AU FOOT EP02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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AU FOOT EP02
AU FOOT Ep02
Il avait des couilles bien fermes et je les malaxais dans ma main, je n'y allais pas trop fort, le but n'était pas de lui faire mal, enfin un petit peut peut être , mais surtout pas de le blesser. Il semblait aimer. Si je le serrait trop fort , il râlait, c'était amusant, ça faisait de bruits étranges. Eric aussi trouvait cela amusant.
Je caressait les fesses de Damien avec de plus en plus de force. J'y déposais du savon, il avait la peau de plus en plus douce, ça glissait vraiment bien et je glissait un doigt dans son cul. Il était étroit, je sentais son petit cul se resserrer, je rajoutais du savon et je finissais par lui lâcher les couilles pour me lubrifier la queue. Je bandais toujours et je me caressais la bite généreusement.
Damien continuait à sucer goulûment Eric qui ne cachait pas son plaisir et doucement , l'air de rien je prenais position juste derrière Damien.
Il était vraiment bien foutu Damien, des fesses fermes et généreuses, une fois bien positionné, sans le prévenir je m'enfonçais dans son cul.
Je glissait ma queue en lui d'un mouvement rapide et décidé. Eric et Dominique m'avaient vu arriver mais Damien, lui, non, lui il ne s'y attendait pas. Il a voulu se redresser tout en essayant de pousser un cri. Mais Eric et Dominique lui maintenaient la tête bien position.
J'ai senti son anus se contracter, je me demandais un instant si c'était douloureux mais en fait je m'en moquait. C'était bon, étroit mais lisse. Une fois passé il n'y avait plus de résistance. Damien tentait bien de gigoter mais on était trois à le retenir, et il faut dire que nous n'avions pas vraiment de mal. Il gigotait mais n'essayait pas vraiment de se dégager.
Je jouais avec son cul, je me retirais puis je revenais, je ne me retirais pas totalement et quand je revenait, par contre, là, c'était bien à fond ! Au début j'y allais tout doucement, puis rapidement je me laissais aller à mon plaisir et je l'oubliais un peu, enfin je veux dire que c'est uniquement à moi que je pensais.
Je me cramponnais à lui en le tenant par les hanches, je le tirais vers moi avec force et je donnais des coups de bassin de toutes mes forces. Je ne sais pas comment il supportait cela, pour moi c'était tellement bon. Je sentais ses entrailles qui me massaient la queue, le gland. Eric passait le relais à Dominique, c'est lui qui a la plus grosse, même si Eric et moi sommes déjà de très belle taille.
Le plaisir montait de plus en plus , je respirais vite, mais c'est vrai que c'est du boulot. Je vous jure ! Si vous me croyez pas vous n'avez qu'à essayer.
Je ne lâchait rien, je restais concentré quand j'ai senti que j'allais jouir, puis dans la seconde qui suivait c'était le pied, je jutais, j'éjaculais puissamment en appuyant mon bassin contre ses fesses avec force. Je lâchais également un gémissement de plaisir, je le faisait savoir à tout le monde.
Puis le calme revenait en moi, j'étais essoufflé, quelques gouttes d'un liquide blanc et épais coulait de son cul, je me retirais et là c'est un flot bien plus important qui suintait. Eric était à côté de moi, il regardait la scène, la queue bien relevée, il pouffait de rire, sans doute pour se rassurer, et en rigolant me poussait de l'épaule.
Sans attendre il prenait ma place et c'est sans aucune hésitation qu'il lui défonçait le cul. Son ventre claquait contre les fesses de Damien. Et Damien poussait un étrange cri étouffé alors qu'il continuait à avaler la queue de Dominique.
Je commençais à débander mais pas complètement. J'avais pris mon pied, je me sentais bien. Je ne sais pas si Damien se sentait aussi bien que moi mais moi je me sentais vraiment bien et le reste m'importait peu !
C'est en regardant mes deux camarades s'activer sur notre nouvel ami Damien que je terminais ma douche, je me tripotais un peu et finissait par me masturber , bien , comme il convient ! Je prenais le temps de me faire plaisir une seconde fois.
Eric se lâchait totalement sue le cul de Damien, lui non plus n'avait pas peur de lui faire mal, et puis une petite bite bite dans le cul n'a jamais fait de mal à personne . Enfin c'est ce qui se dit, et puis … Bon c'est vrai que c'était des bites qui ne dépassaient pas trop les Vingt centimètres. Grosses bites mais pas trop grosse !
Eric finissait lui aussi par pousser un cri de jouissance, il devait, à l'entendre avoir une bel orgasme, c'était autre chose que quand on se branlait ensemble. Il me retrouvait sous la douche, je n'avais pas bougé, il m'arrosait en actionnant le jet, et on regardait Dominique qui prenait notre place. C'est lui qui avait la plus grosse et il s'en servait sans se retenir.
Elle glissait dans le cul de Damien qui maintenant s'appuyait contre le mur.
Il a pris cher le pauvre, si ni moi ni Eric ne nous étions retenu, Dominique faisait de même il y allait de toutes ses forces.
Simplement maintenant Damien avait la bouche vide et il pouvait gueuler. Il ne s'en privait pas, il râlait, il gémissait. C'est du plaisir , surtout du plaisir que entendions. Il se laissait faire, il encaissait depuis un long moment sans tenter de nous repousser. Donc ça devait être du plaisir, ça ne pouvait qu'être que du plaisir.
En tout cas nous, on en a pris du plaisir. Sur son dos c'est vrai mais il était volontaire.
Je continuais à me donner du plaisir, je bandais mou mais je continuais à me tripoter ma grosse molle. Eric rigolait, il était satisfait, content de lui. Il me regardait et faisait comme moi, il se tripotait et lui aussi avait une grosse molle.
Le temps n'était plus compté que par les coups de bassin de Dominique contre les fesses de Damien et par les gémissements qu'il poussait.
C'est Dominique qui finissait par pousser un cri de plaisir, il jouissait à son tour et tout comme nous, il voulait le faire savoir. Damien en arrivait au point ou ses cris s'étaient transformés en gémissement, presque des plaintes. On devinait toujours un plaisir et quand Dominique s'est retiré on a pu voir le plaisir il jutait par le cul, mais ce n'était pas son sperme et il jutait aussi par sa queue, un flot de liquide blanc coulait abondamment de sa cage.
Il se redressait. J'avais déjà oublié comment il était beau, fort, musclé a force de le voir replié en avant à se faire défoncer le cul.
Il était grand et me semblait plus grand, plus imposant. Je lui tripotais les couilles et la queue, enfin ce que je pouvait attraper. J'en profitais pour examiner le truc plus attentivement. Il actionnait la la douche qu'il y avait au dessus de sa tête et laissait l'eau couler sur son visage.
Il penchait la tête en arrière, nous nous approchions de lui et lui caressions le corps, on lui lavait le corps, c'étaient surtout des caresses, il appréciait notre contact et nous nous délections de la douceur de sa peau et de la force de ses muscles.
Ses couilles surtout étaient une merveille, elles formaient deux boules, deux clémentines fermes mais on devinait que sous l'effet de la chaleur elles devaient pendre lourdement.
Sa queue avait presque disparu, elle n'était plus ramenée qu'à son souvenir. Sa cage avait quelques grandes ouvertures qui lui permettaient de se laver la bite, il faut bien là aussi, mais pour cela il ne fallait pas qu'il bande. Sa queue à ce moment prenait toute la place et ne permettait pas d'intervenir.
Depuis le début il avait une cage bien pleine et sous pression, on avait pu le constater, mais maintenant il venait de jouir, lui aussi, et la tension commençait à baisser, de fait la pression baissait aussi.
On le sentait plus qu'on ne le voyait et on voyait aussi ses couilles se détendre, de petites clémentines fermes elles se transformaient en sac qui retombaient lourdement , c'était toujours aussi amusant de les tripoter.
Un bruit nous sortait de notre torpeur érotique, ce devait être le personnel de nettoyage. On était resté un long moment sous la douche et on risquait de nous faire surprendre. Mais c'est vrai qu'on était tout propre.
En quelques secondes on se retrouvait dans les vestiaires au sec, une serviette autour du ventre. On ne parlait pas, on respirait lentement, mais notre cœur battait encore très fort, enfin pour le mien en tout cas, On se séchait rapidement et encore plus rapidement on enfilait nos pantalons.
On ne bandait plus, mais plus du tout, je me sentais bien et je peux dire sans me tromper que mes camarades aussi se sentaient bien. Tout en se rhabillant Damien nous regardait avec un large sourire !
– Ah vous êtes encore là ?
C'était le gars du nettoyage, c'était bien lui qu'on avait entendu venir, il est sympa, il a l'habitude de nous trouver, on est souvent en retard.
– Tiens une nouvelle tête ? Dit-il en voyant Damien.
– Oui un nouveau dans l'équipe ! Rajoutait Eric !
On faisait les présentations puis on se retirait, le gars n'aime pas qu'il y ait du monde quant il fait le nettoyage, il est efficace et ne veut voir personne traîner dans ses jambes.
On se retrouvait dehors !
– Alors raconte ! Dit Eric Tu viens d’où, tu as quel age, tu fais quoi ici ? Raconte nous tous sur toi. Tu es un sacré coup toi tu sais !
– C'est vrai tu as un cul vraiment super ! Rajoutai Dominique !
Damien paraissait un peu gêné. Pourtant on était devenu très intime depuis peu de temps. On l'invitait à boire un verre.
Là on a fait plus ample connaissance. Il venait de l'autre côté du pays, comme on nous avait dit, son père venait de trouver du travail dans la région, à la carrière de pierres, lui allait rentrer en apprentissage.
On s'était installé au fond de la salle, dans un coin tranquille, on pouvait parler sans être entendus.
– Mais alors c'est quoi ce truc que tu porte là ? Demandait Dominique les yeux pleins de curiosité.
– C'est une sorte de règle, que nous respectons Expliquait Damien. Nous le mettons dès que nous arrivons à l'âge de seize ans puis quand on se marie, on en confie les clée à notre femme, c'est elle qui alors contrôlera la reproduction du couple.
– Mais c'est un truc de malade ça, rajoutait Eric. Et si ta femme n'est pas attiré par le sexe, tu garde ce truc tout le temps.
– C'est en effet le risque, elle peut disposer, c'est elle qui commande, c'est elle qui assure la reproduction. Certaines ne veulent que deux enfants.
– Alors là pour les maris , c'est ceinture !
– C'est un peu ça ! Concluait Damien.
Damien nous a raconté, quelquefois la femme ne libérait son mari que très rarement, il avait une tante qui était fière de n'avoir ouvert la cage que trois fois. Elle le racontait, elle avait trois enfants. Une autre qui n'avait que deux enfants mais qui l'ouvrait au moins deux ou trois fois par semaine.
C'était une coutume étrange, qui n'avait pas vraiment de règles, la seule règle était entre les mains de la femme. C'est elle qui décidait elle disposait des clés. Toutefois les hommes étaient libre de se faire plaisir entre eux, enfin tant qu'ils sont célibataires.
Qu'elle ironie cette règle. Ce qui ne se disait pas c'est si cette règle était respectée, jusqu'à quel point. La seule chose qui pouvait se vérifier c'était si le garçon, l'homme respectait le port de la cage. Les dispositif étaient fabriqués par le PK Companie, un champion de sport en était l'image de marque, c'est lui qui promotionnait la diffusion de ces dispositifs, et ils étaient très sécurisés, totalement sans échappatoire possible.
Sans la clé on ne pouvait pas le retirer !
Fin ( enfin peut être )
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire
Il avait des couilles bien fermes et je les malaxais dans ma main, je n'y allais pas trop fort, le but n'était pas de lui faire mal, enfin un petit peut peut être , mais surtout pas de le blesser. Il semblait aimer. Si je le serrait trop fort , il râlait, c'était amusant, ça faisait de bruits étranges. Eric aussi trouvait cela amusant.
Je caressait les fesses de Damien avec de plus en plus de force. J'y déposais du savon, il avait la peau de plus en plus douce, ça glissait vraiment bien et je glissait un doigt dans son cul. Il était étroit, je sentais son petit cul se resserrer, je rajoutais du savon et je finissais par lui lâcher les couilles pour me lubrifier la queue. Je bandais toujours et je me caressais la bite généreusement.
Damien continuait à sucer goulûment Eric qui ne cachait pas son plaisir et doucement , l'air de rien je prenais position juste derrière Damien.
Il était vraiment bien foutu Damien, des fesses fermes et généreuses, une fois bien positionné, sans le prévenir je m'enfonçais dans son cul.
Je glissait ma queue en lui d'un mouvement rapide et décidé. Eric et Dominique m'avaient vu arriver mais Damien, lui, non, lui il ne s'y attendait pas. Il a voulu se redresser tout en essayant de pousser un cri. Mais Eric et Dominique lui maintenaient la tête bien position.
J'ai senti son anus se contracter, je me demandais un instant si c'était douloureux mais en fait je m'en moquait. C'était bon, étroit mais lisse. Une fois passé il n'y avait plus de résistance. Damien tentait bien de gigoter mais on était trois à le retenir, et il faut dire que nous n'avions pas vraiment de mal. Il gigotait mais n'essayait pas vraiment de se dégager.
Je jouais avec son cul, je me retirais puis je revenais, je ne me retirais pas totalement et quand je revenait, par contre, là, c'était bien à fond ! Au début j'y allais tout doucement, puis rapidement je me laissais aller à mon plaisir et je l'oubliais un peu, enfin je veux dire que c'est uniquement à moi que je pensais.
Je me cramponnais à lui en le tenant par les hanches, je le tirais vers moi avec force et je donnais des coups de bassin de toutes mes forces. Je ne sais pas comment il supportait cela, pour moi c'était tellement bon. Je sentais ses entrailles qui me massaient la queue, le gland. Eric passait le relais à Dominique, c'est lui qui a la plus grosse, même si Eric et moi sommes déjà de très belle taille.
Le plaisir montait de plus en plus , je respirais vite, mais c'est vrai que c'est du boulot. Je vous jure ! Si vous me croyez pas vous n'avez qu'à essayer.
Je ne lâchait rien, je restais concentré quand j'ai senti que j'allais jouir, puis dans la seconde qui suivait c'était le pied, je jutais, j'éjaculais puissamment en appuyant mon bassin contre ses fesses avec force. Je lâchais également un gémissement de plaisir, je le faisait savoir à tout le monde.
Puis le calme revenait en moi, j'étais essoufflé, quelques gouttes d'un liquide blanc et épais coulait de son cul, je me retirais et là c'est un flot bien plus important qui suintait. Eric était à côté de moi, il regardait la scène, la queue bien relevée, il pouffait de rire, sans doute pour se rassurer, et en rigolant me poussait de l'épaule.
Sans attendre il prenait ma place et c'est sans aucune hésitation qu'il lui défonçait le cul. Son ventre claquait contre les fesses de Damien. Et Damien poussait un étrange cri étouffé alors qu'il continuait à avaler la queue de Dominique.
Je commençais à débander mais pas complètement. J'avais pris mon pied, je me sentais bien. Je ne sais pas si Damien se sentait aussi bien que moi mais moi je me sentais vraiment bien et le reste m'importait peu !
C'est en regardant mes deux camarades s'activer sur notre nouvel ami Damien que je terminais ma douche, je me tripotais un peu et finissait par me masturber , bien , comme il convient ! Je prenais le temps de me faire plaisir une seconde fois.
Eric se lâchait totalement sue le cul de Damien, lui non plus n'avait pas peur de lui faire mal, et puis une petite bite bite dans le cul n'a jamais fait de mal à personne . Enfin c'est ce qui se dit, et puis … Bon c'est vrai que c'était des bites qui ne dépassaient pas trop les Vingt centimètres. Grosses bites mais pas trop grosse !
Eric finissait lui aussi par pousser un cri de jouissance, il devait, à l'entendre avoir une bel orgasme, c'était autre chose que quand on se branlait ensemble. Il me retrouvait sous la douche, je n'avais pas bougé, il m'arrosait en actionnant le jet, et on regardait Dominique qui prenait notre place. C'est lui qui avait la plus grosse et il s'en servait sans se retenir.
Elle glissait dans le cul de Damien qui maintenant s'appuyait contre le mur.
Il a pris cher le pauvre, si ni moi ni Eric ne nous étions retenu, Dominique faisait de même il y allait de toutes ses forces.
Simplement maintenant Damien avait la bouche vide et il pouvait gueuler. Il ne s'en privait pas, il râlait, il gémissait. C'est du plaisir , surtout du plaisir que entendions. Il se laissait faire, il encaissait depuis un long moment sans tenter de nous repousser. Donc ça devait être du plaisir, ça ne pouvait qu'être que du plaisir.
En tout cas nous, on en a pris du plaisir. Sur son dos c'est vrai mais il était volontaire.
Je continuais à me donner du plaisir, je bandais mou mais je continuais à me tripoter ma grosse molle. Eric rigolait, il était satisfait, content de lui. Il me regardait et faisait comme moi, il se tripotait et lui aussi avait une grosse molle.
Le temps n'était plus compté que par les coups de bassin de Dominique contre les fesses de Damien et par les gémissements qu'il poussait.
C'est Dominique qui finissait par pousser un cri de plaisir, il jouissait à son tour et tout comme nous, il voulait le faire savoir. Damien en arrivait au point ou ses cris s'étaient transformés en gémissement, presque des plaintes. On devinait toujours un plaisir et quand Dominique s'est retiré on a pu voir le plaisir il jutait par le cul, mais ce n'était pas son sperme et il jutait aussi par sa queue, un flot de liquide blanc coulait abondamment de sa cage.
Il se redressait. J'avais déjà oublié comment il était beau, fort, musclé a force de le voir replié en avant à se faire défoncer le cul.
Il était grand et me semblait plus grand, plus imposant. Je lui tripotais les couilles et la queue, enfin ce que je pouvait attraper. J'en profitais pour examiner le truc plus attentivement. Il actionnait la la douche qu'il y avait au dessus de sa tête et laissait l'eau couler sur son visage.
Il penchait la tête en arrière, nous nous approchions de lui et lui caressions le corps, on lui lavait le corps, c'étaient surtout des caresses, il appréciait notre contact et nous nous délections de la douceur de sa peau et de la force de ses muscles.
Ses couilles surtout étaient une merveille, elles formaient deux boules, deux clémentines fermes mais on devinait que sous l'effet de la chaleur elles devaient pendre lourdement.
Sa queue avait presque disparu, elle n'était plus ramenée qu'à son souvenir. Sa cage avait quelques grandes ouvertures qui lui permettaient de se laver la bite, il faut bien là aussi, mais pour cela il ne fallait pas qu'il bande. Sa queue à ce moment prenait toute la place et ne permettait pas d'intervenir.
Depuis le début il avait une cage bien pleine et sous pression, on avait pu le constater, mais maintenant il venait de jouir, lui aussi, et la tension commençait à baisser, de fait la pression baissait aussi.
On le sentait plus qu'on ne le voyait et on voyait aussi ses couilles se détendre, de petites clémentines fermes elles se transformaient en sac qui retombaient lourdement , c'était toujours aussi amusant de les tripoter.
Un bruit nous sortait de notre torpeur érotique, ce devait être le personnel de nettoyage. On était resté un long moment sous la douche et on risquait de nous faire surprendre. Mais c'est vrai qu'on était tout propre.
En quelques secondes on se retrouvait dans les vestiaires au sec, une serviette autour du ventre. On ne parlait pas, on respirait lentement, mais notre cœur battait encore très fort, enfin pour le mien en tout cas, On se séchait rapidement et encore plus rapidement on enfilait nos pantalons.
On ne bandait plus, mais plus du tout, je me sentais bien et je peux dire sans me tromper que mes camarades aussi se sentaient bien. Tout en se rhabillant Damien nous regardait avec un large sourire !
– Ah vous êtes encore là ?
C'était le gars du nettoyage, c'était bien lui qu'on avait entendu venir, il est sympa, il a l'habitude de nous trouver, on est souvent en retard.
– Tiens une nouvelle tête ? Dit-il en voyant Damien.
– Oui un nouveau dans l'équipe ! Rajoutait Eric !
On faisait les présentations puis on se retirait, le gars n'aime pas qu'il y ait du monde quant il fait le nettoyage, il est efficace et ne veut voir personne traîner dans ses jambes.
On se retrouvait dehors !
– Alors raconte ! Dit Eric Tu viens d’où, tu as quel age, tu fais quoi ici ? Raconte nous tous sur toi. Tu es un sacré coup toi tu sais !
– C'est vrai tu as un cul vraiment super ! Rajoutai Dominique !
Damien paraissait un peu gêné. Pourtant on était devenu très intime depuis peu de temps. On l'invitait à boire un verre.
Là on a fait plus ample connaissance. Il venait de l'autre côté du pays, comme on nous avait dit, son père venait de trouver du travail dans la région, à la carrière de pierres, lui allait rentrer en apprentissage.
On s'était installé au fond de la salle, dans un coin tranquille, on pouvait parler sans être entendus.
– Mais alors c'est quoi ce truc que tu porte là ? Demandait Dominique les yeux pleins de curiosité.
– C'est une sorte de règle, que nous respectons Expliquait Damien. Nous le mettons dès que nous arrivons à l'âge de seize ans puis quand on se marie, on en confie les clée à notre femme, c'est elle qui alors contrôlera la reproduction du couple.
– Mais c'est un truc de malade ça, rajoutait Eric. Et si ta femme n'est pas attiré par le sexe, tu garde ce truc tout le temps.
– C'est en effet le risque, elle peut disposer, c'est elle qui commande, c'est elle qui assure la reproduction. Certaines ne veulent que deux enfants.
– Alors là pour les maris , c'est ceinture !
– C'est un peu ça ! Concluait Damien.
Damien nous a raconté, quelquefois la femme ne libérait son mari que très rarement, il avait une tante qui était fière de n'avoir ouvert la cage que trois fois. Elle le racontait, elle avait trois enfants. Une autre qui n'avait que deux enfants mais qui l'ouvrait au moins deux ou trois fois par semaine.
C'était une coutume étrange, qui n'avait pas vraiment de règles, la seule règle était entre les mains de la femme. C'est elle qui décidait elle disposait des clés. Toutefois les hommes étaient libre de se faire plaisir entre eux, enfin tant qu'ils sont célibataires.
Qu'elle ironie cette règle. Ce qui ne se disait pas c'est si cette règle était respectée, jusqu'à quel point. La seule chose qui pouvait se vérifier c'était si le garçon, l'homme respectait le port de la cage. Les dispositif étaient fabriqués par le PK Companie, un champion de sport en était l'image de marque, c'est lui qui promotionnait la diffusion de ces dispositifs, et ils étaient très sécurisés, totalement sans échappatoire possible.
Sans la clé on ne pouvait pas le retirer !
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