1,90m, fin mais musclé. Sous son teeshirt, je devinais très bien la forme de ses pectoraux et les muscles étaient aussi bien visibles sur ses bras et ses jambes. Autre chose aussi, c’était un métisse à la chevelure épaisse et noire comme la nuit alors que Vincent est blond.

Je dois avouer que je trouvais Marty très séduisant, bien élevé, intelligent. J’étais aussi persuadée qu’il était fondamentalement gentil.

On a attendu les autres pour pique-niquer au bord d’une splendide rivière à l’eau limpide. On est repartis peu après mais cette fois, on est resté en groupe entier, en profitant pour faire tous connaissance. On était partis pour 3 jours ensemble quand même.

On est finalement arrivés au point de rendez-vous du soir. C’était une sorte de campement au bord d’un lac. Il y avait une quinzaine de chalets d’aspect très rustiques en rondins de bois. A mi-chemin entre les chalets et le lac, il y avait une sorte de grande cabane pour passer la soirée, manger et s’abriter tout en ayant une vue splendide.

On a retrouvé l’organisateur et je dois avouer que j’ai été un peu mal à l’aise quand il a annoncé les noms des occupants des chalets. Les 2 couples devaient occuper un des chalets et moi et Marty un autre. Il a demandé si ça convenait à tout le monde et les 2 couples ont tout de suite dit oui, visiblement contents car ils s’entendaient vraiment très bien. Je ne me voyais pas dire que j’étais peut-être un peu hésitante à me retrouver seule avec un homme qui n’était pas mon mari dans un logement isolé. Surtout que Marty était charmant et n’avait eu aucun acte déplacé.

Chaque chalet avait 2 grandes chambres. Et tout le confort avec électricité, eau chaude, douche et Wi-Fi. J’ai profité que Marty soit sous la douche pour téléphoner à Vincent. Il allait de mieux en mieux et espérait être assez en forme pour sortir visiter un peu Québec le lendemain.

Vincent me racontait quelque chose et j’aurais dû lui répondre mais j’étais distraite par la vision du corps de Marty dans la salle de bain. Par un jeu de reflets, je voyais son corps dans l’embrasure de la porte de la salle de bain alors qu’il se séchait. Je ne voyais qu’à partir de la taille mais ça a été suffisant pour savoir qu’il était vraiment très bien fait.

Je voyais clairement ses abdos, ses pectoraux bien dessinés, l’absence totale de graisse également. Il s’est tourné un peu et j’ai bien vu son dos en V, une taille assez fine et les muscles de son dos rouler sous la peau à chacun de ses mouvements. Je dois avouer l’avoir trouvé diablement sexy.

Mon moment d’égarement n’avait pas dû durer longtemps mais j’ai été ramené à la réalité par Vincent qui disait mon prénom plusieurs fois. Je me suis excusé, trouvant l’excuse d’un écureuil qui grimpait à un arbre qui m’avait déconcentré. On a parlé encore un moment et j’ai raccroché.

J’ai pris la suite sous la douche, me rendant compte que j’étais plutôt excitée. Ces 2 dernières semaines, Vincent et moi n’avions fait l’amour qu’une fois. Ça ne nous était pas arrivé depuis que j’avais eu une grippe carabinée 3 ans auparavant alors combiné avec un Marty très séduisant et la vision de son torse parfait à mes yeux, ma libido grimpait en flèche. Je ne me suis pas caressée mais je n’en n’étais pas loin.

La soirée a été super agréable, très joyeuse aussi car tous les autres chalets étaient occupés et l’ambiance était très bonne. A un moment, un homme d’un autre groupe de randonneurs m’a ouvertement draguée. Il avait peut-être un peu trop bu mais n’était pas trop désagréable. Marty a dû voir à mon regard que j’avais besoin d’aide et il est venu en mettant un bras autour de ma taille. L’homme a supposé que Marty et moi étions ensemble et n’a pas insisté.

Je dois avouer que son bras autour de ma taille me réchauffait car la température commençait à baisser sérieusement. Marty allait retirer son bras mais j’ai fait un geste qui a sans doute scellé mon destin. J’ai retenu sa main sur ma taille. Marty m’a regardé en souriant et a raffermi sa prise en me collant un peu plus à lui. Tout le monde commençait à repartir vers ses quartiers alors on est parti aussi. Marty ne m’a pas lâché et pour être honnête, je n’en avais pas envie.

On est entré dans le chalet et le contraste entre la chaleur intérieure et la fraicheur extérieur m’a fait avoir un gros frisson. Ce que Marty a fait ensuite, je suis persuadé qu’il l’a fait par gentillesse, sans arrière-pensée mais il s’est collé à moi dans mon dos en m’enlaçant dans ses grands bras et en frottant doucement pour me réchauffer.

Le problème, c’est que je me suis sentie très bien dans ses bras et son souffle chaud au niveau de mon oreille m’a fait prendre conscience à quel point ce qu’on faisait, était intime. J’ai involontairement laissé échapper un petit gémissement, entre gêne et bien-être.

Marty a stoppé l’espace d’un instant ses mouvements sur mes bras avant de les reprendre plus doucement. Il a déposé un baiser dans mon cou, juste sous mon oreille. Je n’aurais pas dû mais j’ai adoré et j’ai aussitôt senti des picotements de désir exploser dans mon ventre alors que je penchais un peu plus la tête, comme pour lui laisser un accès plus libre à mon cou.

Marty n’a pas fait beaucoup plus que ça, très respectueux, déposant juste deux ou trois baisers supplémentaires dans mon cou et m’arrachant 2 nouveaux soupirs de bien-être.

J’ai clairement senti une partie de l’anatomie de Marty durcir contre le bas de mon dos, rajoutant à mon excitation. Vincent et moi étions ensemble depuis 7 ans et sentir l’envie d’un autre homme pour moi était très grisant.

Toujours en guettant mes réactions, Marty a écarté les pans de mon gilet pour le faire glisser le long de mes bras, me laissant dans mon petit haut à brettelles. Je ne doutais pas, alors qu’il déposait des baisers sur mes épaules, qu’il pouvait admirer à loisir la vue plongeante que lui offrait mon décolleté.

Ses mains sont passées sur ma taille et mes côtes par-dessus le tissu et se sont arrêtées juste sous mes seins.

- Morgane, tu dois me dire maintenant d’arrêter si tu ne veux pas aller plus loin. J’ai envie de toi comme un fou depuis ce matin… Et je sais que je ne te laisse pas indifférente… J’ai vu tes regards… Je t’ai vue me regarder dans la salle de bain… Mais je respecterai ta décision.

Jamais je n’avais trompé Vincent. Je n’avais même jamais couché avec un garçon rencontré seulement quelques heures plus tôt mais cette fois, je ressentais un désir comme rarement j’en avais connu. J’ai tourné la tête vers lui, passé un bras par-dessus mon épaule pour saisir sa nuque et l’attirer pour un baiser. Je venais de me rendre compte que ma décision était prise dès le moment où il avait posé sa main sur ma taille une heure plus tôt.

- J’ai envie de toi aussi Marty. Très envie.

Ses lèvres étaient douces et chaudes et il m’a tourné vers lui, me prenant dans ses bras, collant mes seins aux tétons déjà durs contre son torse. Je devais lever la tête pour l’embrasser et ça me faisait drôle.

J’ai passé mes mains sous son teeshirt pour apprécier la fermeté de son corps, la douceur de sa peau totalement glabre. Je sentais son sexe dur contre mon ventre cette fois.

Il m’a emmené vers sa chambre et a clairement attendu que je fasse le premier geste. J’ai enlevé son teeshirt. Waouh ! Quel mec !

Mais je n’ai pas eu beaucoup le temps de l’admirer. Il était déjà en train de me déshabiller, cette fois, plus aucune retenue. Mes vêtements se sont retrouvés à mes pieds rapidement et il m’a allongée sur le lit. On s’est à nouveau embrassé un long moment. Il était très doué. Ses lèvres ont quitté les miennes pour découvrir mon corps. Il s’est attardé longtemps sur mes seins, gros, ronds et fermes. Mon désir de me faire prendre grimpait encore et mes tétons déjà sensibles en temps normal, semblaient reliés directement à mon sexe. Je me sentais couler.

Il est descendu au niveau de mon ventre et j’ai compris qu’il voulait me donner du plaisir avec sa bouche mais je le voulais en moi. J’ai saisi son visage dans mes mains.

- Non Marty ! Viens en moi ! J’ai trop envie. Je suis prête.

Je l’ai entendu déboucler sa ceinture et enlever son pantalon et il est remonté contre mon corps.

- Je n’ai pas de préservatif Morgane
- Moi non plus ! Je … Je prends la pilule.
- Je suis clean.
- Alors viens !

On s’embrassait et son gland était à l’entrée de ma chatte. Je bougeais mon bassin pour trouver l’angle idéal mais je le sentais vraiment gros contre les lèvres de mon sexe. Finalement, entre la pression douce qu’il mettait et mes mouvements de bassin, je me suis sentie m’ouvrir pour lui.

Son gland est entré alors que j’ouvrais la bouche comme pour crier mais aucun son n’est sorti.

J’avais stoppé tout mouvement cette fois et c’est Marty qui a commencé à bouger. Il était bien plus gros que Vincent, c’était maintenant une évidence pour moi. Chacun de ses mouvements le menait plus loin en moi avec toujours la sensation d’épaisseur de son membre qui frottait mes parois sensibles.

Rapidement, son gland a été au niveau de mon point G. Mon orgasme venait déjà. Bon sang ! Il allait me faire jouir en si peu de temps ?

J’ai commencé à gémir, à souffler. J’avais les doigts enfoncés dans ses cheveux crépus. Mes cuisses serraient sa taille, mes talons appuyaient derrière ses cuisses. Tout était trop bon !

Puis, l’orgasme m’a submergé. Mon bassin bougeait tout seul, indépendant de ma volonté, cherchant toujours le contact de son gland à un endroit précis. J’ai poussé un ou deux cris, ne lui laissant aucun doute sur le plaisir que je prenais.

Mon orgasme a baissé en intensité et nos corps se sont calmés. J’ai vu dans ses yeux qu’il avait été à 2 doigts de jouir lui aussi. Il s’est repositionné un peu et cette fois, son sexe est entré bien plus profondément dans ma chatte trempée.

Un mouvement de piston, un autre. J’ai commencé à crier de plaisir, de surprise aussi. Jamais un homme n’avait été si loin en moi, si gros. Je ressentais très fort chaque mouvement. Marty a commencé à montrer des signes de jouissance. Il était très excité, très concentré sur mon plaisir, je le voyais. Un nouvel orgasme a explosé en moi, déclenchant le sien. Il est sorti de moi et a joui sur mon ventre, une ou deux giclées atterrissant même entre mes seins.

Marty s’est ensuite écroulé à côté de moi, complètement essoufflé. Je n’étais pas mieux. J’étais encore en train de me remettre de ces 2 fabuleux orgasmes quand je me suis sentie gênée d’être nue avec un autre homme que mon mari. Un sentiment de culpabilité très fort s’est emparé de moi. J’ai tout fait pour bloquer les larmes qui me venaient.

- Je vais prendre une douche et me coucher Marty.
- Euh d’accord.

Il a senti ma gêne et ne s’est pas levé. Sous la douche, j’étais en proie à des sentiments contradictoires. Je ressentais encore l’état post-orgasme de mon corps et en même temps, je pleurais d’avoir trahi Vincent. J’avais été incapable de résister à la tentation. Je me suis couchée et tout tournait dans ma tête.

Il y a eu une attraction physique immédiate, c’est sûr, mais c’est surtout une accumulation de petites choses. L’absence de Vincent et de relation sexuelle récente a joué un grand rôle évidemment mais aussi la gentillesse de Marty et sa galanterie. Ensuite, il y avait aussi la beauté du paysage et le fait d’être isolés en pleine nature qui rendait l’excursion assez romantique en soi.

Enfin, il y a eu la soirée, quelques contacts, quelques regards, l’intérieur très romantique du chalet avec beaucoup de bois apparent.

Toute cette journée était pour moi une perfection si ce n’est l’absence Vincent.

Un autre point augmentait considérablement mon sentiment de culpabilité. Je ne sais pas si c’est l’interdit de la situation, ou même la réalisation d’un fantasme secret, mais l’intensité de mon plaisir a été très forte.

Je prends beaucoup de plaisir avec Vincent mais là, tout a été plus fort. J’ai aimé le contraste entre nos couleurs de peau, son corps fin mais musclé. Je n’ai même pas vu son sexe dans la pénombre de la chambre car Marty avait tout de suite rabattu le drap sur nous mais j’avais senti sans aucune erreur possible qu’il était bien plus large et long que le sexe de Vincent.

Le tout cumulé, m’avait procuré des orgasmes chacun plus fort qu’aucun autre que j’avais connu avant.

J’ai finalement réussi à m’endormir et au réveil, Marty n’était plus là. Il avait juste laissé un mot disant qu’il était parti au bord du lac. J’étais soulagée de pouvoir appeler Vincent en toute intimité.

- Coucou chéri, comment tu vas ce matin ?
- Mieux, mais c’est toujours limite pour marcher. Je fatigue vite mais je progresse. Et toi, comment tu vas ? Tu fais des connaissances ?
- Oui, les autres dans le groupe sont sympas. Et puis hier soir, plusieurs groupes nous ont rejoint ici donc l’ambiance était vraiment bonne.
- Dans ton groupe, ils sont d’où les autres ?
- Il y a un couple de notre âge qui vient de Toulouse, et un autre, un peu plus âgé qui vient de Marseille.
- Et vous êtes 6, l’autre personne vient d’où ?
- C’est un mec de deux ans de plus que nous je dirais. Il est newyorkais mais sa mère est française donc il parle bien français.
- Il est sympa ?

J’ai hésité un peu sur ce que je devais répondre mais j’ai décidé d’être le plus proche possible de la réalité.

- Oui, très sympa. Il s’appelle Marty. En plus, les 2 autres couples sont devenus amis très vite car ils ont un rythme de marche moins rapide que nous 2. Du coup, on a passé toute la journée d’hier à discuter. Au moins, je ne m’ennuie pas. J’ai d’ailleurs un gros sentiment de culpabilité depuis hier soir de te savoir tout seul là-bas alors que moi, je suis en bonne compagnie.
- Non, non, il ne faut pas. Profite à fond ! Ne te préoccupe surtout pas de moi et quand tu reviens dans 2 jours, tout sera comme avant. Et merci pour les photos des paysages et des chalets. Sur la photo du groupe que tu m’as envoyé, est-ce que c’est Marty, le grand mec à droite de la photo ?
- Euh, je n’ai plus la photo en tête mais c’est possible. C’est le métisse en tous cas.
- Ok. Il a une bonne tête.

J’ai entendu quelqu’un frapper à sa porte.

- Je vais te laisser ma puce, l’infirmier est là pour la piqure.
- Ok, repose-toi bien.
- Merci. Et vraiment, ne penses pas à moi. Tu me manques, c’est une évidence mais je veux que tu profites, d’accord ?
- D’accord. Promis.
- Je t’aime.
- Moi aussi Vincent.

Ça m’a fait du bien de lui parler. Je me suis préparée pour la journée. J’ai un peu évité Marty, je dois avouer en début de matinée. Plusieurs fois, nos regards se sont croisés et il a compris qu’il devait me laisser du temps.

Vers le milieu de la matinée, il avait pris un peu d’avance et j’ai décidé de le rejoindre. Quand il m’a vu arriver à sa hauteur, il m’a souri d’un sourire gêné.

- Marty, je tiens à m’excuser pour ce matin mais…
- Non, c’est moi qui tiens à m’excuser. Je n’aurais pas dû agir comme ça hier soir, ni te pousser à coucher avec moi. Tu…
- Arrête Marty ! Tu ne m’as PAS poussé à coucher avec toi. J’en avais envie et tu le sais très bien. Je ne vais pas jouer les victimes car je n’en suis pas une. C’est juste que…
- Que ?
- Je suis mariée. J’aime mon mari et ça fait 7 ans qu’on est ensemble. C’est la première fois que je couche avec un autre homme depuis qu’on est ensemble. Pour être honnête, c’est même la première fois que j’ai eu « envie » d’un autre homme depuis qu’on est ensemble.
- Oh !
- Oui, Oh ! Et je me sens très coupable. Vincent est bloqué à Québec, encore pas très bien physiquement. Et moi, je couche avec un autre homme.
- Je peux te donner mon avis ?
- Vas-y.
- Je vois que tu aimes ton mari, sinon, tu n’aurais pas ce sentiment de culpabilité. Et chaque fois que tu parles de lui, c’est clair que tu l’aimes donc ce qu’on a fait ensemble ne change pas cet aspect de votre relation.
- Mais…
- Laisse-moi finir s’il te plaît.
- Hier, je suppose que comme pour moi, tu as trouvé la situation particulière… J’étais seul avec une inconnue à l’accent exotique, loin de tout ce que je connais dans un cadre magnifique. L’attraction physique a été immédiate et très forte. Et pour aggraver les choses, on nous a mis à dormir au même endroit.
- ….
- Morgane, je ne suis pas un apollon, mais je sais que je plais aux filles en général. Je crois juste qu’hier, compte tenu de tout le contexte, tu ne dois vraiment pas t’en vouloir de ce qui s’est passé.
- … Merci Marty, c’est gentil ce que tu dis… Mais je m’en veux quand même.
- D’accord… En tous cas, je veux que tu saches que j’ai passé un moment exceptionnel avec toi hier soir. Tu es une femme magnifique et très sensuelle. J’ai pris beaucoup de plaisir. Merci.

Je n’ai pas su quoi répondre car je ne me voyais pas du tout lui dire que moi aussi j’avais pris beaucoup de plaisir, et qu’au réveil, ma première pensée avait été « Mmmmh ! C’était bon hier soir » avant de réaliser que c’était un autre homme que Vincent qui m’avait fait ressentir ça.

J’ai donc changé de sujet et on a parlé du programme de la journée, de ce qu’on faisait dans la vie. On s’est raconté des anecdotes. On a beaucoup rigolé. On a aussi ralenti notre rythme l’après-midi pour être avec les autres. C’était très sympa. Mais j’étais quand même continuellement tendue.

J’ai surpris des regards de Marty vers moi. Je ne pouvais pas le blâmer. On avait quand même couché ensemble hier soir. De mon côté, j’avais parfois des bouffées de chaleur quand je repensais à son corps contre le mien. Tout au long de la journée, je sentais un désir sourd. J’avais beau tout faire pour le refouler, il était là.

Puis, parmi les textos échangés avec Vincent, il avait rencontré des jeunes en mangeant le midi et s’amusait beaucoup avec eux. Ça m’a un peu libéré car le savoir seul me gênait. Vers 17h00, il m’a envoyé un message disant qu’il allait manger avec eux le soir, qu’on s’appellerait demain. Il m’a à nouveau dit de profiter et qu’il avait hâte de me revoir mais qu’en attendant, je devais vivre à fond tout ce que pouvait m’apporter l’excursion.

J’ai décidé de me détendre, de laisser les choses suivre leur cours. Le fait était là, c’était indéniable, j’avais envie de Marty. C’est horrible à dire, mais Vincent n’était pas là et m’avait dit de profiter. Je n’allais certainement pas me jeter dans les bras de Marty mais si la situation s’y prêtait, je sentais que j’aurais du mal à refuser une nuit de passion avec lui.

Malgré mes réserves de la veille, j’avais pris un plaisir très fort et dans un coin de ma tête, je me demandais à quel niveau pourrait monter ma jouissance si jamais j’arrivais à me lâcher un peu.

En cours d’après-midi, Marty a changé de teeshirt car il avait transpiré un peu. J’ai aimé voir dans la lumière du jour son torse. J’ai tout de suite imaginé mes doigts courant sur sa peau sombre.

A un autre moment, je me suis étirée, mon petit haut remontant au-dessus de mon nombril et ma poitrine étant totalement exposée. Ce n’était absolument pas voulu de ma part mais Marty n’en a pas perdu une miette. J’ai vu clairement sa pomme d’Adam monter et descendre avec difficulté alors que ses yeux étaient rivés sur moi.

La tension sexuelle est montée comme ça tout du long de l’après-midi. Je me suis surprise à un moment à regarder son entrejambe, impressionnée par la bosse que je voyais. J’ai levé les yeux et Marty me regardait avec un sourire gentil. J’ai rougi de honte.

Le soir, rebelote, même configuration de chalets mais beaucoup plus modernes à l’intérieur par contre. Quand l’organisateur nous a demandé comment on se répartissait les chambres, les 2 couples ont tout de suite dit comme la nuit précédente. J’ai su que j’allais coucher avec Marty quand nos regards se sont croisés.

J’ai senti des picotements dans mon bas ventre. Marty semblait chercher à deviner quel était mon état d’esprit. J’ai tout fait pour ne rien laisser paraître.

J’ai pris une douche pendant que les hommes du groupe aidaient à préparer un barbecue avec l’organisateur.

La soirée a été beaucoup plus calme que la veille mais agréable aussi. Marty s’est excusé auprès de nous à la fin du repas en disant qu’il avait besoin d’une bonne douche et qu’il resterait lire ensuite. Le coup d’œil discret qu’il m’a lancé était une invitation. J’ai eu bien du mal à patienter une toute petite quinzaine de minutes avant de me lever en prétextant vouloir me reposer également.

Juste avant de passer la porte du chalet, j’avais une boule au ventre. Marty allait-il encore être debout ? Une part de moi espérait qu’il soit déjà couché. J’allais aller dans ma chambre et retrouver Vincent le lendemain. Mais une autre partie qu’il m’attende. Une nuit de passion avec un quasi inconnu m’attendait peut-être…

Je suis entrée et Marty n’était pas dans la pièce commune. J’allais entrer dans ma chambre quand j’ai vu Marty. Il était dans sa chambre, debout près de son lit en train de ranger des vêtements.

Il était nu en dehors de la serviette qui était nouée autour de sa taille et cette fois, il faisait encore bien jour. Je suis restée un petit moment à admirer son corps que je trouvais superbe. Il s’est aperçu que je le regardais et m’a souri presque timidement. J’ai trouvé ça craquant et mon destin était scellé juste comme ça. Il m’a juste tendu la main.

Je suis allée vers lui et le temps que j’arrive à lui, mon gilet n’était plus sur mes épaules. Je me suis arrêtée à 50cm de lui. Il ne bougeait pas, comme pour me laisser prendre totalement l’initiative.

J’ai commencé à caresser son corps doucement en passant ma main sur ses épaules, ses pectoraux, puis, sur ses abdos, une véritable tablette de chocolat.

Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai fait passer mon teeshirt par-dessus ma tête. J’ai vu son désir dans son regard dès qu’il s’est posé sur mes gros seins encore engoncés dans mon soutien-gorge.

J’ai fini de me déshabiller, les yeux rivés sur la bosse qui commençait à déformer dramatiquement sa serviette.

Marty me laissait totalement maître de la situation. Je l’ai fait asseoir au bord du lit et je me suis mise à genoux entre ses jambes. En s’asseyant, la serviette s’était dénouée. J’ai juste eu à en écarter les pans pour découvrir enfin l’engin qui m’avait fait tant de bien la veille.

Je me suis mordillé les lèvres pour ne pas pousser une exclamation ! Comment avait-il pu entrer en moi ?

Il était long, droit comme un i, avec un gland magnifiquement formé. Mon visage était très proche et le frein, juste sous son gland était à hauteur de mes yeux.

J’ai pris son manche dans ma main. Mes doigts n’en faisaient pas tout à fait le tour. Le diamètre, hors norme selon mon expérience, m’impressionnait, me fascinait. Je n’ai pas résisté. J’ai mouillé ma langue au maximum avec ma salive et j’ai léché le dessous de son sexe depuis la moitié jusqu’au sommet du gland.

Arrivé au frein, Marty a poussé un petit râle de plaisir.

Son sexe était splendide, puissant. J’ai levé les yeux vers Marty quand il m’a caressé la joue.

- Suces-moi ma belle ! Tu en meurs d’envie.

Il avait raison. J’ai léché encore un moment son sexe comme une glace avant d’ouvrir grand la bouche pour gober le gland du mieux que je pouvais. Je me suis appliquée, excitée comme rarement rien qu’à l’idée de donner du plaisir à un si bel homme, à un si beau sexe.

Les gémissements de plaisir de Marty étaient une vraie récompense pour moi mais il m’a stoppé. Cette fois il m’a soulevé pour m’allonger sur le lit.

- Hier tu ne m’as pas laisser faire mais ce soir, tu n’as pas le choix.

Il m’a d’abord embrassé, caressé tout le corps, avant de placer sa tête entre mes cuisses et de lécher mon sexe à son tour. Un énorme frisson de plaisir a parcouru mon corps. De longues minutes, il m’a léché, ses mains me caressaient, ses doigts entraient en moi doucement, trouvaient mon point G.

J’ai joui une première fois sous sa langue. Il s’est redressé, le gland juste à l’entrée de ma chatte, gros, impressionnant. Cette fois, son sourire était plus franc. Il était sûr de lui.

- Vas doucement ! Tu es… Gros.
- Je suis entré hier… Mais je vais prendre mon temps… Je veux t’entendre jouir encore… Sur ma queue !

J’ai saisi son braquemart entre mes jambes pour le guider en moi. Ce soir, j’aimais tout, sa douceur et sa sensualité autant que la virilité de son membre, l’expertise de ses caresses. Il savait clairement ce qu’il faisait.

Son gland est entré petit à petit mais au lieu de se stopper une fois entré comme hier, il s’est enfoncé plus loin, doucement mais fermement, m’arrachant un vrai cri de surprise et de plaisir pur.

Il est sorti et entré comme ça 2 ou 3 fois, allant déjà plus loin en moi que Vincent n’avait jamais été. Chaque fois qu’il allait loin en moi, je poussais un cri, incapable de m’en empêcher.

- Oh mon dieu ! Marty ! OOUUUHHH ! OUIIII !
- C’est bon ici ?
- OUI ! J’aime !

Il allait lentement mais je le sentais tellement bien. Et il m’embrassait en même temps, me prenait totalement dans ses grands bras. Sa voix grave, son accent américain ajoutait à mon excitation.

- OOOOHHH !
- Tu aimes ma queue ?
- OUI !
- You like my cock, don’t you !
- OOOOHHHH !
- Dis-moi !
- Oui, j’aime ta queue ! AAANNHHH ! Ta… OUUH ! LA ! ENCORE !

Je n’en pouvais plus, j’ai joui sous lui, sous les assauts de sa grosse queue en moi, comme rarement j’avais joui. Je me remettais à peine de mon orgasme quand il m’a retournée sur le lit. Il a saisi mes hanches et a relevé mes fesses. De temps en temps, il parlait en anglais, d’autres fois en français, trahissant son excitation.

- Oh ! Tu es si belle comme ça ! Tu veux encore ma queue Morgane ? You will scream baby !
- Oui ! Prends-moi ! Comme ça ! Mon dieu !

Il a fait claquer son sexe dans la raie de mes fesses. A chaque fois que sa lourde queue s’abattait, c’était un bruit sourd.

Je l’ai regardé par-dessus mon épaule au moment où il alignait son gland contre ma chatte. Son gland est entré et il a saisi mes hanches pour me ramener vers lui en même temps qu’il avançait son bassin.

Il a encore repoussé les limites de ma chatte, l’étirant au maximum. J’ai poussé un grand cri entre gêne et jouissance. Il est resté tout au fond, son pubis contre mes fesses. J’en avais le souffle coupé tellement c’était fort, puissant.

J’étais offerte à ses assauts et il ne s’en est pas privé. Bientôt, ses coups de bassin claquaient contre mes fesses au même rythme que mes cris et gémissements de plaisir remplissaient la pièce.

Puis, un orgasme énorme s’est emparé de moi, sans cesse renouvelé dès qu’il baissait en intensité. Je me faisais baiser par un beau black monté comme un âne et j’adorais ça. Je ne savais même pas qu’il était possible de ressentir ça ! Pourtant, je savais que Vincent était un bon amant par rapport aux quelques mecs que j’avais connu avant.

Marty s’est vidé tout au fond de moi dans un grand cri de jouissance et on s’est affalé sur le lit, en sueur tous les deux. Je sais qu’il s’est levé et qu’il s’est douché mais je n’en avais pas la force. Il m’a pris dans ses bras quand il s’est recouché et je me suis endormie très vite. Plus tard dans la nuit, on a remis ça. Je l’ai chevauché comme une tigresse avant qu’il ne me prenne à nouveau en levrette et qu’il finisse dans ma bouche.

A 7h00 du matin, je me suis réveillée et je suis allée dans ma chambre.

Vous allez me prendre pour une garce mais j’ai évité Marty toute cette dernière journée. Je ne connaissais pas son nom de famille et on n’avait jamais échangé nos numéros. Je ne voulais aucun contact futur avec lui. Un prénom, c’était tout ce que je connaissais de lui et c’était parfait comme ça. Il serait juste une parenthèse dans ma vie, entre erreur de parcours, culpabilité et plaisir bestial.

J’étais sûre d’une chose, j’aimais Vincent et je voulais passer le reste de ma vie avec lui. Malgré le plaisir pris avec cet amant, j’allais emporter ce souvenir dans ma tombe.

En me réveillant ce matin-là, je me suis mis à la place de Vincent et je savais qu’il serait dévasté d’appendre ce que j’ai fait car rien qu’à l’idée d’une autre femme touchant mon mari, j’en étais malade.

C’est très hypocrite et je n’en suis pas fière mais je vais essayer de me souvenir de cette faiblesse que j‘ai eue pour ne jamais renouveler cette erreur, aussi incroyablement satisfaisante qu’elle ait été pour moi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très érotique, merci pour votre confession ou histoire très bien écrite, ne lisez pas les commentaires désagréables

Histoire Erotique
Un mariage basé sur la tromperie n’annonce jamais rien de bon mais il ne faut jamais oublier que tout ce paye un jour dans ce bas monde, la loi du karma. En résumé le leitmotiv de cette femme c est pas vu pas pris ! Triste car comment peut elle oser dire qu’elle aime son mari et coucher avec un inconnu! Dans ce cas soit elle demande a son mari de devenir libertin soit elle divorce pour vivre sa vie et sauter d’amant en amant

Histoire Libertine
Sauf que pilule ou pas il y a 1 risque de grossesse et malgré tout de MST.
Je ne comprendrais jamais comment 1 mec ou 1 femme a envi de niquer avec 1 amant ou 1 maîtresse.
Je ne parle pas de longue maladie mais dans ce cas c’est prendre les gens pour des cons.

Elle mériterait de finir attachée sur 1 chaise entrain de voir son mari baiser 1 autre fille ça lui ferait les pieds. 😈
Son mari elle l’aura bien pris pour 1 con , en plus elle a embrasse l’amant sur la bouche et a passé la nuit avec lui. 🤦‍♀️😡



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