Au poil !
Récit érotique écrit par Rouge [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au poil !
Hélène : Au poil, première partie
Finalement, je trouve que le con touffu d’Anne So est plutôt sexy.
Alors j’ai profité d’une absence de Pierre pour laisser repousser mon vison. Mais, je veux que ce soit chic et classieux. J’en ai parlé à Fran.
Ma copine Fran est une femme opulente, même plus opulente qu’Anne So. Avant de me connaitre, elle s’attifait comme un sac. Mais je suis passée par là et je le l’ai juste un peu coachée. Et maintenant, elle est toujours aussi opulente, et elle fait envie aux hommes, mais…
Mais, Françoise aime les femmes. Elle aime le corps des femmes, le corps de toutes les femmes. Ça tombe bien, Fran est mon esthéticienne corps.
C’est elle qui s’occupe de mon vison, de mes cuisses, de mes fesses, de mes seins. Comme elle dit, il y a du boulot. Et je lui réponds que ça lui fait une assurance contre le chômage.
Nous sommes bonnes copines. Au début, elle a un peu essayé de laisser ses mains s’égarer. Je l’ai arrêté avec gentillesse. Et puis, à la séance suivante, quand j’étais à plat ventre, elle a vu la marque de Pierre. Alors, je lui ai expliqué que j’étais la femme d’un homme, d’un seul homme, et que j’étais totalement à lui. Elle n’a rien dit.
Une autre fois, elle m’a questionnée sur mon premier piercing, je lui ai raconté l’histoire. Ça a été un bon moment de rigolade, quand je lui ai raconté comment j’avais montré mon rosebud au gardien du parking.
Mais quand elle a vu mes seins annelés et mes nouveaux bijoux, elle a eu les larmes aux yeux, et elle m’a traitée de folle.
Maintenant que j’ai laissé ma touffe repousser en vrac, il est temps de se faire une petite coupe. J’ai choisi de garder une belle bande au-dessus et autour de mon sexe. Mon gazon se prolonge au-delà de mon périnée, en s’élargissant un peu autour de mon anus et s’arrêtant à la moitié de ma raie culière. Avec mes culottes habituelles, rien ne déborde, et comme je déteste les strings, ça restera impeccable.
- Alors quelle couleur veux tu me questionne Fran ?
- Rouge, la couleur de mon homme.
- Mais quel rouge ?
- Euh, je ne sais pas.
- Et si tu faisais un rappel de ton rouge à lèvre ?
- Ah oui, c’est une idée amusante, fais-je en fouillant dans mon sac à main.
Je lui tends un stick entre carmin et vermillon. Coup de chance, elle a la teinte équivalenteJe m’installe sur la table, les cuisses écartées, les doigts croisés derrière la tête. Je sens ses mains gantées étaler la couleur, et trifouiller dans ma toison. Je m’alanguis.
- Oh excuse-moi !!!
- De quoi?
- J’ai passé un peu de teinture sur ton petit trou et il faut que je l’essuie.
Elle commence à passer une petite lingette sur ma rosette. C’est très doux et très agréable. Puis le ressenti du toucher change, c’est probablement son doigt qui tourne autour de mon œillet. Je décide de me laisser faire, et je m’abandonne, sur le dos, en cachant mes yeux sous mon avant-bras. Son index s’enhardit, et pousse doucement sur le centre de mon cratère. Il s’ouvre complaisamment, comme pour l’inviter. Elle m’introduit une première phalange, j’accompagne cette pénétration d’un léger mouvement du bassin et d’un petit soupir de bonheur. Avec les femmes, j’adore le slow sex.
Elle se retire et se ré-enfonce. Je soupire à nouveau, alors elle joint son majeur et entame un massage circulaire de mon anus. C’est délicieux, mais je veux lui montrer qui est la patronne.
Alors brutalement, je serre mon sphincter, comme si je voulais lui broyer les doigts.
- Aie, fait-elle en levant les yeux,
Je suis sur les coudes et je la regarde en rigolant. Puis je me relâche. Elle retire ses doigts.
- C’est dingue ton truc, comment tu fais ça ?
- Casse-noisette !
- C’est quoi, casse-noisette.
- Tu sais que Pierre aime me prendre par derrière, et que j’adore me faire enculer.
- Oui, mais tu n’es pas trop déformée.
- On ne joue jamais à des jeux de dilatation car il veut que je reste tonique, c’est d’ailleurs pourquoi je porte des rosebud assez lourds, mais jamais de plugs trop larges.
- Oui, mais que vient faire la danse classique dans tout ça.
- Et bien je te raconterais quand je reviendrais te voir !
Et mon homme, est-ce que cette nouveauté lui a plu.
Eh bien, il va vous le raconter lui-même.
Récit de Pierre
Hélène m’a prévenu qu’elle passerait me prendre à Roissy.
Je la repère après les contrôles, elle s’est placée à l’écart de la petite foule.
Elle porte une jolie robe fluide, rouge vif, un ourlet bien sage, au mollet, avec un beau décolleté en V et un lacet au-dessus de chaque épaule pour les dégager.
Pour être sûre que je ne la manque pas, elle agite un bras au-dessus de sa tête. Ce qui a pour effet de créer une délicieuse agitation sous son corsage. Madame a décidé de mettre toutes les chances de son côté.
Je m’approche, et elle me saute au coup, et m’enlace. Dans l’élan, elle me prend les lèvres, sa langue s’insinue dans ma bouche et l’explore avec gourmandise.
Elle colle sa poitrine opulente contre mon torse. Aucun doute, ses seins s’ébattent en liberté, je sens ses tétons durcis frotter contre ma peau à travers le tissu de nos vêtements. Je pose ma main gauche sa hanche. Sans souci du monde qui nous entoure, elle la fait glisser sur son croupion. C’est moelleux, élastique, sans couche de tissu inutile, ni surépaisseur.
Aucun doute, son cul est en liberté sous sa jupe. Je descends mes doigts jusqu’à la jonction avec la cuisse. J’empaume la fesse et je la pelote en soulevant cette masse opulente. Je lui murmure.
- Ça ne te gêne pas de te faire tripoter en public.
- En ce moment, il n’y a plus personne, ils sont tous partis chercher un taxi.
- Mais tu vas passer pour une salope.
- Je suis une salope, mais celle d’un seul homme. Conclut-elle en me roulant un patin d’enfer.
Hélène
Nous sommes rentrés en vitesse à la maison. Pierre a bien essayé de glisser sa main sous ma jupe pendant que je conduisais.
- Arrête, c’est une surprise, pour la maison, dis-je en lui donnant une tape sur les doigts.
Je nous gare en vrac dans l’allée, et je le tire par le poignet jusqu’au salon. Je m’installe dans le canapé, et je lui jette deux coussins.
- Agenouille-toi devant ta reine.
J’écarte mes genoux, sans dévoiler mes jambes.
- Mange-moi, vil manant. Et sans les mains.
Il s’incline et plonge sous ma robe. Je rabats le tissu sur sa tête Je sens ses lèvres sur mes cuisses, il dépasse la lisière de mes bas, il remonte en léchant ma peau. Il arrive à ma chatte.
- Oh ! Quelle surprise, lâche-t-il.
Sa bouche se colle à mon sexe béant, il lèche mes lèvres remontant vers le clitoris. Il écarte ma pilosité avec sa langue. Il referme ses dents sur mes poils, puis tire avec douceur. C’est délicieux, tout en tendresse. Il revient plus bas et mastique mon con. Il mord à nouveau mon vison et il étire mes nymphes comme s’il voulait arracher ma toison. Je commence à râler.
Je pose mes mains sur sa tête. Il revient vers mon bourgeon, et ventouse ses lèvres autour de mon bouton. Il aspire mon petit haricot, qui se gorge de sang. Je commence à perdre pied. Il m’achève d’un coup de langue râpeuse. Je spasme.
Quand je reviens sur terre, il s’est dégagé de ma jupe, et ma regarde avec tendresse. Je prends son visage, et s’embrasse son visage maculé de ma mouille.
- Ça t’a plu.
- C’est délicieux. Et inattendu...
Je me retourne et je me mets à genoux sur l’assise. Je fais voler ma robe et je dévoile mon cul.
- Maintenant, occupe-toi de mon côté pile, fais-je en écartant mes fesses à deux mains.
Pierre est un amant délicieux, mais il a décidé de me faire languir. Alors, plutôt que flécher directement l’objectif, il bisoute mes fesses.
- S’il te plait, ne me fait pas attendre.
Il saisit mes miches, et m’ouvre en grand. Sa langue glisse sur mon périnée, et remonte vers mon cratère.
J’adore cette caresse. Elle est pleine de sensualité, et surtout riche de promesses. Grace à l’éducation sensuelle de mon homme, je suis devenue fan du plaisir anal, que ce soit la feuille de rose, la pénétration linguale, une sodomie délicate, ou un enculage brutal et sans fioriture.
Mais ce que j’apprécie par-dessus tout, c’est cette jouissance cérébrale de sentir le visage de mon homme s’enfoncer au milieu de mon cul et de me fouiller sans retenue.
Il me lèche la raie culière, tout en évitant mon cratère. Je manifeste mon impatience par une légère ondulation de mon gros derrière. En réponse, il mord les poils entourant ma rosette, et tire légèrement. Ça me chatouille, je pouffe. Il colle ses lèvres à mon trou mignon et le baise.
Il pousse sa langue sur mon anus.
Comme celui-ci a été bien éduqué, il s’ouvre. Sa baveuse me pénètre, s’insinuant dans mon cratère. Elle masse l’intérieur de mon rectum, dans un mouvement circulaire. Il se retire. Je sens ses dents mordre mon muscle anal, Puis il me pénètre à nouveau, il m’encule de sa langue. Je ne suis plus qu’un cul à baiser, fouiller, lécher. Je roucoule.
Des doigts farfouillent dans ma fourrure, et trouvent mon clitoris, ils le décalottent, et le tire en le pinçant. Je pars.
Je me roule dans les bras de mon homme.
- Alors, tu aimes ?
- Oui, c’est très joli et plutôt sexy, et puis...
- Et puis…- J’adore farfouiller dans tes poils avec ma langue pour dénicher ton trou du cul.
- Et devant ?
- Pareil, mais il faut que j’achète des anneaux plus gros, on peine à retrouver ton trésor dans ta jungle rouge.
- Tu feras doucement pour me les poser.
- Et tu sens bon, mais pas comme avant.
- Comment ça ? Je pue ?
- Non ma chérie, tu es très propre, mais ta chatte sent moins ton savon, et ton odeur naturelle murit un peu plus. C’est plus musqué, mais ça se marie bien avec ton parfum.
- Je suis heureuse que tu apprécies, alors on valide ?
- Sans problème...
Je laisse passer un petit silence. Et je murmure…
- Je peux te demander quelque chose,- Oui, quoi ?
- Et si tu t’épilais, en entier ?
- Ouf, tu m’as fait peur.
- Ah, bon, pourquoi ?
- J’ai cru que tu allais me demander de me teindre en jaune.
Un petit bisou, et nous nous endormons, l’une dans l’autre, en petite cuillère. Et pour une fois, sa main n’est pas sur mon sein, mais elle s’est glissée entre mes cuisses.
A suivre
Finalement, je trouve que le con touffu d’Anne So est plutôt sexy.
Alors j’ai profité d’une absence de Pierre pour laisser repousser mon vison. Mais, je veux que ce soit chic et classieux. J’en ai parlé à Fran.
Ma copine Fran est une femme opulente, même plus opulente qu’Anne So. Avant de me connaitre, elle s’attifait comme un sac. Mais je suis passée par là et je le l’ai juste un peu coachée. Et maintenant, elle est toujours aussi opulente, et elle fait envie aux hommes, mais…
Mais, Françoise aime les femmes. Elle aime le corps des femmes, le corps de toutes les femmes. Ça tombe bien, Fran est mon esthéticienne corps.
C’est elle qui s’occupe de mon vison, de mes cuisses, de mes fesses, de mes seins. Comme elle dit, il y a du boulot. Et je lui réponds que ça lui fait une assurance contre le chômage.
Nous sommes bonnes copines. Au début, elle a un peu essayé de laisser ses mains s’égarer. Je l’ai arrêté avec gentillesse. Et puis, à la séance suivante, quand j’étais à plat ventre, elle a vu la marque de Pierre. Alors, je lui ai expliqué que j’étais la femme d’un homme, d’un seul homme, et que j’étais totalement à lui. Elle n’a rien dit.
Une autre fois, elle m’a questionnée sur mon premier piercing, je lui ai raconté l’histoire. Ça a été un bon moment de rigolade, quand je lui ai raconté comment j’avais montré mon rosebud au gardien du parking.
Mais quand elle a vu mes seins annelés et mes nouveaux bijoux, elle a eu les larmes aux yeux, et elle m’a traitée de folle.
Maintenant que j’ai laissé ma touffe repousser en vrac, il est temps de se faire une petite coupe. J’ai choisi de garder une belle bande au-dessus et autour de mon sexe. Mon gazon se prolonge au-delà de mon périnée, en s’élargissant un peu autour de mon anus et s’arrêtant à la moitié de ma raie culière. Avec mes culottes habituelles, rien ne déborde, et comme je déteste les strings, ça restera impeccable.
- Alors quelle couleur veux tu me questionne Fran ?
- Rouge, la couleur de mon homme.
- Mais quel rouge ?
- Euh, je ne sais pas.
- Et si tu faisais un rappel de ton rouge à lèvre ?
- Ah oui, c’est une idée amusante, fais-je en fouillant dans mon sac à main.
Je lui tends un stick entre carmin et vermillon. Coup de chance, elle a la teinte équivalenteJe m’installe sur la table, les cuisses écartées, les doigts croisés derrière la tête. Je sens ses mains gantées étaler la couleur, et trifouiller dans ma toison. Je m’alanguis.
- Oh excuse-moi !!!
- De quoi?
- J’ai passé un peu de teinture sur ton petit trou et il faut que je l’essuie.
Elle commence à passer une petite lingette sur ma rosette. C’est très doux et très agréable. Puis le ressenti du toucher change, c’est probablement son doigt qui tourne autour de mon œillet. Je décide de me laisser faire, et je m’abandonne, sur le dos, en cachant mes yeux sous mon avant-bras. Son index s’enhardit, et pousse doucement sur le centre de mon cratère. Il s’ouvre complaisamment, comme pour l’inviter. Elle m’introduit une première phalange, j’accompagne cette pénétration d’un léger mouvement du bassin et d’un petit soupir de bonheur. Avec les femmes, j’adore le slow sex.
Elle se retire et se ré-enfonce. Je soupire à nouveau, alors elle joint son majeur et entame un massage circulaire de mon anus. C’est délicieux, mais je veux lui montrer qui est la patronne.
Alors brutalement, je serre mon sphincter, comme si je voulais lui broyer les doigts.
- Aie, fait-elle en levant les yeux,
Je suis sur les coudes et je la regarde en rigolant. Puis je me relâche. Elle retire ses doigts.
- C’est dingue ton truc, comment tu fais ça ?
- Casse-noisette !
- C’est quoi, casse-noisette.
- Tu sais que Pierre aime me prendre par derrière, et que j’adore me faire enculer.
- Oui, mais tu n’es pas trop déformée.
- On ne joue jamais à des jeux de dilatation car il veut que je reste tonique, c’est d’ailleurs pourquoi je porte des rosebud assez lourds, mais jamais de plugs trop larges.
- Oui, mais que vient faire la danse classique dans tout ça.
- Et bien je te raconterais quand je reviendrais te voir !
Et mon homme, est-ce que cette nouveauté lui a plu.
Eh bien, il va vous le raconter lui-même.
Récit de Pierre
Hélène m’a prévenu qu’elle passerait me prendre à Roissy.
Je la repère après les contrôles, elle s’est placée à l’écart de la petite foule.
Elle porte une jolie robe fluide, rouge vif, un ourlet bien sage, au mollet, avec un beau décolleté en V et un lacet au-dessus de chaque épaule pour les dégager.
Pour être sûre que je ne la manque pas, elle agite un bras au-dessus de sa tête. Ce qui a pour effet de créer une délicieuse agitation sous son corsage. Madame a décidé de mettre toutes les chances de son côté.
Je m’approche, et elle me saute au coup, et m’enlace. Dans l’élan, elle me prend les lèvres, sa langue s’insinue dans ma bouche et l’explore avec gourmandise.
Elle colle sa poitrine opulente contre mon torse. Aucun doute, ses seins s’ébattent en liberté, je sens ses tétons durcis frotter contre ma peau à travers le tissu de nos vêtements. Je pose ma main gauche sa hanche. Sans souci du monde qui nous entoure, elle la fait glisser sur son croupion. C’est moelleux, élastique, sans couche de tissu inutile, ni surépaisseur.
Aucun doute, son cul est en liberté sous sa jupe. Je descends mes doigts jusqu’à la jonction avec la cuisse. J’empaume la fesse et je la pelote en soulevant cette masse opulente. Je lui murmure.
- Ça ne te gêne pas de te faire tripoter en public.
- En ce moment, il n’y a plus personne, ils sont tous partis chercher un taxi.
- Mais tu vas passer pour une salope.
- Je suis une salope, mais celle d’un seul homme. Conclut-elle en me roulant un patin d’enfer.
Hélène
Nous sommes rentrés en vitesse à la maison. Pierre a bien essayé de glisser sa main sous ma jupe pendant que je conduisais.
- Arrête, c’est une surprise, pour la maison, dis-je en lui donnant une tape sur les doigts.
Je nous gare en vrac dans l’allée, et je le tire par le poignet jusqu’au salon. Je m’installe dans le canapé, et je lui jette deux coussins.
- Agenouille-toi devant ta reine.
J’écarte mes genoux, sans dévoiler mes jambes.
- Mange-moi, vil manant. Et sans les mains.
Il s’incline et plonge sous ma robe. Je rabats le tissu sur sa tête Je sens ses lèvres sur mes cuisses, il dépasse la lisière de mes bas, il remonte en léchant ma peau. Il arrive à ma chatte.
- Oh ! Quelle surprise, lâche-t-il.
Sa bouche se colle à mon sexe béant, il lèche mes lèvres remontant vers le clitoris. Il écarte ma pilosité avec sa langue. Il referme ses dents sur mes poils, puis tire avec douceur. C’est délicieux, tout en tendresse. Il revient plus bas et mastique mon con. Il mord à nouveau mon vison et il étire mes nymphes comme s’il voulait arracher ma toison. Je commence à râler.
Je pose mes mains sur sa tête. Il revient vers mon bourgeon, et ventouse ses lèvres autour de mon bouton. Il aspire mon petit haricot, qui se gorge de sang. Je commence à perdre pied. Il m’achève d’un coup de langue râpeuse. Je spasme.
Quand je reviens sur terre, il s’est dégagé de ma jupe, et ma regarde avec tendresse. Je prends son visage, et s’embrasse son visage maculé de ma mouille.
- Ça t’a plu.
- C’est délicieux. Et inattendu...
Je me retourne et je me mets à genoux sur l’assise. Je fais voler ma robe et je dévoile mon cul.
- Maintenant, occupe-toi de mon côté pile, fais-je en écartant mes fesses à deux mains.
Pierre est un amant délicieux, mais il a décidé de me faire languir. Alors, plutôt que flécher directement l’objectif, il bisoute mes fesses.
- S’il te plait, ne me fait pas attendre.
Il saisit mes miches, et m’ouvre en grand. Sa langue glisse sur mon périnée, et remonte vers mon cratère.
J’adore cette caresse. Elle est pleine de sensualité, et surtout riche de promesses. Grace à l’éducation sensuelle de mon homme, je suis devenue fan du plaisir anal, que ce soit la feuille de rose, la pénétration linguale, une sodomie délicate, ou un enculage brutal et sans fioriture.
Mais ce que j’apprécie par-dessus tout, c’est cette jouissance cérébrale de sentir le visage de mon homme s’enfoncer au milieu de mon cul et de me fouiller sans retenue.
Il me lèche la raie culière, tout en évitant mon cratère. Je manifeste mon impatience par une légère ondulation de mon gros derrière. En réponse, il mord les poils entourant ma rosette, et tire légèrement. Ça me chatouille, je pouffe. Il colle ses lèvres à mon trou mignon et le baise.
Il pousse sa langue sur mon anus.
Comme celui-ci a été bien éduqué, il s’ouvre. Sa baveuse me pénètre, s’insinuant dans mon cratère. Elle masse l’intérieur de mon rectum, dans un mouvement circulaire. Il se retire. Je sens ses dents mordre mon muscle anal, Puis il me pénètre à nouveau, il m’encule de sa langue. Je ne suis plus qu’un cul à baiser, fouiller, lécher. Je roucoule.
Des doigts farfouillent dans ma fourrure, et trouvent mon clitoris, ils le décalottent, et le tire en le pinçant. Je pars.
Je me roule dans les bras de mon homme.
- Alors, tu aimes ?
- Oui, c’est très joli et plutôt sexy, et puis...
- Et puis…- J’adore farfouiller dans tes poils avec ma langue pour dénicher ton trou du cul.
- Et devant ?
- Pareil, mais il faut que j’achète des anneaux plus gros, on peine à retrouver ton trésor dans ta jungle rouge.
- Tu feras doucement pour me les poser.
- Et tu sens bon, mais pas comme avant.
- Comment ça ? Je pue ?
- Non ma chérie, tu es très propre, mais ta chatte sent moins ton savon, et ton odeur naturelle murit un peu plus. C’est plus musqué, mais ça se marie bien avec ton parfum.
- Je suis heureuse que tu apprécies, alors on valide ?
- Sans problème...
Je laisse passer un petit silence. Et je murmure…
- Je peux te demander quelque chose,- Oui, quoi ?
- Et si tu t’épilais, en entier ?
- Ouf, tu m’as fait peur.
- Ah, bon, pourquoi ?
- J’ai cru que tu allais me demander de me teindre en jaune.
Un petit bisou, et nous nous endormons, l’une dans l’autre, en petite cuillère. Et pour une fois, sa main n’est pas sur mon sein, mais elle s’est glissée entre mes cuisses.
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