La maitresse

- Par l'auteur HDS LH -
Récit érotique écrit par LH [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La maitresse Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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La maitresse
Mon fils a une maitresse et il faut reconnaitre qu’elle possède quelques atouts et notamment un cul auquel je rendrais bien visite.

J’avais eu l’occasion de la rencontrer il y a quelques temps pour lui faire part de choses très personnelles sur mon fiston, informations qui pouvaient être importantes pour elle dans son rôle d’enseignant mais qui n’avaient pas à sortir du cadre de l’école et j’avais conclu l’entretien en lui disant que je comptais sur son entière discrétion. Après m’avoir rassuré, nous nous serrâmes la main et j’en profitais pour lorgner dans son décolleté en me disant qu’il n'y avait pas qu’à son derrière que j’aimerais présenter mes salutations.

Hors dernièrement, quelle ne fut pas ma surprise, en discutant avec une maman à la sortie de l’école de l’entendre me dire qu’avec l’épreuve que mon enfant avait subi, ce devait être difficile pour lui de se reconstruire. Je lui demandais comment elle était au courant de cela et je senti une gêne s’emparer d’elle. Elle bafouilla de vagues excuses et profita de la cohue provoquée par la sortie des classes pour prendre la poudre d’escampette.

J’étais furieux. Il ne faisait aucun doute que la maitresse, en plus d’avoir un joli cul, avait la langue bien pendue. Je récupérais mon fils et lui demandais de jouer dans la cour avec ses copains le temps que je puisse parler à sa maitresse. Il ne se fit pas prier et je montais les escaliers 2 par 2 afin de demander des comptes à cette institutrice un peu trop pipelette.

Je frappe à la porte de la classe et entre. Personne. J’appelle et une voix dans la pièce d’à côté m’invite à la rejoindre. La maitresse était dans une petite pièce attenante à la classe, assise à un bureau, visiblement en train de préparer une leçon pour le lendemain. Je lui fit part immédiatement de la raison de ma présence dans sa classe ainsi que de mon mécontentement.
Comment, alors que je lui avait demandé de la discrétion, ces histoires sur mon fils étaient-elles sur la place publique ? Qu’en était-il du devoir de réserve dont elle m’avait tant parlé. Je commençais à hausser un peu le ton et dans l’emballement, j’ajoutais que j’allais être obligé d’en informer sa hiérarchie.

A ces mots, je l’ai sentie se liquéfier. Elle est devenue extrêmement pale et s’est mise à bredouiller quelques excuses. Je lui dit que je me contrefoutais de ses excuses, que son comportement était inadmissible et méritait une sanction disciplinaire.

- Excusez-moi, vraiment, je suis sincèrement désolée. C’est vrai je suis une incorrigible bavarde mais ne dites rien à ma directrice, s’il vous plait. Je suis sur le point d’être titularisée et ces révélations pourraient mettre fin à ma carrière. J’aime mon métier et j’en ai besoin pour vivre, s’il vous plait, ne dites rien, je ferai ce que vous voudrez.

Face au spectacle de cette pauvre enseignante à deux doigts de fondre en larme, j’étais sur le point de me laisser amadouer et de passer l’éponge lorsque sa dernière phrase résonna en moi : Je ferai ce que vous voudrez.

- Qu’entendez-vous par là ?

- Je… je ne sais pas, ce que vous voulez mais ne dites rien, par pitié. Je ne peux pas me permettre de perdre mon emploi.

Je pris un ton sévère :

- Vous savez que votre comportement est inadmissible et peut être lourd de conséquences, mais je vais être indulgent. Relevez votre jupe.

- Comment ?

- Vous avez très bien entendu. Levez-vous et relevez votre jupe !

Le ton était ferme et ne souffrait d’aucune discussion.
La maitresse hésita un instant et se leva. Les yeux baissés, elle prit sa jupe à deux mains et la releva, laissant apparaitre une culotte, grise avec un petit liseré de dentelle sur le haut. Une culotte somme toute assez banale mais qui laissait deviner une parfaite épilation du maillot.

Je la contemplais un moment et fit le tour du bureau. J’avais vue sur sa croupe. La petite culotte disparaissait presque entièrement dans le sillon de ses fesses et cette seule vision provoqua en moi un début d’érection. Je lui intimais l’ordre de se pencher vers l’avant, ce qui eut pour effet de révéler d’autant plus son fessier.

Je ne m’étais pas trompé, la garce avait un cul qui donnait envie de s’y perdre.
Je posais ma main sur son dos et la plaqua sur le bureau. J’avais son postérieur sous les yeux, offert. Je fus tenté de le lécher, de le mordiller, de le dévorer.

Je vais vous apprendre à tenir votre langue lui dis-je au moment où mon autre main s’abattait sur son postérieur. Elle poussa un petit cri de surprise et de douleur et immédiatement, ma main s’abattit de nouveau. 1 fois, 2, 3 ,4 fois. Chaque claque était plus vigoureuse que la précédente, ses fesses rougissaient. Je la sentais contractée, tendue, étouffant de petits cris de peur d’être entendue.
Je continuais encore un peu, ses cris laissant place à de petits gémissements. Puis ma main se fit moins violente, plus caressante. Je sentais la chaleur de ses fesses. Elles irradiaient.

J’attrapais sa culotte, tirais dessus. Je fus surpris de constater qu’elle était mouillée. Elle avait l’air d’avoir aimé ça cette petite chienne.
Je laissais glisser ma main entre ses fesses, c’était chaud, humide. Je poursuivais jusqu’à son sexe imberbe. Elle était trempée. Mon doigts glissait sur ses lèvres gluantes, caressait son clitoris.

- Non, s’il vous plait, pas là, pas comme ça, on pourrait nous surprendre.

- Chut, taisez-vous. Vous préférez sans doute reprendre une fessée ?

- Non s’il vous plait, laissez-moi maintenant.

Sourde à ses prières, ma main poursuivait son excursion entre ses fesses, fouillait son sexe. Un doigt puis un second entrait dans sa chatte et ressortait luisant de mouille. Je l’entendais gémir. Je baissais sa culotte pour mieux la caresser, mieux la pénétrer.
Mon pouce se posa sur son anus et se fraya un chemin dans son cul sans rencontrer la moindre résistance. Mon index et mon majeur se promenaient dans son con pendant que mon annulaire titillait son bouton.

Toujours couchée sur son bureau, elle paraissait en transe. De mon côté, j’avais une trique de dingue et une folle envie de pénétrer cette petite chatte, de la tringler là sur son bureau et de lui défoncer la rondelle.

La salope ondulait du cul, s’empalait sur mon pouce. Je sentais l’odeur de son sexe, la tiédeur de la cyprine qui coulait sur mes doigts, le long de ses cuisses. J’étais sur le point d’ouvrir ma braguette, de sortir mon sexe, de forcer sa chatte, de me déverser dans son cul… lorsque du bruit se fit entendre dans la salle d’à côté.

Rapidement, la maitresse se releva, sa jupe retombant et cachant cette paire de fesses que je n’ai pas eu le temps d’honorer comme il se doit.

Elle passa la porte, salua la dame de ménage.

- Eh bien Monsieur, je vous remercie d’avoir pris le temps de venir discuter de votre enfant, ça a été un plaisir de vous rencontrer. N’hésitez pas à me contacter si vous avez de nouveau des difficultés ou si vous avez des questions sur son adaptation dans notre établissement.

Je passais à mon tour la porte, la remerciais de son accueil et entamais le chemin de la sortie.
Un instant je vous prie me dit-elle, je ne vous ai pas donné ses dernières évaluations. Elle retourna dans son local et revint avec une enveloppe kraft. Je la remerciais encore et m’engouffrais dans l’escalier.

J’ouvrais l’enveloppe et apercevais un bout de tissus gris dont l’odeur faisait penser à celle que j’avais sur les mains…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Belle histoire de fessée. Bien menée. Avec une bonne présentation du contexte.
C'est une histoire à rebondissements ( comme la croupe de l'institutrice ).
Le père est un homme de décision. Un instinctif, rapide et efficace.
Sera-t-il un manipulateur dans la suite du récit qui s'impose.
Bravo.

Histoire Erotique
Histoire bien menée, bien construite.
La punition est à la hauteur de la faute et certainement mérite un suite.
Voilà une institutrice bien excitée de la langue et de la raie.
La chute est géniale pour une suite avec de la soumission en plus des fessées.

Histoire Erotique
Très bonne histoire de vengeance, d'humiliation. Puis soumission à la fessée, jouissance phisique et sexuelle. On attend la suite avec impatience.

Histoire Erotique
Bien melee manque le rendezvous vous8l

Histoire Erotique
Merci pour vos commentaires, c'est une motivation supplémentaire pour réfléchir à une suite.
LH

Histoire Erotique
Merci pour vos commentaires, c'est une motivation supplémentaire pour réfléchir à une suite.
LH

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J’ai bcp aimé!

Histoire Erotique
Absolument délicieux, la fessée est le meilleur moyen de faire connaissance à une future soumise



Texte coquin : La maitresse
Histoire sexe : Une rose rouge
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