Hélène 59 : je suis une conne.

- Par l'auteur HDS Rouge -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Hélène 59 : je suis une conne. Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Hélène 59 : je suis une conne.
Hélène 59
Je suis une conne…
La nuit est fraiche, près du grand chêne. Ce soir, je fais partie des sept, mes six consœurs m’entourent. Comme moi, elles attendent. Mais ce soir, la victime n’est pas une inconnue, ni même Mel, ou Anne So. C’est Pierre, mon homme, mon maitre adoré.

Je suis une conne…
C’était il y a quelques jours.

Mes amies sont venues prendre le thé à la maison. Elles se sont partagées les fauteuils, et je me suis attribuée le canapé. Mon chaton pose le plateau sur la table basse. Il a ajouté au thé et aux petits gâteaux, quatre verres à liqueur, et la bouteille de mandarine impériale, ma liqueur préférée.
Puis il me rejoint sur la banquette, s’y allonge, et pose sa tête sur mes cuisses. Monsieur aime son confort !
Après un ou deux verres chacune, l’ambiance est devenue très gaie. Nous jouons au jeu « qu’est-ce que tu préfères » du genre « tu préfères boire un pastis au vin rouge, ou boire de l’eau au citron avec du sel ».
C’est mon tour, je suis déjà un peu pompette, je finis ma liqueur, et je pose ma question à Pierre.

- Que préfères-tu, mon chéri : je te fais fouetter ou tu me demande en mariage ?

Instantanément, en m’entendant, je me dégrise, je comprends ma bêtise. Avant même sa réponse, je vois venir la catastrophe.
Il me sourit, et sur un ton badin, il me répond.

- Le fouet, ma chérie, c’est évident.

Immédiatement, mes amies se récrient.

- Mais voyons Pierre, comment pouvez-vous ?

Mais je sais déjà en moi-même qu’il ne changera pas d’avis.
Et voilà, je suis si conne que j’en pleurerais. Je suis tombée dans le piège que je me suis moi-même tendue
Ce soir, je fais partie des sept, mes six consœurs m’entourent, comme moi elles attendent.
Un crissement de pas sur le gravier. Nous tournons la tête vers l’allée, trois silhouettes sortent de l’ombre. Mel, et Anne-So escortent mon chéri, il s’avance libre, sans laisse, ni collier. Il ne joue pas au soumis, il est l’amant qui va se donner à son amante.

Il entre dans le cercle de lumière. Anne-So dénoue l’étoffe qui lui ceint les reins. Le tissu tombe. Je ne peux m’empêcher de le trouver magnifique dans sa nudité. Un instant mon esprit vagabonde. Et si je l’obligeais à vivre sans vêtement à la maison.
La voix de Cruella murmure à mon oreille.

- Félicitations ! Vous ne devez pas vous ennuyer pendant les longues soirées d’hiver !

Je reviens sur terre.
Mel et Anne So s’agenouillent aux pieds de mon sultan, elles verrouillent deux bracelets rembourrés sur chacune des chevilles. II s’allonge sur le gazon. Un petit bruit de moteur électrique, une barre d’écartement descend de la ramure du chêne. Mes deux amies cliquent les mousquetons sur les anneaux de suspension. Pierre est soulevé lentement. Maintenant, il pend la tête en bas, ses doigts effleurent à peine les brins d’herbe. Il oscille doucement.

Mes deux complices s’écartent. Je ne veux pas leur confier mon homme. Elles risquent d’être maladroites, et de le blesser. C’est pourquoi Cruella et Nora s’occuperont de mon chéri.
Elles sont habiles et sans pitié. Elles savent ce qu’il peut endurer, et surtout ce que je peux supporter.
Elles se placent l’une devant, l’autre derrière. Les lanières pendent au bout de leurs bras. Elles attendent mon signal.

Je fais durer l’attente. Très doucement, la verge de Pierre commence à se redresser. A cet instant, je me rappelle son récit de sa première liaison, quand il était un jeune adulte.

Je fais un petit signe de la main. Cruella lève son martinet et l’abat sur les cuisses et les fesses de mon seigneur adoré. Je peux voir ses mâchoires se contracter. Nora lance son fouet sur les abdominaux de Pierre. La longue lanière s’enroule autour de sa taille, puis se dénoue.
Elles marquent une pause. Puis elles recommencent lentement, méthodiquement, chacune leur tour, lui laissant déguster chaque cinglée.

Je tressaille à chaque fouettée, comme si j’étais moi-même flagellée.
Mel se glisse derrière moi, elle pose sa paume sur ma hanche. Elle faufile sa main sous ma jupe, elle remonte le long des bas, jusqu’à ma cuisse nue. Ses doigts s’insinuent, par derrière, sous ma culotte déjà humide. Son pouce appuie sur ma rosette, son index et son majeur agacent mes lèvres gonflées et trempées. Elle se colle contre moi, et murmure…
- Tu aimes le voir fouetter ?
- Oui.
- Tu mouilles de sa douleur ?
- Oui- Tu sais qu’il aime souffrir pour toi.
- Oui.
- Tu as vu, il bande comme un cerf.
- Oui.

Les lanières continuent de s’abattre sur mon amant, il n’essaie plus de se défendre avec ses mains.
Cruelle lance son martinet. Les lanières frappent les couilles et la verge en érection. La bourrelle redouble son coup, atteignant le gland décalotté. Pierre hurle.

Je tremble spasmodiquement. Mes genoux me lâchent, je tombe. Mel et Anne-So me rattrapent. Je reprends mon souffle. Est-ce le cri de mon homme, ou les doigts habile de mon amante qui ont provoqué mon orgasme ?

Pierre est descendu, il se pose en douceur sur l’herbe fraiche. Sa respiration s’apaise. Mais ce n’est pas fini. Quatre femmes délient ses chevilles de la barre d’écartement, et y accrochent ses poignets. Elles l’aident à se relever. Un bruit de cliquet, et le voici étiré.
Je m’empare de ma cravache fétiche sur la table et je m’approche. Il me sourit. Je fais glisser le jonc sur sa poitrine puis sur son ventre. Sa belle bite se redresse avec orgueil. Il sait ce qu’il va subir, et malgré tout, il bande. Je ne vais pas le faire attendre.

Je passe derrière. Un instant, j’admire son cul. Ses fesses sont rondes, fermes, pommées. J’en mangerai. D’ailleurs, je l’ai déjà mordu deux ou trois fois, et je ne me priverai pas de recommencer.
Je lève mon bras, et je l’abats, il hurle. La tige souple l’a frappé en plein milieu de son cul. Ses genoux plient, puis il se redresse.
Je lui fais face. Je laisse tomber la cravache.


Pierre
Les spectatrices installent le sling sur une branche proche de celle à laquelle je suis attaché. Mel et Anne-So s’avancent. La rousse passe derrière mon aimée, et déboutonne sa robe, le tissu tombe à terre. Hélène l’enjambe. Elle est en dessous. Même après des années d’intimité et de déshabillages coquins, elle me fait toujours autant d’effet. Mon érection faiblissante reprend de la vigueur.
Mel fait tomber son soutien-gorge. Ma belle croise les doigts derrière sa nuque offrant sa poitrine. Anne So fait glisser sa culotte, mon amante l’envoie valser d’un coup de pied.

Hélène s’assoie sur le bord du sling. Elle se laisse basculer en arrière. Elle s’abandonne sa tête pendant dans le vide, déployant sa gorge. Ses amies dégagent sa chevelure, et la font couler jusqu’au sol gazonné.
Elles attachent ses poignets aux courroies du sling. Puis elles enchaînent ses chevilles aux autres courroies et les maintiennent écartées. Je peux voir son sexe entrebâillé, au milieu de sa fourrure rouge. Mel attrape son sein gauche, et lui pose une petite pince qu’elle relie aux chaines de la balançoire. Ma belle laisse échapper un râle. Le téton droit est étiré de la même façon.
Elles l’orientent vers moi. Un petit bruit de moteur électrique, le sling monte, et s’arrête. La bouche ouverte d’Hélène est juste à la hauteur de ma queue bandée. On pousse ma chérie vers mon sexe.
Elle embouche ma verge. Du bout de la langue, elle agace mon gland, augmentant mon érection.


Hélène.

Voilà, je suis attachée, pincée ouverte, prête pour les lanières de mes six sœurs. La queue de mon homme en bouche, j’attends avec impatience le début de mon supplice et la jouissance de mon seigneur.


Pierre.

Je pousse mon bassin en avant, forçant les mâchoires de ma belle, jusqu’à sa glotte. C’est le moment que choisi Cruella pour fouetter l’intérieur des cuisses. Hélène s‘étouffe et spasme. Sa gorge se crispe autour de mon gland, comme les muscles de son vagin.
Je me recule, sans me dégager complétement. Elle reprend son souffle, mais je la force à fond à nouveau. La bourrelle lui flagelle nouveau l’entrejambe. Elle spasme dans un gargouillis obscène. Je la libère à nouveau.
Cruelle se règle sur moi, à chaque fois que je viole la bouche de ma belle, son cul, ses cuisses sont flagellées.
J’accélère le rythme, ma bite et le fouet se renvoient ma chérie dans un balancement pervers. C’est à peine si elle peut respirer. Elle n’émet plus qu’un râle continu.
Mon plaisir monte.
Je bourre à répétition la gueule de ma belle, elle bave. Je vais partir. Je l’embouche à fond. Cruella fouette sa chatte exposée. La gorge d’Hélène serre ma queue, presque à la broyer. Elle va étouffer. Je me recule brutalement, la libérant complétement. Mon sperme jaillit aspergeant le visage et les seins de la suppliciée. Elle aspire l’air avec un grand cri de noyée qui respire à nouveau.

Tous les deux nous reprenons notre souffle, je débande, elle gobe mon gland et le nettoie avec sa langue.
Les dominas la détachent du sling et l’entrainent. On me décroche, je tombe à genoux, brisé par l’orgasme le plus intense que j’ai connu.
Après tout s’enchaine comme dans un rêve. Mel et Anne So, nous drapent dans des couvertures toutes douces, puis elles nous installent l’un contre l’autre dans la voiture. Puis je me perds dans le brouillard du sommeil.

Hélène
Doucement j’émerge du sommeil, j’ouvre les yeux. Mon chéri est déjà réveillé, son visage est tout près du mien. Il chuchote.

- Ça va ma chérie.
- J’ai mal partout mon chaton.
- Moi pareil, j’ai l’impression que ma peau va craquer par toutes ses coutures.

Je dépose un petit bisou sur ses lèvres quand…
- Tu peux venir, les tourtereaux sont réveillés.

Mel pousse la porte, et entre, suivie d’Anne-So portant un grand plateau avec des viennoiseries et un grand pot de chocolat chaud.

- Mais, qu’est-ce que vous faites là ?
- On vous a ramenés hier soir, et Anne So a proposé de rester pour nous occuper de vous ce matin, répond Mel.
- Et on a squatté la chambre d’amis, complète Anne So.
- Vous n’avez pas fait qu’emprunter une chambre, Mel, tu m’as pris un peignoir en soie, et toi Anne So, c’est bien une chemise de mon chéri que tu as sur le dos.
- Ma belle, je ne rentrais pas dans une de tes déshabillés, alors j’ai fouillé dans le dressing de ton homme.
- Oui mais c’est un peu court, dès que tu bouges, on voit ton cul.

Elle éclate de rire, et un nichon en profite pour s’échapper de la liquette qu’elle a volée à mon homme. Elle pose le petit déjeuner au milieu du lit, et nous nous installons. Le drap glisse et dévoile la verge de mon chéri. Je le recouvre, ce qui provoque l’hilarité de Mel.
- Ce n’est pas drôle, dis-je.
- Mais regarde, tu es nue, et nous presque à poil, me renvoie Mel.
- Dès que vous avez fini, on vous passe à la douche, et on vous masse après, ça vous dit, propose Anne-So...

Nous poussons le plateau vide, et direction la salle de bains. Anne So s’attribue Pierre et commence à le savonner, pendant que Mel s’occupe de moi. Je garde quand même un œil sur ma copine, car je reste malgré tout un peu jalouse.
Elles nous rincent, et ensuite nous sèchent.

- Allez, à plat ventre sur le lit, on va vous masser, ordonne Mel.

Je m’allonge à côté de mon chéri. Visiblement, il plait à Anne-So qui se précipite pour lui masser le dos. Il se tourne vers moi, avec la mine gourmande d’un gros matou qui se fait caresser. Je lui rends son sourire, et je ferme les yeux pour me concentrer sur les mains de Mel qui commencent à pétrir mes cuisses et remontent sur mes fesses. Trop bon…
- Tournez-vous, on va attaquer le côté face.

Je me retourne, livrant mes seins et mon ventre à Mel.
Elle a des mains délicieuses, et un intense sentiment de bien-être m’envahit, quand juste à côté de moi j’entends un léger soupir de plaisir. Je me redresse.

Pierre est allongé sur le dos, il a rabattu son avant-bras droit sur ses yeux. Anne So délaisse ses cuisses et entame le massage du ventre. Elle commence à pétrir ses abdominaux. Mon amour se met à ronronner comme un gros chat. Les mains de ma copine rousse glissent vers son aine.
Ce tripotage doit lui être agréable car sa queue commence à se dresser. Je n’interviens pas, juste pour voir comment ça va finir.

La verge de mon homme est complétement érigée, sa peau se recule, dégageant un gland gorgé de sang. Anne So évite soigneusement de toucher le priape de mon chéri. Elle redresse la tête, et m’interroge du regard.
Je sens une petite piqure de jalousie. Puis je me dis qu’elle mérite bien une petite récompense.
Je plante mes yeux dans les siens, et d’un battement de paupières, je lui donne mon autorisation.

Elle se penche, et d’un petit coup de langue, elle cueille une goutte suintant du méat de Pierre. Elle se lèche les lèvres avec une mine de chatte gourmande, puis elle plonge la bouche ouverte sur le priape érigé.
Elle ouvre ses mâchoires en grand pour gainer la queue de mon homme et descend jusqu’ à la moitié de la verge. Elle se recule, et suçote le gland. Puis elle plonge, jusqu’aux couilles.
Elle continue sa fellation, alternant les suçons du gland et les gorges profondes. Ça doit plaire à Pierre qui soupire de plus en plus vite.
La verge de mon homme est secouée de spasme, il va partir.
J’empoigne la crinière de ma rousse, crispant les doigts dans sa tignasse. Je lui bloque la tête, elle ne peut plus se dégager. Pierre pousse un grand « Ah » de bonheur, il se vide dans cette bouche si accueillante.
Je vois les joues de Mel se remplir, je la tire par les cheveux et je plaque mes lèvres sur les siennes. Je force sa bouche, et je la fouille de ma langue. Elle noue la sienne autour de la mienne, puis je cueille le mélange de salive et de sperme de Pierre. Nous échangeons la semence de mon chéri.
Nous nous séparons. Un petit filet blanchâtre suinte entre les lèvres d’Anne-So, je le récupère d’un coup de langue.

- C’est trop bon, je ne veux pas laisser perdre, et je poursuis...
- Filez les filles, je veux être seule avec mon chaton, on se retrouve en bas dans deux heures pour une collation.

Après un thé accompagné de pâtisserie, nous avons raccompagné nos amies à la porte.
Puis, retour au canapé, dans ma position préférée, c’est à dire vautrée sur mon homme. Je ne porte qu’une jupe longue et floue, et un chemisier, pas de sous-tif, ni de culotte, rien qu’un serre-taille, pour me sentir délicieusement contrainte, et une paire de bas.
Dessous, ma plaque de soumise étire ma petite lèvre. Pas de rosebud, on ne sait jamais, si un doigt fureteur s’aventurait par-là, il ne serait pas bloqué par le bijou.
Je fais sauter deux boutons du corsage, au-dessus du nombril. Je glisse la main de Pierre dans l’ouverture, sur mon ventre, puis je la remonte sous mon sein.

- J’adore quand tu remplaces mon soutien-gorge, tu as la main si douce.
Il remonte ses doigts, et pince délicatement ma mamelle.

- Aie…- Je t’ai fait mal- Non j’ai été surprise, mais continue.

Il fait doucement rouler mon téton, entre pouce et index.
Je soupire.

- C’est délicieux mon chéri. Depuis que je suis percée, je suis devenue très sensible. Il suffit que tu me suces les seins et que tu les aspires, et je grimpe aux rideaux, et je poursuis.
- Quand je pense que je me croyais frigide à vie quand je t’ai rencontré.

Je marque un petit silence, et je reprends avec la question qui tourne dans ma tête.

- Dis, mon chaton, Anne-So….
- Oui, ma belle…- Je pose mes lèvres dans son cou, et je murmure- Anne-So, elle suce mieux que moi ???

C’est la fiesta à la boutique…J’ai acheté le magasin juste à côté de ma mercerie, et j’en ai profité pour m’agrandir. Je peux enfin créer un rayon lingerie, spacieux, avec cabine d’essayage, et rangement à profusion.

Et pour fêter ça, j’ai organisé une petite sauterie, avec mes copines, et les commerçants du quartier.
J’aussi invité Odile et Christine, qui semblent bien s’accorder. Mel et Anne So sont bien sûr de la partie ainsi que les enfants de Pierre.
Vingt heures sont déjà passés et quelques invités sont déjà partis quand Antoine se met à jouer les DJ. On pousse un peu les meubles et nous dégageons un espace suffisant pour danser.
Quand j’ai connu mon chéri, c’était un piètre danseur (et oui, il n’est pas parfait, il a quelques défauts), et il n’aimait pas ça. Mais j’ai fait son éducation, et maintenant, il ne me refuse jamais un petit rock. En plus ce coquin adore me faire tourner pour faire voler ma jupe et dévoiler mes jarretelles.
Nous finissons le troisième, et je suis un peu étourdie, à cause du rythme endiablé de cette dernière danse et du champagne qui fait son effet.

Je me rajuste, je lisse la jupe et je lève les yeux vers mon chéri. Il me sourit, son regard pétille.
Le bruit ambiant s’estompe, les conversations s’assourdissent. C’est comme si une bulle nous isolait du monde. Comme au ralenti, il met un genou au sol, en fouillant dans sa poche. Il en sort une petite boite. Mais je n’y fais pas attention. Mes yeux restent fixés sur ses lèvres.

- Hélène, veux-tu m’épouser ?

Le temps s’arrête, Le bonheur me balaie comme un coup de vent.

- Oh oui, oui, oui, et je me penche pour l’embrasser.

Mais c’est trop d’émotions, mes jambes me lâchent et je lui tombe dessus. Sous mon poids, il bascule en arrière. Je prends sa tête entre mes mains et je l’embrasse à pleine bouche. Je le dévore, je le mange, je le bouffe. Mais il faut que je reprenne ma respiration et je libère ses lèvres, je m’écarte légèrement, je sens ses mains autour de ma taille. Nous sommes seuls au monde.

Puis dans un tonnerre de bravo et d’applaudissement, le monde extérieur crève notre bulle. Il se dégage, il me tend la main et me relève comme à notre première rencontre.


Ce soir-là, après l’étreinte, pour une fois, dans le lit, c’est moi qui le prends dans mes bras, j’entoure son torse de mes bras, et je cale mon ventre contre ses fesses. Je pose ma main sur sa verge au repos.

- Dis-moi, quand on a joué aux choix idiots, pourquoi tu ne m’as pas demandé en mariage. Ça t’aurait épargné l’arbre, et le groupe des sept- Humm. Je savais déjà que j’allais te demander ta main, mais je voulais que ce soit très romantique.
- Oh, t’es trop chou.
- Et puis, je n’avais pas encore acheté la bague…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très beaux textes. Bien meilleurs que "50 nuances de Grey" et une fin toute aussi romantique.
Félicitations



Texte coquin : Hélène 59 : je suis une conne.
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