Barbara 2
Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Barbara 2
- Allo, Michel ?
- Allo, oui c’est bien moi.
- C’est Barbara.
- Salut Barbara, comment vas-tu ?
- Ça va bien merci.
- Je croyais que tu ne rappellerais pas.
- Il m’a fallu un peu de temps après notre rencontre, excuse-moi. J’ai dû repenser à ce que nous avons vécu tous les deux. J’ai dû t’apparaitre comme une femme facile.
- Non, j’ai plutôt ressenti chez toi un grand besoin de ne plus être seule. Tu avais envie de te donner.
- C’est fou ce que tout devient facile avec toi. Moi qui n’osais même plus regarder un homme, dès que tu me parles, j’ai tout de suite envie d’être dans tes bras et de te donner mon corps. Je ne sais pas ce qui m’arrive.
- Tu as du temps à rattraper je crois. Tu as besoin qu’on s’occupe de toi, qu’on te rende heureuse et surtout qu’on ne te juge pas. Je ne te jugerai jamais ma chérie.
- Oh merci, Michel, je me sens bien avec toi. Il est vrai que j’étais dans une grande routine.
- Je vais t’apporter du plaisir ma chérie, tu vas pouvoir faire tout ce que tu n’as jamais osé faire.
- Tu crois ? je ne sais pas si je pourrai.
- Tu as confiance en moi ?
- Oui.
- Alors, tu vas m’écouter. Tu comptais faire quoi aujourd’hui ?
- Je voulais aller en ville acheter des vêtements.
- Bien, écoute-moi. On va y aller ensemble. Mais je voudrais que tu t’habilles plus sexy que l’autre jour.
- Comment ça plus sexy ?
- Tu vas mettre un soutif moitié de seins avec un string assorti. Des bas avec un porte- jarretelles. Des escarpins assez hauts pour augmenter ta cambrure. Un chemisier en dentelle transparente.
- Mais tout le monde va me regarder ?
- J’y compte bien, tu es belle et désirable ma chérie. Prépare-toi comme ça, je passe te chercher vers 11h30. Je retiens une table en terrasse au centre-ville.
- Mais…- Fais ce que je te dis.
Michel .
J’avais dit ma dernière phrase sur un ton qui ne laissait pas le choix à Barbara. Je voulais qu’elle m’obéisse, mais surtout qu’elle me fasse confiance. Je voulais l’amener progressivement, là où elle n’avait jamais mis les pieds. Le sexe sous toutes ses formes, sauf la violence. Je devine chez Barbara les qualités une bonne personne, mais aussi d’une amante intéressante, peut-être même plus mais cela l’avenir nous le dira.
J’avais ensuite appelé un ami qui tenait un restaurant au centre de Chalon. Je lui avais demandé une table en vue au milieu de sa terrasse en lui expliquant et en lui donnant un peu de détails sur Barbara. Je lui demandais qu’il nous réserve son serveur noir expérimenté en lui disant que je lui laisserais un bon pourboire. Il avait compris ce à quoi je faisais allusion. Il brieferait le serveur.
Barbara .
Je me préparais en attendant 11h30 quand Michel viendrait me chercher. J’appréhendais de me présenter devant Michel habillée comme ça, mais surtout j’étais très excitée. Je n’avais jamais connu ça. Michel m’accompagnait sur des territoires inconnus, moi Barbara qui avait toujours peur du quad dira-ton. Michel me faisait découvrir mon corps. J’étais là devant la glace, la Barbara que je voyais était une personne que je ne connaissais pas. Mon cœur battait la chamade. J’avais mis le rouge que Michel désirait, le rouge Carmen sur mes lèvres. Ce rouge faisait ressortir mon visage. J’étais heureuse.
11h30, la sonnerie de la porte d’entrée me sorti de mes pensées. J’allais ouvrir.
- Bonjour Michel, entre.
- Barbara ? c’est bien toi ?
- Oui oui, rires.
- La vache, tu es resplendissante. Comme tu es belle, mais non, je veux dire magnifique, oui c’est ça, tu es magnifique.
- Oh Michel, tu me flatte.
- Mais non, je t’assure, tu es une bombe. Tourne voir sur toi-même que je t’admire.
Michel.
Barbara tournait sur elle-même, elle était métamorphosée. Très sexy, mais surtout pas vulgaire. Je bandais comme un âne dans mon pantalon. La vache, j’avais envie de cette femme. Je m’approchais d’elle pour l’embrasser. Elle me tendit ses lèvres pour un baiser passionné. Quel parfum, une merveille. Je sentais sa poitrine contre moi. Elle s’abandonnait dans mes bras. Je lui caressais les seins et sentait que ses tétons étaient pointés. J’imaginais que plus bas, un flot de cyprine menaçait d’inonder son string.
- On y va ma chérie ?
- Où ça ?
- Mais au restaurant !
- Au restaurant ?
- Mais oui rappelle toi.
- Ha oui, excuse-moi, je, je oui oui le restaurant.
- Aller vient ma chérie.
Barbara.
Il m’ouvrit la portière. Ma jupe remonta au-dessus de mes bas quand j’écartais les jambes pour m’assoir. Nos regards se croisèrent avec un sentiment de désir. Je sentais que je devenais de plus en plus humide.
Michel.
Je sentais Barbara super excitée, elle était super sexy. Tout en conduisant, je posais ma main droite sur sa cuisse. Elle écarta légèrement les cuisses en me souriant. Je remontais ma main vers son entre-jambes jusqu’à son string qui était trempé.
- Et bien ma chérie, tu es en forme.
- Grâce à toi Michel, tu me rends dingue.
- C’est que tu en as envie ma puce. A force de me raconter certains de tes fantasmes, je t’ai réservée une surprise.
- Ha oui, laquelle ?
- Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise.
Michel :J’appuyais plus fortement mon doigt sur son string à la hauteur de son clitoris. Elle gémit de plaisir.
- Oh Michel, c’est si bon de se sentir désirée. Je n’arrête pas de mouiller mes dessous quand je suis avec toi.
- Je vois ça ma petite salope- Hummmm, ta petite salope, tu le penses vraiment ?
- Je suis sûr que tu aimes quand je t’appelle comme ça.
- J’avoue que ça m’excite.
- Barbara.
Nous arrivâmes dans le parking non loin du restaurant. La pensée de sortir de la voiture dans cette tenue me stressait quand même. Michel fît le tour de la voiture pour m’ouvrir la portière. La vue sur mon entre-jambes quand je sortis ma jambe droite le fît sourire.
- Tu es très excitante ma puce. Tu vas faire tourner la tête des hommes.
- Arrête Michel, je ne sais plus où me mettre.
- Mais non, je suis là, viens. Donne-moi la main.
- D’accord.
Barbara.
Nous prîmes l’ascenseur en compagnie d’un homme d’une trentaine d’année. Durant toute la montée de l’ascenseur, je sentais son regard sur moi et j’avoue que je sentais mon bas ventre s’enflammer. Michel serra ma main dans la sienne tandis que je sentais une main me caresser les fesses allant même jusqu’à explorer mon entre-jambes. Je n’osais rien dire de peur de mettre Michel dans une mauvaise position, ne sachant pas si cet homme faisait partie de la surprise. L’homme passa une main sous ma jupe, écarta mon string et trempa son doigt dans ma mouille, je me retenais pour ne pas gémir. Arrivé à destination, l’homme avait quitté mon intimité sans rien laisser paraitre et nous salua en sortant de la cabine.
- Michel, tu connais cet homme ?
- Non, jamais vu. Pourquoi ?
- Pour rien.
Barbara.
Pour la première fois de ma vie, un inconnu m’avait caressé les fesses en présence de mon amant et je n’avais rien dit. Mais pire, j’avais éprouvée du plaisir au point de jouir en silence en sentant ces deux doigts dans mon vagin. Que m’arrivait-il ?
Nous arrivâmes au restaurant.
- Bonjour Michel, comment vas-tu.
- Très bien Daniel, je te présente Barbara.
- Barbara, enchanté, soyez la bienvenue. Vous êtes ici chez vous. Demandez et vous serez servie.
- Merci beaucoup.
- Michel, je t’ai réservé cette table-là.
- Très bien.
- N’Doume va s’occuper de vous.
Barbara.
Un grand noir très musclé (comme dans mes rêves les plus fous) s’approcha de nous.
- Madame, Monsieur si vous voulez bien me suivre.
Barbara.
Il me fit assoir en me présentant une chaise. En m’asseyant je ne pus m’empêcher d’apercevoir une bosse énorme sous son pantalon en cuir moulant. Michel s’aperçut de la direction de mon regard.
- Vous prendrez l’apéritif ?
- Pour moi ce sera un Kir.
- Et vous madame ?
- Un martini svp.
- Très bien.
Le serveur s’éloigna.
- Alors Barbara, qu’en dis-tu ?
- Ce restaurant est agréable.
- Je ne parlais pas du restaurant.
- Ha heu oui. Le serveur ?
- J’ai vu que tu le regardais.
- Oui, tu as vu la bosse qu’il a dans son pantalon ?
- Non, de quoi parles-tu ?
- Mais enfin Michel, il a une grosse bosse à la place du sexe, tu n’as pas vu ?
- Dis donc Barbara, tu as l’air bien intéressée par le sexe on dirait.
- Mais non, mais c’était si impressionnant.
Barbara.
Michel eut un petit sourire en coin. Je suis sûre qu’il me jouait la comédie. Le serveur revînt avec nos apéritifs. Est-ce que vous avez fait votre choix pour le repas ?
- Barbara ? tu as choisi ?
- Hein, quoi ?
- Le monsieur te demande si tu as choisi.
- Ha heu non pas encore.
- Pas de soucis, je repasserai.
- S’il vous plait, pourriez-vous m’indiquer les toilettes.
- Oui bien sûr, suivez-moi je vais vous montrer.
- Prends ton temps ma belle.
- Je ne serai pas longue Michel.
Michel.
Je me disais « c’est ce que tu crois ma belle ». Je vis Barbara suivre le serveur en direction de l’escalier qui descendait aux toilettes.
Barbara.
Je suivais le serveur, il était très musclé avec les cheveux très courts. Plus je descendais les marches, plus je sentais mon ventre se crisper. Je ne me contrôlais plus. Moi, la femme bourgeoise j’allais faire un acte que je n’aurais pas pu imaginer il y a un mois encore. Mais depuis, il est vrai que Michel est entré dans ma vie et il m’a fait redécouvrir des sensations que j’avais oubliées, il m’a donné des envies qui étaient jusque-là inavouables.
- Voilà madame, nous y sommes. Les toilettes pour femmes sont sur votre gauche. Si vous avez besoin de quelque chose, je reste là, à votre disposition.
- Merci jeune homme, vous être très aimable.
- Avec plaisir. Vous êtes une femme charmante.
- Oh merci, vous êtes mignon aussi.
Barbara.
Je m’approchais du serveur. Et c’est face à lui que j’ai osée lui dire : « Pouvez-vous m’accompagner dans les toilettes? »
- A votre service.
Barbara.
J’ouvris une porte de cabine et le fit entrer à ma suite. Je lui tendis mes lèvres, il posa les siennes sur les miennes. Je posai ma main sur sa bosse. C’était bien son sexe. Je baissai sa braguette et sortis son membre en m’agenouillant. Je le décalottais, j’avais envie de ce sexe, je ne pouvais pas me retenir, j’en avais trop rêvé. Je lui fis une fellation comme si j’avais envie de l’avaler en entier. Il me prit la bouche avec délicatesse mais profondément et après quelques minutes de va et viens, il déchargea sa semence directement dans ma gorge. J’avalais tout pour ne pas salir mes vêtements.
Une fois fini, il rangea son matériel. Je lui donnais mon numéro et mon adresse. J’avais envie de lui, de sentir son sexe dans mon vagin.
- Merci jeune homme.
- Pour vous servir.
Barbara.
Je me remis du rouge sur mes lèvres et bus une gorgée d’eau au lavabo.
- Remontons, je vous prie.
- Bien madame, suivez-moi.
Barbara.
Je regagnai ma table, accompagnée du serveur qui me tendit la chaise.
- Alors Barbara ?
- Magnifique Michel. Merci pour ta surprise.
- Tu l’as provoquée toi-même ma chérie.
- Oui, j’en avais rêvée, tu m’as permis de vivre mon rêve.
- Alors c’est parfait, nous pouvons commander ?
- Oui, oui, rires.
Michel.
Le repas se déroulait divinement. Barbara m’avait informé sur sa volonté de revoir N’doumé chez elle. Elle me demandait mon accord.
- Mais chérie, tu es majeure. Tu fais comme tu veux. Je te mets juste en relation avec tes fantasmes.
- Merci, Michel.
- Allo, oui c’est bien moi.
- C’est Barbara.
- Salut Barbara, comment vas-tu ?
- Ça va bien merci.
- Je croyais que tu ne rappellerais pas.
- Il m’a fallu un peu de temps après notre rencontre, excuse-moi. J’ai dû repenser à ce que nous avons vécu tous les deux. J’ai dû t’apparaitre comme une femme facile.
- Non, j’ai plutôt ressenti chez toi un grand besoin de ne plus être seule. Tu avais envie de te donner.
- C’est fou ce que tout devient facile avec toi. Moi qui n’osais même plus regarder un homme, dès que tu me parles, j’ai tout de suite envie d’être dans tes bras et de te donner mon corps. Je ne sais pas ce qui m’arrive.
- Tu as du temps à rattraper je crois. Tu as besoin qu’on s’occupe de toi, qu’on te rende heureuse et surtout qu’on ne te juge pas. Je ne te jugerai jamais ma chérie.
- Oh merci, Michel, je me sens bien avec toi. Il est vrai que j’étais dans une grande routine.
- Je vais t’apporter du plaisir ma chérie, tu vas pouvoir faire tout ce que tu n’as jamais osé faire.
- Tu crois ? je ne sais pas si je pourrai.
- Tu as confiance en moi ?
- Oui.
- Alors, tu vas m’écouter. Tu comptais faire quoi aujourd’hui ?
- Je voulais aller en ville acheter des vêtements.
- Bien, écoute-moi. On va y aller ensemble. Mais je voudrais que tu t’habilles plus sexy que l’autre jour.
- Comment ça plus sexy ?
- Tu vas mettre un soutif moitié de seins avec un string assorti. Des bas avec un porte- jarretelles. Des escarpins assez hauts pour augmenter ta cambrure. Un chemisier en dentelle transparente.
- Mais tout le monde va me regarder ?
- J’y compte bien, tu es belle et désirable ma chérie. Prépare-toi comme ça, je passe te chercher vers 11h30. Je retiens une table en terrasse au centre-ville.
- Mais…- Fais ce que je te dis.
Michel .
J’avais dit ma dernière phrase sur un ton qui ne laissait pas le choix à Barbara. Je voulais qu’elle m’obéisse, mais surtout qu’elle me fasse confiance. Je voulais l’amener progressivement, là où elle n’avait jamais mis les pieds. Le sexe sous toutes ses formes, sauf la violence. Je devine chez Barbara les qualités une bonne personne, mais aussi d’une amante intéressante, peut-être même plus mais cela l’avenir nous le dira.
J’avais ensuite appelé un ami qui tenait un restaurant au centre de Chalon. Je lui avais demandé une table en vue au milieu de sa terrasse en lui expliquant et en lui donnant un peu de détails sur Barbara. Je lui demandais qu’il nous réserve son serveur noir expérimenté en lui disant que je lui laisserais un bon pourboire. Il avait compris ce à quoi je faisais allusion. Il brieferait le serveur.
Barbara .
Je me préparais en attendant 11h30 quand Michel viendrait me chercher. J’appréhendais de me présenter devant Michel habillée comme ça, mais surtout j’étais très excitée. Je n’avais jamais connu ça. Michel m’accompagnait sur des territoires inconnus, moi Barbara qui avait toujours peur du quad dira-ton. Michel me faisait découvrir mon corps. J’étais là devant la glace, la Barbara que je voyais était une personne que je ne connaissais pas. Mon cœur battait la chamade. J’avais mis le rouge que Michel désirait, le rouge Carmen sur mes lèvres. Ce rouge faisait ressortir mon visage. J’étais heureuse.
11h30, la sonnerie de la porte d’entrée me sorti de mes pensées. J’allais ouvrir.
- Bonjour Michel, entre.
- Barbara ? c’est bien toi ?
- Oui oui, rires.
- La vache, tu es resplendissante. Comme tu es belle, mais non, je veux dire magnifique, oui c’est ça, tu es magnifique.
- Oh Michel, tu me flatte.
- Mais non, je t’assure, tu es une bombe. Tourne voir sur toi-même que je t’admire.
Michel.
Barbara tournait sur elle-même, elle était métamorphosée. Très sexy, mais surtout pas vulgaire. Je bandais comme un âne dans mon pantalon. La vache, j’avais envie de cette femme. Je m’approchais d’elle pour l’embrasser. Elle me tendit ses lèvres pour un baiser passionné. Quel parfum, une merveille. Je sentais sa poitrine contre moi. Elle s’abandonnait dans mes bras. Je lui caressais les seins et sentait que ses tétons étaient pointés. J’imaginais que plus bas, un flot de cyprine menaçait d’inonder son string.
- On y va ma chérie ?
- Où ça ?
- Mais au restaurant !
- Au restaurant ?
- Mais oui rappelle toi.
- Ha oui, excuse-moi, je, je oui oui le restaurant.
- Aller vient ma chérie.
Barbara.
Il m’ouvrit la portière. Ma jupe remonta au-dessus de mes bas quand j’écartais les jambes pour m’assoir. Nos regards se croisèrent avec un sentiment de désir. Je sentais que je devenais de plus en plus humide.
Michel.
Je sentais Barbara super excitée, elle était super sexy. Tout en conduisant, je posais ma main droite sur sa cuisse. Elle écarta légèrement les cuisses en me souriant. Je remontais ma main vers son entre-jambes jusqu’à son string qui était trempé.
- Et bien ma chérie, tu es en forme.
- Grâce à toi Michel, tu me rends dingue.
- C’est que tu en as envie ma puce. A force de me raconter certains de tes fantasmes, je t’ai réservée une surprise.
- Ha oui, laquelle ?
- Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise.
Michel :J’appuyais plus fortement mon doigt sur son string à la hauteur de son clitoris. Elle gémit de plaisir.
- Oh Michel, c’est si bon de se sentir désirée. Je n’arrête pas de mouiller mes dessous quand je suis avec toi.
- Je vois ça ma petite salope- Hummmm, ta petite salope, tu le penses vraiment ?
- Je suis sûr que tu aimes quand je t’appelle comme ça.
- J’avoue que ça m’excite.
- Barbara.
Nous arrivâmes dans le parking non loin du restaurant. La pensée de sortir de la voiture dans cette tenue me stressait quand même. Michel fît le tour de la voiture pour m’ouvrir la portière. La vue sur mon entre-jambes quand je sortis ma jambe droite le fît sourire.
- Tu es très excitante ma puce. Tu vas faire tourner la tête des hommes.
- Arrête Michel, je ne sais plus où me mettre.
- Mais non, je suis là, viens. Donne-moi la main.
- D’accord.
Barbara.
Nous prîmes l’ascenseur en compagnie d’un homme d’une trentaine d’année. Durant toute la montée de l’ascenseur, je sentais son regard sur moi et j’avoue que je sentais mon bas ventre s’enflammer. Michel serra ma main dans la sienne tandis que je sentais une main me caresser les fesses allant même jusqu’à explorer mon entre-jambes. Je n’osais rien dire de peur de mettre Michel dans une mauvaise position, ne sachant pas si cet homme faisait partie de la surprise. L’homme passa une main sous ma jupe, écarta mon string et trempa son doigt dans ma mouille, je me retenais pour ne pas gémir. Arrivé à destination, l’homme avait quitté mon intimité sans rien laisser paraitre et nous salua en sortant de la cabine.
- Michel, tu connais cet homme ?
- Non, jamais vu. Pourquoi ?
- Pour rien.
Barbara.
Pour la première fois de ma vie, un inconnu m’avait caressé les fesses en présence de mon amant et je n’avais rien dit. Mais pire, j’avais éprouvée du plaisir au point de jouir en silence en sentant ces deux doigts dans mon vagin. Que m’arrivait-il ?
Nous arrivâmes au restaurant.
- Bonjour Michel, comment vas-tu.
- Très bien Daniel, je te présente Barbara.
- Barbara, enchanté, soyez la bienvenue. Vous êtes ici chez vous. Demandez et vous serez servie.
- Merci beaucoup.
- Michel, je t’ai réservé cette table-là.
- Très bien.
- N’Doume va s’occuper de vous.
Barbara.
Un grand noir très musclé (comme dans mes rêves les plus fous) s’approcha de nous.
- Madame, Monsieur si vous voulez bien me suivre.
Barbara.
Il me fit assoir en me présentant une chaise. En m’asseyant je ne pus m’empêcher d’apercevoir une bosse énorme sous son pantalon en cuir moulant. Michel s’aperçut de la direction de mon regard.
- Vous prendrez l’apéritif ?
- Pour moi ce sera un Kir.
- Et vous madame ?
- Un martini svp.
- Très bien.
Le serveur s’éloigna.
- Alors Barbara, qu’en dis-tu ?
- Ce restaurant est agréable.
- Je ne parlais pas du restaurant.
- Ha heu oui. Le serveur ?
- J’ai vu que tu le regardais.
- Oui, tu as vu la bosse qu’il a dans son pantalon ?
- Non, de quoi parles-tu ?
- Mais enfin Michel, il a une grosse bosse à la place du sexe, tu n’as pas vu ?
- Dis donc Barbara, tu as l’air bien intéressée par le sexe on dirait.
- Mais non, mais c’était si impressionnant.
Barbara.
Michel eut un petit sourire en coin. Je suis sûre qu’il me jouait la comédie. Le serveur revînt avec nos apéritifs. Est-ce que vous avez fait votre choix pour le repas ?
- Barbara ? tu as choisi ?
- Hein, quoi ?
- Le monsieur te demande si tu as choisi.
- Ha heu non pas encore.
- Pas de soucis, je repasserai.
- S’il vous plait, pourriez-vous m’indiquer les toilettes.
- Oui bien sûr, suivez-moi je vais vous montrer.
- Prends ton temps ma belle.
- Je ne serai pas longue Michel.
Michel.
Je me disais « c’est ce que tu crois ma belle ». Je vis Barbara suivre le serveur en direction de l’escalier qui descendait aux toilettes.
Barbara.
Je suivais le serveur, il était très musclé avec les cheveux très courts. Plus je descendais les marches, plus je sentais mon ventre se crisper. Je ne me contrôlais plus. Moi, la femme bourgeoise j’allais faire un acte que je n’aurais pas pu imaginer il y a un mois encore. Mais depuis, il est vrai que Michel est entré dans ma vie et il m’a fait redécouvrir des sensations que j’avais oubliées, il m’a donné des envies qui étaient jusque-là inavouables.
- Voilà madame, nous y sommes. Les toilettes pour femmes sont sur votre gauche. Si vous avez besoin de quelque chose, je reste là, à votre disposition.
- Merci jeune homme, vous être très aimable.
- Avec plaisir. Vous êtes une femme charmante.
- Oh merci, vous êtes mignon aussi.
Barbara.
Je m’approchais du serveur. Et c’est face à lui que j’ai osée lui dire : « Pouvez-vous m’accompagner dans les toilettes? »
- A votre service.
Barbara.
J’ouvris une porte de cabine et le fit entrer à ma suite. Je lui tendis mes lèvres, il posa les siennes sur les miennes. Je posai ma main sur sa bosse. C’était bien son sexe. Je baissai sa braguette et sortis son membre en m’agenouillant. Je le décalottais, j’avais envie de ce sexe, je ne pouvais pas me retenir, j’en avais trop rêvé. Je lui fis une fellation comme si j’avais envie de l’avaler en entier. Il me prit la bouche avec délicatesse mais profondément et après quelques minutes de va et viens, il déchargea sa semence directement dans ma gorge. J’avalais tout pour ne pas salir mes vêtements.
Une fois fini, il rangea son matériel. Je lui donnais mon numéro et mon adresse. J’avais envie de lui, de sentir son sexe dans mon vagin.
- Merci jeune homme.
- Pour vous servir.
Barbara.
Je me remis du rouge sur mes lèvres et bus une gorgée d’eau au lavabo.
- Remontons, je vous prie.
- Bien madame, suivez-moi.
Barbara.
Je regagnai ma table, accompagnée du serveur qui me tendit la chaise.
- Alors Barbara ?
- Magnifique Michel. Merci pour ta surprise.
- Tu l’as provoquée toi-même ma chérie.
- Oui, j’en avais rêvée, tu m’as permis de vivre mon rêve.
- Alors c’est parfait, nous pouvons commander ?
- Oui, oui, rires.
Michel.
Le repas se déroulait divinement. Barbara m’avait informé sur sa volonté de revoir N’doumé chez elle. Elle me demandait mon accord.
- Mais chérie, tu es majeure. Tu fais comme tu veux. Je te mets juste en relation avec tes fantasmes.
- Merci, Michel.
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