Gigolo 07 Serena

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
  • • 729 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
  • • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 775 384 visites.
Récit libertin : Gigolo 07  Serena Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 275 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Gigolo 07 Serena
Gigolo 07
Serena


Quelques jours passaient et François ne faisait pas grand chose. Il picolait, il picolait encore et encore.

Quelle triste période de sa vie, rapidement Madame La Comtesse était mise en terre. Toute la petite société de la haute ( comme on dit ) se réunissait dans leur plus belles robes avec toutefois une dominante sur le noir.

C'était un milieu hypocrite, seule sa fille portait une tenue vraiment sobre. Une des ses copines arrivait avec une rivière de diamants et une broche qui elle, était une montagne de brillants. Une autre arrivait en robe de soirée, longue , mince, ouverte sur toute la hauteur mais on ne fera pas de commentaire, elle était noire.

Un grand silence se faisait entendre quand François entrait, il était entièrement en blanc. Sa fille, la nouvelle comtesse virait au rouge en le voyant, c'est vrai qu'on ne voyait que lui.

Elle s'approchait de lui.

– Tu sais qu'on n'est pas en boîte ? Espèce de sinistre petit gigolo. Lui glissait-elle à l'oreille !
– Je sais je l'ai fait exprès pour te faire chier mon amour.
– Ne m'appelle pas mon amour espèce de sac à m … ( Bon là je me censure. C'est préférable ! )

Puis auprès des autres invités il expliquait que c'était en hommage à Mme La Comtesse.

– C'est elle qui m'a offert cette tenue, elle me disait qu'elle m'allait très bien . Je reste convaincu qu'elle aurait aimé me voir ainsi !

La messe se passait très bien, on a un peu grincé des dents au moment ou il prenait la parole.

Il marquait à quel point ce départ était imprévu et surtout prématuré.

– Ce sont toujours les meilleurs qui s'en vont ! Disait-il !

On entendait une petite voix qui rajoutait.

– Prématuré! Tu parles, à une journée près c'était bon !

On n'a jamais vraiment su d’où venait ce commentaire, et un fou rire général y répondait !

François suivait le corbillard, personne ne marchait à côté de lui, un peu comme s'il avait la peste ! On déposait le cercueil dans le mausolée et tout le monde reprenait la route vers la maison de la défunte. Sa fille s'approchait de François et lui glissait à l'oreille !

– Je ne te conseille pas de venir sinon je demande à mes gens de te casser les quatre pattes !

Le ton de sa voix était sec et plus qu'agacé, bien plus. François à bien compris qu'il valait mieux prendre cette promesse au sérieux ! Il repartait seul, vers une station de bus, il n'était pas venu avec sa belle voiture rouge. Bein oui, il fallait faire le plein d'essence et il savait que ses réserves n'étaient pas infinies.

Il avançait lentement quand une énorme voiture anglaise s'arrêtait juste à côté de lui. Il s'était littéralement conditionné à la proximité de ces voitures qui représentent le luxe absolu. Il se redressait oubliait tout et spontanément faisait son petit numéro de charme.

La vitre arrière s'ouvrait et c'est une sublime blonde de vingt quatre ans peut être qui apparaissait.

– Puis-je vous proposer mon véhicule ? Lui demandait-elle.

Elle était belle à vous décoiffer un chauve. C'était la jeune veuve de feu le regretté président et principal actionnaire de la Banque le Crédit Industrieux des Bosseurs Bûcheurs … Cette très jeune femme avait hérité d'une véritable fortune et pas seulement en capital mais elle avait aussi les revenus des actions de la banque.

François était programmé pour une telle situation. Il bombait le torse, faisait un sourire de toutes ses dents, oubliait sa cage à bite, on ne peut pas penser à tout. L'odeur de l'argent et la cage à bite !

Surtout que la cage n'était pas douloureuse à porter. Il s'arrêtait, la portière s'ouvrait et il montait. La jeune femme était toute en noir, elle revenait du cimetière, François l'avait reconnue, il l'avait déjà croisée et si elle avait été riche un an plus tôt, maintenant elle l'était et lui était libre.

Pour une fois il ne savait pas quoi dire, brusquement il se sentait vide.

– C'est un plaisir que de vous avoir près de moi ! Lui déclarait la jeune femme.

elle s'appelait Serena, ce n'était certainement pas son nom mais tout le monde la connaissait sous ce nom.

Mais le plaisir est pour moi !

Ainsi commençait une petite discussion qui ne devait durer que jusqu'à la maison de feu la Comtesse. François s'est un peu inquiété en voyant ou on le conduisait.

– Tu sais Serana, le fille de la défunte ne me considère pas vraiment comme un ami et j'ai bien peur de ne pas être bien reçu.
– Ne t’inquiètes pas mon beau rebelle, reste près de moi, je veillerai sur toi !

François ne savait plus trop quoi penser, la voiture s'arrêtait, le chauffeur lui ouvrait la porte et c'est au bras d'une superbe blonde qu'il se présentait dans cette maison qui aurait pu devenir la sienne.

Il croisait le regard de la fille de la comtesse, elle n'était pas satisfaite de le voir ici et le fusillait du regard. La belle Serena s'amusait de cette situation. Et c'est au bras du plus beau gigolo de la ville qu'elle paradait dans cette réunion qui prenait rapidement des allures de soirée mondaine.

François se laissait aller, il picolait. Il picolait à un point ou il se faisait remarquer, ou il finissait par dire n'importe quoi, par faire n'importe quoi !

La fille de comtesse finissait par s'énerver et ordonnait à ses gens de s'emparer de François et de le vire à coups de pieds au cul. Ils étaient trois à lui tomber dessus mais la belle Serena intervenait au dernier moment mais à temps. Elle s'interposait et tout le monde s'arrêtait.

Elle entraînait le pauvre François qui pleurait, il avait mauvaise allure, beau gosse, toujours très beau gosse mais pas en forme, il faisait pitié et Serena décidait sans rien dire de le prendre sous son aile. C'est vrai qu'il était très beau, très sexi et plus d'une fille parlait de ses talents en amours.

On le jetait à l'arrière de la voiture et le chauffeur ramenait sa patronne et son nouveau jouet à la maison.

L'après midi était bien avancée quand ils arrivaient à la maison, chez Serena. La lumière inondait la chambre quand François s'est réveillé.

Il était entièrement nu allongé au milieu d'un lit géant, les bras en croix. Sa tête tournait il avait quelques vertiges. La veille il avait picolé aux obsèques de la comtesse, il ne se souvenait pas de tout, il avait picolé depuis des jours et ne savait pas ou il était.

Il ouvrait les yeux, râlait en mettant sa main devant ses yeux, la lumière était un peu trop puissante pour son état. Serena apparaissait brusquement devant lui, elle était encore plus belle dans la lumière de cette fin de matinée. Elle était entièrement nue, elle s'approchait en le regardait avec un étrange sourire.

– Tu sais , lui dit -elle . Ça c'est une surprise ! Rajoutait-elle en montrant de la main la cage à bite qui était parfaitement visible dans cette position.
– C'est cette vieille sorcière ! Bafouillait-il.
– Je me doutait que l'idée ne devait pas venir de toi.

Il la regardait aller et venir dans la salle, il ne prenait même pas la peine de se cacher, il s'en foutait.

– Et je suppose que, bien sûr, elle ne t'a pas donné la clé.

Elle s'approchait de lui, posait un genou sur le lit et lui caressait le torse, sa main descendait doucement jusqu'à son sexe sur lequel elle s'attardait, elle lui tripotait les couilles longuement.

– Tu sais, c'est pas la peine d'insister, ya rien à espérer ! Lui dit elle. J'ai tout essayé.
– Les dispositifs PK sont réputés être de grande qualité et totalement inviolables. Mais tu pense peut que feu mon regretté époux faisait des prouesse au lit.

François la regardait et ne semblait pas comprendre ce qui se passait !

– Mais tu sais il arrivait toutefois à me donner du plaisir . Et pourtant son corps n'était pas aussi agréable que le tien !

Disant cela elle se penchait sur lui, le chevauchait en écartant bien les jambes, elle s'asseyait sur son sexe, pardon, sur sa cage puis l'embrassait tendrement.

Ses seins lui caressait la poitrine. C'était la première fois qu'il se retrouvait dans ce genre de situation depuis que la comtesse lui avait posé cette cage. La douceur des caresse qu'elle lui prodiguait devenait une véritable torture.

Pourtant elle ne lui faisait pas mal,mais sa queue tentait de gonfler et se retrouvait confinée dans cette minuscule cage, la pression devenait de plus en plus forte, il manquait d'air.

La douceur des ses seins chatouillait le torse de François. Il respirait fort au moment ou les caresses de Serena devenaient plus intimes , plus intenses. Elle frottait sa vulve sur la cage de son partenaire, elle gémissait dans les oreilles de son compagnon.

Il n'en pouvait plus. Son cœur battait avec force, il allait défaillir.

Elle se relevait, souriait et ne cachait pas sa satisfaction. Il ne comprenait pas, il connaissait les femmes et savait qu'il ne pouvait pas la satisfaire de cette manière, il savait que cela ne donnerait rien. Mais que pouvait-il faire, il n'était pas dans ses habitude de repousser une femme, surtout très belle, surtout très riche et riche, elle l'était.

Mais que lui restait-il encore à lui, pour lui ? Il savait que rien ne pourrait aboutir.

Elle se relevait, il lui caressait les cuisses, il lui restait ses doigts.

Elle se laissait retomber sur le côté, il suivait le mouvement. Elle refermait ses jambes autour de François.

Sa queue le torturait mais il pensait au fait qu'elle était riche, très riche. Et il était cupide !

Mais il plongeait, tête la première entre les cuisse de Serena, rapidement il la sentait frémir et trembler. Ça aussi il savait faire, avec les doigts et la langue il savait donner du plaisir et c'était tout ce qu'il lui restait.

Il avait cessé de réfléchir, de penser même. Il ne savait pas ou il allait, elle gémissait dans ses bras et lui souffrait d'un niveau de frustration qu'il n'avait encore jamais connu. Écrasée dans une toute petite cage, sa queue protestait et inspirait la pitié !

A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Gigolo 07  Serena
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Charly Chast

Gigolo 07 Serena - Récit érotique publié le 28-10-2025
Ça commence au restau 01 - Récit érotique publié le 15-10-2025
Gigolo 06 Chez Timi - Récit érotique publié le 11-10-2025
Il m'a juste demandé - Récit érotique publié le 10-09-2025
Comme prévu Ep06 La cage de Ralf - Récit érotique publié le 31-05-2025
Comme prévu Ep05 Ah les filles , ah les filles - Récit érotique publié le 27-05-2025
Comme prévu Ep04 Un petit boulot - Récit érotique publié le 25-05-2025
Comme prévu Ep03 Tout va bien quand même - Récit érotique publié le 17-05-2025
Presque frère 26 : Un berger - Récit érotique publié le 13-05-2025
Comme prévu Ep02 Bien mieux que prévu - Récit érotique publié le 12-05-2025