Balade en VTT

- Par l'auteur HDS LH -
Récit érotique écrit par LH [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Balade en VTT Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Balade en VTT
Par une belle matinée de printemps, j’enfourche mon VTT pour une petite balade à travers bois. Après une vingtaine de kilomètres, j’enquille sur une grande descente que je connais bien et qui débouche sur une clairière, lieu bucolique par excellence.
Je l’aime bien cet endroit. Perdu au milieu des bois, ce coin semble enchanté et pour tout promeneur qui débarquerait là fortuitement, rencontrer une fée ne surprendrait guère. Ensuite, cette descente sur ce sentier enherbé donne l’impression de littéralement glisser, sans un bruit comme sur du coton. Il faut aussi reconnaitre que ce qui me plait c’est qu’elle marque la fin de mon périple, un retour sans surprise en pente douce jusqu’à la maison.
Ce jour-là, alors que je filais à vive allure, à l’entrée de la clairière, je suis tombé nez à nez avec une jeune femme. Elle était accroupie contre un arbre, jupe retroussée, culotte baissée. J’ai cru sur l’instant qu’elle était en train de faire ses besoins mais non, ses yeux étaient fermés et son majeur caressait son sexe. Elle était tout simplement en train de se masturber. Vision étrange en ce lieu qui malgré tout n’était pas faite pour me déplaire. Un soubresaut de mon vélo l’a tirée de sa torpeur. Elle a sursauté, poussé un cri de surprise. D’un bond elle était sur pied et avec une légèreté de biche elle s’est évaporée à travers bois. S’il n’était resté la culotte au pied de l’arbre, j’aurais pu croire que j’avais rêvé.
J’ai pilé, tendu l’oreille, rien, plus un bruit. Seule cette petite culotte de coton noir attestait de la réalité de ma rencontre. Je suis descendu de mon vélo, me suis emparé de ce bout de tissu et machinalement, je l’ai porté à mes narines. Il en exhalait une douce odeur de mousse et de sous-bois mélangé à un délicat parfum de jeune fille. J’ai senti une légère excitation, des souvenirs lointains. Après avoir de nouveau regardé autour de moi, j’ai glissé cette culotte dans ma poche et j’ai pris la direction de la maison.
De retour chez moi, j’étais troublé, non seulement par cette rencontre mais aussi par ce geste incontrôlé, ce reflexe. Renifler ainsi la culotte de cette jeune femme me paraissait incongrue. Et si elle m’avait vu faire. Si elle était là, cachée derrière un arbre et qu’elle m’avait vu humer son slip. Et quand bien même ne m’aurait-elle pas vu, qu’allait-elle penser en revenant dans la clairière et en ne retrouvant pas son sous vêtement. Je me sentais d’autant plus honteux qu’il m’avait semblé la reconnaitre.
Si c’était bien elle, cette jeune femme du haut de ses 20-25 ans avait l’âge d’être ma fille. Je tentais de me raisonner, si ça se trouve ce n’était pas elle, peut-être qu’elle ne m’avait pas reconnu … et puis quoi, ce n’est pas moi qui me tripotais dans la verte.
Quelques jours ont passé, le printemps se faisait plus riant et par une fin d’après-midi ou j’étais attablé à la terrasse d’un café, sans que je ne l’aie vu arriver, elle se tenait face à moi.
- Puis je m’assoir ?
Avant même que je ne réponde, elle héla le serveur afin qu’il lui ramène un demi. Se retournant vers moi, elle s’empara d’une chaise et s’assit. Sa jupe était courte, très courte et en s’asseyant, elle m’exposa un court instant la vision de son entrejambe. Furtivement il m’a semblé entre apercevoir son sexe nu. Elle ne portait pas de culotte, j’en mettrai ma main à couper. J’ai senti un frisson parcourir mon corps ; l’image rapide de ce sexe blond m’avait excité, avait réveillé en moi des instincts de voyeur. Elle fit mine de n’avoir rien vu.
Je ne savais trop que dire mais elle ne me laissa pas longtemps dans l’embarras.
- Je voulais vous voir commença-t-elle par rapport à l’autre jour, dans la clairière. Je… j’espère que vous n’en avez parlé à personne bafouilla-t-elle. J’ai eu une envie subite, je ne sais pas ce qui m’a pris. C’était la première fois, vraiment. Ce n’est pas dans mes habitudes de faire des choses comme ça. Je ne veux pas que vous pensiez que je m’adonne à ce genre de pratique. Je vous en prie, gardez ça pour vous s’il vous plait.
Je la revoyais contre son arbre, ses doigts, sa culotte, son odeur. J’ai dû esquisser un sourire ce qui la fit réagir :- Pourquoi souriez-vous ?
Vous n’avez pas à vous inquiéter lui dis-je, vous êtes libre de faire ce que vous voulez, je ne vous juge pas et rassurez-vous, je n’en ai parlé à personne et ne le ferais pas.
- Merci, mille fois merci, vraiment j’ai eu peur que vous en parliez autour de vous, que mes parents l’apprennent. Vraiment, ce n’est pas moi, j’ai été prise d’un moment de folie, incontrôlable…- Vous n’avez pas à vous justifier je vous dis, chacun ses envies, ses fantasmes.
- Non vraiment, vous vous méprenez, ce n’était en rien un fantasme, juste une envie subite, c’était vraiment la première fois, croyez-moi.
Elle ne manquait pas de culot la gamine, à me raconter que c’était la première fois alors qu’elle se promenait nue sous sa jupe quasi transparente.
- Ok, si vous voulez c’était la première fois lui dis-je.
Je n’ai pu m’empêcher de sourire de nouveau ce qui a eu pour effet de l’énerver.
- Vous ne me croyez pas c’est ça ! Vous me prenez pour une perverse. Et vous, vous êtes quoi à part un vicieux ? et puis d’abord qu’avez-vous fait de ma culotte ? Vous vous êtes branlé avec c’est ça !
L’attaque était directe et je commençais à être dérangé par la tournure que prenait la discussion. J’ai voulu clore le débat et me suis entendu dire : - Ecoutez, vous faites ce que vous voulez mais n’avez pas à me parler ainsi. Ce n’est pas moi qui me tripote au milieu des bois et encore moins moi qui me pointe en terrasse à poil sous ma jupe en montrant ma chatte à qui veut la voir.
J’étais sidéré par ma réponse et réellement confus. Je m’en excusais aussitôt mais le mal était fait.
- Ah oui, et qu’est-ce qui vous fait dire que je suis nue sous ma jupe, comment pouvez-vous le savoir. Ce ne serait pas vous qui prenez vos désirs pour des réalités par hasard ?
Tout en disant cela, elle remonta ses jambes pour venir poser ses pieds sur les barreaux de sa chaise. Lentement elle écarta ses jambes pour m’offrir une vue plongeante entre ses cuisses. Ce qui s’étalait sous mes yeux n’était pas un sexe blond mais une petite culotte de flanelle couleur chair.
- Vous voyez, je ne suis point nue dit-elle fièrement. Il faut vous rendre à l’évidence que c’est vous le pervers qui regardez sous les jupes des filles et qui imaginez je ne sais quoi. Mais ça je m’en doutais. Pour vous dire la vérité, je vous ai vu ramasser ma culotte, je vous ai vu la porter à votre nez. Quel effet ça vous a fait hein ? cela faisait combien de temps que vous n’aviez pas senti une "chatte" comme vous dites ? à quoi ou à qui avez-vous pensé ? ça vous a fait bander non ? peut-être même vous êtes-vous branlé avec.
J’étais sérieusement gêné, elle n’avait pas tort, en sentant cette culotte, pleins de souvenirs, des visages, des situations m’étaient revenus en mémoire et oui, lorsque je suis rentré et que j’ai pris ma douche, je me suis masturbé pour me calmer.
J’étais comme un gamin qui se serait fait prendre la main dans le bocal à bonbon et je ne trouvais rien à redire.
- Je vais être honnête poursuivi-t-elle, c’était bien la première fois que ce genre de chose m’arrivait comme ça au milieu d’un bois. En arrivant dans cette clairière, mon sexe s’est mis à me chatouiller agréablement et j’ai ressenti un terrible besoin de me masturber, là, au milieu de nulle part. Lorsque vous m’avez surprise, j’ai eu peur et me suis enfuie. Comme je vous l’ai dit je vous ai vu ramasser et sentir ma culotte. Ça ne m’a pas plus étonné que ça venant d’un homme.
Mais ce qui m’a vraiment surprise, c’est que sur le chemin du retour, mon sexe était encore plus humide. Le fait de me faire surprendre ainsi m’avait excité à un point tel qu’il m’a fallu m’arrêter encore pour me branler. J’ai joui comme jamais je n’avais joui jusque-là. C’était incroyable. Je m’étais glissée sous un petit pont qui enjambe le ruisseau et frénétiquement, je me suis caressée, un doigt puis un deuxième, un troisième. C’est quasiment toute la main que j’ai enfoncée dans mon vagin. J’avais relevé mon tee short, mes tétons pointaient, je les pinçais à en avoir mal. Il s’en est fallu de peu pour qu’un duo de randonneurs passant sur le pont ne me surprenne. Si ça avait été le cas, je crois qu’ils auraient pu faire de moi ce qu’ils voulaient, je les aurais sucés tous les deux et me serais fait prendre par tous les trous. Rien que d’y penser, j’en suis toute mouillée.
En effet, je pouvais voir sur sa culotte une légère tache d’humidité qui marquait l’emplacement de ses lèvres.
J’étais comme un fou, je senti mon sexe se déployer, se dresser dans mon pantalon. Je dus me remuer dans ma chaise, croiser mes jambes pour retrouver un peu de contenance. Je ne savais plus où poser mon regard alors qu’elle, paraissait s’amuser de la situation.
- Excusez-moi me dit-elle, une petite envie pressante. J’en profite pour commander une nouvelle tournée, ça vous laissera le temps de reprendre vos esprits glissât-elle en se dirigeant vers le bar.
Je la regardais s’éloigner, ses cuisses, sa jupe, son petit cul de jeune fille pas si effarouchée que ça. Je ne savais que penser de la situation.
Une dizaine de minutes après elle revint avec les deux verres promis.
- Je leur ai dit de le mettre sur la note du vieux pervers en terrasse et je ne sais pas pourquoi, ils vous ont de suite reconnu….
Elle reprit sa pose mais cette fois ci ce fut son sexe nu qu’elle offrit à ma vue. Une petite chatte rasée avec un mince triangle de poils au niveau du pubis. Je ne voyais plus que ça, ses deux cuisses et au milieu, ce sexe d’où semblait perler un filet de mouille, faisant briller ses lèvres. Ma verge avait repris son érection de plus belle, elle était dressée dans mon pantalon trop serré et n’avait pas la place pour prendre ses aises.
J’aurais voulu l’attraper là, sur cette table, au milieu de tous peu importe. Rentrer en elle, enfoncer ma bite dans cette chatte provocante, la prendre sans préliminaire, sans tendresse, comme un soudard force une bergère rencontrée sur sa route. Lui faire payer sa provocation.
Cela devait se lire sur mon visage car elle me dit :- Je suis navrée de vous mettre dans un tel état, là n’était pas mon intention de départ, vraiment. Je voulais juste m’assurer de votre discrétion et je me suis laissée emporter. Cette conversation m’a emmenée plus loin que je ne le voulais.
Pour tout vous dire, lorsque je suis allé aux toilettes j’étais assez excitée par la situation et n’ai pu me retenir de me toucher. Je me suis branlée, rapidement et j’ai giclé sur ma culotte. Ça a été soudain et violent. J’en ai poussé un léger cri et j’ai même eu peur que les gens dans le bar m’entendent. En sortant je devais être pivoine et avais l’impression que tous les regards étaient posés sur moi.
Tout en m’expliquant cela, elle envoya dans ma direction un morceau de tissus roulé en boule que j’attrapais au vol. Je l’avais à peine entrevu mais je savais que c’était sa culotte qu’elle venait d’abandonner. Je serrais ce bout d’étoffe qui paraissait frais, humide, sans oser le regarder.
- Allez-y, reniflez-la, n’ayez pas peur personne ne vous regarde me dit-elle. Ne faites pas vos yeux de vierge effarouchée, ce n’est pas la première fois que vous reniflez ainsi les sous-vêtements d’une demoiselle.
Allez-y, respirez et racontez-moi, qu’est-ce que ceci vous rappelle, à quels souvenirs lointains cette odeur vous ramène-t-elle.
Elle n’avait pas tort la garce, cette petite culotte, ces effluves me ramenaient à ma jeunesse, à cette période où je baisais (ou du moins essayais de baiser) toutes celles qui passaient à ma portée. Je me remémorais celles que j’avais prises sur le bord du lac ou de la rivière, sur le capot d’une voiture, contre un tronc d’arbre ou dans le confessionnal de l’église. Je revis furtivement celles que j’avais eu plaisir à caresser, lécher, pénétrer. Celles qui m’avaient sucé, qui m’avaient procuré mes premiers vrais plaisirs.
Je devais être parti loin dans mes souvenirs et elle s’en aperçut.
- Eh bien me dit-elle, ça a l’air de vous faire de l’effet. Je serais curieuse de savoir ce qui se passe dans votre tête voire dans votre pantalon. Votre sexe doit être dur, cela doit faire mal non ?
Comment est-il d’ailleurs, plutôt gros, grand ou tout petit.
Non ne dites rien, laissez-moi deviner. Je suis sure qu’il est de taille respectable, certainement plus gros que ceux qui m’ont été donné de voir. En même temps je n’ai que peu d’expériences en ce domaine…Qu’aimeriez-vous que je fasse ? Que je me glisse sous la table, que j’ouvre votre braguette et sorte votre membre. Je pourrai le prendre en bouche, faire disparaitre votre gland entre mes lèvres, l’avaler goulument.
Aimeriez-vous que je vous pompe, que je vous soulage afin de faire disparaitre la protubérance qui pointe entre vos jambes ?
A moins que vous ne préfériez venir vous blottir entre mes cuisses, sentir de plus près les odeurs émanant de mon entrejambe, laper mon sexe, titiller mon clito, gouter à ma mouille et pourquoi pas recevoir en cadeau une petite giclée que vous avaleriez avec délectation ?

J’avais l’impression que toute la terrasse nous écoutait et j’étais réellement mal à l’aise. Et avec la bosse qui pointait de mon pantalon, je ne pouvais même pas m’en aller décemment…Tout à coup la sonnerie de son portable retenti, elle s’en empara, regarda l’heure et me dit :17 heures déjà, je suis désolée mais je vais devoir vous laisser. Je dois retrouver une amie, nous avions prévu une petite promenade dans la forêt et je ne peux l’abandonner ainsi… Bonne fin de journée à vous.
En une fraction de seconde elle était debout, le temps que je ne réagisse, elle franchissait déjà la route et je ne pouvais que contempler son petit cul qui se tortillait emportant avec lui tant de regrets…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour, merci pour votre commentaire, c'est toujours agréable d'avoir un retour sur ce que l'on a écrit, vécu, fantasmé... Au plaisir de vous lire à mon tour...LH.

Histoire Erotique
Voilà un récit très bien mené de bout en bout.
Une histoire qui est excitante, sans vulgarité, en jouant sur le ressenti des 2 personnages qui sont des gens calmes pris dans le flux puissant de leurs sensualités. L'excitation est progressive puis la vague emporte la jeune femme et l'homme est emporté dans le flux de son excitation. Elle mène le jeu.
J'adore.
Je laisse mon mail et aimerais vous lire car j'ai aussi envie d'écrire.
BRAVO 👍



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