Avec Malek, mon coiffeur hétéro. CHAPITRE 2. Au sex-shop avec Malek
Récit érotique écrit par Interstices34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Avec Malek, mon coiffeur hétéro. CHAPITRE 2. Au sex-shop avec Malek
Je vous ai déjà raconté comment j’ai présenté mon vieil ami Paul, 70 ans comme moi, au très beau coiffeur tunisien de 33 ans, Malek, hétéro, en instance de divorce avec 2 enfants à charge, dont je suis l’amant depuis longtemps.
Je vous ai aussi décrit la première rencontre entre Paul et Malek dans l’arrière-boutique du salon de coiffure. Paul y a joui du cul comme rarement sous mes yeux de voyeur caresseur et sous les coups de la grosse queue tunisienne.
Le courant est très bien passé entre eux deux. Paul a beaucoup aidé Malek à régler des problèmes administratifs et financiers dans son entreprise. Ils se sont revus plusieurs fois au salon, en ma compagnie. Paul s’y est souvent fait enculer, en particulier dans ma position préférée : à cheval sur mon visage pour que je mate, tâte, touche, lèche et suce la grosse queue, l’anus et les belles couilles arabes.
Un jour, je propose à Paul que nous invitions Malek dans le sex-shop du coin où nous avons nos habitudes. J’ai envie que nous nous donnions en spectacle au milieu de mateurs en rut et peut-être que Malek se laisse aller à baiser avec d’autres mecs ou travestis.
Paul, en bonne salope exhib, est enthousiaste. Pas Malek, hétéro viril avant tout, peu habitué aux baises homo, même s’il s’est laissé draguer plusieurs fois par des pédés depuis son adolescence au bled et même s’il a découvert le plaisir de s’exhiber pour moi.
Paul a cependant su trouver les moyens de le convaincre et de le rassurer. On arrêtera tout si à un moment Malek le souhaite ou s’il rencontre au sex-shop une connaissance à lui, ce qui l’inquiète beaucoup. Comme plein de rebeus hétéros il a plaisir à démonter des pédés mais il ne faut surtout pas que cela se sache !
La voie est libre le mercredi après-midi où nous nous retrouvons au sex-shop, entrés séparément par discrétion, Paul puis moi et enfin Malek.
Notre ami n’est pas très à l’aise. Nous l’entraînons tranquillement au fond de la petite salle de cinéma porno que nous connaissons bien et où quatre ou cinq types regardent un film hétéro qui fait enfin sourire Malek. Il a l’air d’apprécier la bombasse latina aux gros seins qui se fait baiser et enculer par deux mecs trop blonds et musclés à mon goût.
Il fixe toujours l’écran avec intérêt quand Paul et moi commençons à déboutonner sa chemise et à tâter son entrejambe. C’est sûr, il commence à bander sérieusement dans son short !
Il ne s’oppose pas aux petits baisers que Paul et moi déposons sur ses lèvres hélas fermées pour lui témoigner notre tendresse. Nous sommes deux vieux pervers lubriques et moches mais gentils et, à notre façon, respectueux du beau mâle qui nous donne tant de plaisir en en prenant aussi !
J’adore le moment où Paul et moi écartons les deux pans de sa chemise déboutonnée pour faire apparaître ses superbes et délicieux tétons bruns, plutôt petits, biens pointus, que nous nous mettons à titiller, mordiller et sucer doucement. Nous savons qu’il aime ça et ses soupirs de jouissance nous le confirment. Visiblement, il entre dans notre trip et vient de décider de se laisser aller. Ainsi, c’est lui-même qui ouvre sa ceinture, déboutonne son short et ouvre sa braguette pour, dans le même temps, abaisser son short et son slip.
Sa grosse queue jaillit dans la pénombre. Il l’empoigne et commence à la branler.
Son geste n’échappe pas à Paul qui s’agenouille immédiatement et commence à lécher le gros gland brun circoncis, naturellement décalotté.
Je m’agenouille aussi pour profiter du spectacle de la grosse bite avalée progressivement par Paul puis des belles couilles léchées puis sucées une par une puis les deux à la fois.
C’est à ce moment que je réalise que trois hommes se sont approchés de nous et nous regardent, queues sorties, en se masturbant. En levant la tête au-dessous de la pine tendue de Malek, j’aperçois le moins moche et le moins vieux d’entre eux, un black d’environ quarante ans. Il s’approche et caresse la poitrine, le ventre puis les tétons de notre beau tunisien, comme nous l’avons fait peu auparavant.
Les soupirs de Malek et l’extrême dureté de sa queue aux mains et à la bouche de Paul témoignent de son plaisir. Le black le sent et demanda tout de go à Malek :
- Tu veux m’enculer ?
- Oui, répond-il, tourne-toi mais laisse mes potes te toucher. Il répond ainsi à un geste de Paul qui a tenté de happer la belle et grosse bite tendue du noir mais que celui-ci a repoussé.
Paul capte immédiatement le message et, si j’ose dire, saisit la perche tendue par Malek. Il se déculotte complètement en un instant et se place à genoux devant le black au moment où celui-ci baisse son survêtement et son string puis se penche en avant, mains au mur, pour offrir à Malek son joli cul imberbe et bombé.
La belle grosse pine noire ne tarde pas à combler la bouche et parfois la gorge de Paul qui souffle et se branle frénétiquement tantôt la bite tantôt le cul.
Je sors moi aussi ma bite et commence à me branler, avec le plaisir de le faire ostensiblement devant des mateurs. Elle durcît rapidement.
J’écarte les fesses du black pour aider Malek et surtout pour mieux le voir doigter puis se pencher pour mouiller de bave puis bouffer l’anus offert.
- Tiens, j’ai du gel, dit Paul en tendant à Malek deux sachets sortis de sa poche.
- Ouah, tu es organisé répond celui-ci en riant.
- Baise-moi, pine-moi, défonce moi implore le noir dont l’anus clignote sous les deux puis trois doigts de Malek qui le graissent et le pénètrent. Un bel anus noir dehors et rose dedans, visiblement habitué à se faire saillir.
Je ne perds pas une miette de ce magnifique spectacle mais il est bref car déjà le beau gland brun de Malek se fraye le passage dans le cul offert. J’entoure la grosse bite de mes doigts comme pour la guider même si ce n’est nullement nécessaire ; juste pour le plaisir de la tâter, de sentir sa chaleur, sa dureté et ses vibrations.
Ça y est, le pieu du superbe mâle arabe a atteint le fond du cul du black, comblé, qui commençe à se détendre et à ahaner sous les premiers lents coups de queue de Malek. Je lâche sa queue pour venir empaumer ses couilles par derrière entre ses jambes un peu écartées. Ce faisant, j’ai sous les yeux les fesses tunisiennes qui s’ouvrent quand il recule pour mieux renculer et là je peux admirer son magnifique anus brun joliment vrillé en plein travail.
Passant ma main par devant le corps du black secoué de plaisir et de coups de queue par Malek, je peux caresser la queue et les couilles noires que Paul continue de bouffer goulument.
Jetant un coup d’œil sur ma droite, j’aperçois des bites tendues et des mains de spectateurs devenus acteurs qui se branlent entre eux ou caressent l’Arabe ou le Noir en soufflant ou grognant pour exprimer comme Malek, comme Paul, comme moi leur jouissance.
Une aussi magnifique grappe humaine de plaisirs partagés ne peut malheureusement pas durer éternellement et vient le temps des orgasmes.
- Tiens salope dit Malek dont les coups de pine se sont accélérés, prends ça dans ton cul. Et chacun de comprendre qu’il déverse dans le ventre du noir des grosses rasades de sperme chaud.
- Aahhhhrg, ou quelque chose comme ce cri guttural, éructe simplement le black en se vidant dans la gorge et sur le visage de Paul qui se branle encore un petit moment avant de gicler aussi assez discrètement, signifiant qu’il aurait préféré une bite dans le cul en plus du sperme chaud sur sa gueule.
Moi, j’ai au moment de jouir une dernière audace. Quand je sens que Malek va gicler, j’écrase mon visage entre ses fesses, langue tendue en avant pour qu’elle vienne buter sur son anus que je respire à pleins poumons. Mon foutre jaillit à ce moment-là et c’est de longs borborygmes de porc un peu étouffés par les belles fesses tunisiennes que chacun put entendre dans le sex-shop où nos mateurs ne manquent pas aussi de vider leurs couilles dans des positions et des circonstances diverses.
Le calme revenu et détour fait par les lavabos, nous quittons le sex-shop tous les trois très heureux. Y compris Malek qui ne manqua pas de remarquer :
- Putain, vous les pédés vous faîtes des trucs que je n’ai jamais fait avec des meufs. Si ça continue je vais devenir comme vous…
- L’avenir le dira, répondis-je.
- Il faudra une prochaine fois, dit Paul, car là, tu ne m’as pas enculé. Personne ne m’a enculé !
- Tu ne perds rien pour attendre mon chéri, rétorque Malek en souriant.
C’est sur d’aussi belles perspectives que nous nous séparons, jusqu’à notre prochain délire sexuel.
Je vous le raconterai.
Je vous ai aussi décrit la première rencontre entre Paul et Malek dans l’arrière-boutique du salon de coiffure. Paul y a joui du cul comme rarement sous mes yeux de voyeur caresseur et sous les coups de la grosse queue tunisienne.
Le courant est très bien passé entre eux deux. Paul a beaucoup aidé Malek à régler des problèmes administratifs et financiers dans son entreprise. Ils se sont revus plusieurs fois au salon, en ma compagnie. Paul s’y est souvent fait enculer, en particulier dans ma position préférée : à cheval sur mon visage pour que je mate, tâte, touche, lèche et suce la grosse queue, l’anus et les belles couilles arabes.
Un jour, je propose à Paul que nous invitions Malek dans le sex-shop du coin où nous avons nos habitudes. J’ai envie que nous nous donnions en spectacle au milieu de mateurs en rut et peut-être que Malek se laisse aller à baiser avec d’autres mecs ou travestis.
Paul, en bonne salope exhib, est enthousiaste. Pas Malek, hétéro viril avant tout, peu habitué aux baises homo, même s’il s’est laissé draguer plusieurs fois par des pédés depuis son adolescence au bled et même s’il a découvert le plaisir de s’exhiber pour moi.
Paul a cependant su trouver les moyens de le convaincre et de le rassurer. On arrêtera tout si à un moment Malek le souhaite ou s’il rencontre au sex-shop une connaissance à lui, ce qui l’inquiète beaucoup. Comme plein de rebeus hétéros il a plaisir à démonter des pédés mais il ne faut surtout pas que cela se sache !
La voie est libre le mercredi après-midi où nous nous retrouvons au sex-shop, entrés séparément par discrétion, Paul puis moi et enfin Malek.
Notre ami n’est pas très à l’aise. Nous l’entraînons tranquillement au fond de la petite salle de cinéma porno que nous connaissons bien et où quatre ou cinq types regardent un film hétéro qui fait enfin sourire Malek. Il a l’air d’apprécier la bombasse latina aux gros seins qui se fait baiser et enculer par deux mecs trop blonds et musclés à mon goût.
Il fixe toujours l’écran avec intérêt quand Paul et moi commençons à déboutonner sa chemise et à tâter son entrejambe. C’est sûr, il commence à bander sérieusement dans son short !
Il ne s’oppose pas aux petits baisers que Paul et moi déposons sur ses lèvres hélas fermées pour lui témoigner notre tendresse. Nous sommes deux vieux pervers lubriques et moches mais gentils et, à notre façon, respectueux du beau mâle qui nous donne tant de plaisir en en prenant aussi !
J’adore le moment où Paul et moi écartons les deux pans de sa chemise déboutonnée pour faire apparaître ses superbes et délicieux tétons bruns, plutôt petits, biens pointus, que nous nous mettons à titiller, mordiller et sucer doucement. Nous savons qu’il aime ça et ses soupirs de jouissance nous le confirment. Visiblement, il entre dans notre trip et vient de décider de se laisser aller. Ainsi, c’est lui-même qui ouvre sa ceinture, déboutonne son short et ouvre sa braguette pour, dans le même temps, abaisser son short et son slip.
Sa grosse queue jaillit dans la pénombre. Il l’empoigne et commence à la branler.
Son geste n’échappe pas à Paul qui s’agenouille immédiatement et commence à lécher le gros gland brun circoncis, naturellement décalotté.
Je m’agenouille aussi pour profiter du spectacle de la grosse bite avalée progressivement par Paul puis des belles couilles léchées puis sucées une par une puis les deux à la fois.
C’est à ce moment que je réalise que trois hommes se sont approchés de nous et nous regardent, queues sorties, en se masturbant. En levant la tête au-dessous de la pine tendue de Malek, j’aperçois le moins moche et le moins vieux d’entre eux, un black d’environ quarante ans. Il s’approche et caresse la poitrine, le ventre puis les tétons de notre beau tunisien, comme nous l’avons fait peu auparavant.
Les soupirs de Malek et l’extrême dureté de sa queue aux mains et à la bouche de Paul témoignent de son plaisir. Le black le sent et demanda tout de go à Malek :
- Tu veux m’enculer ?
- Oui, répond-il, tourne-toi mais laisse mes potes te toucher. Il répond ainsi à un geste de Paul qui a tenté de happer la belle et grosse bite tendue du noir mais que celui-ci a repoussé.
Paul capte immédiatement le message et, si j’ose dire, saisit la perche tendue par Malek. Il se déculotte complètement en un instant et se place à genoux devant le black au moment où celui-ci baisse son survêtement et son string puis se penche en avant, mains au mur, pour offrir à Malek son joli cul imberbe et bombé.
La belle grosse pine noire ne tarde pas à combler la bouche et parfois la gorge de Paul qui souffle et se branle frénétiquement tantôt la bite tantôt le cul.
Je sors moi aussi ma bite et commence à me branler, avec le plaisir de le faire ostensiblement devant des mateurs. Elle durcît rapidement.
J’écarte les fesses du black pour aider Malek et surtout pour mieux le voir doigter puis se pencher pour mouiller de bave puis bouffer l’anus offert.
- Tiens, j’ai du gel, dit Paul en tendant à Malek deux sachets sortis de sa poche.
- Ouah, tu es organisé répond celui-ci en riant.
- Baise-moi, pine-moi, défonce moi implore le noir dont l’anus clignote sous les deux puis trois doigts de Malek qui le graissent et le pénètrent. Un bel anus noir dehors et rose dedans, visiblement habitué à se faire saillir.
Je ne perds pas une miette de ce magnifique spectacle mais il est bref car déjà le beau gland brun de Malek se fraye le passage dans le cul offert. J’entoure la grosse bite de mes doigts comme pour la guider même si ce n’est nullement nécessaire ; juste pour le plaisir de la tâter, de sentir sa chaleur, sa dureté et ses vibrations.
Ça y est, le pieu du superbe mâle arabe a atteint le fond du cul du black, comblé, qui commençe à se détendre et à ahaner sous les premiers lents coups de queue de Malek. Je lâche sa queue pour venir empaumer ses couilles par derrière entre ses jambes un peu écartées. Ce faisant, j’ai sous les yeux les fesses tunisiennes qui s’ouvrent quand il recule pour mieux renculer et là je peux admirer son magnifique anus brun joliment vrillé en plein travail.
Passant ma main par devant le corps du black secoué de plaisir et de coups de queue par Malek, je peux caresser la queue et les couilles noires que Paul continue de bouffer goulument.
Jetant un coup d’œil sur ma droite, j’aperçois des bites tendues et des mains de spectateurs devenus acteurs qui se branlent entre eux ou caressent l’Arabe ou le Noir en soufflant ou grognant pour exprimer comme Malek, comme Paul, comme moi leur jouissance.
Une aussi magnifique grappe humaine de plaisirs partagés ne peut malheureusement pas durer éternellement et vient le temps des orgasmes.
- Tiens salope dit Malek dont les coups de pine se sont accélérés, prends ça dans ton cul. Et chacun de comprendre qu’il déverse dans le ventre du noir des grosses rasades de sperme chaud.
- Aahhhhrg, ou quelque chose comme ce cri guttural, éructe simplement le black en se vidant dans la gorge et sur le visage de Paul qui se branle encore un petit moment avant de gicler aussi assez discrètement, signifiant qu’il aurait préféré une bite dans le cul en plus du sperme chaud sur sa gueule.
Moi, j’ai au moment de jouir une dernière audace. Quand je sens que Malek va gicler, j’écrase mon visage entre ses fesses, langue tendue en avant pour qu’elle vienne buter sur son anus que je respire à pleins poumons. Mon foutre jaillit à ce moment-là et c’est de longs borborygmes de porc un peu étouffés par les belles fesses tunisiennes que chacun put entendre dans le sex-shop où nos mateurs ne manquent pas aussi de vider leurs couilles dans des positions et des circonstances diverses.
Le calme revenu et détour fait par les lavabos, nous quittons le sex-shop tous les trois très heureux. Y compris Malek qui ne manqua pas de remarquer :
- Putain, vous les pédés vous faîtes des trucs que je n’ai jamais fait avec des meufs. Si ça continue je vais devenir comme vous…
- L’avenir le dira, répondis-je.
- Il faudra une prochaine fois, dit Paul, car là, tu ne m’as pas enculé. Personne ne m’a enculé !
- Tu ne perds rien pour attendre mon chéri, rétorque Malek en souriant.
C’est sur d’aussi belles perspectives que nous nous séparons, jusqu’à notre prochain délire sexuel.
Je vous le raconterai.
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