Rencontre
Récit érotique écrit par LH [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Rencontre
J’entre chez vous sans même frapper. Vous êtes là au milieu du salon, sur un fauteuil style louis XV. Vous portez un corsage en dentelle blanc ainsi qu’une jupe longue. Vos yeux sont bandés. Je vous découvre pour la première fois, jamais nous ne nous sommes vus.
Ce scénario nous l’avons convenu par messages après nous être chauffé un certain nombre de fois. Par claviers interposés, nous nous sommes caressés, nous avons échangé, fantasmé, nous nous sommes branlés mais la seule chose que je connais de vous ce sont nos échanges de mots et une fois, alors que je vous avais envoyé une photo de mon sexe en érection, vous m’aviez retourné celle de votre poitrine, généreuse, les tétons tendus de désir.
Vous me saluez d’un bonjour, votre voix est douce, un peu hésitante. Je ne réponds pas, pénètre un peu plus dans la salle, m’approche de vous. Je dépose un sac, fais le tour de la pièce. Comme convenu, deux verres à pied se trouvent sur la table basse.
Je soulève votre jupe, une petite culotte blanche se fait jour. Je glisse une main sous votre corsage, un maillot en coton, blanc lui aussi moule votre poitrine. Ma main effleure votre sein et remonte le long de votre cou, votre joue, soulève le bandeau qui obstrue votre vue. Vos yeux sont fermés par des rondelles oculaires. Tout est bien comme nous l’avions convenu.
J’ouvre mon sac, dépose une bouteille sur la table ainsi que quelques bricoles. Un bruit de bouchon, un liquide semble remplir des verres, doux pétillement.
J’attrape votre poignet droit, l’enserre d’un bracelet de cuir et l’attache à l’accoudoir du fauteuil. Je fais de même avec le gauche. Je me recule, vous contemple, satisfait. Vous semblez surprise, un peu inquiète. Vous osez un « que faites-vous » mais pas de réponse.
Je passe derrière vous, attrape fermement votre tête, la ramène à l’arrière. Un collier vient prendre votre gorge, un bruit de chainette qui passe entre les pieds du fauteuil et vous ne pouvez plus avancer le buste. Quelques secondes et un verre vient se poser sur vos lèvres. Vous les entrouvrez, un liquide frais et pétillant envahi votre bouche. Le champagne vous rassure. Je pose le verre et ma main glisse le long de votre corsage, le déboutonne doucement. Votre maillot moule vos seins, vos tétons pointent à peine. Je les effleure, les titille, tire dessus. Ils durcissent entre mes doigts.
Ma main gauche a sorti un ciseau de ma poche. Je tire sur votre maillot et en coupe un morceau ce qui a pour effet de laisser apparaitre un bout de votre sein. Je m’en saisi, le fait rouler entre mon pouce et mon index, le pince. Toujours à l’aide de ma paire de ciseaux, je m’attelle à découper plus largement le vêtement qui cache votre autre sein. Il apparait dans sa totalité, je le prends, le caresse, le soupèse.
Ma main glisse sur votre ventre, votre cuisse, votre mollet… et remonte sous votre jupe. Je viens effleurer votre sexe par-dessus votre culotte, m’y arrête un instant. C’est humide et tiède.
Je m’accroupis devant vous, écarte vos cuisses et découpe cette jupe qui me prive de la vue de cette culotte blanche. Je me relève, vous contemple.
Je réajuste votre corsage, n’en ferme que les 2 boutons du bas.
Je porte de nouveau le verre à vos lèvres. Je fais de même et laisse couler ce qu’il reste sur votre poitrine. Vos mamelons sont saisis par la fraicheur du liquide qui poursuit sa route jusqu’à votre pubis. J’observe votre culotte s’imbiber du breuvage, je suis tenté par venir laper ce nectar…
Je pose le verre sur la table, fais de même avec les ciseaux.
Je vous regarde, vous êtes excitante. Mon sexe est dur.
Je vous baiserai bien là, maintenant mais au lieu de ça, je fais demi-tour et me retire de vos appartements. Vous entendez mes pas s’éloigner dans une sorte d’incompréhension…
Silence.
Plusieurs minutes s’écoulent, attachée sur votre fauteuil, aucun mouvement n’est possible.
Et puis, des pas se font de nouveau entendre, se rapprochent. La porte s’ouvre, vous retenez votre souffle. Quelqu’un entre, vous sentez sa présence, pesante. Vous n’osez rien dire, paralysée. Vous sentez que l’on tourne autour de vous. Soudain une main se pose sur votre épaule, vous poussez un petit cri vite étouffé par une autre main. Un chut se fait entendre, puissant, autoritaire. La main passe de votre épaule à votre cou et glisse sur votre sein dénudé. Elle le malaxe, le caresse. Une bouche se pose sur votre mamelon, le lèche, le mordille, l’aspire. L’autre sein est traité de la même manière. Petit bruit métallique, vous sentez une morsure sur le sein droit, des mâchoires d’acier se referment sur le mamelon. Quelques instants après, c’est le téton gauche qui subit le même traitement. Des pinces à seins reliées par une petite chaine ornent désormais votre poitrine. La sensation est à peine douloureuse, agréablement douloureuse pourrait-on dire. Vous sentez une tension, vos seins sont tirés vers le haut. La chaine vient se clipper à votre collier.
Après avoir joué un temps avec vos tétons, la main poursuit son excursion, glisse entre vos jambes. Vous tentez de resserrer vos cuisses mais il est trop tard, vous sentez qu’elle a franchi la barrière de votre culotte. Des doigts commencent à vous fouiller, effleurent votre clitoris, s’insinuent entre vos lèvres. Vous mouillez. Un majeur entre en vous et ressort aussitôt, humide, pour venir titiller votre clito. Il roule sous la pression, est écrasé. Le doigt tourne autour de votre bouton, la pression se fait plus ou moins forte et vous avez l’air d’aimer ça. Vous soulevez légèrement vos fesses du fauteuil en signe d’acceptation, de soumission. De nouveau les doigts forcent l’entrée de votre vagin, de la cyprine s’écoule, humidifie votre anus. Vous vous tortillez sur votre siège, écrasant cette main entre l’assise et votre chatte. Votre clito est gonflé, votre cul vous démange. Vous resserrez vos cuisses sur cette poigne vigoureuse, vous l’aimeriez toute entière en vous…
Mais las, vous la sentez se retirer, remonter humide sur votre poitrine vous laissant frustrée de désir.
Votre culotte, mouillé de champagne et de cyprine apporte un peu de fraicheur à votre sexe de chienne en chaleur.
Un bruit de ceinture, de boutons. Une main agrippe votre chevelure, des doigts parfumés de votre mouille s’introduisent dans votre bouche, vous les sucez, votre langue lèche avec gourmandise les restes de cyprine qui s’y trouvent. Vous sentez quelque chose de dur se poser sur vos lèvres. Vous ouvrez la bouche, un sexe pénètre en vous. Il est doux, tiède et commence une série de va et vient. On vous baise la bouche et ce n’est pas fait pour vous déplaire. Vous gobez cette bite inconnue avec volupté. L’image de sexe envoyé par mail revient à vous, était ce celui-ci, était-il aussi gros ? Vous sentez le gland s’aventurer au plus profond de votre gorge, ressortir pour mieux revenir. Vous sentez l’afflux sanguin dans ce membre dressé, vous l’aspirez, l’avalez. Elle rentre et sort, brillante de votre salive. Peu importe à qui appartient cette bette bite, vous aimeriez qu’elle poursuive sa route et termine au plus profond de vous, qu’elle entre en vous, vous pénètre, qu’elle force l’entrée de votre chatte, vous écartèle et y lâche sa semence. Une giclée de sperme chaud qui viendrait irradier votre bas ventre, qui se répandrait en vous, napperait les parois de votre vagin.
Mais soudainement, elle sort, vous restez un moment bouche ouverte, espérant son retour mais rien.
Tout à coup, vous percevez que les liens qui entravaient vos poignets se font plus lâches, pareil pour votre cou. Vous êtes désormais libres de vos mouvements. Deux mains puissantes vous empoignent, vous relèvent pour vous mettre à genoux, la tête posée sur le fauteuil, les fesses relevées. Une main s’égare sur votre croupe, fait glisser votre culotte à mi-cuisse, se promène entre vos fesses aussitôt suivie par une langue qui vous lèche avec ardeur. Cette langue s’aventure le long de votre raie, effleure votre rondelle et poursuit sa route pour gouter la liqueur de votre sexe. Elle se raidit pour se frayer un chemin entre vos lèvres, pour en forcer l’intimité. Elle vous fouille, se délecte de votre mouille.
A suivre
Ce scénario nous l’avons convenu par messages après nous être chauffé un certain nombre de fois. Par claviers interposés, nous nous sommes caressés, nous avons échangé, fantasmé, nous nous sommes branlés mais la seule chose que je connais de vous ce sont nos échanges de mots et une fois, alors que je vous avais envoyé une photo de mon sexe en érection, vous m’aviez retourné celle de votre poitrine, généreuse, les tétons tendus de désir.
Vous me saluez d’un bonjour, votre voix est douce, un peu hésitante. Je ne réponds pas, pénètre un peu plus dans la salle, m’approche de vous. Je dépose un sac, fais le tour de la pièce. Comme convenu, deux verres à pied se trouvent sur la table basse.
Je soulève votre jupe, une petite culotte blanche se fait jour. Je glisse une main sous votre corsage, un maillot en coton, blanc lui aussi moule votre poitrine. Ma main effleure votre sein et remonte le long de votre cou, votre joue, soulève le bandeau qui obstrue votre vue. Vos yeux sont fermés par des rondelles oculaires. Tout est bien comme nous l’avions convenu.
J’ouvre mon sac, dépose une bouteille sur la table ainsi que quelques bricoles. Un bruit de bouchon, un liquide semble remplir des verres, doux pétillement.
J’attrape votre poignet droit, l’enserre d’un bracelet de cuir et l’attache à l’accoudoir du fauteuil. Je fais de même avec le gauche. Je me recule, vous contemple, satisfait. Vous semblez surprise, un peu inquiète. Vous osez un « que faites-vous » mais pas de réponse.
Je passe derrière vous, attrape fermement votre tête, la ramène à l’arrière. Un collier vient prendre votre gorge, un bruit de chainette qui passe entre les pieds du fauteuil et vous ne pouvez plus avancer le buste. Quelques secondes et un verre vient se poser sur vos lèvres. Vous les entrouvrez, un liquide frais et pétillant envahi votre bouche. Le champagne vous rassure. Je pose le verre et ma main glisse le long de votre corsage, le déboutonne doucement. Votre maillot moule vos seins, vos tétons pointent à peine. Je les effleure, les titille, tire dessus. Ils durcissent entre mes doigts.
Ma main gauche a sorti un ciseau de ma poche. Je tire sur votre maillot et en coupe un morceau ce qui a pour effet de laisser apparaitre un bout de votre sein. Je m’en saisi, le fait rouler entre mon pouce et mon index, le pince. Toujours à l’aide de ma paire de ciseaux, je m’attelle à découper plus largement le vêtement qui cache votre autre sein. Il apparait dans sa totalité, je le prends, le caresse, le soupèse.
Ma main glisse sur votre ventre, votre cuisse, votre mollet… et remonte sous votre jupe. Je viens effleurer votre sexe par-dessus votre culotte, m’y arrête un instant. C’est humide et tiède.
Je m’accroupis devant vous, écarte vos cuisses et découpe cette jupe qui me prive de la vue de cette culotte blanche. Je me relève, vous contemple.
Je réajuste votre corsage, n’en ferme que les 2 boutons du bas.
Je porte de nouveau le verre à vos lèvres. Je fais de même et laisse couler ce qu’il reste sur votre poitrine. Vos mamelons sont saisis par la fraicheur du liquide qui poursuit sa route jusqu’à votre pubis. J’observe votre culotte s’imbiber du breuvage, je suis tenté par venir laper ce nectar…
Je pose le verre sur la table, fais de même avec les ciseaux.
Je vous regarde, vous êtes excitante. Mon sexe est dur.
Je vous baiserai bien là, maintenant mais au lieu de ça, je fais demi-tour et me retire de vos appartements. Vous entendez mes pas s’éloigner dans une sorte d’incompréhension…
Silence.
Plusieurs minutes s’écoulent, attachée sur votre fauteuil, aucun mouvement n’est possible.
Et puis, des pas se font de nouveau entendre, se rapprochent. La porte s’ouvre, vous retenez votre souffle. Quelqu’un entre, vous sentez sa présence, pesante. Vous n’osez rien dire, paralysée. Vous sentez que l’on tourne autour de vous. Soudain une main se pose sur votre épaule, vous poussez un petit cri vite étouffé par une autre main. Un chut se fait entendre, puissant, autoritaire. La main passe de votre épaule à votre cou et glisse sur votre sein dénudé. Elle le malaxe, le caresse. Une bouche se pose sur votre mamelon, le lèche, le mordille, l’aspire. L’autre sein est traité de la même manière. Petit bruit métallique, vous sentez une morsure sur le sein droit, des mâchoires d’acier se referment sur le mamelon. Quelques instants après, c’est le téton gauche qui subit le même traitement. Des pinces à seins reliées par une petite chaine ornent désormais votre poitrine. La sensation est à peine douloureuse, agréablement douloureuse pourrait-on dire. Vous sentez une tension, vos seins sont tirés vers le haut. La chaine vient se clipper à votre collier.
Après avoir joué un temps avec vos tétons, la main poursuit son excursion, glisse entre vos jambes. Vous tentez de resserrer vos cuisses mais il est trop tard, vous sentez qu’elle a franchi la barrière de votre culotte. Des doigts commencent à vous fouiller, effleurent votre clitoris, s’insinuent entre vos lèvres. Vous mouillez. Un majeur entre en vous et ressort aussitôt, humide, pour venir titiller votre clito. Il roule sous la pression, est écrasé. Le doigt tourne autour de votre bouton, la pression se fait plus ou moins forte et vous avez l’air d’aimer ça. Vous soulevez légèrement vos fesses du fauteuil en signe d’acceptation, de soumission. De nouveau les doigts forcent l’entrée de votre vagin, de la cyprine s’écoule, humidifie votre anus. Vous vous tortillez sur votre siège, écrasant cette main entre l’assise et votre chatte. Votre clito est gonflé, votre cul vous démange. Vous resserrez vos cuisses sur cette poigne vigoureuse, vous l’aimeriez toute entière en vous…
Mais las, vous la sentez se retirer, remonter humide sur votre poitrine vous laissant frustrée de désir.
Votre culotte, mouillé de champagne et de cyprine apporte un peu de fraicheur à votre sexe de chienne en chaleur.
Un bruit de ceinture, de boutons. Une main agrippe votre chevelure, des doigts parfumés de votre mouille s’introduisent dans votre bouche, vous les sucez, votre langue lèche avec gourmandise les restes de cyprine qui s’y trouvent. Vous sentez quelque chose de dur se poser sur vos lèvres. Vous ouvrez la bouche, un sexe pénètre en vous. Il est doux, tiède et commence une série de va et vient. On vous baise la bouche et ce n’est pas fait pour vous déplaire. Vous gobez cette bite inconnue avec volupté. L’image de sexe envoyé par mail revient à vous, était ce celui-ci, était-il aussi gros ? Vous sentez le gland s’aventurer au plus profond de votre gorge, ressortir pour mieux revenir. Vous sentez l’afflux sanguin dans ce membre dressé, vous l’aspirez, l’avalez. Elle rentre et sort, brillante de votre salive. Peu importe à qui appartient cette bette bite, vous aimeriez qu’elle poursuive sa route et termine au plus profond de vous, qu’elle entre en vous, vous pénètre, qu’elle force l’entrée de votre chatte, vous écartèle et y lâche sa semence. Une giclée de sperme chaud qui viendrait irradier votre bas ventre, qui se répandrait en vous, napperait les parois de votre vagin.
Mais soudainement, elle sort, vous restez un moment bouche ouverte, espérant son retour mais rien.
Tout à coup, vous percevez que les liens qui entravaient vos poignets se font plus lâches, pareil pour votre cou. Vous êtes désormais libres de vos mouvements. Deux mains puissantes vous empoignent, vous relèvent pour vous mettre à genoux, la tête posée sur le fauteuil, les fesses relevées. Une main s’égare sur votre croupe, fait glisser votre culotte à mi-cuisse, se promène entre vos fesses aussitôt suivie par une langue qui vous lèche avec ardeur. Cette langue s’aventure le long de votre raie, effleure votre rondelle et poursuit sa route pour gouter la liqueur de votre sexe. Elle se raidit pour se frayer un chemin entre vos lèvres, pour en forcer l’intimité. Elle vous fouille, se délecte de votre mouille.
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement la suite!
Une domination très progressive. Intéressant!