Le corset d'Anne-So

- Par l'auteur HDS Rouge -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le corset d'Anne-So Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2021 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Le corset d'Anne-So
Hélène : le corset d’Anne-So
Récit de Christine.

- C’est pour une occasion spéciale ?

Il y a quelques jours, Hélène m’a téléphoné. Elle voulait un corset, pour une amie. J’ai décidé de les recevoir dans mon bureau au premier étageMel et Hélène se sont attribuées le canapé, Anne So s’est assise dans un fauteuil.

J’avais demandé à ma bourge favorite les mensurations de ma future cliente. Je m’aperçois qu’elle n’avait pas exagéré. Ma nouvelle cliente est vraiment ce qu’on appelle une belle plante.

Je l’observe. Son front carré est surmonté d’une belle crinière dense et bouclée, teinte couleur acajou avec une coupe qui lui laisse une nuque dégagée. Elle me regarde avec des beaux yeux bruns marqués de quelques rides. Ses sourcils bien taillés sont aussi teints dans le même rouge que ces cheveux.
Le bas de son visage est un peu empâté, avec un menton gras. La forme charnue de ses lèvres est soulignée d’un rouge léger assorti à sa chevelure.

Elle s’est habillée d’une robe chemisier bleue foncée à pois blancs. Son décolleté, fermé par un petit nœud lâche plonge entre deux seins de belle taille. Elle tient serrées ses deux jambes gainées de marron foncé. L’ouverture de sa jupe découvre ses genoux bien ronds, au-dessus de mollets un peu forts, mais prolongés par ses chevilles fines mises en valeur par des escarpins à brides.

Ses deux mains sont posées l’une sur l’autre sur ses cuisses, dans une pose modeste.

- C’est pour une occasion spéciale ?

Un silence suit ma question. Je remarque qu’Hélène cligne des paupières en direction de la belle rousse.

- Je vais être menée à l’arbre, répond Anne So.
- Ah ! Vous savez ce dont il s’agit ?
- Oui, il y a un chêne, des liens, et sept femmes.
- Vous avez déjà été fouettée ?
- Oui, par mes deux amies.
- Vous avez aimé ?
- Oui, fait-elle troublée.
- Mais là, ce sera la première fois en public ?

Je la vois qui crispe ses mains sur ses cuisses.

- Oui.
- Vous avez peur.
- Oui.
- Vous verrez, c’est très bon. D’ailleurs, elles ne vous y emmèneraient pas si vous n’étiez pas capable d’apprécier.

Un arrêt. Pendant un instant, je m’interroge sur ce qui peut pousser une bourgeoise, visiblement à l’aise, à se livrer à ces excès pour le plaisir de ses maitresses.
Je romps le silence.

- Je pense que nous devrions passer aux essayages. Pouvez-vous vous déshabiller ?

Elle se lève, elle défait le petit nœud de sa robe, elle se déboutonne jusqu’à la taille, et dénoue sa ceinture. Par un réflexe de pudeur, elle se tourne et fait tomber le tissu jusqu’à terre, elle l’enjambe et se présente à nous en talons et dessous.

Elle porte un élégant ensemble vieux rose pale, dont la pièce maitresse est un large porte jarretelle qui souligne sa taille.

- S’il vous plait, ne gardez que vos bas et vos escarpins
Elle fait glisser sa culotte, dévoilant une croupe imposante, portant encore la discrète marque triangulaire d’un maillot de bain, mais aussi les fines stries presque effacées d’une flagellation ancienne. Moi qui suis presque maigrichonne, je suis fascinée par ce beau cul de mature, un peu gras et légèrement tombant. Elle pivote sur elle-même et dégrafe son soutien-gorge. Ses seins sont lourds et ronds, comme des pamplemousses, avec de grandes auréoles rosées. Privée de soutien, sa poitrine s’affaisse sur son torse, mais garde son galbe arrondi.
Elle se débarrasse du porte-jarretelles. Un de ses bas glisse en tire-bouchon jusqu’à sa cheville.
Je m’agenouille, et je le remonte le long de sa jambe. Je rabats la lisière juste au niveau du gras de la cuisse. Comme ça, il tiendra le temps des essayages, je fais de même avec l’autre bas.
J’ai le visage à hauteur de sa chatte. Je peux respirer son odeur, agréable mélange d’un parfum de prix et de ses effluves intimes.

- Vous ne l’avez pas faite épiler.

Hélène prend alors la parole.

- Quand nous avons fait connaissance, elle était bien pourvue. Mais plutôt que l’épiler, j’ai demandé à mon esthéticienne de retailler son buisson. Elle a dégagée son sexe, et ses cuisses, mais elle a conservé la surface d’un maillot plutôt large, et elle a raccourci ses poils qui ont doucement bouclés.
- Et pour finir, je l’ai fait teindre en acajou. Cette couleur va très bien à sa carnation rosée.
- Tu as une idée de ce que vous cherchez ?
- Oui, un corset, en cuir qui dégage bien les reins et les fesses.
- Quand on voit son cul somptueux, ça se comprend.
- Mais pour les seins , je ne sais pas.
- Que veux-tu dire ?
- Qu’est-ce qui est le mieux : les laisser libres et pendant, ou les soutenir pour mieux les présenter.

Je me retourne vers Anne-So. Je prends un de seins par en-dessous et je le soupèse, comme si j’évaluais un melon au marché. Et je reprends.

- Ils sont lourds, mais bien attachés. Laissez-les en liberté. Ils pourront se balancer quand elle marchera. Et ils ballotteront quand vous les fouetterez.
- Tu as raison, montre-nous ce que tu as préparé.


J’ouvre une boite élégamment décorée de noir et de gris, et j’en sors une peausserie, munie de lacets et de jarretelles. Anne-So fait un pas vers moi pour le passer elle-même.

- Je vais vous le placer, et je continue.
- Soulevez vos seins, s’il vous plait.

Hélène se lève pour m’aider, et vient plaquer le cuir sur le ventre et sous la poitrine de la belle poule. Elle agrafe les petits crochets devant.

- Tu peux me laisser serrer les lacets. J’adore jouer à la poupée.

Anne So.

Depuis que je suis entrée dans ce vaste salon d’essayage, elles se comportent comme si je n’étais qu’un bel objet. C’est un peu comme si elles jouaient à la poupée avec moi. Et le plus étonnant, pour moi qui suis une femme plutôt autoritaire dans ma vie professionnelle, c’est que j’aime ça.
Je me sens bien d’être jaugée, évaluée. J’apprécie ces commentaires sur mes fesses, mes seins, ma toison.


Hélène pose son genou contre mes reins, et tire sur les sangles du corset. J’étouffe.

- Oh là, tu y vas trop fort.
- T’inquiète...Je vais lâcher un peu, mais tu vas t’y faire, et elle ajoute- Respire un bon coup.
- Attendez, je m’occupe de ses bas, lance Mel.

Je reprends mon souffle. Et miracle, tout se met en place. Je me sens contrainte, mais ce n’est pas désagréable. Je me regarde dans le miroir. Je suis cambrée, mon ventre est un peu rentré, mais surtout mon cul est projeté en arrière. Et devant, mes seins tombent un peu et frottent doucement sur le cuir.

- C’est bon, j’ai accroché les bas, déclare Mel et elle continue.
- Tu peux marcher, pour voir.

Je fais quelques pas. Mes fesses roulent en liberté sous mes hanches. Quant à mes lourdes mamelles, elles se balancent doucement. Christine me lance.

- Vous êtes splendide en soumise.
- Avec quoi peut-on accessoiriser ce corset ? demande Hélène.
- Vous savez que ce modèle s’accorde avec un soutien-gorge dans le même esprit.
- Ah, oui, on le prend, comme ça elle pourra porter l’ensemble sous ses vêtements pour aller au travail, approuve Mel.

Hélène reprend la parole
- Dis, Christine, tu te souviens quand nous avons fait connaissance, tu m’avais présenté des bijoux de seins.
- Oui, je vais chercher ce que j’ai en réserve.

Notre hôtesse revient avec une pile de petites boites transparentes
- Quel genre veux-tu pour elle ?
- J’aimerai bien un modèle qui peut se serrer autour du téton.
- On va essayer celui- la, ça te dit- Oui j’aime bien le motif et la couleur, et elle me demande.
- Présente-moi ta poitrine !

Je soulève mes lourdes mamelles et les offre à ma quinqua préférée. Elle pince la framboise gauche, puis l’étire. Je frissonne.

- Laisse toi faire, il faut que les fasse grossir.

Elle masse mon téton. Celui-ci se gorge de sang et gonfle jusqu’à devenir gros comme mon pouce.
Mel passe le bijou à ma tourmenteuse. Hélène enserre ma fraise dans le bijou en étoile. Elle serre, et étrangle mon bouton. Il se violace légèrement.

- C’est bon comme ça, on passe à l’autre.

Elle a fini de me parer. C’est un peu douloureux, mais supportable. Mes nichons me lancent légèrement.

- Je peux lui faire un cadeau, demande Christine.
- Oui bien sûr, répond Hélène, et elle continue.
- Tu veux faire quoi ?
- Je pense à embellir son cul.

Et elle poursuit en s’adressant à moi.

- Anne So, pouvez-vous vous agenouiller sur le canapé ?
- Ouvrez-vous, me commande-t-elle !

Je plante mes doigts dans mes fesses et je dévoile ma raie culière et ma rosette. Elle peut voir ma fourrure intime se prolongeant dans mon sillon, sans dissimuler mon œil de bronze.

- Je vois que vous n’êtes plus vierge de se coté là. Votre mari ?
- Non, un amant, il m’a fait très mal.

Un silence, et elle reprend.

- On vous a élargi?
- Oui, Hélène et Mel ont commencé.
- Au god ?
- Non, avec les baguettes chinoises.
- Vous avez souffert.
- Non pas au début, mais à la fin, j’ai cru explosé.
- Combien de baguettes ?

Je jette un coup d’œil vers Hélène. Celle-ci me montre sa main et écarte le pouce et l’index pour que Christine évalue mon degré de dilatation. Notre hôtesse se tourne vers Hélène.

- Et vous avez recommencé ?
- Non, pas encore.
- Pourquoi ?
- Je veux la dresser pour l’anal. Mais à la fin, il faudra qu’elle y trouve du plaisir. Et qu’elle réclame elle-même l’enculage, et elle poursuit- Je suis aussi délicate avec elle que Pierre l’a été à mes débuts- Et vous aimez ? Me questionne-t-elle- Oui, j’adore quand mes maitresses me travaillent l’anus, et me doigtent, surtout après m’avoir fouettée, elles me rendent folle.
- Je vais vous faire un cadeau.

Elle prend le rosebud dans sa petite boite. Je sens un liquide froid couler entre mes fesses. J’essaie de me détendre. Un doigt étale le lubrifiant sur mon cratère, puis il s’insinue dans ma rosette. Ce n’est pas le fin index d’une femme qui me fera souffrir, ou même jouir. Il me faut plus, même si mon éducation sodomite ne vient que de commencer.

Je sais qu’elle va m’enfoncer un rosebud, mais j’en ignore la taille et le poids. Je frissonne à l’idée de cette dilatation inconnue.
La pointe se pose sur le creux de mon œillet. Elle pousse lentement pour je ressente mieux l’écartement de mon muscle secret. Elle m’ouvre progressivement, j’apprécie cette dilatation lente, comme j’ai apprécié celle avec les baguettes.
Elle continue de m’enculer avec le plug. C’est encore agréable, mais je sens qu’elle approche de mon ouverture maximale.
Mon sphincter devient douloureux, encore un centimètre et je crie.
Plop! La partie la plus renflée vient de passer mon anneau, qui s’est resserre brutalement. Je souffle. La main froide de Christine flatte mes fesses.

- Vous voyez, ce n’est pas si terrible !
- Oui, j’ai presque aimé. Lui réponds-je en me redressant.

Un ange passe.

- C’est bon, on prend le tout, conclut Hélène.
- Vous pouvez m’aider à l’enlever tout ça, demande Anne-So ?
- Non, tu restes avec, tu remets directement tes vêtements à même la peau.

Nous sortons. La rue est parcourue d’une légère brise chaude qui plaque ma robe sur mon ventre et ma poitrine. Je fais quelques pas. Le balancement de ma lourde poitrine s’accorde avec la houle de mes fesses. Le frottement du tissu exacerbe la sensibilité de mes tétons. Je les sens durcir comme du bois.

Mes amies me prennent chacune une main, et se collent à mes hanches. Je ferme les yeux, me laissant guider. Ma robe colle à mes formes. Je me sens comme nue en public.
Les paupières fermées, je rêve que je marche vers l’arbre et les supplices promis.

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