ME SUIS FAIT AVOIR
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 737 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 803 017 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 659 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
ME SUIS FAIT AVOIR
ME SUIS FAIT AVOIR
L'autre jour j'ai voulu enculer ma copine. Oui j'ai bien dit enculer, passer par derrière quoi. J'ai vu faire ça à la télé et on ne l'a jamais fait. Enfin moi je l'ai jamais fait.
Mais je me souvenais que ma copine m'avait dit une fois qu'elle l'avait fait, et j'avais envie de voir.
Mais voilà elle ne semblait pas vraiment disposer à ce genre de truc. Je m'en suis vite rendu compte.
Elle m'a vu venir, pourtant j'étais dans son dos …
j'étais tranquillement installé à poil, une serviette autour de la ceinture pour cacher pudiquement mon intimité, dans un local surchauffé en compagnie d'un vieil ami.
– C'est pour me raconter ça que tu m'a proposé cette soirée dans ce sauna ? Me répondait Rick.
– Je ne savais pas si je t'en parlerais. En fait j'en suis pas vraiment fier.
Rick pouffait de rire.
– Ma pauvre chérie, et tu as vraiment été surpris ?
– C'est ça , fout toi de ma gueule. Et toi tu as déjà fait ça ?
– Moi non, mais moi je suis très bien monté, très très bien monté. Et je n'ai jamais trouvé une fille qui avait le courage.
– Ça fait combien d'années qu'on se connaît tous les deux ? Vingt, vingt cinq ans. Et c'est pas toi qui me disait qu'il ne faut jamais croire un mec qui se vante.
– Si tu le dis. Bref, tu en étais ou dans ton histoire ?
– Elle s'est retourné et m'a donné une baffe, je te dis pas, je l'ai sentie passer !
Il pouffait de rire. Je faisais la gueule!
– Ensuite elle a replié les jambes et m'a rejeter loin du lit. J'ai fait un vol plané. Je m'y attendais pas !
Rick continuait à rigoler, mois je me sentais pas trop à mon aise.
– Tu devais te sentir mal mon pauvre. Un bel homme bien viril qui se fait rejeter par sa femme, tu devrais vraiment te sentir mal.
– Et tu continues à te foutre de ma gueule. Bon ok , j 'aurais pas du t'en parler mais j'ai là un petit dix neuf centimètres qui pourrait te calmer.
En disant cela, d'une mains je montrait mon entre jambe pudiquement dissimulée sous ma serviette.
– P'tit bite ! Me répondait Rick !
– J'ai dit dix neuf centimètre !
– Et moi j'ai dit p'tit bite !
– Et tu continue à te foutre de ma gueule !
Pour seule réponse il soulevait sa ceinture.
Il dévoilait une bite énorme, elle faisait largement plus de vingt centimètres et en plus elle avait un diamètre exceptionnelle. Un gros machin qu'on n'imagine même pas dans un film d'horreur porno.
Les yeux me ressortaient de la tête, j'ai même cru qu'un d'entre eux allait tomber. Je regardais cela, horrifié, et oh surprise, alors que j'aurais du avoir peur , et bien, j'avais peur remarquez mais brusquement je bandais.
Et ça se remarquait, ma serviette se soulevait, et Rick le voyait. Il me faisait remarquer le détail avec un petit sourire narquois.
– Donc je te disais ' P'tit bite '. Reprenait-il !
– Ah ouai ! Parvenais je à articuler en bafouillant.
Dans un même temps il tirait ma serviette, je ne réagissait même pas, et on se retrouvait tous les deux nus, assis dans la vapeur étouffante de ce bain de vapeur.
Et tous les deux on bandait !
C'est vrai qu'il en avait une grosse, je me disais qu'il faut toujours se méfier des mecs qui se vantent , quelquefois ce n'est pas exagéré . Et c'était son cas, là je comprenais que aucune filles, et sa femme par exemple n'avait n'avait jamais accepté de le laisser passer par derrière.
On a discuté encore quelques instants puis on est passé sous la douche. Une douche froide, bien froide et je vous garanti qu'on en est ressortis présentables. On ne bandait plus nos deux grosses queues se balançaient entre nos cuisses.
J'ai bien dit ' nos deux grosses queues ' car même si selon Rick j'avais une p'tit bite , j'avais toutefois une queue bien au dessus de la moyenne, c'est vrai que à côté de lui, j'étais tout petit. Je vous jure en érection j'en faisais pas le tout avec mon index et mon pouce.
On ressortait de la douche froide, normalement on aurait du en avoir une toute petite, mais là toute petite dans nos deux cas ça ne nous arrivait pas si souvent , surtout lui .
On s'installait dans une cabine tranquille, à poil, nos queues lourdement relevées sur nos ventre. Lourdement avec force , enfin surtout la sienne. Dans une situation normale, j'aurais dit cela en parlant de ma bite mais comme vous l'avez compris, à côté de la sienne , elle faisait toute petite.
Et on parlait.
– Alors tu t'es jamais pris une bite dans le cul ?
– T'es fou toi ! J'suis pas pédé !
– Moi non plus mais j'ai essayé, histoire de faire preuve de bonne volonté.
Je le regardais incrédule.
– Sinon comment j'aurais pu demander à ma femme de le faire ?
– J'y crois pas !
– Mais si, si tu en a une grosse et que tu veux enculer ta copine, tu peux faire un petit effort.
– Mais c'est contre nature !
– Mais non, on a un cul tous les deux, c'est normal !
– Tous les deux ?
– Oui je veux dire hommes et femmes .
– J'avais compris ! Rajoutais en le regardant de travers.
On discutait tranquillement des femmes, du cul et des bites.
Je pouvais voir sa queue grossir par moment, se relever à l'horizontale légèrement au dessus de son ventre, il était allongé sur le dos. La mienne suivait le même mouvement, elle gonflait et se dégonflait. Je me sentais bien , un peu petit mais bien.
– Et tu n'a jamais eu l'idée d'essayer ?
Là je le regardais un peu de travers, mais je préférais ne pas lui répondre.
Je regardais sa queue, je bandais, et quand elle bandait je bandais encore plus. Je ne savais plus quoi penser, je n'arrivais plus vraiment à penser. Je voyais une bite plus grosse que ce que je pouvais imaginer. Pour un cheval, bon , là on est d'accord, c'est plus gro, bien plus gros mais pour un homme, ça ne devrai pas être aussi gros.
Ça faisait envie. Étrange sensation qui naissait dans ma tête. Oui ça faisait envie, j'avais envie d'en avoir une pareil quoi. Mais c'est vrai que c'est pas qui simplifierait mon problème ! Ma femme ne me laisserait certainement pas faire avec une queue plus grosse queue !
– Mais , ta femme , quand tu lui a demandé … Elle a dit non ?
– Oui mais celui qui pourra se la prendre dans le cul, pourra demander à sa copine sans avoir honte.
– J'ai pas honte ! Répondais je avec un aplomb qui me surprenait moi-même .
– Alors tu es d'accord ?
Je le regardais sans comprendre.
– D'essayer ! Terminait -il .
– Oui mais là c'est trop tu te rends pas compte le suis un mec normal moi …
Il passait sa main sur ma nuque, avec douceur et un peu plus même. Je ne comprenais plus rien. Je bandais plus fort que jamais.
– Je suis sûr que tu en a envie, vas y essaye. Rajoutait-il en appuyant doucement sur ma nuque.
Je ne comprenais pas, je ne réagissais pas.
– Si tu commençait par me sucer la queue ?
J'hésitais encore, puis, je ne sais pas ce qui s'est passé dans ma tête mais je me penchais sur lui, sur sa queue. Et là j'ai eu un bug. J'ai pas compris ce qui se passait, il avait une queue tellement …
Doucement j'ai passé ma langue sur son gland. Aussitôt je l'ai entendu gémir de plaisir, j'ai insisté, lui à continué à gémir puis j'ai refermé mes lèvres autour de l'extrémité de sa bite. Je ne pouvais pas la prendre dans la bouche, enfin un petit peu mais pas plus.
Il me caressait la tête et appuyait doucement sur ma tête. Il était mignon et ne voulait pas m'étouffer.
Puis pendant que je me laissais aller à le sucer au mieux, il glissait une main sur mes fesses et rapidement un doigt entre mes fesses. Il avait trouvé du gel lubrifiant dans la cabine ( ils sont prévoyants tout de même ) et un deuxième doigt glissait à son tour sans difficulté.
Je ne comprenais plus rien, je ne savais plus du tout ce qui se passait, mais c'était bon, vraiment bon.
Il s'amusait avec mon cul comme personne ne me l'avait jamais fait avant. Je n'y aurais même pas pensé. Enfin c'est ce que je voulais me convaincre. En fait non , j'étais bien obliger de reconnaître que j'y avais souvent pensé !
Je le masturbais, il me glissait plusieurs autres doigt dans le cul, en fait je ne sais pas ce qu'il me faisait mais c'était terriblement agréable, vraiment incroyablement bon.
Au bout d'un moment qui semblait durer une ou deux heures, il me retournait sur le ventre et là de nouveau je ne comprenais plus rien. Il s'allongeait sur moi. Une fraction de seconde j'ai voulu le repousser. Non mais c'est vrai quoi ? C'est quoi ces manière ?
Mais voilà , j'ai pas bougé. Son corps était chaud, doux et lourd. Il m'écrasait douillettement. Et je me suis surpris à gémir de plaisir. C'était pas pareil qu'avec une femme, ça je connaissais. C'est vrai que lui aussi je le connaissait mais pas comme ça !
Il glissait ses jambes entre mes cuisses, je les écartais au maximum. Et comme résigné, je le laissais faire.
Il continuait à me lubrifier le cul, et me glissait plusieurs doigts dedans, je ne sais pas combien de doigts, mais je vous jure qu'il y en avait plusieurs . Il me dilatait consciencieusement.
Arrivait le moment ou je sentais une tout autre pression sur mon cul. J'ai cru mourir.
Il me prenait dans ses bras et appuyait sa queue contre mon anus. Je pensais à ma femme, l'autre jour. Je me retrouvais dans sa situation. Tout un tas d'idées me traversaient le cerveau et je me demande si quelques unes n'y restaient pas coincées.
Soit je ne pensais plus à rien , soit je pensait à tout à la fois.
Il poussait sa queue contre mon cul, ça résistait, je respirais fort, très fort. D'abord je respirait vite puis lentement ! Lentement mais fort. Il poussait encore je sentait mon cul se dilater, doucement, c'était intense mais pour le moment rien ne glissait vraiment à l'intérieur de mon cul.
Je sentais mon anus se dilater un peut plus, et là il a poussé plus fort.
Quelque chose est entré dans mon cul, la douleur était intense. J'ai voulu me dégager mais je ne pouvais plus bouger. J'étais comme tétanisé. C'était terriblement douloureux. Je sentais mon cul se faire écarteler, super dilater et je sentais que sa queue glissait en moi.
J'ai voulu hurlé mais Rick était prévoyant il m'avait mis la main sur la bouche. Je crois que je pleurais.
Je tremblais, toujours incapable de faire le moindre mouvement pour me dégager. Il s'enfonçait en moi, chaque millimètres rajoutais de la douleur à la douleur. Je ne sais pas comment j'ai pu supporter ça.
C'en était à devenir fou. Et quand son bassin s'est écrasé sur mes fesses, j'ai atteint un sommet. Il ne bougeait plus.
J'avais du mal à respirer, il avait retirer sa main et c'est à peine si je parvenais encore à pousser quelques petit râles de douleur, pourtant ça me faisait mal.
J'ai pensé à ma femme, et j'ai compris pourquoi elle m'avait rejeté quelques jours plus tôt. J'aurais du faire pareil, je ne comprenais pas pourquoi je le laissais faire.
Il ne bougeait plus, la douleur se calmait. Puis il se retirais et là tout changeait, la douleur revenait mais en même temps, il y avait une sensation de plaisir. Un plaisir douloureux mais intense , c'était nouveau pour moi ça.
Il est totalement ressorti puis il est revenu. Dans ma tête j'ai hurlé, mais seulement dans ma tête. Pas un cri , pas un bruit n'est sorti de ma bouche.
Là je ne bandais plus. Lui, je peux vous garantir qu'il ne faiblissait pas.
Il accélérait progressivement le mouvement, il entrait il ressortait, le plaisir montait, pour le reste je supportais. Ses mouvements étaient lents et puissants. C'était la première fois que je sentais à ce point la virilité d'un homme.
Et je vous jure que je n'aurais jamais imaginé que ce serait avec un pote à moi !
Il s'est amusé pendant un long moment avec mon cul, sa bite, sa très grosse bite dans mon cul puis sans prévenir il à poussé un râle de plaisir. Moi j'ai poussé un cri de douleur. Il jouissait, il éjaculait en moi.
Moi, je ne dirais pas vraiment que j'ai joui mais je l'ai senti passer.
Sans la douleur qui ne disparaissait pas, cela aurait sûrement été un immense plaisir, un immense orgasme. Mais c'était surtout de la douleur que j'éprouvais !
Je tremblais de tout mon corps, et je pleurais , là par contre j'en suis sûr !
Il se calmais, sa présence dans mes entrailles devenait plus … enfin devenait moins désagréable, moins douloureux. Sa queue prenait toujours énormément de place , mais ça c'était normal, elle était énorme comme je vous disais. Simplement là, elle devenait toute molle, et sa présence dans mon ventre devenait presque agréable.
Il se retirait et je me sentais soudainement entièrement vidé ! Soulagé et je me sentais toujours bien. Je n'avais plus mal au cul … enfin sauf quand je respirais, que je bougeais ou que je rigolais.
– Tu es sûr que c'était la première fois toi ?
– Moi oui, mais toi. C'était pas la première fois ?
– Avec un mec non ! Me répondait -il.
Je le regardais incrédule.
– Oui parce que avec les filles, c'est plus difficile .
– Elles ne veulent pas ?
– Non ! Mais toi, on recommence quand .
– Quand tu veux mais pas tout de suite. Répondais-je !
J'étais le premier surpris de ma réponse, mais il faut bien dire que ça faisait déjà un moment que je ne comprenais plus ce qui se passait. J'avais l'impression que je m'étais fait avoir ! Mais je n'étais pas mécontent de ce qui s'était passé, je vous avoue que j'ai eu du mal à m'asseoir pendant quelques mois.
Enfin quelques mois, peut être pas mais deux semaines oui, et là , je n'exagère pas !
Alors recommencer , oui, mais pas tout de suite ! Oh non, pas tout de suite !
FIN
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire
L'autre jour j'ai voulu enculer ma copine. Oui j'ai bien dit enculer, passer par derrière quoi. J'ai vu faire ça à la télé et on ne l'a jamais fait. Enfin moi je l'ai jamais fait.
Mais je me souvenais que ma copine m'avait dit une fois qu'elle l'avait fait, et j'avais envie de voir.
Mais voilà elle ne semblait pas vraiment disposer à ce genre de truc. Je m'en suis vite rendu compte.
Elle m'a vu venir, pourtant j'étais dans son dos …
j'étais tranquillement installé à poil, une serviette autour de la ceinture pour cacher pudiquement mon intimité, dans un local surchauffé en compagnie d'un vieil ami.
– C'est pour me raconter ça que tu m'a proposé cette soirée dans ce sauna ? Me répondait Rick.
– Je ne savais pas si je t'en parlerais. En fait j'en suis pas vraiment fier.
Rick pouffait de rire.
– Ma pauvre chérie, et tu as vraiment été surpris ?
– C'est ça , fout toi de ma gueule. Et toi tu as déjà fait ça ?
– Moi non, mais moi je suis très bien monté, très très bien monté. Et je n'ai jamais trouvé une fille qui avait le courage.
– Ça fait combien d'années qu'on se connaît tous les deux ? Vingt, vingt cinq ans. Et c'est pas toi qui me disait qu'il ne faut jamais croire un mec qui se vante.
– Si tu le dis. Bref, tu en étais ou dans ton histoire ?
– Elle s'est retourné et m'a donné une baffe, je te dis pas, je l'ai sentie passer !
Il pouffait de rire. Je faisais la gueule!
– Ensuite elle a replié les jambes et m'a rejeter loin du lit. J'ai fait un vol plané. Je m'y attendais pas !
Rick continuait à rigoler, mois je me sentais pas trop à mon aise.
– Tu devais te sentir mal mon pauvre. Un bel homme bien viril qui se fait rejeter par sa femme, tu devrais vraiment te sentir mal.
– Et tu continues à te foutre de ma gueule. Bon ok , j 'aurais pas du t'en parler mais j'ai là un petit dix neuf centimètres qui pourrait te calmer.
En disant cela, d'une mains je montrait mon entre jambe pudiquement dissimulée sous ma serviette.
– P'tit bite ! Me répondait Rick !
– J'ai dit dix neuf centimètre !
– Et moi j'ai dit p'tit bite !
– Et tu continue à te foutre de ma gueule !
Pour seule réponse il soulevait sa ceinture.
Il dévoilait une bite énorme, elle faisait largement plus de vingt centimètres et en plus elle avait un diamètre exceptionnelle. Un gros machin qu'on n'imagine même pas dans un film d'horreur porno.
Les yeux me ressortaient de la tête, j'ai même cru qu'un d'entre eux allait tomber. Je regardais cela, horrifié, et oh surprise, alors que j'aurais du avoir peur , et bien, j'avais peur remarquez mais brusquement je bandais.
Et ça se remarquait, ma serviette se soulevait, et Rick le voyait. Il me faisait remarquer le détail avec un petit sourire narquois.
– Donc je te disais ' P'tit bite '. Reprenait-il !
– Ah ouai ! Parvenais je à articuler en bafouillant.
Dans un même temps il tirait ma serviette, je ne réagissait même pas, et on se retrouvait tous les deux nus, assis dans la vapeur étouffante de ce bain de vapeur.
Et tous les deux on bandait !
C'est vrai qu'il en avait une grosse, je me disais qu'il faut toujours se méfier des mecs qui se vantent , quelquefois ce n'est pas exagéré . Et c'était son cas, là je comprenais que aucune filles, et sa femme par exemple n'avait n'avait jamais accepté de le laisser passer par derrière.
On a discuté encore quelques instants puis on est passé sous la douche. Une douche froide, bien froide et je vous garanti qu'on en est ressortis présentables. On ne bandait plus nos deux grosses queues se balançaient entre nos cuisses.
J'ai bien dit ' nos deux grosses queues ' car même si selon Rick j'avais une p'tit bite , j'avais toutefois une queue bien au dessus de la moyenne, c'est vrai que à côté de lui, j'étais tout petit. Je vous jure en érection j'en faisais pas le tout avec mon index et mon pouce.
On ressortait de la douche froide, normalement on aurait du en avoir une toute petite, mais là toute petite dans nos deux cas ça ne nous arrivait pas si souvent , surtout lui .
On s'installait dans une cabine tranquille, à poil, nos queues lourdement relevées sur nos ventre. Lourdement avec force , enfin surtout la sienne. Dans une situation normale, j'aurais dit cela en parlant de ma bite mais comme vous l'avez compris, à côté de la sienne , elle faisait toute petite.
Et on parlait.
– Alors tu t'es jamais pris une bite dans le cul ?
– T'es fou toi ! J'suis pas pédé !
– Moi non plus mais j'ai essayé, histoire de faire preuve de bonne volonté.
Je le regardais incrédule.
– Sinon comment j'aurais pu demander à ma femme de le faire ?
– J'y crois pas !
– Mais si, si tu en a une grosse et que tu veux enculer ta copine, tu peux faire un petit effort.
– Mais c'est contre nature !
– Mais non, on a un cul tous les deux, c'est normal !
– Tous les deux ?
– Oui je veux dire hommes et femmes .
– J'avais compris ! Rajoutais en le regardant de travers.
On discutait tranquillement des femmes, du cul et des bites.
Je pouvais voir sa queue grossir par moment, se relever à l'horizontale légèrement au dessus de son ventre, il était allongé sur le dos. La mienne suivait le même mouvement, elle gonflait et se dégonflait. Je me sentais bien , un peu petit mais bien.
– Et tu n'a jamais eu l'idée d'essayer ?
Là je le regardais un peu de travers, mais je préférais ne pas lui répondre.
Je regardais sa queue, je bandais, et quand elle bandait je bandais encore plus. Je ne savais plus quoi penser, je n'arrivais plus vraiment à penser. Je voyais une bite plus grosse que ce que je pouvais imaginer. Pour un cheval, bon , là on est d'accord, c'est plus gro, bien plus gros mais pour un homme, ça ne devrai pas être aussi gros.
Ça faisait envie. Étrange sensation qui naissait dans ma tête. Oui ça faisait envie, j'avais envie d'en avoir une pareil quoi. Mais c'est vrai que c'est pas qui simplifierait mon problème ! Ma femme ne me laisserait certainement pas faire avec une queue plus grosse queue !
– Mais , ta femme , quand tu lui a demandé … Elle a dit non ?
– Oui mais celui qui pourra se la prendre dans le cul, pourra demander à sa copine sans avoir honte.
– J'ai pas honte ! Répondais je avec un aplomb qui me surprenait moi-même .
– Alors tu es d'accord ?
Je le regardais sans comprendre.
– D'essayer ! Terminait -il .
– Oui mais là c'est trop tu te rends pas compte le suis un mec normal moi …
Il passait sa main sur ma nuque, avec douceur et un peu plus même. Je ne comprenais plus rien. Je bandais plus fort que jamais.
– Je suis sûr que tu en a envie, vas y essaye. Rajoutait-il en appuyant doucement sur ma nuque.
Je ne comprenais pas, je ne réagissais pas.
– Si tu commençait par me sucer la queue ?
J'hésitais encore, puis, je ne sais pas ce qui s'est passé dans ma tête mais je me penchais sur lui, sur sa queue. Et là j'ai eu un bug. J'ai pas compris ce qui se passait, il avait une queue tellement …
Doucement j'ai passé ma langue sur son gland. Aussitôt je l'ai entendu gémir de plaisir, j'ai insisté, lui à continué à gémir puis j'ai refermé mes lèvres autour de l'extrémité de sa bite. Je ne pouvais pas la prendre dans la bouche, enfin un petit peu mais pas plus.
Il me caressait la tête et appuyait doucement sur ma tête. Il était mignon et ne voulait pas m'étouffer.
Puis pendant que je me laissais aller à le sucer au mieux, il glissait une main sur mes fesses et rapidement un doigt entre mes fesses. Il avait trouvé du gel lubrifiant dans la cabine ( ils sont prévoyants tout de même ) et un deuxième doigt glissait à son tour sans difficulté.
Je ne comprenais plus rien, je ne savais plus du tout ce qui se passait, mais c'était bon, vraiment bon.
Il s'amusait avec mon cul comme personne ne me l'avait jamais fait avant. Je n'y aurais même pas pensé. Enfin c'est ce que je voulais me convaincre. En fait non , j'étais bien obliger de reconnaître que j'y avais souvent pensé !
Je le masturbais, il me glissait plusieurs autres doigt dans le cul, en fait je ne sais pas ce qu'il me faisait mais c'était terriblement agréable, vraiment incroyablement bon.
Au bout d'un moment qui semblait durer une ou deux heures, il me retournait sur le ventre et là de nouveau je ne comprenais plus rien. Il s'allongeait sur moi. Une fraction de seconde j'ai voulu le repousser. Non mais c'est vrai quoi ? C'est quoi ces manière ?
Mais voilà , j'ai pas bougé. Son corps était chaud, doux et lourd. Il m'écrasait douillettement. Et je me suis surpris à gémir de plaisir. C'était pas pareil qu'avec une femme, ça je connaissais. C'est vrai que lui aussi je le connaissait mais pas comme ça !
Il glissait ses jambes entre mes cuisses, je les écartais au maximum. Et comme résigné, je le laissais faire.
Il continuait à me lubrifier le cul, et me glissait plusieurs doigts dedans, je ne sais pas combien de doigts, mais je vous jure qu'il y en avait plusieurs . Il me dilatait consciencieusement.
Arrivait le moment ou je sentais une tout autre pression sur mon cul. J'ai cru mourir.
Il me prenait dans ses bras et appuyait sa queue contre mon anus. Je pensais à ma femme, l'autre jour. Je me retrouvais dans sa situation. Tout un tas d'idées me traversaient le cerveau et je me demande si quelques unes n'y restaient pas coincées.
Soit je ne pensais plus à rien , soit je pensait à tout à la fois.
Il poussait sa queue contre mon cul, ça résistait, je respirais fort, très fort. D'abord je respirait vite puis lentement ! Lentement mais fort. Il poussait encore je sentait mon cul se dilater, doucement, c'était intense mais pour le moment rien ne glissait vraiment à l'intérieur de mon cul.
Je sentais mon anus se dilater un peut plus, et là il a poussé plus fort.
Quelque chose est entré dans mon cul, la douleur était intense. J'ai voulu me dégager mais je ne pouvais plus bouger. J'étais comme tétanisé. C'était terriblement douloureux. Je sentais mon cul se faire écarteler, super dilater et je sentais que sa queue glissait en moi.
J'ai voulu hurlé mais Rick était prévoyant il m'avait mis la main sur la bouche. Je crois que je pleurais.
Je tremblais, toujours incapable de faire le moindre mouvement pour me dégager. Il s'enfonçait en moi, chaque millimètres rajoutais de la douleur à la douleur. Je ne sais pas comment j'ai pu supporter ça.
C'en était à devenir fou. Et quand son bassin s'est écrasé sur mes fesses, j'ai atteint un sommet. Il ne bougeait plus.
J'avais du mal à respirer, il avait retirer sa main et c'est à peine si je parvenais encore à pousser quelques petit râles de douleur, pourtant ça me faisait mal.
J'ai pensé à ma femme, et j'ai compris pourquoi elle m'avait rejeté quelques jours plus tôt. J'aurais du faire pareil, je ne comprenais pas pourquoi je le laissais faire.
Il ne bougeait plus, la douleur se calmait. Puis il se retirais et là tout changeait, la douleur revenait mais en même temps, il y avait une sensation de plaisir. Un plaisir douloureux mais intense , c'était nouveau pour moi ça.
Il est totalement ressorti puis il est revenu. Dans ma tête j'ai hurlé, mais seulement dans ma tête. Pas un cri , pas un bruit n'est sorti de ma bouche.
Là je ne bandais plus. Lui, je peux vous garantir qu'il ne faiblissait pas.
Il accélérait progressivement le mouvement, il entrait il ressortait, le plaisir montait, pour le reste je supportais. Ses mouvements étaient lents et puissants. C'était la première fois que je sentais à ce point la virilité d'un homme.
Et je vous jure que je n'aurais jamais imaginé que ce serait avec un pote à moi !
Il s'est amusé pendant un long moment avec mon cul, sa bite, sa très grosse bite dans mon cul puis sans prévenir il à poussé un râle de plaisir. Moi j'ai poussé un cri de douleur. Il jouissait, il éjaculait en moi.
Moi, je ne dirais pas vraiment que j'ai joui mais je l'ai senti passer.
Sans la douleur qui ne disparaissait pas, cela aurait sûrement été un immense plaisir, un immense orgasme. Mais c'était surtout de la douleur que j'éprouvais !
Je tremblais de tout mon corps, et je pleurais , là par contre j'en suis sûr !
Il se calmais, sa présence dans mes entrailles devenait plus … enfin devenait moins désagréable, moins douloureux. Sa queue prenait toujours énormément de place , mais ça c'était normal, elle était énorme comme je vous disais. Simplement là, elle devenait toute molle, et sa présence dans mon ventre devenait presque agréable.
Il se retirait et je me sentais soudainement entièrement vidé ! Soulagé et je me sentais toujours bien. Je n'avais plus mal au cul … enfin sauf quand je respirais, que je bougeais ou que je rigolais.
– Tu es sûr que c'était la première fois toi ?
– Moi oui, mais toi. C'était pas la première fois ?
– Avec un mec non ! Me répondait -il.
Je le regardais incrédule.
– Oui parce que avec les filles, c'est plus difficile .
– Elles ne veulent pas ?
– Non ! Mais toi, on recommence quand .
– Quand tu veux mais pas tout de suite. Répondais-je !
J'étais le premier surpris de ma réponse, mais il faut bien dire que ça faisait déjà un moment que je ne comprenais plus ce qui se passait. J'avais l'impression que je m'étais fait avoir ! Mais je n'étais pas mécontent de ce qui s'était passé, je vous avoue que j'ai eu du mal à m'asseoir pendant quelques mois.
Enfin quelques mois, peut être pas mais deux semaines oui, et là , je n'exagère pas !
Alors recommencer , oui, mais pas tout de suite ! Oh non, pas tout de suite !
FIN
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent !
suis curieuse : dimensions et félicitations , cela fait du bien , mon conjoint aime énormément!!
