Avec Malek, mon coiffeur hétéro. CHAPITRE 3. Malek baise sa femme pour nous
Récit érotique écrit par Interstices34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Avec Malek, mon coiffeur hétéro. CHAPITRE 3. Malek baise sa femme pour nous
Je rêvais depuis longtemps de voir Malek baiser une fille sous mes yeux et mes caresses. L’idée plaisait aussi à Paul. Et voilà qu’un jour il m’annonce que c’est d’accord. Nous serons invités chez Malek pour le voir démonter son épouse, Aïcha, jolie tunisienne plus jeune que lui, 31 ans, « voilée le jour à l’extérieur mais nue et très chaude la nuit à l’intérieur », comme me l’avait avoué Malek en rigolant.
Comment Paul a-t-il convaincu Malek et surtout son épouse de baiser devant les deux vieux pédés que nous sommes ? Je l’ignore, même si j’ai une petite idée sur la question des moyens que mon riche ami a dû employer…
Sachant Malek très exhibitionniste cela ne m’étonna qu’à moitié mais je ne savais pas qu’Aïcha, que je ne connaissais pas, consentirait, car nous nous sommes assurés de son consentement, à dévoiler ses charmes et ses talents érotiques pour nous. Pourtant, très réservée en public et au premier abord, cette belle petite brune voilée allait vraiment, comme Malek d’ailleurs, faire sa salope sous nos yeux, nos mains, même nos langues.
Cela commence par un couscous, un soir, chez eux, les enfants couchés, dans le beau petit logement HLM qu’il habitent en lisière de Montpellier. Chaleureuse soirée, bien arrosée par les bons vins que Paul a apportés et dont nos deux musulmans se délectèrent comme nous, dans le beau petit salon entouré de canapés « comme là-bas ».
Arrive à la fin du repas la boukha, l’alcool tunisien de figues, et chacun lui fait honneur jusqu’à ce que Malek se lâche :
- Allez, on va dans la chambre, dit-il gaiement.
Chacun sourit, se lève et le suit tandis qu’il a pris Aïcha, souriante aussi, par la main.
Nous découvrons une petite chambre, pas plus de quinze mètres carrés, avec un lit très bas au milieu et, Malek a tout prévu, un petit fauteuil en osier dans chacun des coins face au lit. Une lampe de chevet diffuse une petite lumière douce sur les murs blancs, les draps roses, la moquette rouge.
D’un geste un peu théâtral, Malek désigne notre place, chacun dans un fauteuil, face au lit, et nous invite à nous asseoir.
Lui et Aïcha se tiennent debout devant nous, au pied du lit.
Il la prend tendrement par les épaules, cherche sa bouche et lui donne un long baiser profond en caressant son dos et ses fesses, encore cachées par la longue et fine robe bleue qu’elle porte.
C’est assez de sensualité pour que, sans nous concerter, Paul et moi commencions à bander dans nos pantalons et à nous tripoter l’entrejambe.
Nous constatons que, dans son jean, le paquet de Malek grossit aussi.
Quand leur baiser s’achève, Malek nous regarde en souriant tandis qu’il dégrafe puis fait glisser la robe d’Aïcha. Il enlève ensuite son propre t-shirt, doucement, en levant les bras pour nous laisser admirer son torse très légèrement velu et se ses muscles fins qui se dévoilent, faisant saillir un instant ses cotes et apparaître ses petits tétons bruns.
Désormais en culotte et en soutien-gorge noirs, Aïcha, souriante, redonne sa bouche à Malek, lui caresse le torse puis vient mordiller ses tétons. Elle sait comme nous qu’il adore ça. Il en profite pour détacher puis enlever le soutien-gorge. Aïcha a de beaux petits seins aux larges auréoles et aux tétons bien développés.
Malek se met à les caresser, empoigner, lécher, sucer, téter. Elle miaule et semble apprécier d’autant plus qu’il met sa main dans la culotte et semble doigter tantôt sa chatte, tantôt son cul. Il descend la culotte. Elle est nue.
Lui retire rapidement son jean et son boxer. Il est nu aussi et bande dur. Vu d’un peu loin et de profil c’est magnifique le ventre plat de Malek aux abdos bien dessinés et, dessous, cette grosse queue circoncise et ces belles couilles collées à elle.
Paul et moi avons successivement ouvert nos braguettes, sorti nos queues pour nous branler et nous avons désormais pantalons et slips sur les genoux, cuisses écartées et queues en mains.
Les deux époux nous sourient gentiment en nous regardant tandis que Malek invite Aïcha à s’agenouiller devant lui pour lécher, sucer, presqu’avaler parfois la grosse pine tunisienne que nous connaissons si bien et que nous aimons tant.
Paul ne peut s’empêcher d’entamer la conversation avec Aïcha :
- Elle est bonne hein Aïcha la grosse bite de Malek ?
- Oui, répond-elle à un moment de déglutition.
- Et ses couilles, lèche-les, gobe-les…
Elle s’exécuté en silence, visiblement avec plaisir.
- Tu la veux où, après, la grosse bite Aïcha ? Le cul ? La chatte ?
- Où tu veux, où vous voulez, on est là pour vous faire plaisir.
- Alors mettez-vous en 69, dit Paul, je veux voir ta langue dans son beau petit cul et lui doigter ta chatte.
- Oui, super ça, dit Malek en renversant doucement Aïcha pour qu’elle s’allonge. Puis il se met à califourchon sur son visage et plonge le sien entre les cuisses de sa femme.
AÎcha empoigne la grosse queue puis caresse et lèche les couilles avant de commence à dévorer l’anus de Malek.
Là, Paul et moi n’y tenons plus, nous nous levons, finissons de nous dénuder puis nous rapprochons du couple en rut.
Paul, qui a été marié il y a très longtemps, apprécie de voir les doigts de Malek s’agiter sur le clitoris et dans le vagin d’Aïcha. Moi qui ai hélas, bien malgré moi, une répulsion pour les organes génitaux féminins, je préfère écarter les fesses de Malek pour mieux voir Aïcha bouffer son cul.
Tous les deux savent y faire, geignent, soufflent, poussent des petits cris de jouissance.
Je demande doucement à Aïcha de mettre un doigt dans le cul de Malek mais il refuse.
- Non, pas ça s’il te plait.
Je n’insiste pas car je sens qu’il veut rester devant sa femme le mâle, l’homme, le macho parfait. De fait, tout son corps en joie exprime une virilité totale. Je me dis quand même que je reviendrai à l’assaut une autre fois et qu’entre hommes il acceptera sûrement un jour que moi ou un autre lui doigte le cul. Et que plus tard encore il nous remerciera de lui avoir fait découvrir la jouissance anale.
Tandis que je souris à ces pensées, j’entends Aïcha étouffer les cris d’un orgasme qui la tord sur le lit puis, le calme revenu, Paul lui dit :
- Maintenant il va te prendre par où tu veux, tant que tu veux et te faire jouir un maximum. Tu sais comme moi que c’est un super baiseur Malek. Tu sais qu’il me baise aussi ?
- Oui il me l’a dit quand il m’a proposé que nous vous invitions. Il parait que ton cul est super chaud et que tu jouis comme une meuf.
Comme pour interrompre cette conversation, Malek se relève tout à coup, au moment où j’avais joint ma langue à celle d’Aïcha pour bouffer ensemble le beau petit trou du cul serré au délicieux parfum et au goût musqués. Il intime gentiment à Aïcha l’ordre de se mettre à quatre pattes sur le lit.
- Je vais t’embrocher Aïcha, lui dit-il. Relève ton cul. Et la belle Aïcha de se cambrer magnifiquement sur le lit.
Paul à la droite du couple et moi à sa gauche, tout en caressant le torse et les épaules du beau mâle nous ne perdons pas une miette de la pénétration, de la chatte qui s’ouvre, bien humide, du gros gland brun de la bite encore mouillée de la salive d’Aïcha qui y rentre lentement, jusqu’aux couilles que je me permets d’empaumer et de caresser au passage.
Commence alors un bon quart d’heure de baise spectaculaire.
Notre macho se lâche et s’exhibe pour nous combler de bonheur tout en prenant son plaisir.
Tantôt lentement, tantôt à toute vitesse et dans des positions variées, il défonce Aïcha dans tous les sens. Elle crie, geint ou râle selon les moments et au rythme de trois orgasmes juteux.
Paul et moi bandons à mort et participons de nos caresses et de nos baisers de toute sorte aux deux époux. Malek s’écrie à un moment :
- Je vais t’enculer chérie, donne moi ton petit trou.
C’est le moment que je choisis pour adopter ma position préférée. Je m’allonge et viens glisser ma tête entre les cuisses ouvertes d’Aïcha, sous sa chatte rougie par tant de coups de bite avec, au-dessus, son bel anus imberbe dilaté par le gros zob de Malek.
Paul, lui, tourne autour du lit et de notre trio en se masturbant et nous caressant un peu partout.
- Tu es belle quand il t’encule, dit-il à Aïcha, tu jouis bien du cul, tu es comme moi quand il me tringle. Quelle énergie il a ! Ah il sait s’en servir de sa grosse queue !
- Il va te baiser après, dit Aïcha à Paul.
- Oui j’en veux aussi de ses coups de rein chérie, répondit Paul.
Ces mots font rire Malek sans qu’il arrête de tringler sa belle ; au contraire, il accélère, jusqu’à lui offrir un bel orgasme anal qui la fait presque hurler.
C’est le moment que choisit Malek pour dire à Paul.
- Donne-moi ton cul Paul, je vais gicler.
Paul se met immédiatement à quatre pattes à côté d’Aïcha et ouvre ses fesses à deux mains.
Je sors de dessous Aïcha et je jouis moi-même juste au moment où le gros zob tunisien franchit le trou du cul rose de Paul.
Aïcha vient regarder à côté de moi mais le spectacle n’est pas long. Après quelques coups de queue dans le fion du vieux, Malek décule et dans un cri, « je jouiiis » il déverse un torrent de foutre sur l’anus de Paul puis le visage d’Aïcha puis le mien.
Quel bonheur ! Un fou-rire vient nous submerger progressivement tous les quatre. Paul finit par jouir aussi puis, après nous être séché le visage, nous nous retrouvons un petit moment enlacés à nous bécoter tous les quatre sous la couette.
Cette séquence tendresse clôt la merveilleuse soirée à laquelle j’aurais aimé que vous assistiez, chers lecteurs.
Sentir vos regards sur nous m’aurait fait jouir encore plus et sans doute notre macho tunisien exhib aussi.
Ce n’est peut-être que partie remise… Faîtes-nous des propositions.
Comment Paul a-t-il convaincu Malek et surtout son épouse de baiser devant les deux vieux pédés que nous sommes ? Je l’ignore, même si j’ai une petite idée sur la question des moyens que mon riche ami a dû employer…
Sachant Malek très exhibitionniste cela ne m’étonna qu’à moitié mais je ne savais pas qu’Aïcha, que je ne connaissais pas, consentirait, car nous nous sommes assurés de son consentement, à dévoiler ses charmes et ses talents érotiques pour nous. Pourtant, très réservée en public et au premier abord, cette belle petite brune voilée allait vraiment, comme Malek d’ailleurs, faire sa salope sous nos yeux, nos mains, même nos langues.
Cela commence par un couscous, un soir, chez eux, les enfants couchés, dans le beau petit logement HLM qu’il habitent en lisière de Montpellier. Chaleureuse soirée, bien arrosée par les bons vins que Paul a apportés et dont nos deux musulmans se délectèrent comme nous, dans le beau petit salon entouré de canapés « comme là-bas ».
Arrive à la fin du repas la boukha, l’alcool tunisien de figues, et chacun lui fait honneur jusqu’à ce que Malek se lâche :
- Allez, on va dans la chambre, dit-il gaiement.
Chacun sourit, se lève et le suit tandis qu’il a pris Aïcha, souriante aussi, par la main.
Nous découvrons une petite chambre, pas plus de quinze mètres carrés, avec un lit très bas au milieu et, Malek a tout prévu, un petit fauteuil en osier dans chacun des coins face au lit. Une lampe de chevet diffuse une petite lumière douce sur les murs blancs, les draps roses, la moquette rouge.
D’un geste un peu théâtral, Malek désigne notre place, chacun dans un fauteuil, face au lit, et nous invite à nous asseoir.
Lui et Aïcha se tiennent debout devant nous, au pied du lit.
Il la prend tendrement par les épaules, cherche sa bouche et lui donne un long baiser profond en caressant son dos et ses fesses, encore cachées par la longue et fine robe bleue qu’elle porte.
C’est assez de sensualité pour que, sans nous concerter, Paul et moi commencions à bander dans nos pantalons et à nous tripoter l’entrejambe.
Nous constatons que, dans son jean, le paquet de Malek grossit aussi.
Quand leur baiser s’achève, Malek nous regarde en souriant tandis qu’il dégrafe puis fait glisser la robe d’Aïcha. Il enlève ensuite son propre t-shirt, doucement, en levant les bras pour nous laisser admirer son torse très légèrement velu et se ses muscles fins qui se dévoilent, faisant saillir un instant ses cotes et apparaître ses petits tétons bruns.
Désormais en culotte et en soutien-gorge noirs, Aïcha, souriante, redonne sa bouche à Malek, lui caresse le torse puis vient mordiller ses tétons. Elle sait comme nous qu’il adore ça. Il en profite pour détacher puis enlever le soutien-gorge. Aïcha a de beaux petits seins aux larges auréoles et aux tétons bien développés.
Malek se met à les caresser, empoigner, lécher, sucer, téter. Elle miaule et semble apprécier d’autant plus qu’il met sa main dans la culotte et semble doigter tantôt sa chatte, tantôt son cul. Il descend la culotte. Elle est nue.
Lui retire rapidement son jean et son boxer. Il est nu aussi et bande dur. Vu d’un peu loin et de profil c’est magnifique le ventre plat de Malek aux abdos bien dessinés et, dessous, cette grosse queue circoncise et ces belles couilles collées à elle.
Paul et moi avons successivement ouvert nos braguettes, sorti nos queues pour nous branler et nous avons désormais pantalons et slips sur les genoux, cuisses écartées et queues en mains.
Les deux époux nous sourient gentiment en nous regardant tandis que Malek invite Aïcha à s’agenouiller devant lui pour lécher, sucer, presqu’avaler parfois la grosse pine tunisienne que nous connaissons si bien et que nous aimons tant.
Paul ne peut s’empêcher d’entamer la conversation avec Aïcha :
- Elle est bonne hein Aïcha la grosse bite de Malek ?
- Oui, répond-elle à un moment de déglutition.
- Et ses couilles, lèche-les, gobe-les…
Elle s’exécuté en silence, visiblement avec plaisir.
- Tu la veux où, après, la grosse bite Aïcha ? Le cul ? La chatte ?
- Où tu veux, où vous voulez, on est là pour vous faire plaisir.
- Alors mettez-vous en 69, dit Paul, je veux voir ta langue dans son beau petit cul et lui doigter ta chatte.
- Oui, super ça, dit Malek en renversant doucement Aïcha pour qu’elle s’allonge. Puis il se met à califourchon sur son visage et plonge le sien entre les cuisses de sa femme.
AÎcha empoigne la grosse queue puis caresse et lèche les couilles avant de commence à dévorer l’anus de Malek.
Là, Paul et moi n’y tenons plus, nous nous levons, finissons de nous dénuder puis nous rapprochons du couple en rut.
Paul, qui a été marié il y a très longtemps, apprécie de voir les doigts de Malek s’agiter sur le clitoris et dans le vagin d’Aïcha. Moi qui ai hélas, bien malgré moi, une répulsion pour les organes génitaux féminins, je préfère écarter les fesses de Malek pour mieux voir Aïcha bouffer son cul.
Tous les deux savent y faire, geignent, soufflent, poussent des petits cris de jouissance.
Je demande doucement à Aïcha de mettre un doigt dans le cul de Malek mais il refuse.
- Non, pas ça s’il te plait.
Je n’insiste pas car je sens qu’il veut rester devant sa femme le mâle, l’homme, le macho parfait. De fait, tout son corps en joie exprime une virilité totale. Je me dis quand même que je reviendrai à l’assaut une autre fois et qu’entre hommes il acceptera sûrement un jour que moi ou un autre lui doigte le cul. Et que plus tard encore il nous remerciera de lui avoir fait découvrir la jouissance anale.
Tandis que je souris à ces pensées, j’entends Aïcha étouffer les cris d’un orgasme qui la tord sur le lit puis, le calme revenu, Paul lui dit :
- Maintenant il va te prendre par où tu veux, tant que tu veux et te faire jouir un maximum. Tu sais comme moi que c’est un super baiseur Malek. Tu sais qu’il me baise aussi ?
- Oui il me l’a dit quand il m’a proposé que nous vous invitions. Il parait que ton cul est super chaud et que tu jouis comme une meuf.
Comme pour interrompre cette conversation, Malek se relève tout à coup, au moment où j’avais joint ma langue à celle d’Aïcha pour bouffer ensemble le beau petit trou du cul serré au délicieux parfum et au goût musqués. Il intime gentiment à Aïcha l’ordre de se mettre à quatre pattes sur le lit.
- Je vais t’embrocher Aïcha, lui dit-il. Relève ton cul. Et la belle Aïcha de se cambrer magnifiquement sur le lit.
Paul à la droite du couple et moi à sa gauche, tout en caressant le torse et les épaules du beau mâle nous ne perdons pas une miette de la pénétration, de la chatte qui s’ouvre, bien humide, du gros gland brun de la bite encore mouillée de la salive d’Aïcha qui y rentre lentement, jusqu’aux couilles que je me permets d’empaumer et de caresser au passage.
Commence alors un bon quart d’heure de baise spectaculaire.
Notre macho se lâche et s’exhibe pour nous combler de bonheur tout en prenant son plaisir.
Tantôt lentement, tantôt à toute vitesse et dans des positions variées, il défonce Aïcha dans tous les sens. Elle crie, geint ou râle selon les moments et au rythme de trois orgasmes juteux.
Paul et moi bandons à mort et participons de nos caresses et de nos baisers de toute sorte aux deux époux. Malek s’écrie à un moment :
- Je vais t’enculer chérie, donne moi ton petit trou.
C’est le moment que je choisis pour adopter ma position préférée. Je m’allonge et viens glisser ma tête entre les cuisses ouvertes d’Aïcha, sous sa chatte rougie par tant de coups de bite avec, au-dessus, son bel anus imberbe dilaté par le gros zob de Malek.
Paul, lui, tourne autour du lit et de notre trio en se masturbant et nous caressant un peu partout.
- Tu es belle quand il t’encule, dit-il à Aïcha, tu jouis bien du cul, tu es comme moi quand il me tringle. Quelle énergie il a ! Ah il sait s’en servir de sa grosse queue !
- Il va te baiser après, dit Aïcha à Paul.
- Oui j’en veux aussi de ses coups de rein chérie, répondit Paul.
Ces mots font rire Malek sans qu’il arrête de tringler sa belle ; au contraire, il accélère, jusqu’à lui offrir un bel orgasme anal qui la fait presque hurler.
C’est le moment que choisit Malek pour dire à Paul.
- Donne-moi ton cul Paul, je vais gicler.
Paul se met immédiatement à quatre pattes à côté d’Aïcha et ouvre ses fesses à deux mains.
Je sors de dessous Aïcha et je jouis moi-même juste au moment où le gros zob tunisien franchit le trou du cul rose de Paul.
Aïcha vient regarder à côté de moi mais le spectacle n’est pas long. Après quelques coups de queue dans le fion du vieux, Malek décule et dans un cri, « je jouiiis » il déverse un torrent de foutre sur l’anus de Paul puis le visage d’Aïcha puis le mien.
Quel bonheur ! Un fou-rire vient nous submerger progressivement tous les quatre. Paul finit par jouir aussi puis, après nous être séché le visage, nous nous retrouvons un petit moment enlacés à nous bécoter tous les quatre sous la couette.
Cette séquence tendresse clôt la merveilleuse soirée à laquelle j’aurais aimé que vous assistiez, chers lecteurs.
Sentir vos regards sur nous m’aurait fait jouir encore plus et sans doute notre macho tunisien exhib aussi.
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