La facherie, deuxième partie

- Par l'auteur HDS Rouge -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La facherie, deuxième partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La facherie, deuxième partie
La fâcherie : deuxième partie
Hélène
J’ai essayé d’appeler Mel, puis Anne So, sur les fixes et sur leurs portables. Pas de réponse.
Il faut que j’aille voir ce qui se passe.

Pierre est assis, ou plutôt vautré dans le canapé, en train de regarder une épreuve de cyclisme féminin. Je m’interpose entre lu et l’écran. Je me suis vêtue d’un chemisier blanc translucide, laissant deviner la dentelle blanche de mon soutien-gorge. J’ai moulé mes hanches, et mes fesses dans une jupe de cuir fauve descendant jusqu’ à la moitié du mollet. Je l’ai retaillée exprès pour qu’elle gaine ma taille, et camoufle mon petit ventre.
Je m’interpose entre mon homme et l’écran. D’un seul coup, la course à la télé perd tout son intérêt.

- Tu es superbe dans cette jupe.

Ce qui est bien avec Pierre, c’est qu’il me donne toujours l’impression que je suis son unique sujet d’intérêt. Dès que je m’approche de lui, j’ai toujours droit à un petit mot aimable, ou une appréciation flatteuse.
Alors, je pivote pour lui faire admirer le côté pile. Son regard caresse mes mollets gainés de bas couture, puis glisse sur la fente qui remonte au-dessus du creux des genoux, et se pose sur mes fesses moulées par le cuir tendu à craquer. Toujours de dos, je lui demande.

- Elle ne me fait pas un trop gros cul ?
- Non, la coupe est impeccable, et elle est bien portée.
- Tu es un amour, mon chaton !

Et pour le récompenser, j’ondule légèrement de la croupe.

- On voit que tu as mis des bas, commente-t-il.
- Comment ça ?
- On peut remarquer une légère déformation au niveau des cuisses, due aux attaches.
- Quel dommage que tu ne puisses pas en profiter, je dois sortir.
- Tu vas où ?
- Je n’arrive pas joindre Mel ou Anne So. Je vais aller chez elles pour voir si je les trouve.
- Tu crois qu’une d’entre-elles a fait une bêtise.
- Oh non, ça ne risque pas, je pense plutôt qu’elles se sont réconciliées.
- Et tu vas les voir pour t’interposer si ça dégénère à nouveau.
- Exactement, je vais me mettre entre les deux. Et j’espère bien que ça va dégénérer !!!
- Et tu me laisses tomber un dimanche après-midi, fait-il en posant sa main sur mon mollet.
- Oui, j’aurais préféré rester.
- Mais puisque tu me quittes pour une bonne œuvre, alors, je veux bien me sacrifier
Il remonte derrière mon genou. J’adore le contact de mon maitre. Dès qu’il me touche, je fonds. Il remonte le long de ma cuisse. Il caresse ma peau nue au-dessus de la lisière de mes bas, puis il faufile sa main par la fente jusqu’à sous ma culotte, et empaume ma fesse. Mon souffle s’accélère
- Tu sais que c’est un abandon de poste.
- Je me soumets entièrement à la volonté de mon seigneur pour tous les châtiments qu’il voudra me faire subir. Lâché-je dans un murmure.
- Passe derrière le fauteuil !

Je me penche. Et pour montrer mon consentement, je fais descendre ma fermeture éclair jusqu’au bas des reins. Il prend le relais en faisant glisser ma jupe jusqu’aux chevilles. Il fait tomber ma culotte jusqu’à mes escarpins. Je l’envoie valser d’un coup de pied. Et j’écarte mes jambes. J’adore cette position, je ne suis plus qu’un cul à flageller et à enculer.
Je n’ai plus besoin d’être attachée pour être fouettée. Au contraire, je me sens encore plus soumise sans aucun lien. Il ne me bâillonne plus, c’est à moi de me dominer pour ne pas hurler, mais j’ai le droit de gémir et de pleurer. Il pose ses doigts sur le gras de ma fesse, puis il suit la cicatrice qui marque ma croupe en diagonale. Je frémis.

- Elle est presque effacée. Tu veux que je te marque pour la rafraichir.
- Je ne suis que l’humble servante de mon seigneur, mon désir est qu’il dispose de mon cul à sa convenance.

Je coule. Mon dressage est tel que la promesse de la souffrance me fait mouiller.

Les lanières caressent mes fesses avec douceur. Je frissonne. Je connais bien mon bourreau.
D’abord, il me câline avec délicatesse, jusqu’à ce qu’il sente je demande quelque chose de plus fort. C’est moi qui donne le signal en ondulant mon croupion.
Un sifflement et la première cinglée nappe ma croupe. Enfin…Les volées se succèdent. J’ai le cul en feu, je serre les dents, je pleure, mais je ne voudrais pas que ça s’arrête pour rien au monde. Il s’interrompt.
J’halète, cherchant mon souffle, mais je ne suis pas encore satisfaite.

La flagellation est devenue un rite entre nous, j’en connais à l’avance tous les détails.
Je sais maintenant que c’est le moment du marquage. Il me fait attendre. Puis le sifflement du jonc de la cravache et l’atroce sentiment de brulure au milieu de mes pauvres fesses.
Je plie les genoux, et je m’effondre. Tendrement, il me soutient et me replace sur le dossier du fauteuil.

Même bien dressée, je ne peux m’empêcher de frictionner mon pauvre derrière Je reste haletante, pliée sur le dossier du fauteuil, mes larmes coulent. Mon cul me brule. Je murmure.

- S’il te plait, encule-moi, et j’ajoute- A sec, s’il te plait.

Il se présente à mon œillet. Je contracte mon anus pour mieux sentir le viol de ma rosette. Puis je me relâche. Sa bite me pénètre d’un coup jusqu’aux couilles. Comme chaque fois après m’avoir fouettée, il est énorme.
Il défait deux boutons de mon chemisier, puis il glisse ses paluches dans mon soutien-gorge, et pelote ma poitrine.
Il se recule, étirant mon sphincter, puis il s’avance, commençant le délicieux pistonnage,Il me défonce la rondelle, il étire mes tétons, mon croupion me brule. Tout ce que j’aime. Je suis aux anges.
Il me sodomise avec vigueur, il martyrise mes nibards. Chaque coup de boutoir me rapproche de la jouissance. Il accélère. Je perds pied. Je monte.
Et sadiquement, il tire sur mes bouts, en même temps qu’il gicle dans mon rectum. La douleur, et le plaisir se télescopent dans ma tête.
Je spasme dans un râle, et je m’écroule foudroyée par l’orgasme.

Je reprends mon souffle, affalée sur le fauteuil. Je le sens encore en moi. Il bouge légèrement.

- Non ne te retire pas, reste un peu en moi, puis j’ajoute.
- Fouille dans mon sac, prends mon bijou, et pose le moi.
- C’est le XL, tu es gourmande.
- Je veux te garder. Et éviter les fuites !!!

Mon homme se dégage. J’adore cette sensation de déculage, presque aussi bonne que l’empalement.
Je n’ai pas le temps de me refermer qu’il pose la pointe de l’ogive sur mon anus, il la pousse, et l’enfonce d’un coup.
Il n’a pas pris le temps de le réchauffer. Je me contracte instantanément autour de cet objet froid.
J’attrape ma jupe, je l’enjambe et je la fais remonter le long de mes cuisses. Ça coince un peu.

- Tu peux m’aider, mon chaton.
- Ne bouge pas ma belle, et il continue.
- Tu ne mets pas de culotte ?
- Non, j’aime la caresse du cuir sur mes fesses.

Il fait glisser la peausserie sur mon opulent postérieur, jusqu’à ma taille. Il finit de me gainer, en tirant la fermeture éclair. Je fais quelques pas. Le cuir frotte sur ma chair à vif. J’essaie de bloquer le mouvement de mes hanches, mais le rosebud stimule le roulis de mes fesses et accentue la caresse râpeuse sur ma peau à nu.
Je me retourne, et je me serre contre Pierre. Il m’enlace, sa main glisse sur mon croupion. Je lâche un petit cri.

- Je t’ai fait mal ?
- Oui, ou plutôt non. Ça a été un peu douloureux quand tu as passé tes doigts sur ma marque.
- Ah excuse-moi.
- Mais non, mon chéri, j’adore tellement quand tu me pelote mes miches, et je continue.
- Tu as senti ma cicatrice en passant tes doigts sur mon cul.
- Non, on ne sent rien.
- Regarde, et dis –moi si on voit quelque chose.

Je pivote, et je me cambre.

- Non on ne voit rien, on devine seulement tes attaches de bas.
- Tu es sûr ?
- En regardant bien, il y a bien un léger relief, mais rien d’évident.

Je me redresse. Je me colle à lui. Il me prend dans ses bras.
Un ange passe.

- Si tu continues comme ça, je n’arriverai plus à partir, fais-je en me détachant.

Un petit bisou, et je me dirige vers la porte.

Le court trajet en voiture est un supplice, chaque changement de vitesse, avec le débrayage, fait frotter le cuir sur ma balafre. Il faut que j’achète une automatique. Enfin j’arrive devant chez Anne So. Je sonne.

Anne So.

- Va ouvrir !
- Mais je suis à poil.
- Mets tes talons, et va ouvrir, répète Mel.

Je lui obéis. Arrivée à l’entrée, je jette un œil dans le judas.
Ouf, c’est Hélène. Je lui ouvre, en me cachant derrière le battant. Elle referme la porte.


Récit d’Hélène.

Anne So se tient nue devant moi. Elle me colle un petit baiser de cousine sur la joue, Je me recule pour la contempler. Elle n’essaie pas de se cacher. Je distingue quelques petits bleus sur ses hanches opulentes et ses mamelles de laitière
- La nudité vous va bien. Et j’adore votre poitrine.
- Elle est trop grosse- Mais elle se tient très bien.

Je tends la main et je soupèse son sein gauche. J’en agace le téton.

- Ils sont bien ronds, lourds, si moelleux, et vos bouts sont si facilement érectiles.
- J’ai honte, vous allez me prendre pour une pouffe.
- Non ma chère, j’aimerai bien avoir les mêmes. Je suis sure que Pierre saurait jouer avec, pour ma souffrance ou mon plaisir, ou les deux à la fois.

Je traverse le salon, et je me laisse tomber dans le canapé.

- Ouille !!!
- Qu’as-tu ma belle ? me questionne Mel- Pierre a exercé ses droits de seigneur et maitre avant que je parte.
- Il t’a fouettée ?
- Oui, et marquée.
- Montre
Je me redresse et je me tourne.

- Anne-So, peux-tu dégrafer sa jupe?

La rousse opulente, toujours aussi nue, tire la fermeture éclair, et fait glisser ma peausserie.
Un petit « aie » accompagne le passage du cuir au niveau de ma balafre.
Mes deux amantes se penchent et examine mon popotin nappé d’une résille rouge, et surtout de l’empreinte de la cravache.

- Il ne t’a pas loupé, lance Mel.
- On va essayer d’arranger ça, répond Anne So compatissante.
- Mets-toi à genou devant le canapé, je reviens avec la pommade.

Je prends deux coussins et je les place devant le divan. Je m’agenouille, et je place mes avant-bras sur l’assise, croisant mes doigts. J’attends.
Les doigts frais de d’Anne So se posent sur ma peau martyrisée. Cette sensation de fraicheur est exquise.
Les mains de mon amante rousse sont délicieuses. Elles pétrissent mon croupion avec un mélange de vigueur et de douceur.
Les deux amies rigolent quand je pousse des petits geignements quand elle masse un peu fort la zone de ma cicatrice.

- Voilà, c’est fini, conclut ma masseuse.

Et elle dépose un petit bisou sur ma fesse gauche. Puis un autre sur la droite.
Sa langue se glisse dans ma raie culière, passe sur l’escarboucle du rosebud, puis enfin sur mon périnée.
Ses lèvres embrassent ma vulve, les aspirent, elle mordille mes nymphes.
Je suis trempée.
Je sens ses dents mordre autour de la rosace du bijou, et elle commence à tirer.

- Pierre m’a enculée, avant que je vienne.
- Et alors, m’interroge Mel- Il laissée un peu de lui dans mon cul.

Anne So s’arrête.

- Continue, lui ordonne mon amante blonde.

Une traction, et mon anus devient disponible. Le temps qu’il se referme, une langue reptilienne s’insinue dans ma rosette, et dans mon rectum. Elle me fouille, elle me lape.
Elle se retire, chargée du mélange de mes sécrétions anales et du sperme de mon homme.
Elle revient et me pénètre à nouveau.
Je pousse mon opulent postérieur en arrière, je me cambre, en tendant mes bras. Mes seins se dégagent tous seuls du balconnet. Les mains délicates de ma blonde s’en saisissent et commencent à les tripoter
Je ferme les yeux, imaginant la scène. Anne-So, nue, à genoux le visage entre mes fesses, Mel en train de me pétrir les nichons. Et moi, le croupion en l’air, en train de me faire bouffer le cul comme une salope. Je tends une main dans mon dos et je glisse mes doigts dans la crinière acajou, et j’appuie son visage dans ma raie.
Je suis la sultane, et mes esclaves ne sont là que pour mon plaisir.
Anne So glisse sa main entre mes jambes et étire mon clitoris. Je spasme de plaisir.

Je m’écroule sur le parquet, mes amantes s’affalent sur moi. J’attire le visage de mon amante rousse, vers le mien, je lèche la commissure de ses lèvres, puis je l’embrasse, cherchant le gout de mon homme. Nos langues se lient dans un délicieux baiser lesbien.

- Eh, moi alors, proteste Mel.

Je me dégage de l’étreinte d’Anne So et je tourne la tête. La bouche de mon autre amante est là à quelque centimètre de la mienne. Je lui roule un patin d’enfer.

Nous reprenons notre souffle, surprises nous-même par l’intensité du moment.
En un instant, nous réalisons ce que nous avons risqué de perdre. Nous communions dans un long moment de silence, puis Mel lance…
- Tu ne vas pas t’en tirer comme ça, tu seras punie ma chérie.

Un ange passe.

- Nous t’emmènerons à l’arbre, fais-je pour quelle sache ce qui l’attend.
- C’est quoi, l’arbre.
- C’est un chêne, qui a des branches basses et solides, avec des cordes et des chaines, explique Mel.
- Il y a aussi des instruments, et un minuteur, et je continue.
- Et il y a aussi sept femmes, complète Mel- Et elles sont très cruelles !

Elle frissonne. J’empoigne son sein, je le masse avec douceur et j’agace le téton. Ce petit coquin durci aussitôt. Elle soupire. Je lâche alors…
- Et puis, il faut que nous vous achetions un corset.

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