Rencontre 2 (suite et fin)
Récit érotique écrit par LH [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Rencontre 2 (suite et fin)
A un lecteur inconnu qui attendait une suite à mon histoire intitulée "rencontre" et à Olga T qui trouvait le début « intéressant ». En espérant ne pas les décevoir.
Elle vous boit, aspire votre clitoris, vous farfouille et remonte le sillon de vos fesses, s’arrête sur votre anus. La langue, dardée, esquisse une entrée et reprend sa route en direction de votre dos.
C’est une douleur aiguë qui vous extirpe de votre plaisir, un clac qui retenti et vient marquer votre postérieur. Fouet, ceinture, vous ne savez mais la douleur est intense. Une trace rouge marque votre fesse droite et immédiatement, la gauche subit le même sort. Et de nouveau la droite.
Méthodiquement la lanière de cuir vient meurtrir votre derrière. Vous enfouissez votre tête dans le fauteuil incapable de réagir. Votre cul est en feu et sous l’effet de surprise, nul cri ne s’échappe de votre bouche. Vous mordez votre main espérant ainsi amoindrir la douleur.
Après un temps qui vous parait interminable, le fouet se fait moins violent, moins mordant. Il s’éteint. Vos fesses vous cuisent et en même temps, une douce chaleur les enveloppe. Vous vous laissez aller à profiter de ce moment, de cette suspension du châtiment et du temps. Fesses à l’air Vous êtes seule au monde. Vous ressentez votre cul comme jamais vous ne l’aviez senti auparavant, il irradie. Il a pris le pas sur toutes les autres parties de votre corps, il n’y a plus que lui qui existe, qui vit.
Vous percevez que l’on bouge autour de vous mais rien ne vous déconcentre de votre douleur, de cette douce douleur.
Un bruit de verre, un liquide se répand sur votre arrière train, glisse sur vos fesses, dans votre raie, s’écoule le long de vos cuisses. C’est froid mais ça vous brule, ça vous apaise et vous cuit.
Le fauteuil est tiré, vous manquez de vous écrouler au sol. Vous êtes désormais à quatre pattes. Déboussolée. Un bruit de vaisselle que l’on pose devant vous, un liquide qui se déverse. Une main agrippe vos cheveux, pousse votre tête vers le bas.
- Bois !
Vos lèvres rencontrent une assiette ou une écuelle. Fraicheur, bulles. Vous lapez ce breuvage, en savourez la fraicheur qui inonde votre gosier. Vous prenez conscience que vous vous comportez comme une chienne, une chienne qui boit du champagne.
Vous essayez de vous imaginer, à quatre pattes dans votre salon, les habits en lambeaux, la poitrine ornée de pinces à seins, les fesses rougies, soumise aux caprices de… de qui d’ailleurs, d’un homme rencontré sur une application, d’un parfait inconnu.
Un instant de peur, d’inquiétude et la main vous relève la tête. On vous embrasse, une langue vous fouille, s’enroule autour de la vôtre. Des mains tirent sur vos pinces, jouent avec et les dégrafent.
Le sang afflue, c’est comme si une piqure vous transperçait les mamelons. C’est merveilleusement douloureux. La main poursuit son exploration, descend vers votre sexe, s’empare de votre clitoris et le pince fortement. La bouche qui vous embrassait, qui s’aventurait dans la vôtre s’est saisie de votre lèvre inférieure et la mords. Seins, clito, fesses, lèvres, tout est douleur mais vous en demandez encore. Vous êtes excitée comme jamais vous ne l’avez été. Votre sexe dégouline, il veut qu’on le prenne, qu’on le pénètre. Il veut qu’un membre entre en lui, le force, le viole.
Alors vous me tirez à vous, votre main tâtonne vers mon sexe, me déboutonne. Vous agrippez ma bite en érection d’une main ferme et commencez à me branler. Vous attrapez mes couilles et roulez sur le dos.
- Maintenant, prends-moi, baise-moi, défonce-moi.
Alors, ni tenant plus, j’entre en toi, mon gland s’insinue entre tes lèvres, je marque une légère pause et m’enfonce en toi d’une traite. Tu pousses un cri de plaisir. J’entame une série de va et vient, tu es chaude, dégoulinante. Je te baise et j’aime ça. Nos lèvres se choquent, nos langues s’agrippent.
Je te redresse. Je suis à genoux et tu me montes, tu t’empales sur ma bite. J’aimerais qu’elle soit plus longue encore, je voudrais pénétrer encore plus loin en toi, fouiller tes entrailles.
Tu montes et descends autour de ma bite, je suis à deux doigts de lâcher mon foutre mais je me retiens, je veux que ce moment dure encore.
Tu m’expulses de toi et un jet jaillit de ton sexe, tu jouis et tu te déverses. Debout, chancelante tu t’agrippes à ma chevelure, rapproche ma tête de ton sexe et tu gicles dans un cri de jouissance.
J’ouvre ma bouche et bois à ta fontaine. Le liquide douceâtre coule sur mes lèvres, inonde mon torse. J’accueille ton nectar comme un présent. Ce trop-plein de plaisir me comble, je te lèche, aspire ton bouton, le mordille.
Je te ramène à moi, te pénètre de nouveau. Tu glisses sur mon chibre avec facilité, une lente descente qui fait monter mon plaisir, notre plaisir. Je te sens couler, nous nageons dans une mare de champagne et de jouissance.
Je te baise à un rythme effréné, nos sexes se dévorent et je sens mon sperme qui s’échappe, qui se répand en toi. Je pousse un cri de plaisir, tu accueilles ma semence comme une délivrance.
Je reste en toi, les mouvements se font plus lents. Je suis sur toi, mon sexe, douloureux, donne des signes de faiblesse. Tu desserres ton étreinte, écartes les bras, te laisse aller sur le parquet humide de nos ébats.
Mes lèvres glissent sur tes seins, les lèches goulument. Je poursuis jusqu’à ton nombril, le visite de ma langue, descends sur ton pubis. Je me délecte de ton sexe, de ma semence qui coule entre tes lèvres et se perd dans ta raie.
Je me redresse, te regarde un encore... et me retire de tes appartements.
Elle vous boit, aspire votre clitoris, vous farfouille et remonte le sillon de vos fesses, s’arrête sur votre anus. La langue, dardée, esquisse une entrée et reprend sa route en direction de votre dos.
C’est une douleur aiguë qui vous extirpe de votre plaisir, un clac qui retenti et vient marquer votre postérieur. Fouet, ceinture, vous ne savez mais la douleur est intense. Une trace rouge marque votre fesse droite et immédiatement, la gauche subit le même sort. Et de nouveau la droite.
Méthodiquement la lanière de cuir vient meurtrir votre derrière. Vous enfouissez votre tête dans le fauteuil incapable de réagir. Votre cul est en feu et sous l’effet de surprise, nul cri ne s’échappe de votre bouche. Vous mordez votre main espérant ainsi amoindrir la douleur.
Après un temps qui vous parait interminable, le fouet se fait moins violent, moins mordant. Il s’éteint. Vos fesses vous cuisent et en même temps, une douce chaleur les enveloppe. Vous vous laissez aller à profiter de ce moment, de cette suspension du châtiment et du temps. Fesses à l’air Vous êtes seule au monde. Vous ressentez votre cul comme jamais vous ne l’aviez senti auparavant, il irradie. Il a pris le pas sur toutes les autres parties de votre corps, il n’y a plus que lui qui existe, qui vit.
Vous percevez que l’on bouge autour de vous mais rien ne vous déconcentre de votre douleur, de cette douce douleur.
Un bruit de verre, un liquide se répand sur votre arrière train, glisse sur vos fesses, dans votre raie, s’écoule le long de vos cuisses. C’est froid mais ça vous brule, ça vous apaise et vous cuit.
Le fauteuil est tiré, vous manquez de vous écrouler au sol. Vous êtes désormais à quatre pattes. Déboussolée. Un bruit de vaisselle que l’on pose devant vous, un liquide qui se déverse. Une main agrippe vos cheveux, pousse votre tête vers le bas.
- Bois !
Vos lèvres rencontrent une assiette ou une écuelle. Fraicheur, bulles. Vous lapez ce breuvage, en savourez la fraicheur qui inonde votre gosier. Vous prenez conscience que vous vous comportez comme une chienne, une chienne qui boit du champagne.
Vous essayez de vous imaginer, à quatre pattes dans votre salon, les habits en lambeaux, la poitrine ornée de pinces à seins, les fesses rougies, soumise aux caprices de… de qui d’ailleurs, d’un homme rencontré sur une application, d’un parfait inconnu.
Un instant de peur, d’inquiétude et la main vous relève la tête. On vous embrasse, une langue vous fouille, s’enroule autour de la vôtre. Des mains tirent sur vos pinces, jouent avec et les dégrafent.
Le sang afflue, c’est comme si une piqure vous transperçait les mamelons. C’est merveilleusement douloureux. La main poursuit son exploration, descend vers votre sexe, s’empare de votre clitoris et le pince fortement. La bouche qui vous embrassait, qui s’aventurait dans la vôtre s’est saisie de votre lèvre inférieure et la mords. Seins, clito, fesses, lèvres, tout est douleur mais vous en demandez encore. Vous êtes excitée comme jamais vous ne l’avez été. Votre sexe dégouline, il veut qu’on le prenne, qu’on le pénètre. Il veut qu’un membre entre en lui, le force, le viole.
Alors vous me tirez à vous, votre main tâtonne vers mon sexe, me déboutonne. Vous agrippez ma bite en érection d’une main ferme et commencez à me branler. Vous attrapez mes couilles et roulez sur le dos.
- Maintenant, prends-moi, baise-moi, défonce-moi.
Alors, ni tenant plus, j’entre en toi, mon gland s’insinue entre tes lèvres, je marque une légère pause et m’enfonce en toi d’une traite. Tu pousses un cri de plaisir. J’entame une série de va et vient, tu es chaude, dégoulinante. Je te baise et j’aime ça. Nos lèvres se choquent, nos langues s’agrippent.
Je te redresse. Je suis à genoux et tu me montes, tu t’empales sur ma bite. J’aimerais qu’elle soit plus longue encore, je voudrais pénétrer encore plus loin en toi, fouiller tes entrailles.
Tu montes et descends autour de ma bite, je suis à deux doigts de lâcher mon foutre mais je me retiens, je veux que ce moment dure encore.
Tu m’expulses de toi et un jet jaillit de ton sexe, tu jouis et tu te déverses. Debout, chancelante tu t’agrippes à ma chevelure, rapproche ma tête de ton sexe et tu gicles dans un cri de jouissance.
J’ouvre ma bouche et bois à ta fontaine. Le liquide douceâtre coule sur mes lèvres, inonde mon torse. J’accueille ton nectar comme un présent. Ce trop-plein de plaisir me comble, je te lèche, aspire ton bouton, le mordille.
Je te ramène à moi, te pénètre de nouveau. Tu glisses sur mon chibre avec facilité, une lente descente qui fait monter mon plaisir, notre plaisir. Je te sens couler, nous nageons dans une mare de champagne et de jouissance.
Je te baise à un rythme effréné, nos sexes se dévorent et je sens mon sperme qui s’échappe, qui se répand en toi. Je pousse un cri de plaisir, tu accueilles ma semence comme une délivrance.
Je reste en toi, les mouvements se font plus lents. Je suis sur toi, mon sexe, douloureux, donne des signes de faiblesse. Tu desserres ton étreinte, écartes les bras, te laisse aller sur le parquet humide de nos ébats.
Mes lèvres glissent sur tes seins, les lèches goulument. Je poursuis jusqu’à ton nombril, le visite de ma langue, descends sur ton pubis. Je me délecte de ton sexe, de ma semence qui coule entre tes lèvres et se perd dans ta raie.
Je me redresse, te regarde un encore... et me retire de tes appartements.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour votre retour, cette histoire est en partie réelle.. La femme avec laquelle je l'ai vécue était une amoureuse du sexe et une merveilleuse femme fontaine...
LH.
LH.
Si cette histoire est vraie j'imagine que la fille a dû se régaler, en tout cas moi j'aurais aimé être à sa place chaude et dégoulinante dans vos bras