Barman Branleur - histoire érotique

Branleur, Barman



Eh non, branleur et barman, ce n'est pas incompatible. J'ai connu un cas dans ce genre dans un bar ou je traînais régulièrement il y a quelques années. Le barman était bel homme. Il n'avait qu'à se pencher pour ramasser une fille ou un mec qui ne demandait qu'à se faire baiser par lui.

Surtout que dans ce métier ce qui est le plus difficile c'est de n'avoir personne avec qui terminer la nuit, tous ceux que j'ai rencontré me l'ont dit. Et en plus si le barman est beau gosse c'est encore plus flagrant.

Et Timos, il était pas beau gosse, non il était mieux que ça. Il était carrément canon. Il avait un visage bien viril, un sourire à tomber à la renverse, un corps mince et musclé, il bougeait bien, je l'ai vu sur la plage … Enfin je sais plus si c'était sur la plage mais je l'ai vu torse nue et moi je vous jure, là, je bavais. Il n'avait qu'à claquer les doigts et je faisais tout ce qu'il me demandait.

Il n'aurait pas eu à le répéter deux fois pour que je lui suce la queue, ou que je le laisse m'enculer, ou que je signe un contrat avec le diable … Ah je vous jure, et pour les filles c'était pareil. Enfin je pense parce que là je sais un peu moins comment ça marche moi les filles, pourtant on m'a déjà dit que j'étais '' Pire qu'une gonzesse ! '' . Mais c'était de la mauvaise foie, c'était juste pour me taquiner !

Vous savez les copines sont souvent comme ça, elle adore me taquiner, en particulier David, Robert, François … Elles sont souvent insupportable avec moi. Mais bon, il ne faut pas se formaliser, avec les filles c'est souvent comme ça !

Bref tout ça c'est pour dire que quand on peut se faire sucer à volonté ou encore qu'on peut baiser qui on veut, quand on veut on ne devrait pas avoir besoin de se branler. Mais peut être que c'est juste un branleur …

Mais la patronne du bar, José, n'aime pas ça du tout. Enfin pendant les heures de travail … Sinon, vous pouvez me croire, c'est pas le dernier.

Timos travaillait très bien finalement, c'était juste une histoire de principes. Bein quoi ? Et pourquoi les branleurs n'auraient pas de principes ? Tous ça c'est des préjugé ! Oh pardon, j'avais cru entendre un commentaire déplacé et je suis un peu sensible sur ce sujet, bon j'ai rien dit !

Donc j'étais venu voir José, on était l'après midi, il faisait beau, le bar était fermé et Timos était seul, c'était son tour de préparer la salle, les verre, réviser les cock-tails. Cock, je ne suis pas sûr de l'orthographe là tout d'un coup …

La vidéo était branché et on pouvait voir Timos qui travaillait dans la bonne humeur, il remuait avec élégance, on avait l'impression qu'il dansait. Le sol était nickel, les chaises et fauteuil essuyés, les tables en place elles aussi toutes propres. Il était derrière le bar rangeait les bouteilles, faisait briller les verres, mesurait les doseurs, vérifiait le stock et sortait un godemichet, là encore il le faisait briller et nettoyait un masturbateur. Vous savez ces petit appareil dans lesquels on glisse sa queue, un peu gel, deux piles neuves et … Youpi, roulez jeunesse.

– Voilà j'en étais sûr ! S'exclamait José. Non mais tu as vu ça Charly ?

Je regardais attentivement la vidéo en direct ( c'était déjà du streaming avant l'âge ) et ne comprenais pas ou voulais en venir José.

– Mais enfin Charly, regarde, tu ne trouves rien d'anormal ?

C'est là que j'ai compris !

– J'ai compris, changer les piles du masturbateur ne fait pas partie de son boulot ! M'exclamais-je.

José se frappait le front avec la paume de la main et levait les yeux au ciel.

– C'est pas ça ? Demandais-je avec une regard qui se voulait plein d'interrogations.
– Je suis entouré de génies. Me répondait José. Si, si, c'est ça !

Je lui répondait avec un sourire satisfait et là je ne lâchais plus l'écran du regard. C'était de la haute définition en cinq cent soixante cinq lignes … José me regardait, et finissait par me demander.

– Et tu en pense quoi toi ?
– Il est super bien gaulé !
– C'est tout ce que tu arrives à en dire ?
– Heu …
– Bon OK, je parle à une dinde ! Tu ferais quoi toi ?
– C'est vrai, je peux intervenir ? Disais-je en me levant.

Je me dirigeais vers la sortie de l'appartement, José semblait ne pas comprendre ma réaction. Juste avant de sortir de l'appartement, je me retournais et lui demandais.

– C'était pas de moi dis que tu parlais tout à l'heure en parlant de dinde ?
– Mais non, mais non ! Me répondait-il en levant les yeux au ciel !

Je descendais les escalier quatre par quatre, enfin pour ne pas risquer de tomber c'était un par un mais c'est une façon de parler.

J'arrivais dans le bar, la porte arrière était ouverte. Je rentrais sans faire de bruit. Il avait retiré sa chemise et là je me rinçais l’œil, il était vraiment beau comme un dieu, un de ces dieux grec comme Thor ou un truc comme ça.

Je m'installais bien dans l'axe, et je pouvais le contempler dans toute sa beauté. Il s'appuyait contre l'arrière du bar, il avait baissé et laissé tombé son pantalon sur ses chevilles et il se tripotait joyeusement la bite.

Elle était énorme, il était super bien gaulé, je le savais, j'en étais sûr, je l'aurais parié, et j'aurais gagné. Il avait l'air bien occupé, il ne m'avait même pas remarqué. Il se masturbait sa queue était molle, enfin elle semblait molle, de très grosse taille, j'avais envie de me la prendre dans la bouche … Vous vous attendiez à un autre mot ? Oui bon, je ne dis pas mais pour commencer on va la prendre dans la bouche.

Je m'imaginais juste à ses pieds, en train de lui sucer cette énorme bite. Je m'imaginais la tripoter, la sucer, la voir grossir et durcir. Au début c'était une très grosse molle mais à la fin c'était une très grosse bien dure. Normal , elle était très grosse et il lui fallait du temps pour qu'elle prenne sa taille taille maximum.

Par contre elle restait à l'horizontal, elle penchait un peu vers le haut mais c'était sans doute à cause de son poids, elle ne parvenait pas à se redresser totalement.

Il se caressait doucement, il poussait des petits cris, des petits gémissements très doux. Sa queue était énorme, c'était une arme de destruction massive, ça ne faisait aucun doute. Mais ses formes douces lui donnait une allure inoffensive, seule sa taille était menaçante, et là il y avait de quoi vous faire exploser les entrailles.

Je me tripotais les couilles au travers de mon pantalon et c'est sans m'en rendre compte que je poussais un petit cri, un petit gémissement. Oh pas bien fort. J'ai rien entendu mais lui si.

Il se retournait vers moi, et poussait un cri. Là c'était plus un gémissement, il a sursauté. Puis il m'a engueulé !

Ah les mecs, on fait tout pour ne pas les déranger, on ne fait pas de bruit et …

– Mais pourquoi tu m'engueule ? J'ai rien fait !
– Qu'est ce que tu fais là !
– Tu remarqueras que c'est une question que moi je ne te pause pas !
– Qu'est ce que tu veux ?
– Tu veux pas que je te suce ?

Vous remarquerez que je ne jouais pas les malins, et j'en venais directement au but. Il était bien lancé, et là il bandait ferme. Sa queue se relevait vers le haut, un énorme gland, il était circoncis. Il me regardait sans comprendre, et comme il ne réagissait pas, moi qui devait être le plus malin je décidais d'agir.

Je m'approchais, je me glissait devant lui, juste devant lui, je m'accroupissais et je commençais à le masturber. Le contact avec sa queue était tout simplement génial. Sa queue était ferme et douce à la fois, c'est seulement là que j'ai remarqué qu'il était épilé. Il avait épilé sa queue et ses couilles en gardant une petite limite de un centimètre de large à peine tout autour de la base de son sexe. À l'intérieur de cette limite il n'y avait pas un poil. Au de delà les poils étaient resté, d'un peu loin ou sous un certain angle on ne remarquait pas tout de suite .

D’où j'étais je pouvais voir tous les détails. Je passais ma langue sur son gland, je me régalait, il était énorme. Il était aux proportions du reste. Je refermais ma main sur la queue et le masturbais. Je passais ma langue sur son gland et tentais mais en vain de me la prendre dans la bouche.

Le gland passait mais c'était à peut près tout, sa queue était large, trop large. J'aime bien les grosse queue mais il faut reconnaître que c'est pas ce qu'il y a de plus facile à sucer. Pendant que ma langue passait et repassait sur son gland je me disait que fort heureusement, même si ça ne passe pas dans la bouche, dans le cul en général ça passe plus facilement.

Mais enfin c'est vrai qu'elle était grosse !

Elle était ferme aussi, en surface elle semblait molle mais juste en surface, dès qu'on appuyait un peu dessus on sentait qu'elle était ferme. Je me disait que dans le cul, on devait bien la sentir. Je me disais qu'elle devait faire du bien. Je me disais aussi qu'elle pouvait faire un peu mal, un tout petit peu, un rien, presque pas.

J'avais son gland dans la bouche, j'arrivais à me le garder dans la bouche. Et c'est là que j'ai un peu paniqué. J'avais envie de me garer cette queue dans le cul mais je prenais conscience qu'elle était vraiment grosse. Je ne m'était jamais pris un truc aussi gros dans le cul. Ce serait une première. J'avais la trouille mais il était absolument hors de question que je renonce.

Je me relevais, le prenais dans mes bras, on s'embrassait. Je le caressais, il n'y avait pas que son gland qui était doux à caresser, ses tétons se raidissaient sous ma langue, je le mordillait et il gémissait. Je le mordillait doucement et il gémissait de plus en plus fort.

Il me couvrait de baiser à son tour. Il était resté pratiquement immobile jusque là. Passif il s'était laissé faire mais là il décidait d'intervenir et c'est lui qui maintenant prenait la direction de opérations. Il me caressait le dos. Sa main glissait le long de ma colonne vertébrale, sa main glissait dans mon pantalon, il m'agrippait les fesses et glissait rapidement un doigt dans la grosse ride, il trouvais mon petit trou de balle qui frissonnait de panique, dans ma tête c'était sa queue, je la voyais, c'était sa queue qui allait glisser la dedans. Sa queue allait se frayer un passage en force, il allait me dilater la cul, s'enfoncer et me faire exploser les entrailles.

Il allait me chevaucher, j'allais hurler, j'avais la trouille mais je ne voulais pas, surtout pas, renoncer, je voulais connaître ce plaisir. Je ne suis pas une petite nature et j'en avais déjà vu d'autres. Pas des comme ça, c'est vrai.

Sans m'en rendre compte, je m'était retourné. Il était dans mon dos et me caressait, il passait sa main sur ma braguette et découvrait mon dispositif de chasteté.

– C'est pas vrai ! Tu portes un truc comme ça ! Tu vas voir ça m'excite je vais te faire exploser. Me disait-il à l'oreille.

Il ouvrait ma braguette, et ouvrait mon pantalon qui tombait sur mes chevilles puis il s'amusait à me tripoter les couilles. Je remarquais que en effet, ça devait l'exciter, il bandait plus ferme et sa queue se relevait un peu plus malgré sa taille et son poids.

Il prenait position, je sentais sa queue qui glissait entre mes cuisses, entre mes fesses …

– BON C'EST FINI CE BORDEL !

C'était José qui arrivait, il nous a fait sursauté, je ne vous dis pas. Moi j'aurais bien continué quand même, c'est vrai que José, c'est pas mon patron mais c'était pas le cas pour Timos. Lui je l'ai senti il s'est totalement dégonflé. J'ai senti tous ses muscles se détendre. Sa queue s'est brusquement ratatinée, elle gardait une certaine taille mais ce n'était rien par rapport à ce que j'avais pris dans ma bouche.

Je regardais José de travers avec un air farouche. Et c'est là qu'il a commencé à gueuler. C'était surtout contre Timos mais j'ai eu ma part, il m'a tout de même traité de fille facile …

Mais Timos lui c'était autre chose. José prenait une petite seconde pour reprendre son souffle et déposait un dispositif de chasteté PK grosse taille. Moi j'avais une taille moyenne, sinon c'était le même modèle.

Timos changeait de couleur.

– Mais enfin, José, tu ne va pas … ? M'exclamais-je.
– Toi la grosse salope tu vas voir ailleurs si j'y suis.

Je ne vous dis pas comment j'étais vexé, il avait dit ' grosse ' … à moi … !

Je m'écartais mais je n'allais pas bien loin. Timos était tétanisé. Il se faisait encore engueuler. José lui reprochait de passer son temps à se branler pendant ses heures de travail et lui mettait le dispositif PK sous le nez. Lui lançant l'ultimatum. '' C'est ça ou tu es viré ! ''

Timos ne résistait pas bien longtemps, il glissait ses couilles dans l'anneau, puis c'était la queue. C'est vrai que maintenant il avait beaucoup moins d'allure. Je voulais intervenir mais je n'arrivais pas à avaler le '' grosse '' , franchement il y avait de quoi être vexé.

Timos glissait sa queue dans la cage, il n'avait pas l'air convaincu mais il voulait garder son boulot ( c'est vrai qu'il était bien payé ). José lui donnait le cadenas. Timos le refermait et lui rendait la clé.

– Maintenant tu peux reprendre ton boulot ! Disait José sur un ton sec.

Puis il se dirigeait vers le fond du bar.

– Charly, tu as l'intention de rester là jusqu'à l'ouverture du bar.

Là j'ai compris qu'il voulait que je le suive.

– Tu sais José, tu exagères tu sais. Lui faisais-je remarquer.
– Comment ça, je l'ai déjà averti plusieurs fois. Je lui avais déjà mis le truc pendant trois mois et ça n'a servi à rien, il n'a pas compris. C'est un branleur !
– C'est peut être un branleur mais tu n'aurais pas pu attendre une bonne demie heure avant d'intervenir ! Lui répondais-je du tac au tac.

Non mais c'est vrais ça, moi j'étais resté sur ma faim !


Fin


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast