AU BORD DU LAC 8/8
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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AU BORD DU LAC 8/8
La fin des vacances approchait pour moi. Elles avaient été riche en émois divers. J’avais fait de belles rencontres, et expérimenté des sensations nouvelles, mais je restais un peu sur ma faim. La relation avec Océane n’avait, finalement, pas évolué et je désespérais de la convaincre que j’étais fait pour elle, ce qui me semblait évident. J’avais retrouvé un amour de jeunesse, une ancienne monitrice de camp ado qui m’avait fait fantasmer, en secret quand j’étais beaucoup plus jeune. Nous nous voyions fréquentions quotidiennement, mais il restait un pas à franchir et je n’arrivais pas à le faire.
Certes, Nous échangions beaucoup, et elle se confiait volontiers à moi. J’avais compris que cette femme indépendante ne pouvait se satisfaire d’un mari peu présent, qui la trompait surement, mais j’étais intimidé par sa présence. Elle avait dix ans de plus que moi, et ne devait voir que l’adolescent boutonneux qui soupirait en la regardant à la dérobée. J’avais peur de la décevoir par mon inexpérience. Peut-être voulait elle autre chose qu’une relation éphémère avec celui qui restait pour elle un jeune freluquet. Ce fut elle qui prit les choses en main, ce que j’attendais surement.
Un midi, nous déjeunions chez le « grizzly », profitant du beau temps sur la terrasse . Déborah, était , comme à son habitude, très élégante. Elle portait une robe imprimée, au décolleté plongeant, fermée par une ceinture blanche très large, s’arrêtant au dessus du genou. Ses longues jambes se terminaient par une paire de nu-pieds à talons hauts qui la perchaient à 10cm au dessus de moi, et mes 1m75. Elle portait deux anneaux d’or aux oreilles, rappelant le jonc du même métal à son poignet droit. Une chaine en or maintenait sur sa poitrine bronzée un magnifique solitaire en saphir, d’un bleu très pur, coordonné avec l’unique bague de sa main droite, qui avait une pierre de la même eau. Ses cheveux bruns brillants et soyeux, cascadaient sur ses épaules. Sa bouche était recouverte d’un rose qui tranchait avec sa peu halée, et son maquillage était discret privilégiant sa beauté naturelle.
« …Et donc, il faudrait que j’y passe en vitesse en début d’après-midi. » disait elle .
« Euh, où çà, » demandai-je car, perdu dans mon admiration je n’avais pas écouté ce qu’elle disait
« A la maison » reprit elle « Si je veux la vendre, il faut que je m’assure que tout est ok. Tu pourras m’y accompagner ? »
« Oui, bien sur » approuvai-je sans savoir de quelle maison elle parlait. A ce moment là, j’aurais été d’accord avec n’importe quoi, pourvu que ce soit proposé par elle.
Après le déjeuner, je me laissais guider vers une maison à vendre, pour laquelle j’avais finalement compris qu’elle devait recevoir de potentiels acquéreurs le lendemain. C’était un peu vers la sortie du village en montant vers le lac. Elle m’indiqua une petite route étroite qui serpentait entre les murs. Les murs disparurent pour faire place à une prairie bordée de murets de pierre sèche. Un petit chemin de terre nous amena devant un portail de fer forgé. Déborah, descendit de la voiture, et, sortant un gros trousseau de clés, alla ouvrir, me faisant signe de me garer devant l’habitation. Je quittais l’auto. Nous étions dans une vaste cour en gravette, devant une batisse en pierre du pays, de taille imposante. Elle était campée sur un grand parc arboré, en partie, qui descendait en pente avec une vue sur le village et son étang, qu’on surplombait depuis la terrasse. Les espaces verts parfaitement entretenus dégageaient cette odeur particulière de l’herbe fraichement coupée. Après avoir vérifié les extérieurs, Déborah ouvrit la porte d’entrée, et inspecta les pièces, en ouvrant les volets. Tout était propre, et quasiment vide, les propriétaires n’avaient laissé que quelques meubles. Certaines pièces , comme la cuisine tout équipée, avaient dû être rénovées récemment. Les plafonds culminaient à plus de quatre mêtres
« C’est grand. « commentai-je « Il y a de belles cheminées. »
« Elles fonctionnent toutes » précisa Déborah « Viens, on va voir là haut. »
Là haut, c’était un étage, en haut d’un escalier de marbre, où six chambres vides cotoyaient trois salles de bain,. Au dessus, on accédait au second étage par un escalier en chène, un peu plus étroit que le premier. Cet étage, autrefois destiné aux domestiques, comprenait quatre chambres, équipées de salles d’eau, et meublées de lits, et tables de chevet. Arrivés à la dernière, après avoir fait le tour et n’avoir décelé aucune anomalie, Déborah s’approcha de la fenêtre, en fait une lucarne qui donnait sur le village, et la campagne environnante, et me tourna le dos. Je m’approchai d’elle doucement, et posai une main sur son épaule.
Je massai doucement son cou, quand elle se retourna d’un bloc. Elle se jeta contre moi en un baiser fougueux. Nos lèvres se soudèrent et je caressai ses dents de ma langue. Je sentais son souffle court, et ses mains qui couraient sur moi, sous ma chemise . Je la plaquai contre moi, en l’embrassant dans le cou, mes mains parcourant son dos et ses fesses. Ma chemise déboutonnée, finit sur le sol, et elle s’attaqua à mon jean, défaisant les boutons métalliques, pendant que dans un soubresaut de réalisme, je virai mes chaussures, pour ne pas me retrouver empêtré avec dans le pantalon. Je repoussai Déborah, un instant et défis la large ceinture blanche. Les pans de sa robe s’ouvrirent, et elle la fit glisser, m’apparaissant en sous-vêtements blancs, comme ses hauts talons. Elle fit descendre mon jean et m’en débarrassa, avant de revenir se coller à moi. Nos bouches se trouvèrent de nouveau. Sa main se faufila dans mon boxer pour attraper mon sexe et le libérer. Le boxer ne mit pas longtemps à suivre le chemin de mes autres vêtements. A mon tour, je dégraffai son soutif en dentelle blanche. Je l’aidais à l’oter et m’emparai de ses seins. Ils étaient tels que je les avais imaginés, en poire, mais fermes, avec des aréoles brunes larges et au milieu des bourgeons qui pointaient comme des framboises. Je m’empressai de les embrasser, l’un après l’autre, m’attardant sur les capuchons tendus. Je fis ensuite glisser sa fine culotte, qu’elle expédia au loin du pied. Elle était maintenant nue dans ses souliers, longue, fine et incroyablement sexy. Je la fis se retourner, et contemplai la ligne de son dos, sa taille marquée qui s’évasait en un fessier somptueux. Elle s’appuya au rebord de la fenêtre et je vins me coller à elle, saisissant , par derrière, sa poitrine gonflée, laissant filer ma main sur son ventre, jusqu’à son pubis, ombré d’un ticket de métro, sous lequel je découvris son bouton d’amour, que je calinais un peu. Elle passa la main dans son dos pour attraper mon sexe, et, poussant sa croupe vers l’arrière, m’introduisit en elle. Je m’enfonçai dans un étui brûlant, largement humidifié, et commençai à balancer mon bassin, mais elle me stoppa.
« Non attends. »
Je sentis alors qu’elle bougeait son bassin, pour me faire entre ou sortir d’elle, en utilisant ses muscles internes pour presser mon membre, ou le relacher. C’était divin. Comme elle haletait, je la pistonnai plus vite et elle atteint un orgasme rapidement.. Elle se retourna vers moi. Je la tins par la taille, et soulevant une cuisse, la maintenant sous les fesses, je l’emmanchais par devant. Se talons étant un peu trop haut, je la coinçai contre le mur. Elle leva alors ses deux jambes qui , comme des lianes, vinrent s’enrouler autour de moi, tandis qu’elle se laissait tomber sur mon sexe. Elle jouit une deuxième fois, et me repoussa ensuite vers le lit, où elle me fit culbuter en arrière. Elle me poursuivit, ses genoux venant encadrer mes jambes, et s’empala sur moi, jusqu’à la garde. En appui sur ses genoux, elle montait et je sortais complètement d’elle, avant qu’elle ne retombe brusquement sur ma queue. Cette pratique était déjà éprouvante, mais elle la compléta , à chaque fois qu’elle arrivait en butée par un roulement du bassin, qui venait, en même temps masser mes bourses. Je profitai de la position pour palper et triturer ses seins, puis quand je sentis que j’allais venir, je la maintins à la verticale et titillai son clitoris , sans cesser les allées et venues. Elle se mit à me crier ses eencouragements.
« Oui, Vas-y, continue, encore !, Comme ça, c’est bon !, je vais jouir ! ahhhh ! »
Je sentis mon sexe gonfler avant d’expulser son trop plein de désir en elle, en même temps qu’elle jouissait. Nous nous abbatîmes en nage sur le lit, reprenant notre souffle. Déborah, se leva d’un bond et revint avec une serviette prélevée dans la douche attenante. Après m’avoir essuyé soigneusement , elle étendit la serviette sur le lit, pour que je m’y allonge.
« Il ne faudrait pas tâcher le couvre-lit » expliqua t’elle.
Elle écarta mes jambes et se coucha dos à moi, sa tête sur ma poitrine. Je passai mes bras au dessus de ses épaules pour venir caresser ses seins. Ils n’étaient pas très volumineux mais s’harmonisaient parfaitement avec sa silhouette longiligne. D’où j’étais, j’avais une vue plongeante sur sa poitrine, son ventre ; le renflement léger du mont de Vénus et sa bande de poils masquaient sa fente, ses hanches, féminines, mais pas trop larges, se prolongeaient par deux cuisses musclées, et des jambes terminées par deux petits pieds mignons.
« Tu bronzes à poil depuis longtemps ? » demandai-je, en disant ce qui me passait par la tête
« Pourquoi cette question ? »
« Tu n’as aucune marque de maillot, un bronzage intégral, donc, soit tu bronzes nue, soit tu fais des UV. » expliquai-je
« Ah, non, les UV, très peu pour moi ! pour me retrouver fripée comme une vieille pomme à 40 ans. Puisque tu veux tout savoir, je bronze dans mon jardin, à l’abri des regards, et aussi sur le bateau de mon père, au lac. »
« Je ne t’y ai jamais vue. »
« Normal, pendant l’été je n’y monte que rarement, et je ne fréquente pas les plages. Mon père a un bateau pour aller à la pêche, et aussi pour le ski. Je l’emprunte de temps en temps et je l’ancre dans une crique sauvage, sans accès par la terre, pour bronzer tranquillement. »
« Apparemment tu n’es pas la seule à pratiquer l’intégral dans le coin. »
« ça veut dire que tu as maté ? »
« Non ça veut dire que je fais de la voile, et que j’ai remarqué la pratique à plusieurs reprises. »
« La réalité est beaucoup plus simple que ce qu’on pourrait imaginer. Quand on vit au bord de l’eau, on se baigne très souvent, on fait du bateau, et très jeunes, on apprend à ne pas garder sur nous un maillot de bain trempé et froid. Pour éviter ça, on se baigne nus dès le plus jeune âge, ce qui fait qu’en sortant de l’eau, on peut enfiler un maillot sec. Tu sais qu’on bronze aussi dans l’eau ? »
« Je l’ignorais. » répondis-je « En tout cas, ce hâle te va à ravir. »
« Merci. Je suis bien là. »me confia t’elle
« Je suis bien aussi. »
« Tu sais, j’ai longtemps hésité, à ton sujet. Tu m’attirais, mais je t’avais vu avec ces filles, chez le « grizzly » et vous aviez l’air, plutôt complices. Et puis je suis plus agée que toi. Je ne savais pas comment soutenir la comparaison avec ces jeunettes. J’avais peur de passer pour une cougar. »
« Mais, tu ES une cougar ! » dis-je en riant. « Rassures toi, Physiquement, tu soutiens la comparaison. Il y a bien quelques différences, mais c’est à ton avantage, ce que tu as pu perdre en jeunesse, tu l’as gagné en féminité. Quand à soutenir la comparaison…Hmm, je crois que j’ai rarement pris autant de plaisir. »
« Vil flatteur ! »
« De mon côté aussi, j’avais peur de ta réaction ; peur que tu ne voies en moi que l’ado boutonneux d’il y a dix ans. Peur de n’être pas à la hauteur, trop inexpérimenté, trop pressé, ou maladroit. »
« Rien de tout ça je t’assure. En fait, je me souviens très bien de cette année, il y a dix ans. Tu étais différent des autres ; plus réservé, plus secret, mais aussi plus mature. Quand je t’ai retrouvé, j’ai compris que j’avais un petit faible pour toi, et qu’avec le temps et ta transformation, il m’était apparu comme une évidence. »
Nous étions alanguis sur ce lit, méditant ce que l’autre disait.
« Ce qui est une évidence, aussi, c’est ce que je sens contre mon dos ; » ajouta t’elle en riant
Elle se leva, et se tourna pour regarder ma queue qui reprenait de la vigueur.
« Allez, il faut que j’aille bosser » me dit elle « une petite douche, et on y va. »
Je la retrouvai sous la douche,et utilisant le gel douche qu’elle avait apporté, je la savonnai de la tête aux pieds, glissant mes mains dans les moindres recoins, investissant ses orifices de mes doigts fouisseurs. Elle me rendit la politesse, en insistant sur mon braquemard qui se dressait maintenant entre nous. Finalement, elle s’accouda au mur de la douche, tendant son cul vers moi.
« Prends moi, qu’on en finisse. » souffla t’elle résignée
Sous l’eau tiède qui ruisselait, sa résignation se transforma très vite en furie, son derrière s’agitant pour venir au devant de ma bite, mon pubis claquant contre ses fesses , dans le clapot humide de l’eau mélée de ses sécretions. Elle joua de ses muscles internes, et, saisit mes couilles entre ses jambes, les pressant, les tirant en avant, jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir. Elle se retourna face à moi, et m’embrassa voluptueusement en continuant à astiquer mon manche. Je lâchai plusieurs giclées qui éclaboussèrent son ventre, et elle accompagna cette explosion de « allez ! encore, donne ! » sa main secouant ma qeue jusqu’à la dernière goutte.
Un quart d’heure plus tard, nous sortions de la maison, et j’allais la déposer à l’agence. Je l’observai quand elle marcha dans la rue, élégante et fine sur ses hauts talons. Qui aurait pu croire que la même femme pouvait être un tel volcan.
Eric filait le parfait amour avec Crystelle, quand elle était rendue libre par son travail, et passait le reste de son temps, à la plage, toujours à l’affut d’une donzelle à conquérir. Il avait tenté sa chance auprès de Sylvie, mais la sauvageonne l’avait rembarré vertement.
Je poursuivai Océane de mes assiduités mais elle soufflait le chaud et le froid, me donnat des signes de détente, aussitôt suivi de rebuffades. Heureusement, j’avais Déborah.
Le lendemain, j’arrivais au village à midi passées. L’agence était fermée, mais elle était là. Elle vint m’ouvrir et referma derrière moi, m’expliquant, qu’ainsi elle avait la paix pendant deux heures, même quand elle grignotait sur place. Pour l’instant c’était autre chose que je voulais grignoter. Je l’embrassai goulument et elle me rendit mon baiser avec passion. Je la poussai contre son bureau, et la caressai, d’abord sur ses vêtements, puis je fis glisser mes mains sous sa robe, la remontant jusqu’à trouver l’élastique de sa culotte que je tirai d’un coup vers le bas. Elle serra les jambes trop tard, le bout de tissu coincé entre ses genoux.
« Non, pas ici » implora t’elle « on pourrait nous voir
Je jetai un œil vers la vitrine, occultée par des stores. Seule la porte vitrée donnait sur la rue, et avec les lumières éteintes, il aurait fallu se coller à la vitre pour voir ce qui se passait au fond du local.
« On ne voit rien de l’extérieur. » lui dis-je « je vais te faire l’amour ici, pour que tu t’en souviennes chaque jour. »
Mes mains remontèrent sa robe, dévoilant son sexe. J’y portais mes doigts et la trouvais inondée. Ses jambes s’écartèrent et sa culotte tomba à terre. Je déboutonnai mon jean, et le baissai, en même temps que mon slip. Déborah, passa sa robe, par dessus sa tête, et je la basculai sur le dos, les jambes relevées, lesfesses au bord de la table, vétue seulement de son soutien gorge et de ses chaussures. J’appuyai mon gland sur sa chatte et m’enfonçai d’un coup jusqu’au fond de sa cavité. Elle cambra les reins, pour venir au devant de moi et je la besognai vigoureusement, provoquant ses gémissements de plaisir, et d’attente. En quelque coups de reins, elle commença à emettre de rauques râles de gorge, de plus en plus sonores, qui s’étranglèrent quand elle jouit. J’étais encore bien raide en elle. Elle se mit sur le ventre, et posa ses pieds à terre, jambes écartées, dégageant le sillon fessier et son abricot, juteux. Je la pris de nouveau en une levrette échevelée, mes mains caressant son dos et sa nuque fine, sous ses cheveux que retombaient de chaque côté de son visage. Je la baisais maintenant de plus en plus vite, crochant ses hanches, me démenant derrière elle, qui prenant appui sur le bureau, propulsait son cul en arrière pour s’embrocher toujours plus. Le meuble tremblait sous nos assauts. Déborah avait passé une main sous elle et titillais son clito. Quand son excitation atteignit son paroxysme, et qu’elle commença à clamer son orgasme, j’introduisis un doigt dans son fondement, et l’enfonçai en sentant ma queue palpiter de dans sa matrice. Je sortis et l’arrosai de ma semence,
Elle mit un temps à se relever, se tourna, et vint s’agenouiller devant moi, prenant mon sexe encore bandé, dans sa bouche. Elle le suça un peu et lécha mes bourses avant de remonter m’embrasser, sa bouche ayant encore le gout du sperme.
Elle s’essuya avec des mouchoirs, et renfila sa robe, puis elle ramassa sa culotte. Je lui saisis le poignet et pris le vêtement que je mis dans ma poche.
« Je le garde. Tant que je serais là, je veux pouvoir te faire l’amour à tout moment. Il faut donc que tu sois prête, et sans rien sous tes vêtements. Enlève ton soutif. »
« Mais, les gens peuvent le voir, où deviner, et… »
« Peu importe les gens. Je t’ai retrouvée et je vais te faire l’amour, à chaque fois que ce sera possible, tout le temps, n’importe où. »
Elle me dévisageait gravement.
« Je ne t’imaginais pas si impérieux » dit elle
« Seulement quand je suis amoureux ».
« Demain c’est dimanche, mon fils est en vacances chez ses grands parents. On pourrait passer la journée ensemble. » suggéra t’elle
« Super ! rien ne me ferait plus plaisir. »
Le dimanche matin, j’étais sur le ponton de la marina, au camping, où Déborah m’avait demandé de l’attendre. Il est encore tôt, mais un canot à moteur arrive dans une gerbe d’écume. Il ralentit et vient fendre , en douceur les eux calmes du port. C’est un cabin cruiser,beige, à l’étrave éfilée, pas très imposant, avec une plateforme, à l’arrière pour la pêche, et un sun-deck sur le plat bord avant. Le poste de pilotage est recouvert d’un dais de toile Bordeaux,. Le canot vient se coller au ponton et je saute dedans. Déborah redémarre aussitôt et nous partons vers le large. Alors que je suis en bermuda, tee-shirt et tongs, elle est en robe bleu marine à liserets blancs, fermée sur le devant par de gros boutons blancs. Je m’approche et l’enlace en lui faisant des bisous dans le cou. Elle tourne la tête et m’embrasse vivement sur les lèvres.
« Je croyais qu’on se faisait une journée baignade, et bateau. Je ne t’attendais pas si habillée. »
« Je n’ai pas eu le choix. » dit elle avec un sourire
« pas le choix ? »
« Tu m as confisqué mes sous vêtements. Je ne pouvais me déplacer comme ça. » dit elle en déboutonnant sa robe qu’elle laisse choir, et sous laquelle elle est nue.. »
« La surprise est délicieuse ; » murmurai-je en passant mes mains sur ses fesses cambrées, avant de venir empaumer ses seins.
« Il va falloir rester tranquille un moment, si tu ne veux pas qu’on aille s’échouer, ou percuter un autre bateau. » gronde t’elle en repoussant mes mains inquisitrices. Le gros V6 ronronne sous nos pieds, et l’eau défile à toute vitesse. Nous contournons la grande ile, puis traversons la seconde partie du lac, ignorant la crique où Océane m’avait emmené, continuant dans le dédale des bras tentaculaires de cet immense lac. Nous arrivons dans une partie, tout au bput, ou les bras sont plus étroits et plus longs, sortes de petits fjords, qui viennent s’insinuer entre les collines boisées. Ici le fond n’est que roche et l’eau claire.
Déborah, navigue avec habileté d’un bras à l’autre, évitant les hauts-fonds, et finit par stopper l’embarcation. Elle coupe le moteur, laissant la coque courir sur son erre, et jette un grappin à l’arriére qu’elle fixe à un taquet.
« Voilà, on est au bout du lac ; presque au bout du monde » dit elle en désignant le fond de la baie.
Je la prends contre moi, et elle me débarrasse de mon bermuda, pendant que mes mains explorent son sexe. Elle m’entraine vers l’avant du bateau ou nous nous couchons sur un grand matelas recouvert d’une housse en éponge. Elle me fait mettre sur le dos et se met ensuite sur les genoux. Elle prend un flacon d’huile solaire et commence à m’enduire le corps avec, tartinant partout, des épaules au pieds, puis elle se penche et me prend en bouche, pour une fellation d’anthologie. Elle puise dans sa petite glacière des glaçons qu’elle met dans sa bouche avant de venir de nouveau faire coulisser ses lèvres sur ma queue. La sensation est exquise, tantôt le chaud de sa bouche, tantôt le froid de la glaces. Mon sexe durcit s sous cette exquise torture. Je roule sur le côté, et l’attire vers moi. Je soulève une de ses jambes et viens loger ma tête contre son pubis. Je commence par embrasser son ticket de métro, puis je sors ma langue pour faire sortir son bouton d’amour, que je tête aussitôt. Je sens ses effluves de femme contre mes narines. Elle ouvre ses jambes, m’acceptant tacitement dans son intimité. Je pointe ma langue, écartant ses lèvres fouillant le plus loin possible dans sa chair rose, pendant qu’elle em masse les couilles en me suçant régulièrement,. J’avance ma tête, forçant le passage, entre ses cuisses, découvrant son sillon jusqu’à son anus en étoile que je butine. Surpris, elle s’interromp un instant pour profiter de cette caresse inédite, avant de replonger sur ma queue, avec des gémissements de plaisir. Je cramponne ses fesses à deux bras, plaquant mes lèvres sur son cul, puis revenant aspirer violemment son clito, déclenchant un orgasme court mais intense.
Je la prends, ensuite en levrette, appuyée au bastingage, ses seins remuant au dessus de l’eau transparente, ahannant en cadence son plaisir jusqu’à un deuxième orgasme. Elle m’échappe ensuite et plonge dans l’eau, où je ne tarde pas à aller aussi. Je la rejoins sur un rocher où nous avons pied, et la saisis par la taille, la plaquant contre moi, trouvant l’entrée de son sexe encore ouvert. Elle passe ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille et se laisse enfiler doucement, les mouvements ralentis par l’eau qui clapote autour de nous. Elle utilise alors son arme secrête, et je sens mon penis, malaxé par sa matrice. C’est chaud et doux, quand tout autour de moi est froid. Elle vient mordiller gentiment mon epaule, et embrasser mon cou, et je décharge en elle un torrent d’amour brûlant.
Nous regagnons le bateau. Elle essore sa longue chevelure dans une gracieuse inclinaison du cou, ses deux mains pressant sur une nette brune qu’elle vient de composer. Les goutelettes d’eau font scintiller son corps sous le soleil
Il est temps de se restaurer, elle ouvre la glacière qu’elle a amené et prépare un melon , étale quelques tranches de jambon de pays sur une assiette.
« Je sais que tu n’aimes pas trop la bière, alors j’ai pensé à du rosé. » dit elle en sortant la bouteille qu’elle me tend avec un tire-bouchon. Le melon est sucré , et le jambon très fin complète bien le pain de campagne. Le rosé coule à flots. J’ai entamé la deuxième bouteille, et je suis un peu pompette. Quelques pêches juteuses cloturent notre dinette. Déborah se lève passant par la porte ouverte dans le pare-brise va s’étendre sur le sun-deck sur le sun-deck, son verre a portée de main. Je prends alors mon appareil photo dans mon sac à dos, et lui demande l’autorisation de faire quelques clichés.
« Vas y, « me répond elle « Je n’ai pas de problème avec mon corps. Tu sais, j’ai accepté de satisfaire ton souhait de me savoir sans culotte, parce que, au fond, ça ne me gène pas. Je suis consciente des limites à ne pas franchir, mais, quand j’étais plus jeune, j’aimais bien provoquer, choquer la morale ou la bien pensance judéo-chrétienne. Dans mon métier, je suis obligée de respecter les rêgles, de faire des concessions, d’arrondir les angles comme on dit. Je l’ai fait également pour respecter les conventions sociales, mais ton audace m’a rappelé qui je suis, et a ramené un peu de cette spontanéité que j’avais perdue. »
Elle se mit à plat ventre, et je fis quelques clichés de sa silhouette longiligne et fluide, son dos creusé qui remontait sur la courbe de ses fesses, des gros plans de son profil à la fois doux et énergique avec ses pommettes saillantes, son nez délicat et sa bouche pulpeuse au dessus d’un menton volontaire. Quand elle tournait la tête vers moi l’ovale de son visage adoucissait encore son sourire, ses yeux cachés par ses Ray-ban. Je lui demandai de se retourner et elle se mit sur le dos, prenant des poses suggestives, faisant saillir sa poitrine.
Elle s’agenouilla face à moi, et prit ses seins sous ses mains les soulevant légèrement comme pour me les offrir.
« Les photos, c’est pour toi. Tu peux les montrer, bien sûr, mais seulement à des personnes de confiance. » déclara t’elle avant de se rallonger sur le côté, face à moi.
Je rangeai l’appareil et quand je me tournai de nouveau vers elle, sa main se tendit vers son entrejambe. Avec deux doigts, elle commença à masser ses grandes lèvres, et son clito. Elle enleva ses lunettes et de ses yeux clairs, me fixa intensément, continuant à se caresser. Elle écarta ses cuisses et intrduisit son majeur dans son sexe, bientôt rejoint par son index, puis par un troisième doigt. Elle ouvrait son antre et fouillait en frottant à chaque passage son capuchon qui grossissait, gorgé de sang
« J’ai encore envie » chuchota t’elle, sans s’arrêter
Je l’observais, captivé. Ma main s’était emparée de ma queue, et je me masturbais en face d’elle, le chibre bien dressé devant moi. Son souffle s’accélérait, comme ses mouvements, en même temps que les miens.
« Viens maintenant ! » me cria t’elle.
Je n’attendais que ça et je sautais sur le pont pour l’embrocher. Je la trouvai ouverte et ruisselante, et me mis à la pistonner en missionnaire. Elle repoussa mes bras l’un après l’autre, pour passer ses jambes tendues contre ma poitrine. Jambes serrées, pliée en deux, elle subissait mes assauts, son cul soulevé, mon torse venant percuter ses jambes et son sexe à chaque fois que je retombais sur elle. J’accélérai le tempo pour arriver très vite à un rythme effrené. Elle tenait ses chevilles et glapissait de plus en plus fort. Je sentis la coulée de lave monter en moi et j’éjaculais puissamment dans un râle , sans cesser mon mouvement, et elle cria son orgasme à son tour.
« Wahow, c’est fort comme ça aussi » soupira t’elle en reposant ses jambes. »
Nous nous embrassâmes longuement.
Un peu plus tard, trouvant le soleil trop fort, je me mis à l’abri sous le dais. Déborah somnolait au soleil. Elle émergea au bout d’une heure et vint me rejoindre. J’étais appuyé sur le siège du pilote et elle vint se glisser entre le volant et moi. Ronronnant comme une catte, elle frotta son dos et son fessier contre mon torse, et agaça mon sexe par de petits mouvements du bassin. Je m’assis dans le fauteuil, et elle plaça ses jambes de chaque côté de mes genoux. Elle s’assura de la rigidité de mon sceptre avant de venir s’asseoir dessus. Elle se tenait au volant, montnat et descendant comme un ascenseur sur moi. Je saisis ses tétons que je pinçai fortement, la faisant crier. Elle eut un nouvel orgasme trmblant de tout son corps et s’abattit sur le volant. Ayant déjà déchargé plusieurs fois, je n’avais pas joui, mais j’étais encore bien raide. Profitant de ma position, je restai en elle et la soulevant , glissai un doigt dans son anus. Elle émit un petit couinement, mais ne protesta pas. J’assouplis son sphincter avec mon doigt, puis sortant ma queue de sa chatte, je présentai mon gland à l’entrée de son petit trou. Elle eut un mouvement de recul.
« On ne m’a jamais prise par là »
« Jamais ? » interrogeai-je étonné. Après tout, elle avait plus d’expérience que moi
« Non, je n’ai jamais eu besoin »
« Il est vrai que tu utilises si bien les muscles de ton vagin. Mais ton mari ne t’a jamais demandé ? »
« Si mais j’ai dit non. »
J’étais un peu dépité, c’était raté.
« Mais avec toi, je veux bien. Il faut être très doux. J’ai envie de te donner quelque chose. Je veux que tu sois le premier. »
Elle tourna la tête et je l’embrassai longuement, tout en forçant l’entrée de son cul, de mon gland. Je pénétrai, petit à petit, et elle cria de douleur. Puis mon gland fut comme absorbé, et je me retrouvai à coulisser souplement en elle. Elle y prenait plaisir, car ses plaintes changèrent de ton. Elle empoigna le volant et recommença son mouvement de pompage, ses fesses venant claquer fortement sur mes couilles quand elle retombait
« Oh, oui, Tu m’encules bien ! » rugit elle « Mets te doigts dans ma chatte ! branle moi bien, c’est bon ! »
Je m’exécutai, tandis qu’elle coulissait de plus en plus vite sur mon membre, sa cyprine dégoulinant sur mes doigts, son clito, dur comme la pierre. J’étais serré dans cet étroit et bouillant conduit. Mon sexe me faisait mal, à force de tension. Je sentis une onde de plaisir partir de mes bourses et j’explosai à longues giclées dans ses intestins. Elle resta, un moment assise sur moi. Ma queue dégonflait dans son cul. Elle se dégagea dans un plop qui laissa échapper un peu de ma semence, et se retourna pour m’embrasser encore.
« Si j’avais su, je l’aurais fait avant » sourit elle. « Allez hop, à l’eau ! »
Alors que nous rentrions, Debbie tours nue à la barre me confia
« Je crois que je vais divorcer. »
« Eh là, pas si vite » me hatai-je de répliquer.
« Non, ne t’inquiète pas. Je sais que tu ne m’as rien promis et je n’ai rien a t’offrit. J’ai juste envie de profiter de ces moments avec toi. J’aime baiser avec toi, j’aime te sucer, j’aime quand tu me suce, j’aime quand tu m’encules même, et je veux jouir à fond de ces moments de plaisir. Après toi, un autre viendra peut-être, ou pas, mais ce qui est certain c’est que je ne veux pas passer ma vie à attendre, une vie où il ne se passe rien d’xcitant. » expliqua t’elle
« Eh bien, tu te lâches, c’est bien. Mais je suis encore ici pour quatre jours. »
« Quatre jours ? Tu vas être surpris de voir comment je me lâche. Pour commencer, ce soir , on va danser. »
Le soir même, elle vint me retrouver au camping, après s’être changée, et nous partîmes pour le California. L’ambiance battait son plein quand nous arrivâmes. Il faut dire que nous avions fait une halte, sur la route, pour une petite levrette dans la voiture. Déborah portait une sorte de tunique en voile noir, transparent, dévoilant son corps parfait, en dessous d’une veste longue et croisée en cuir noir. Pour compléter son look, elle portait des santiags noires pleines de broderies.
Je reconnus Crystelle qui dansait sur la piste, et entrainais Déborah au premier , où je retrouvais Eric. Je lui présentai Deborah, et Crystelle. Les boissons arrivèrent bientôt et Deborah, se mit à siroter du whisky sec. Elle se leva ensuite et partit avec Crystelle pour aller danser. Eric et moi, après avoir parlé , descendîmes retrouver les filles qui se trémoussaient en rythme. Je remarquai que Déborah avait ouvert sa veste, dont les pans s’ouvraient au gré de ses mouvements, laissant apercevoir ses seins, et sa toison. Heureusement, la foule était dense et peu de gens remarquèrent cette tenue osée. Quand vint le temps des slows, elle s’approcha de moi.
« Vous dansez, beau blond ? » demanda t’elle en m’entrainant dans ses bras
Je la pris par la taille, sous sa veste ouverte, et fus rapidement au supplice . Elle se frottait contre moi et je sentais la masse chaude de ses seins contre ma chemise. Elle me fit des bisous dans le cou et me dit
« Caresse moi. »
Je passais mes mains sur sa tunique, massant ses fesses, ou ses seins, protégé, en partie de la vue, par la veste qui couvrait mes gestes. Elle vint passer sa jambe gauche autour de ma droite. Mon genou avançait maintenant entre ses cuisse faisant remonter sa tunique, et je sentis contre ma cuisse le contact chaud et humide de sa chatte.
« C’est bon, mets tes doigts maintenant » me chuchota t’elle.
Essayant d’être le plus discret possible, je passai mon bras sous la veste et la trouvais, ouverte sous mes phalanges . Je la doigtai pendant tout un morceau tandis qu’elle enfouissait sa tête dans le creux de mon épaule, emettant de petits soupirs d’aise. Sa main fila d’un coup et immobilisa la mienne alors que j’étais au fond d’elle. Elle frémit et mordit mon épaule. Une fois relachée elle me murmura.
« J’ai joui, merci. »
La série de slows se terminait et je lui proposai d’aller boire un verre au premier. Elle referma prestement sa veste et me précéda. Dans l’escalier, où je la suivai, je me dis qu’une telle tenue, était possible ici, à cause de l’obscurité, mais en plein jour, elle aurait créé une émeute. De retour dans l’alcove, je découvrai Eric et Crystelle, qui se bécotaient en se faisant des caresses soft. Déborah se défit de sa veste et vint se blottir contre moi. Au passage, Eric qui ouvrait de grands yeux n’avait pas pu éviter de voir, même dans la semi-obscurité, cette robe qui la faisait plus que nue. D’aiileurs, la profondeur des coussins, avait fait remonter le vêtement sur ses longues jambes, à la limite de son triangle d’or. Les regardant avec un sourire espiègle, Déborah, se leva pour aller jusqu’à la balustrade, observer la piste de danse d’en haut. Ce faisant, elle mit en lumière son côté pile, le voile montrant plus qu’il ne cachait, son splendide fessier. Eric et sa compagne mataient ce tableau. Crystelle caressait la bosse du jean d’Eric, qui se développait. Déborah, fit demi-tour et revont vers nous, devoilant ce que les danseurs avaient dû découvrir en contre-plongée. Ses seins pleins tendaient le fin tissu qui ne masquait rein de sa courte toison et de sa fente. Elle se colla à moi, et me fit des bisous, tout en massant mon sexe , à travars lea toile du jean’s.. Elle but plusieurs whiskies et devint de plus en plus entreprenante, s’allongeant sur le canapé, la tête sur mes cuisses. Le voile était remonté et découvrait la moitié de ses fesses. Eric, n’en pouvant plus sortit son sexe de son pantalon et Crystelle, compréhensive, le prit dans sa bouche et le suça longuement. Déborah, reprit une position assise pour les regarder, tout en attirant ma main entre ses cuisses où son sexe entrebaillé
L’accueillit. La soirée s’étira ainsi. Heureusement l’alcove où nous étions était tout au fond de la rochelle et personne ne venait jusque là.
Notre départ ne passa pas inaperçu car Déborah traversa toute la salle sans remettre sa veste, et ne manqua pas de susciter quelques commentaires grivois, sans parler des mains qui la pelotèrent au passage. Une fois au dehors, elle remit le vêtement de cuir, évitant de provoquer des accidents parmi les conducteurs qui s’en allaient. Dans la voiture, elle s’étendit en travers, et sortit mon sexe pour une pipe longue et langoureuse. J’étais bien excité par ce que j’avais vu avant, et je sentis que j’allais exploser . Je tentais de tirer sa tête en arrière, mais elle s’accrocha à moi, et reçut mes décharges dans sa gorge, en déglutissant bruyamment. Elle me nettoya avec sa langue et remis ma queues dans mon jean’s.
« Pas trop mauvais finalement » commenta t’elle « Tu vois que je peux me lâcher à un point que tu n’imagines pas. »
« Oui, mais là, tu risque d’être arrêtée pour attentat à la pudeur. J’ai fait un peu de droit et »
« Et rien du tout. Je connais le patron de la boite. Il a déjà vu bien pire. Il se dit que ma petite prestation va contribuer, avec le bouche à oreille, à amener uen clientèle encore plus nombreuse. Je viens là depuis longtemps, et sur la coursive, j’en ai vu qui baisaient carrément, ce qui peut choquer les petites minettes de 15 ans qui viennent l’été, quand ce n’est pas carrément elles qui se font sauter. Pendant ce temps là, le patron de la boite regarde ailleurs. »
« Je l’ignorais » avouai-je « même si je m’en doutais. Ta robe est vraiment super sexe, mais peut-être un peu limite. »
« Tu n’aimes pas ? Ok » dit elle, et elle fit passer la robe par dessus sa tête, la jetant à l’arrière de la voiture.
« Je vais aller dormir avec toi » décida t’elle
« tu sais , je dors dans une tente » précisai-je
« Ah oui, camping, bien sûr . ça me va. »
C’est comme ça que Debbie vint partager ma canadienne.
Certes, Nous échangions beaucoup, et elle se confiait volontiers à moi. J’avais compris que cette femme indépendante ne pouvait se satisfaire d’un mari peu présent, qui la trompait surement, mais j’étais intimidé par sa présence. Elle avait dix ans de plus que moi, et ne devait voir que l’adolescent boutonneux qui soupirait en la regardant à la dérobée. J’avais peur de la décevoir par mon inexpérience. Peut-être voulait elle autre chose qu’une relation éphémère avec celui qui restait pour elle un jeune freluquet. Ce fut elle qui prit les choses en main, ce que j’attendais surement.
Un midi, nous déjeunions chez le « grizzly », profitant du beau temps sur la terrasse . Déborah, était , comme à son habitude, très élégante. Elle portait une robe imprimée, au décolleté plongeant, fermée par une ceinture blanche très large, s’arrêtant au dessus du genou. Ses longues jambes se terminaient par une paire de nu-pieds à talons hauts qui la perchaient à 10cm au dessus de moi, et mes 1m75. Elle portait deux anneaux d’or aux oreilles, rappelant le jonc du même métal à son poignet droit. Une chaine en or maintenait sur sa poitrine bronzée un magnifique solitaire en saphir, d’un bleu très pur, coordonné avec l’unique bague de sa main droite, qui avait une pierre de la même eau. Ses cheveux bruns brillants et soyeux, cascadaient sur ses épaules. Sa bouche était recouverte d’un rose qui tranchait avec sa peu halée, et son maquillage était discret privilégiant sa beauté naturelle.
« …Et donc, il faudrait que j’y passe en vitesse en début d’après-midi. » disait elle .
« Euh, où çà, » demandai-je car, perdu dans mon admiration je n’avais pas écouté ce qu’elle disait
« A la maison » reprit elle « Si je veux la vendre, il faut que je m’assure que tout est ok. Tu pourras m’y accompagner ? »
« Oui, bien sur » approuvai-je sans savoir de quelle maison elle parlait. A ce moment là, j’aurais été d’accord avec n’importe quoi, pourvu que ce soit proposé par elle.
Après le déjeuner, je me laissais guider vers une maison à vendre, pour laquelle j’avais finalement compris qu’elle devait recevoir de potentiels acquéreurs le lendemain. C’était un peu vers la sortie du village en montant vers le lac. Elle m’indiqua une petite route étroite qui serpentait entre les murs. Les murs disparurent pour faire place à une prairie bordée de murets de pierre sèche. Un petit chemin de terre nous amena devant un portail de fer forgé. Déborah, descendit de la voiture, et, sortant un gros trousseau de clés, alla ouvrir, me faisant signe de me garer devant l’habitation. Je quittais l’auto. Nous étions dans une vaste cour en gravette, devant une batisse en pierre du pays, de taille imposante. Elle était campée sur un grand parc arboré, en partie, qui descendait en pente avec une vue sur le village et son étang, qu’on surplombait depuis la terrasse. Les espaces verts parfaitement entretenus dégageaient cette odeur particulière de l’herbe fraichement coupée. Après avoir vérifié les extérieurs, Déborah ouvrit la porte d’entrée, et inspecta les pièces, en ouvrant les volets. Tout était propre, et quasiment vide, les propriétaires n’avaient laissé que quelques meubles. Certaines pièces , comme la cuisine tout équipée, avaient dû être rénovées récemment. Les plafonds culminaient à plus de quatre mêtres
« C’est grand. « commentai-je « Il y a de belles cheminées. »
« Elles fonctionnent toutes » précisa Déborah « Viens, on va voir là haut. »
Là haut, c’était un étage, en haut d’un escalier de marbre, où six chambres vides cotoyaient trois salles de bain,. Au dessus, on accédait au second étage par un escalier en chène, un peu plus étroit que le premier. Cet étage, autrefois destiné aux domestiques, comprenait quatre chambres, équipées de salles d’eau, et meublées de lits, et tables de chevet. Arrivés à la dernière, après avoir fait le tour et n’avoir décelé aucune anomalie, Déborah s’approcha de la fenêtre, en fait une lucarne qui donnait sur le village, et la campagne environnante, et me tourna le dos. Je m’approchai d’elle doucement, et posai une main sur son épaule.
Je massai doucement son cou, quand elle se retourna d’un bloc. Elle se jeta contre moi en un baiser fougueux. Nos lèvres se soudèrent et je caressai ses dents de ma langue. Je sentais son souffle court, et ses mains qui couraient sur moi, sous ma chemise . Je la plaquai contre moi, en l’embrassant dans le cou, mes mains parcourant son dos et ses fesses. Ma chemise déboutonnée, finit sur le sol, et elle s’attaqua à mon jean, défaisant les boutons métalliques, pendant que dans un soubresaut de réalisme, je virai mes chaussures, pour ne pas me retrouver empêtré avec dans le pantalon. Je repoussai Déborah, un instant et défis la large ceinture blanche. Les pans de sa robe s’ouvrirent, et elle la fit glisser, m’apparaissant en sous-vêtements blancs, comme ses hauts talons. Elle fit descendre mon jean et m’en débarrassa, avant de revenir se coller à moi. Nos bouches se trouvèrent de nouveau. Sa main se faufila dans mon boxer pour attraper mon sexe et le libérer. Le boxer ne mit pas longtemps à suivre le chemin de mes autres vêtements. A mon tour, je dégraffai son soutif en dentelle blanche. Je l’aidais à l’oter et m’emparai de ses seins. Ils étaient tels que je les avais imaginés, en poire, mais fermes, avec des aréoles brunes larges et au milieu des bourgeons qui pointaient comme des framboises. Je m’empressai de les embrasser, l’un après l’autre, m’attardant sur les capuchons tendus. Je fis ensuite glisser sa fine culotte, qu’elle expédia au loin du pied. Elle était maintenant nue dans ses souliers, longue, fine et incroyablement sexy. Je la fis se retourner, et contemplai la ligne de son dos, sa taille marquée qui s’évasait en un fessier somptueux. Elle s’appuya au rebord de la fenêtre et je vins me coller à elle, saisissant , par derrière, sa poitrine gonflée, laissant filer ma main sur son ventre, jusqu’à son pubis, ombré d’un ticket de métro, sous lequel je découvris son bouton d’amour, que je calinais un peu. Elle passa la main dans son dos pour attraper mon sexe, et, poussant sa croupe vers l’arrière, m’introduisit en elle. Je m’enfonçai dans un étui brûlant, largement humidifié, et commençai à balancer mon bassin, mais elle me stoppa.
« Non attends. »
Je sentis alors qu’elle bougeait son bassin, pour me faire entre ou sortir d’elle, en utilisant ses muscles internes pour presser mon membre, ou le relacher. C’était divin. Comme elle haletait, je la pistonnai plus vite et elle atteint un orgasme rapidement.. Elle se retourna vers moi. Je la tins par la taille, et soulevant une cuisse, la maintenant sous les fesses, je l’emmanchais par devant. Se talons étant un peu trop haut, je la coinçai contre le mur. Elle leva alors ses deux jambes qui , comme des lianes, vinrent s’enrouler autour de moi, tandis qu’elle se laissait tomber sur mon sexe. Elle jouit une deuxième fois, et me repoussa ensuite vers le lit, où elle me fit culbuter en arrière. Elle me poursuivit, ses genoux venant encadrer mes jambes, et s’empala sur moi, jusqu’à la garde. En appui sur ses genoux, elle montait et je sortais complètement d’elle, avant qu’elle ne retombe brusquement sur ma queue. Cette pratique était déjà éprouvante, mais elle la compléta , à chaque fois qu’elle arrivait en butée par un roulement du bassin, qui venait, en même temps masser mes bourses. Je profitai de la position pour palper et triturer ses seins, puis quand je sentis que j’allais venir, je la maintins à la verticale et titillai son clitoris , sans cesser les allées et venues. Elle se mit à me crier ses eencouragements.
« Oui, Vas-y, continue, encore !, Comme ça, c’est bon !, je vais jouir ! ahhhh ! »
Je sentis mon sexe gonfler avant d’expulser son trop plein de désir en elle, en même temps qu’elle jouissait. Nous nous abbatîmes en nage sur le lit, reprenant notre souffle. Déborah, se leva d’un bond et revint avec une serviette prélevée dans la douche attenante. Après m’avoir essuyé soigneusement , elle étendit la serviette sur le lit, pour que je m’y allonge.
« Il ne faudrait pas tâcher le couvre-lit » expliqua t’elle.
Elle écarta mes jambes et se coucha dos à moi, sa tête sur ma poitrine. Je passai mes bras au dessus de ses épaules pour venir caresser ses seins. Ils n’étaient pas très volumineux mais s’harmonisaient parfaitement avec sa silhouette longiligne. D’où j’étais, j’avais une vue plongeante sur sa poitrine, son ventre ; le renflement léger du mont de Vénus et sa bande de poils masquaient sa fente, ses hanches, féminines, mais pas trop larges, se prolongeaient par deux cuisses musclées, et des jambes terminées par deux petits pieds mignons.
« Tu bronzes à poil depuis longtemps ? » demandai-je, en disant ce qui me passait par la tête
« Pourquoi cette question ? »
« Tu n’as aucune marque de maillot, un bronzage intégral, donc, soit tu bronzes nue, soit tu fais des UV. » expliquai-je
« Ah, non, les UV, très peu pour moi ! pour me retrouver fripée comme une vieille pomme à 40 ans. Puisque tu veux tout savoir, je bronze dans mon jardin, à l’abri des regards, et aussi sur le bateau de mon père, au lac. »
« Je ne t’y ai jamais vue. »
« Normal, pendant l’été je n’y monte que rarement, et je ne fréquente pas les plages. Mon père a un bateau pour aller à la pêche, et aussi pour le ski. Je l’emprunte de temps en temps et je l’ancre dans une crique sauvage, sans accès par la terre, pour bronzer tranquillement. »
« Apparemment tu n’es pas la seule à pratiquer l’intégral dans le coin. »
« ça veut dire que tu as maté ? »
« Non ça veut dire que je fais de la voile, et que j’ai remarqué la pratique à plusieurs reprises. »
« La réalité est beaucoup plus simple que ce qu’on pourrait imaginer. Quand on vit au bord de l’eau, on se baigne très souvent, on fait du bateau, et très jeunes, on apprend à ne pas garder sur nous un maillot de bain trempé et froid. Pour éviter ça, on se baigne nus dès le plus jeune âge, ce qui fait qu’en sortant de l’eau, on peut enfiler un maillot sec. Tu sais qu’on bronze aussi dans l’eau ? »
« Je l’ignorais. » répondis-je « En tout cas, ce hâle te va à ravir. »
« Merci. Je suis bien là. »me confia t’elle
« Je suis bien aussi. »
« Tu sais, j’ai longtemps hésité, à ton sujet. Tu m’attirais, mais je t’avais vu avec ces filles, chez le « grizzly » et vous aviez l’air, plutôt complices. Et puis je suis plus agée que toi. Je ne savais pas comment soutenir la comparaison avec ces jeunettes. J’avais peur de passer pour une cougar. »
« Mais, tu ES une cougar ! » dis-je en riant. « Rassures toi, Physiquement, tu soutiens la comparaison. Il y a bien quelques différences, mais c’est à ton avantage, ce que tu as pu perdre en jeunesse, tu l’as gagné en féminité. Quand à soutenir la comparaison…Hmm, je crois que j’ai rarement pris autant de plaisir. »
« Vil flatteur ! »
« De mon côté aussi, j’avais peur de ta réaction ; peur que tu ne voies en moi que l’ado boutonneux d’il y a dix ans. Peur de n’être pas à la hauteur, trop inexpérimenté, trop pressé, ou maladroit. »
« Rien de tout ça je t’assure. En fait, je me souviens très bien de cette année, il y a dix ans. Tu étais différent des autres ; plus réservé, plus secret, mais aussi plus mature. Quand je t’ai retrouvé, j’ai compris que j’avais un petit faible pour toi, et qu’avec le temps et ta transformation, il m’était apparu comme une évidence. »
Nous étions alanguis sur ce lit, méditant ce que l’autre disait.
« Ce qui est une évidence, aussi, c’est ce que je sens contre mon dos ; » ajouta t’elle en riant
Elle se leva, et se tourna pour regarder ma queue qui reprenait de la vigueur.
« Allez, il faut que j’aille bosser » me dit elle « une petite douche, et on y va. »
Je la retrouvai sous la douche,et utilisant le gel douche qu’elle avait apporté, je la savonnai de la tête aux pieds, glissant mes mains dans les moindres recoins, investissant ses orifices de mes doigts fouisseurs. Elle me rendit la politesse, en insistant sur mon braquemard qui se dressait maintenant entre nous. Finalement, elle s’accouda au mur de la douche, tendant son cul vers moi.
« Prends moi, qu’on en finisse. » souffla t’elle résignée
Sous l’eau tiède qui ruisselait, sa résignation se transforma très vite en furie, son derrière s’agitant pour venir au devant de ma bite, mon pubis claquant contre ses fesses , dans le clapot humide de l’eau mélée de ses sécretions. Elle joua de ses muscles internes, et, saisit mes couilles entre ses jambes, les pressant, les tirant en avant, jusqu’à ce que je ne puisse plus tenir. Elle se retourna face à moi, et m’embrassa voluptueusement en continuant à astiquer mon manche. Je lâchai plusieurs giclées qui éclaboussèrent son ventre, et elle accompagna cette explosion de « allez ! encore, donne ! » sa main secouant ma qeue jusqu’à la dernière goutte.
Un quart d’heure plus tard, nous sortions de la maison, et j’allais la déposer à l’agence. Je l’observai quand elle marcha dans la rue, élégante et fine sur ses hauts talons. Qui aurait pu croire que la même femme pouvait être un tel volcan.
Eric filait le parfait amour avec Crystelle, quand elle était rendue libre par son travail, et passait le reste de son temps, à la plage, toujours à l’affut d’une donzelle à conquérir. Il avait tenté sa chance auprès de Sylvie, mais la sauvageonne l’avait rembarré vertement.
Je poursuivai Océane de mes assiduités mais elle soufflait le chaud et le froid, me donnat des signes de détente, aussitôt suivi de rebuffades. Heureusement, j’avais Déborah.
Le lendemain, j’arrivais au village à midi passées. L’agence était fermée, mais elle était là. Elle vint m’ouvrir et referma derrière moi, m’expliquant, qu’ainsi elle avait la paix pendant deux heures, même quand elle grignotait sur place. Pour l’instant c’était autre chose que je voulais grignoter. Je l’embrassai goulument et elle me rendit mon baiser avec passion. Je la poussai contre son bureau, et la caressai, d’abord sur ses vêtements, puis je fis glisser mes mains sous sa robe, la remontant jusqu’à trouver l’élastique de sa culotte que je tirai d’un coup vers le bas. Elle serra les jambes trop tard, le bout de tissu coincé entre ses genoux.
« Non, pas ici » implora t’elle « on pourrait nous voir
Je jetai un œil vers la vitrine, occultée par des stores. Seule la porte vitrée donnait sur la rue, et avec les lumières éteintes, il aurait fallu se coller à la vitre pour voir ce qui se passait au fond du local.
« On ne voit rien de l’extérieur. » lui dis-je « je vais te faire l’amour ici, pour que tu t’en souviennes chaque jour. »
Mes mains remontèrent sa robe, dévoilant son sexe. J’y portais mes doigts et la trouvais inondée. Ses jambes s’écartèrent et sa culotte tomba à terre. Je déboutonnai mon jean, et le baissai, en même temps que mon slip. Déborah, passa sa robe, par dessus sa tête, et je la basculai sur le dos, les jambes relevées, lesfesses au bord de la table, vétue seulement de son soutien gorge et de ses chaussures. J’appuyai mon gland sur sa chatte et m’enfonçai d’un coup jusqu’au fond de sa cavité. Elle cambra les reins, pour venir au devant de moi et je la besognai vigoureusement, provoquant ses gémissements de plaisir, et d’attente. En quelque coups de reins, elle commença à emettre de rauques râles de gorge, de plus en plus sonores, qui s’étranglèrent quand elle jouit. J’étais encore bien raide en elle. Elle se mit sur le ventre, et posa ses pieds à terre, jambes écartées, dégageant le sillon fessier et son abricot, juteux. Je la pris de nouveau en une levrette échevelée, mes mains caressant son dos et sa nuque fine, sous ses cheveux que retombaient de chaque côté de son visage. Je la baisais maintenant de plus en plus vite, crochant ses hanches, me démenant derrière elle, qui prenant appui sur le bureau, propulsait son cul en arrière pour s’embrocher toujours plus. Le meuble tremblait sous nos assauts. Déborah avait passé une main sous elle et titillais son clito. Quand son excitation atteignit son paroxysme, et qu’elle commença à clamer son orgasme, j’introduisis un doigt dans son fondement, et l’enfonçai en sentant ma queue palpiter de dans sa matrice. Je sortis et l’arrosai de ma semence,
Elle mit un temps à se relever, se tourna, et vint s’agenouiller devant moi, prenant mon sexe encore bandé, dans sa bouche. Elle le suça un peu et lécha mes bourses avant de remonter m’embrasser, sa bouche ayant encore le gout du sperme.
Elle s’essuya avec des mouchoirs, et renfila sa robe, puis elle ramassa sa culotte. Je lui saisis le poignet et pris le vêtement que je mis dans ma poche.
« Je le garde. Tant que je serais là, je veux pouvoir te faire l’amour à tout moment. Il faut donc que tu sois prête, et sans rien sous tes vêtements. Enlève ton soutif. »
« Mais, les gens peuvent le voir, où deviner, et… »
« Peu importe les gens. Je t’ai retrouvée et je vais te faire l’amour, à chaque fois que ce sera possible, tout le temps, n’importe où. »
Elle me dévisageait gravement.
« Je ne t’imaginais pas si impérieux » dit elle
« Seulement quand je suis amoureux ».
« Demain c’est dimanche, mon fils est en vacances chez ses grands parents. On pourrait passer la journée ensemble. » suggéra t’elle
« Super ! rien ne me ferait plus plaisir. »
Le dimanche matin, j’étais sur le ponton de la marina, au camping, où Déborah m’avait demandé de l’attendre. Il est encore tôt, mais un canot à moteur arrive dans une gerbe d’écume. Il ralentit et vient fendre , en douceur les eux calmes du port. C’est un cabin cruiser,beige, à l’étrave éfilée, pas très imposant, avec une plateforme, à l’arrière pour la pêche, et un sun-deck sur le plat bord avant. Le poste de pilotage est recouvert d’un dais de toile Bordeaux,. Le canot vient se coller au ponton et je saute dedans. Déborah redémarre aussitôt et nous partons vers le large. Alors que je suis en bermuda, tee-shirt et tongs, elle est en robe bleu marine à liserets blancs, fermée sur le devant par de gros boutons blancs. Je m’approche et l’enlace en lui faisant des bisous dans le cou. Elle tourne la tête et m’embrasse vivement sur les lèvres.
« Je croyais qu’on se faisait une journée baignade, et bateau. Je ne t’attendais pas si habillée. »
« Je n’ai pas eu le choix. » dit elle avec un sourire
« pas le choix ? »
« Tu m as confisqué mes sous vêtements. Je ne pouvais me déplacer comme ça. » dit elle en déboutonnant sa robe qu’elle laisse choir, et sous laquelle elle est nue.. »
« La surprise est délicieuse ; » murmurai-je en passant mes mains sur ses fesses cambrées, avant de venir empaumer ses seins.
« Il va falloir rester tranquille un moment, si tu ne veux pas qu’on aille s’échouer, ou percuter un autre bateau. » gronde t’elle en repoussant mes mains inquisitrices. Le gros V6 ronronne sous nos pieds, et l’eau défile à toute vitesse. Nous contournons la grande ile, puis traversons la seconde partie du lac, ignorant la crique où Océane m’avait emmené, continuant dans le dédale des bras tentaculaires de cet immense lac. Nous arrivons dans une partie, tout au bput, ou les bras sont plus étroits et plus longs, sortes de petits fjords, qui viennent s’insinuer entre les collines boisées. Ici le fond n’est que roche et l’eau claire.
Déborah, navigue avec habileté d’un bras à l’autre, évitant les hauts-fonds, et finit par stopper l’embarcation. Elle coupe le moteur, laissant la coque courir sur son erre, et jette un grappin à l’arriére qu’elle fixe à un taquet.
« Voilà, on est au bout du lac ; presque au bout du monde » dit elle en désignant le fond de la baie.
Je la prends contre moi, et elle me débarrasse de mon bermuda, pendant que mes mains explorent son sexe. Elle m’entraine vers l’avant du bateau ou nous nous couchons sur un grand matelas recouvert d’une housse en éponge. Elle me fait mettre sur le dos et se met ensuite sur les genoux. Elle prend un flacon d’huile solaire et commence à m’enduire le corps avec, tartinant partout, des épaules au pieds, puis elle se penche et me prend en bouche, pour une fellation d’anthologie. Elle puise dans sa petite glacière des glaçons qu’elle met dans sa bouche avant de venir de nouveau faire coulisser ses lèvres sur ma queue. La sensation est exquise, tantôt le chaud de sa bouche, tantôt le froid de la glaces. Mon sexe durcit s sous cette exquise torture. Je roule sur le côté, et l’attire vers moi. Je soulève une de ses jambes et viens loger ma tête contre son pubis. Je commence par embrasser son ticket de métro, puis je sors ma langue pour faire sortir son bouton d’amour, que je tête aussitôt. Je sens ses effluves de femme contre mes narines. Elle ouvre ses jambes, m’acceptant tacitement dans son intimité. Je pointe ma langue, écartant ses lèvres fouillant le plus loin possible dans sa chair rose, pendant qu’elle em masse les couilles en me suçant régulièrement,. J’avance ma tête, forçant le passage, entre ses cuisses, découvrant son sillon jusqu’à son anus en étoile que je butine. Surpris, elle s’interromp un instant pour profiter de cette caresse inédite, avant de replonger sur ma queue, avec des gémissements de plaisir. Je cramponne ses fesses à deux bras, plaquant mes lèvres sur son cul, puis revenant aspirer violemment son clito, déclenchant un orgasme court mais intense.
Je la prends, ensuite en levrette, appuyée au bastingage, ses seins remuant au dessus de l’eau transparente, ahannant en cadence son plaisir jusqu’à un deuxième orgasme. Elle m’échappe ensuite et plonge dans l’eau, où je ne tarde pas à aller aussi. Je la rejoins sur un rocher où nous avons pied, et la saisis par la taille, la plaquant contre moi, trouvant l’entrée de son sexe encore ouvert. Elle passe ses bras autour de mon cou, ses jambes autour de ma taille et se laisse enfiler doucement, les mouvements ralentis par l’eau qui clapote autour de nous. Elle utilise alors son arme secrête, et je sens mon penis, malaxé par sa matrice. C’est chaud et doux, quand tout autour de moi est froid. Elle vient mordiller gentiment mon epaule, et embrasser mon cou, et je décharge en elle un torrent d’amour brûlant.
Nous regagnons le bateau. Elle essore sa longue chevelure dans une gracieuse inclinaison du cou, ses deux mains pressant sur une nette brune qu’elle vient de composer. Les goutelettes d’eau font scintiller son corps sous le soleil
Il est temps de se restaurer, elle ouvre la glacière qu’elle a amené et prépare un melon , étale quelques tranches de jambon de pays sur une assiette.
« Je sais que tu n’aimes pas trop la bière, alors j’ai pensé à du rosé. » dit elle en sortant la bouteille qu’elle me tend avec un tire-bouchon. Le melon est sucré , et le jambon très fin complète bien le pain de campagne. Le rosé coule à flots. J’ai entamé la deuxième bouteille, et je suis un peu pompette. Quelques pêches juteuses cloturent notre dinette. Déborah se lève passant par la porte ouverte dans le pare-brise va s’étendre sur le sun-deck sur le sun-deck, son verre a portée de main. Je prends alors mon appareil photo dans mon sac à dos, et lui demande l’autorisation de faire quelques clichés.
« Vas y, « me répond elle « Je n’ai pas de problème avec mon corps. Tu sais, j’ai accepté de satisfaire ton souhait de me savoir sans culotte, parce que, au fond, ça ne me gène pas. Je suis consciente des limites à ne pas franchir, mais, quand j’étais plus jeune, j’aimais bien provoquer, choquer la morale ou la bien pensance judéo-chrétienne. Dans mon métier, je suis obligée de respecter les rêgles, de faire des concessions, d’arrondir les angles comme on dit. Je l’ai fait également pour respecter les conventions sociales, mais ton audace m’a rappelé qui je suis, et a ramené un peu de cette spontanéité que j’avais perdue. »
Elle se mit à plat ventre, et je fis quelques clichés de sa silhouette longiligne et fluide, son dos creusé qui remontait sur la courbe de ses fesses, des gros plans de son profil à la fois doux et énergique avec ses pommettes saillantes, son nez délicat et sa bouche pulpeuse au dessus d’un menton volontaire. Quand elle tournait la tête vers moi l’ovale de son visage adoucissait encore son sourire, ses yeux cachés par ses Ray-ban. Je lui demandai de se retourner et elle se mit sur le dos, prenant des poses suggestives, faisant saillir sa poitrine.
Elle s’agenouilla face à moi, et prit ses seins sous ses mains les soulevant légèrement comme pour me les offrir.
« Les photos, c’est pour toi. Tu peux les montrer, bien sûr, mais seulement à des personnes de confiance. » déclara t’elle avant de se rallonger sur le côté, face à moi.
Je rangeai l’appareil et quand je me tournai de nouveau vers elle, sa main se tendit vers son entrejambe. Avec deux doigts, elle commença à masser ses grandes lèvres, et son clito. Elle enleva ses lunettes et de ses yeux clairs, me fixa intensément, continuant à se caresser. Elle écarta ses cuisses et intrduisit son majeur dans son sexe, bientôt rejoint par son index, puis par un troisième doigt. Elle ouvrait son antre et fouillait en frottant à chaque passage son capuchon qui grossissait, gorgé de sang
« J’ai encore envie » chuchota t’elle, sans s’arrêter
Je l’observais, captivé. Ma main s’était emparée de ma queue, et je me masturbais en face d’elle, le chibre bien dressé devant moi. Son souffle s’accélérait, comme ses mouvements, en même temps que les miens.
« Viens maintenant ! » me cria t’elle.
Je n’attendais que ça et je sautais sur le pont pour l’embrocher. Je la trouvai ouverte et ruisselante, et me mis à la pistonner en missionnaire. Elle repoussa mes bras l’un après l’autre, pour passer ses jambes tendues contre ma poitrine. Jambes serrées, pliée en deux, elle subissait mes assauts, son cul soulevé, mon torse venant percuter ses jambes et son sexe à chaque fois que je retombais sur elle. J’accélérai le tempo pour arriver très vite à un rythme effrené. Elle tenait ses chevilles et glapissait de plus en plus fort. Je sentis la coulée de lave monter en moi et j’éjaculais puissamment dans un râle , sans cesser mon mouvement, et elle cria son orgasme à son tour.
« Wahow, c’est fort comme ça aussi » soupira t’elle en reposant ses jambes. »
Nous nous embrassâmes longuement.
Un peu plus tard, trouvant le soleil trop fort, je me mis à l’abri sous le dais. Déborah somnolait au soleil. Elle émergea au bout d’une heure et vint me rejoindre. J’étais appuyé sur le siège du pilote et elle vint se glisser entre le volant et moi. Ronronnant comme une catte, elle frotta son dos et son fessier contre mon torse, et agaça mon sexe par de petits mouvements du bassin. Je m’assis dans le fauteuil, et elle plaça ses jambes de chaque côté de mes genoux. Elle s’assura de la rigidité de mon sceptre avant de venir s’asseoir dessus. Elle se tenait au volant, montnat et descendant comme un ascenseur sur moi. Je saisis ses tétons que je pinçai fortement, la faisant crier. Elle eut un nouvel orgasme trmblant de tout son corps et s’abattit sur le volant. Ayant déjà déchargé plusieurs fois, je n’avais pas joui, mais j’étais encore bien raide. Profitant de ma position, je restai en elle et la soulevant , glissai un doigt dans son anus. Elle émit un petit couinement, mais ne protesta pas. J’assouplis son sphincter avec mon doigt, puis sortant ma queue de sa chatte, je présentai mon gland à l’entrée de son petit trou. Elle eut un mouvement de recul.
« On ne m’a jamais prise par là »
« Jamais ? » interrogeai-je étonné. Après tout, elle avait plus d’expérience que moi
« Non, je n’ai jamais eu besoin »
« Il est vrai que tu utilises si bien les muscles de ton vagin. Mais ton mari ne t’a jamais demandé ? »
« Si mais j’ai dit non. »
J’étais un peu dépité, c’était raté.
« Mais avec toi, je veux bien. Il faut être très doux. J’ai envie de te donner quelque chose. Je veux que tu sois le premier. »
Elle tourna la tête et je l’embrassai longuement, tout en forçant l’entrée de son cul, de mon gland. Je pénétrai, petit à petit, et elle cria de douleur. Puis mon gland fut comme absorbé, et je me retrouvai à coulisser souplement en elle. Elle y prenait plaisir, car ses plaintes changèrent de ton. Elle empoigna le volant et recommença son mouvement de pompage, ses fesses venant claquer fortement sur mes couilles quand elle retombait
« Oh, oui, Tu m’encules bien ! » rugit elle « Mets te doigts dans ma chatte ! branle moi bien, c’est bon ! »
Je m’exécutai, tandis qu’elle coulissait de plus en plus vite sur mon membre, sa cyprine dégoulinant sur mes doigts, son clito, dur comme la pierre. J’étais serré dans cet étroit et bouillant conduit. Mon sexe me faisait mal, à force de tension. Je sentis une onde de plaisir partir de mes bourses et j’explosai à longues giclées dans ses intestins. Elle resta, un moment assise sur moi. Ma queue dégonflait dans son cul. Elle se dégagea dans un plop qui laissa échapper un peu de ma semence, et se retourna pour m’embrasser encore.
« Si j’avais su, je l’aurais fait avant » sourit elle. « Allez hop, à l’eau ! »
Alors que nous rentrions, Debbie tours nue à la barre me confia
« Je crois que je vais divorcer. »
« Eh là, pas si vite » me hatai-je de répliquer.
« Non, ne t’inquiète pas. Je sais que tu ne m’as rien promis et je n’ai rien a t’offrit. J’ai juste envie de profiter de ces moments avec toi. J’aime baiser avec toi, j’aime te sucer, j’aime quand tu me suce, j’aime quand tu m’encules même, et je veux jouir à fond de ces moments de plaisir. Après toi, un autre viendra peut-être, ou pas, mais ce qui est certain c’est que je ne veux pas passer ma vie à attendre, une vie où il ne se passe rien d’xcitant. » expliqua t’elle
« Eh bien, tu te lâches, c’est bien. Mais je suis encore ici pour quatre jours. »
« Quatre jours ? Tu vas être surpris de voir comment je me lâche. Pour commencer, ce soir , on va danser. »
Le soir même, elle vint me retrouver au camping, après s’être changée, et nous partîmes pour le California. L’ambiance battait son plein quand nous arrivâmes. Il faut dire que nous avions fait une halte, sur la route, pour une petite levrette dans la voiture. Déborah portait une sorte de tunique en voile noir, transparent, dévoilant son corps parfait, en dessous d’une veste longue et croisée en cuir noir. Pour compléter son look, elle portait des santiags noires pleines de broderies.
Je reconnus Crystelle qui dansait sur la piste, et entrainais Déborah au premier , où je retrouvais Eric. Je lui présentai Deborah, et Crystelle. Les boissons arrivèrent bientôt et Deborah, se mit à siroter du whisky sec. Elle se leva ensuite et partit avec Crystelle pour aller danser. Eric et moi, après avoir parlé , descendîmes retrouver les filles qui se trémoussaient en rythme. Je remarquai que Déborah avait ouvert sa veste, dont les pans s’ouvraient au gré de ses mouvements, laissant apercevoir ses seins, et sa toison. Heureusement, la foule était dense et peu de gens remarquèrent cette tenue osée. Quand vint le temps des slows, elle s’approcha de moi.
« Vous dansez, beau blond ? » demanda t’elle en m’entrainant dans ses bras
Je la pris par la taille, sous sa veste ouverte, et fus rapidement au supplice . Elle se frottait contre moi et je sentais la masse chaude de ses seins contre ma chemise. Elle me fit des bisous dans le cou et me dit
« Caresse moi. »
Je passais mes mains sur sa tunique, massant ses fesses, ou ses seins, protégé, en partie de la vue, par la veste qui couvrait mes gestes. Elle vint passer sa jambe gauche autour de ma droite. Mon genou avançait maintenant entre ses cuisse faisant remonter sa tunique, et je sentis contre ma cuisse le contact chaud et humide de sa chatte.
« C’est bon, mets tes doigts maintenant » me chuchota t’elle.
Essayant d’être le plus discret possible, je passai mon bras sous la veste et la trouvais, ouverte sous mes phalanges . Je la doigtai pendant tout un morceau tandis qu’elle enfouissait sa tête dans le creux de mon épaule, emettant de petits soupirs d’aise. Sa main fila d’un coup et immobilisa la mienne alors que j’étais au fond d’elle. Elle frémit et mordit mon épaule. Une fois relachée elle me murmura.
« J’ai joui, merci. »
La série de slows se terminait et je lui proposai d’aller boire un verre au premier. Elle referma prestement sa veste et me précéda. Dans l’escalier, où je la suivai, je me dis qu’une telle tenue, était possible ici, à cause de l’obscurité, mais en plein jour, elle aurait créé une émeute. De retour dans l’alcove, je découvrai Eric et Crystelle, qui se bécotaient en se faisant des caresses soft. Déborah se défit de sa veste et vint se blottir contre moi. Au passage, Eric qui ouvrait de grands yeux n’avait pas pu éviter de voir, même dans la semi-obscurité, cette robe qui la faisait plus que nue. D’aiileurs, la profondeur des coussins, avait fait remonter le vêtement sur ses longues jambes, à la limite de son triangle d’or. Les regardant avec un sourire espiègle, Déborah, se leva pour aller jusqu’à la balustrade, observer la piste de danse d’en haut. Ce faisant, elle mit en lumière son côté pile, le voile montrant plus qu’il ne cachait, son splendide fessier. Eric et sa compagne mataient ce tableau. Crystelle caressait la bosse du jean d’Eric, qui se développait. Déborah, fit demi-tour et revont vers nous, devoilant ce que les danseurs avaient dû découvrir en contre-plongée. Ses seins pleins tendaient le fin tissu qui ne masquait rein de sa courte toison et de sa fente. Elle se colla à moi, et me fit des bisous, tout en massant mon sexe , à travars lea toile du jean’s.. Elle but plusieurs whiskies et devint de plus en plus entreprenante, s’allongeant sur le canapé, la tête sur mes cuisses. Le voile était remonté et découvrait la moitié de ses fesses. Eric, n’en pouvant plus sortit son sexe de son pantalon et Crystelle, compréhensive, le prit dans sa bouche et le suça longuement. Déborah, reprit une position assise pour les regarder, tout en attirant ma main entre ses cuisses où son sexe entrebaillé
L’accueillit. La soirée s’étira ainsi. Heureusement l’alcove où nous étions était tout au fond de la rochelle et personne ne venait jusque là.
Notre départ ne passa pas inaperçu car Déborah traversa toute la salle sans remettre sa veste, et ne manqua pas de susciter quelques commentaires grivois, sans parler des mains qui la pelotèrent au passage. Une fois au dehors, elle remit le vêtement de cuir, évitant de provoquer des accidents parmi les conducteurs qui s’en allaient. Dans la voiture, elle s’étendit en travers, et sortit mon sexe pour une pipe longue et langoureuse. J’étais bien excité par ce que j’avais vu avant, et je sentis que j’allais exploser . Je tentais de tirer sa tête en arrière, mais elle s’accrocha à moi, et reçut mes décharges dans sa gorge, en déglutissant bruyamment. Elle me nettoya avec sa langue et remis ma queues dans mon jean’s.
« Pas trop mauvais finalement » commenta t’elle « Tu vois que je peux me lâcher à un point que tu n’imagines pas. »
« Oui, mais là, tu risque d’être arrêtée pour attentat à la pudeur. J’ai fait un peu de droit et »
« Et rien du tout. Je connais le patron de la boite. Il a déjà vu bien pire. Il se dit que ma petite prestation va contribuer, avec le bouche à oreille, à amener uen clientèle encore plus nombreuse. Je viens là depuis longtemps, et sur la coursive, j’en ai vu qui baisaient carrément, ce qui peut choquer les petites minettes de 15 ans qui viennent l’été, quand ce n’est pas carrément elles qui se font sauter. Pendant ce temps là, le patron de la boite regarde ailleurs. »
« Je l’ignorais » avouai-je « même si je m’en doutais. Ta robe est vraiment super sexe, mais peut-être un peu limite. »
« Tu n’aimes pas ? Ok » dit elle, et elle fit passer la robe par dessus sa tête, la jetant à l’arrière de la voiture.
« Je vais aller dormir avec toi » décida t’elle
« tu sais , je dors dans une tente » précisai-je
« Ah oui, camping, bien sûr . ça me va. »
C’est comme ça que Debbie vint partager ma canadienne.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle série.
Pas de violence, de trahison et d’insultes.
Le respect était à l’honneut.
Félicitation
Jacques du Canada
Pas de violence, de trahison et d’insultes.
Le respect était à l’honneut.
Félicitation
Jacques du Canada
L'histoire finit ainsi ???????
Magnifique série d'histoire très excitante, à poursuivre sans limite.
Bisous
Bisous