Gigolo 10 La carrière évolue
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Gigolo 10 La carrière évolue
Gigolo 10
La carrière évolue
Petit récapitulatif, François est un gigolo cupide qui est en couple avec une sublime femme, jeune et terriblement riche grâce à son défunt mari. Mais comme son ancienne femme, la regrettée comtesse lui a posé un dispositif de chasteté, c'est maintenant sa nouvelle copine qui l'encule avec un gode ceinture .
C'est pas ordinaire vous en conviendrez et ce n'est certainement pas ce qui était prévu par ce pauvre François. Et il voyait chaque jour s'éloigner les chances de sortir de ce dispositif.
Serena avait une certaine libido, c'est le moins qu'on peut dire. Mais il faut la comprendre aussi la pauvre, elle s'était tapé un vieux monsieur très riche uniquement pour avoir son argent pendant plusieurs années. Elle avait fini par avoir l'argent et maintenant elle s'offrait un petit gigolo tout mignon qui ne pouvait pas se faire plaisir car il était sous clé, la bite enfermée dans un dispositif de chasteté absolument diabolique ( qui allait pourtant devenir très à la mode ).
Mais ce petit gigolo était cupide et avait un corps de rêve, et s'il est vrai que lui ne pouvait pas se donner de plaisir, il pouvait en donner. Et c'est tout ce qu'elle demandait. Son corps et ses mains étaient douces, il avait une langue experte, elle était riche et lui cupide.
Finalement elle se disait qu'il avait toutes les qualités pour la satisfaire.
Tous les jours il passait un long , un très long moment à lui donner du plaisir. Il la suivait comme un petit chien, surtout quand elle restait à la maison. Là elle le voulait contre elle, tout contre elle. Le soir c'était câlin, et encore des câlins.
Entièrement nue, elle s'allongeait sur le dos et le laissait faire. Là il lui prodiguait tout son art. Sa tête était en feu, à chaque fois sa tête était en feu. Je parle bien sûr de la tête de François. Sa frustration était intense.
Sa queue était sous pression, les semaines n'y faisait rien, le manque ne disparaissait pas, bien au contraire, il était encore plus fort, c'en était à devenir fou. Mais pour Serena, c'était tout le contraire.
Il la faisait jouir avec sa langue, avec son nez, avec sa bouche. Il léchait et léchait encore. Elle refermait ses cuisses sur lui. Elle le retenait fermement contre elle , entre ses cuisses et lui s'agitait comme il pouvait. Il agitait la tête, son nez glissait dans la vulve de madame, elle soupirait de plaisir, sa langue s'attardait alors plus longuement, elle gémissait. Sa bouche embrassait le sexe de madame, elle criait par moment et se raidissait.
Par moment il manquait d'air, mais il pensait à sa voiture rouge, il voulait la garder, à sa montre de luxe, il en voulait une autre, à ses costume, il était temps de se refaire une garde robe.
Bein oui il était coquet aussi et avait l'habitude d'être toujours bien habillé.
Enfin ça c'était quand il était habillé, mais là entre les cuisses de son nouvel amour, il était nu, presque entièrement nu. Il ne gardait qu'un tout petit quelque chose, une petite cage à bite, une toute petite cage à bite, une trop petite cage de chasteté.
Elle était d'autant plus petite que sa queue tentait de prendre tout son volume. Il bandait et le seul résultat étai une tension, une forte tension, presque de la douleur mais en tout cas un grand malaise . Tout son corps était sous tension, pas seulement sa queue ! Son corps tremblai à chaque gémissement que poussait Serena,
tous ses muscles se contractaient à chaque cri qu'elle poussait. Il éprouvait par procuration le plaisir qu'il aurait du ressentir, mais ce n'était pas pareil , il y avait toujours le manque, un manque qui ne pouvait pas être comblé, qui ne pourrait jamais être comblé.
Le plaisir c'était pour elle, pour elle seule !
Le plaisir c'était lui qui le donnait.
Ses mains caressaient avec une infinie douceur tour le corps de Serena, les muscles de François étaient tendus, il lui fallait faire tous les efforts pour ne pas les crisper, mais il ne fallait surtout pas manquer de tendresse, son avenir économique en dépendait, et il aimait son confort.
Il n'aurait jamais accepter de renoncer à son plaisir juste pour de l'argent mais le choix avait été fait, il se trouvait bien à l'insu de son plein gré dans cette situation. Alors autant essayer d'en tirer tous les avantage possibles.
François savait rester pratique. Il était coincé, il ne pouvait rien espérer pour le moment et certainement pour encore un long moment. Alors il faisait avec. Ce n'était pas tous les jours facile, seule sa cupidité lui permettait de tenir debout.
Il pensait à sa voiture rouge,, à son confort. Toute ces idées et bien d'autres lui traversaient l'esprit.
Tout le corps de Serena tremblait de plaisir, tout le corps de François se crispait.
Elle s'écroulait inondée de plaisir, elle avait joui !
Il s'effondrait épuisé par tant d'effort et surtout par tant d'effort inutile. Il manquait d'air, il manquait de souffle, il manquait de plaisir. Serena l'avait transformé en un gode vivant !
Elle savait s'amuser la petite. Elle l'avait transformé en jouet, un très beau jouet qu'elle savait mettre en valeur. Elle ne le gardait pas attaché ou enfermé, il pouvait sortir, elle le sortait même souvent.
Ces soirées terminées, elle dormait divinement bien, lui beaucoup moins bien mais le lendemain elle savait le laisser dormir aussi longtemps qu'il voulait. Il se levait dont tard, très tard, il restait un moment à profiter du soleil autour de la piscine.
Ah oui là il fallait, elle l'exigeait, qu'il reste nu. Elle aimait le voir marcher, nager ou se dorer la pilule entièrement à poil. Elle admirait sa musculature, elle se régalait de voir son élégance dans les moindres mouvements qu'il faisait. Et voir sa queue dans une cage, voir ses deux couilles qui pendaient lourdement , comme deux sacs qui pendaient lourdement. Elle aimait aussi lui caresser les couilles quand elles se transformaient en grosse boules bien fermes. C'était principalement une question de température !
Il aimait bien, enfin c'est ce qu'il disait mais il aimait plus modérément dirons nous …
Si la température venait à baisser ses couilles se resserraient et formaient deux boules, lisses et blanches. Serena avait fini par lui demander des les épiler, il avait retiré tous les poils à un centimètre autour de l'anneau de maintient. Sinon elles pendaient tell deux sacs à dos mais pas posés sur le dos …
Le couple sortait aussi. Il sortait souvent et toujours dans des lieux très mondains, les restaurants les plus chics, les soirée d’inauguration ou officielles, expositions … enfin toutes les soirée ou on pouvait voir et surtout être vu.
Pour François être vu était un avantage. Personne ne pouvait deviner qu'il avait la queue dans une cage et la PK Compagnie n'était pas encore devenu célèbre. Personne ne parlait de ces dispositifs.
François avait toujours une tenue impeccable, il portait souvent une pantalon clair qui tombait parfaitement et moulait bien ses formes sans que ça ne devienne obscène, il était sexy, une chemise parfaitement ajustée également qui s'ouvrait sur un torse avantageux et doux, il était totalement dépourvu de poils, pas seulement autour de son sexe, mais ça c'est vrai qu'il ne le montrait pas à tout le monde.
La cage lui gâchait le vie, il n'osait pas se montrer en maillot de bain de peur que son dispositif ne se voit. Pourtant la PK faisait déjà des dispositifs parfaitement discret. Quand on imagine que quelques années plus tard ces dispositifs allaient devenir une fierté, à cette époque pourtant récente, on en était encore loin.
François était toujours très élégant, les filles se retournaient sur son passage, lui ne se retournait plus sur leur passage, il cachait un regard quelquefois un peu vide derrière des lunettes légèrement colorées, mais de grande marque. Sa vue était excellente. Pour lui regarder les filles devenait une torture, mais il tenait le coup, c'est vrai qu'il n'avait pas d'autre choix.
Tous les jours il regrettais d'avoir dit oui à la vieille sorcière qui l'avait enfermée dans ce truc. Il se demandait toujours ou la clé avait bien pu disparaître. Il savait que ces dispositifs étaient en titane indestructibles. C'est vrai que le port du dispositif n'était pas douloureux mais cela ne le consolait que partiellement.
Un soir tout comme le premier jour, il était là, presque au garde à vous dans sa tenue très chic, il était beau comme un dieu, comme d'habitude. Il était dans ce restaurant ou il avait travaillé dans une autre vie qui lui semblait déjà très ancienne.
Un ou deux serveur le reconnaissaient mais préféraient l'ignorer, c'est vrai, il n'était plus de leur monde. C'était un Monsieur qu'ils préféraient ne plus connaître. Lui les reconnaissait et regrettait l'époque ou il pouvait discuter avec eux, ou ils étaient des copains pour lui.
Maintenant ils lui disait ' Vous '.
Mais comme par un coup de malchance, comme si tout ce malheur ne lui suffisait pas, c'est justement un de ces garçons qui plut à sa copine Serena ce soir là. Elle semblait oublier la présence de François. Il était servi comme d'habitude, avec beaucoup d'attentions, Serena jouait les charmeuses à l'intention de ce très beau serveur. C'était Anthony, il est un peut plus vieux que François mais à peine. Il était lui aussi très séduisant, très sexy mais il avait le sourire, et c'est vrai que François avait un peu perdu le sien.
Pendant le repas Serena se déplaçait dans la salle et allait demander quelque chose à ce serveur très mignon.
Ne vous méprenez pas, tous les serveur savaient jouer les gigolos avec les clientes mais seul François était devenu professionnel. Ce n'étaient que des relations entre adultes consentants, qui au pire si elles satisfaisaient la dame donnait lieu un petit cadeau. Les relations durables comme celles que François entretenait étaient l'exception.
Qui quelquefois peuvent tourner mal , j'en conviens.
Un peu plus tard dans la soirée, Serena demandait à François de l'emmener dans une boite de nuit très connue. Elle entrait sans attendre et le laissait garer la voiture.
Il devait la retrouver un peu plus tard et la retrouvait au bar, une flûte de champagne à la main, une bouteille devant elle et Anthony, juste en face d'elle et surtout avec, lui aussi une flûte de champagne à la main.
François approchait de sa dame, il demandait une flûte vide, c'est vrai qu'il avait été oublié. Il se servait puis comme les deux amoureux semblaient très occupés à regarder l'autre, il partait , son verre à la main, faire le tour dans la boîte.
Son sourire commercial revenait, c'était comme un réflexe chez lui, il était dans un endroit public, et tout de suite il se sentait en présentation. Il regardait les femmes et sans même s'en rendre compte redevenait charmeur.
Il réagissait très vite quand il sentait manifester sa queue dans sa cage, il revoyait les scènes d'amour qu'il vivaient maintenant avec sa nouvelle copine, cette situation pathétique. Son humeur qui était devenue plus joyeuse avec l’ambiance, retombait soudainement.
Il restait là le regard dans le vide à regarder la piste de danse jusqu'au moment ou Serena arrivait juste derrière lui et lui disait.
Va chercher la voiture , on rentre !
Sans rien répondre François allait chercher sa très belle voiture rouge et quand il revenait chercher sa princesse, Anthony était là à l'attendre le bras autour de la ceinture de Serena.
Elle était rayonnante. François sentait le froid lui glacer le cœur !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire
La carrière évolue
Petit récapitulatif, François est un gigolo cupide qui est en couple avec une sublime femme, jeune et terriblement riche grâce à son défunt mari. Mais comme son ancienne femme, la regrettée comtesse lui a posé un dispositif de chasteté, c'est maintenant sa nouvelle copine qui l'encule avec un gode ceinture .
C'est pas ordinaire vous en conviendrez et ce n'est certainement pas ce qui était prévu par ce pauvre François. Et il voyait chaque jour s'éloigner les chances de sortir de ce dispositif.
Serena avait une certaine libido, c'est le moins qu'on peut dire. Mais il faut la comprendre aussi la pauvre, elle s'était tapé un vieux monsieur très riche uniquement pour avoir son argent pendant plusieurs années. Elle avait fini par avoir l'argent et maintenant elle s'offrait un petit gigolo tout mignon qui ne pouvait pas se faire plaisir car il était sous clé, la bite enfermée dans un dispositif de chasteté absolument diabolique ( qui allait pourtant devenir très à la mode ).
Mais ce petit gigolo était cupide et avait un corps de rêve, et s'il est vrai que lui ne pouvait pas se donner de plaisir, il pouvait en donner. Et c'est tout ce qu'elle demandait. Son corps et ses mains étaient douces, il avait une langue experte, elle était riche et lui cupide.
Finalement elle se disait qu'il avait toutes les qualités pour la satisfaire.
Tous les jours il passait un long , un très long moment à lui donner du plaisir. Il la suivait comme un petit chien, surtout quand elle restait à la maison. Là elle le voulait contre elle, tout contre elle. Le soir c'était câlin, et encore des câlins.
Entièrement nue, elle s'allongeait sur le dos et le laissait faire. Là il lui prodiguait tout son art. Sa tête était en feu, à chaque fois sa tête était en feu. Je parle bien sûr de la tête de François. Sa frustration était intense.
Sa queue était sous pression, les semaines n'y faisait rien, le manque ne disparaissait pas, bien au contraire, il était encore plus fort, c'en était à devenir fou. Mais pour Serena, c'était tout le contraire.
Il la faisait jouir avec sa langue, avec son nez, avec sa bouche. Il léchait et léchait encore. Elle refermait ses cuisses sur lui. Elle le retenait fermement contre elle , entre ses cuisses et lui s'agitait comme il pouvait. Il agitait la tête, son nez glissait dans la vulve de madame, elle soupirait de plaisir, sa langue s'attardait alors plus longuement, elle gémissait. Sa bouche embrassait le sexe de madame, elle criait par moment et se raidissait.
Par moment il manquait d'air, mais il pensait à sa voiture rouge, il voulait la garder, à sa montre de luxe, il en voulait une autre, à ses costume, il était temps de se refaire une garde robe.
Bein oui il était coquet aussi et avait l'habitude d'être toujours bien habillé.
Enfin ça c'était quand il était habillé, mais là entre les cuisses de son nouvel amour, il était nu, presque entièrement nu. Il ne gardait qu'un tout petit quelque chose, une petite cage à bite, une toute petite cage à bite, une trop petite cage de chasteté.
Elle était d'autant plus petite que sa queue tentait de prendre tout son volume. Il bandait et le seul résultat étai une tension, une forte tension, presque de la douleur mais en tout cas un grand malaise . Tout son corps était sous tension, pas seulement sa queue ! Son corps tremblai à chaque gémissement que poussait Serena,
tous ses muscles se contractaient à chaque cri qu'elle poussait. Il éprouvait par procuration le plaisir qu'il aurait du ressentir, mais ce n'était pas pareil , il y avait toujours le manque, un manque qui ne pouvait pas être comblé, qui ne pourrait jamais être comblé.
Le plaisir c'était pour elle, pour elle seule !
Le plaisir c'était lui qui le donnait.
Ses mains caressaient avec une infinie douceur tour le corps de Serena, les muscles de François étaient tendus, il lui fallait faire tous les efforts pour ne pas les crisper, mais il ne fallait surtout pas manquer de tendresse, son avenir économique en dépendait, et il aimait son confort.
Il n'aurait jamais accepter de renoncer à son plaisir juste pour de l'argent mais le choix avait été fait, il se trouvait bien à l'insu de son plein gré dans cette situation. Alors autant essayer d'en tirer tous les avantage possibles.
François savait rester pratique. Il était coincé, il ne pouvait rien espérer pour le moment et certainement pour encore un long moment. Alors il faisait avec. Ce n'était pas tous les jours facile, seule sa cupidité lui permettait de tenir debout.
Il pensait à sa voiture rouge,, à son confort. Toute ces idées et bien d'autres lui traversaient l'esprit.
Tout le corps de Serena tremblait de plaisir, tout le corps de François se crispait.
Elle s'écroulait inondée de plaisir, elle avait joui !
Il s'effondrait épuisé par tant d'effort et surtout par tant d'effort inutile. Il manquait d'air, il manquait de souffle, il manquait de plaisir. Serena l'avait transformé en un gode vivant !
Elle savait s'amuser la petite. Elle l'avait transformé en jouet, un très beau jouet qu'elle savait mettre en valeur. Elle ne le gardait pas attaché ou enfermé, il pouvait sortir, elle le sortait même souvent.
Ces soirées terminées, elle dormait divinement bien, lui beaucoup moins bien mais le lendemain elle savait le laisser dormir aussi longtemps qu'il voulait. Il se levait dont tard, très tard, il restait un moment à profiter du soleil autour de la piscine.
Ah oui là il fallait, elle l'exigeait, qu'il reste nu. Elle aimait le voir marcher, nager ou se dorer la pilule entièrement à poil. Elle admirait sa musculature, elle se régalait de voir son élégance dans les moindres mouvements qu'il faisait. Et voir sa queue dans une cage, voir ses deux couilles qui pendaient lourdement , comme deux sacs qui pendaient lourdement. Elle aimait aussi lui caresser les couilles quand elles se transformaient en grosse boules bien fermes. C'était principalement une question de température !
Il aimait bien, enfin c'est ce qu'il disait mais il aimait plus modérément dirons nous …
Si la température venait à baisser ses couilles se resserraient et formaient deux boules, lisses et blanches. Serena avait fini par lui demander des les épiler, il avait retiré tous les poils à un centimètre autour de l'anneau de maintient. Sinon elles pendaient tell deux sacs à dos mais pas posés sur le dos …
Le couple sortait aussi. Il sortait souvent et toujours dans des lieux très mondains, les restaurants les plus chics, les soirée d’inauguration ou officielles, expositions … enfin toutes les soirée ou on pouvait voir et surtout être vu.
Pour François être vu était un avantage. Personne ne pouvait deviner qu'il avait la queue dans une cage et la PK Compagnie n'était pas encore devenu célèbre. Personne ne parlait de ces dispositifs.
François avait toujours une tenue impeccable, il portait souvent une pantalon clair qui tombait parfaitement et moulait bien ses formes sans que ça ne devienne obscène, il était sexy, une chemise parfaitement ajustée également qui s'ouvrait sur un torse avantageux et doux, il était totalement dépourvu de poils, pas seulement autour de son sexe, mais ça c'est vrai qu'il ne le montrait pas à tout le monde.
La cage lui gâchait le vie, il n'osait pas se montrer en maillot de bain de peur que son dispositif ne se voit. Pourtant la PK faisait déjà des dispositifs parfaitement discret. Quand on imagine que quelques années plus tard ces dispositifs allaient devenir une fierté, à cette époque pourtant récente, on en était encore loin.
François était toujours très élégant, les filles se retournaient sur son passage, lui ne se retournait plus sur leur passage, il cachait un regard quelquefois un peu vide derrière des lunettes légèrement colorées, mais de grande marque. Sa vue était excellente. Pour lui regarder les filles devenait une torture, mais il tenait le coup, c'est vrai qu'il n'avait pas d'autre choix.
Tous les jours il regrettais d'avoir dit oui à la vieille sorcière qui l'avait enfermée dans ce truc. Il se demandait toujours ou la clé avait bien pu disparaître. Il savait que ces dispositifs étaient en titane indestructibles. C'est vrai que le port du dispositif n'était pas douloureux mais cela ne le consolait que partiellement.
Un soir tout comme le premier jour, il était là, presque au garde à vous dans sa tenue très chic, il était beau comme un dieu, comme d'habitude. Il était dans ce restaurant ou il avait travaillé dans une autre vie qui lui semblait déjà très ancienne.
Un ou deux serveur le reconnaissaient mais préféraient l'ignorer, c'est vrai, il n'était plus de leur monde. C'était un Monsieur qu'ils préféraient ne plus connaître. Lui les reconnaissait et regrettait l'époque ou il pouvait discuter avec eux, ou ils étaient des copains pour lui.
Maintenant ils lui disait ' Vous '.
Mais comme par un coup de malchance, comme si tout ce malheur ne lui suffisait pas, c'est justement un de ces garçons qui plut à sa copine Serena ce soir là. Elle semblait oublier la présence de François. Il était servi comme d'habitude, avec beaucoup d'attentions, Serena jouait les charmeuses à l'intention de ce très beau serveur. C'était Anthony, il est un peut plus vieux que François mais à peine. Il était lui aussi très séduisant, très sexy mais il avait le sourire, et c'est vrai que François avait un peu perdu le sien.
Pendant le repas Serena se déplaçait dans la salle et allait demander quelque chose à ce serveur très mignon.
Ne vous méprenez pas, tous les serveur savaient jouer les gigolos avec les clientes mais seul François était devenu professionnel. Ce n'étaient que des relations entre adultes consentants, qui au pire si elles satisfaisaient la dame donnait lieu un petit cadeau. Les relations durables comme celles que François entretenait étaient l'exception.
Qui quelquefois peuvent tourner mal , j'en conviens.
Un peu plus tard dans la soirée, Serena demandait à François de l'emmener dans une boite de nuit très connue. Elle entrait sans attendre et le laissait garer la voiture.
Il devait la retrouver un peu plus tard et la retrouvait au bar, une flûte de champagne à la main, une bouteille devant elle et Anthony, juste en face d'elle et surtout avec, lui aussi une flûte de champagne à la main.
François approchait de sa dame, il demandait une flûte vide, c'est vrai qu'il avait été oublié. Il se servait puis comme les deux amoureux semblaient très occupés à regarder l'autre, il partait , son verre à la main, faire le tour dans la boîte.
Son sourire commercial revenait, c'était comme un réflexe chez lui, il était dans un endroit public, et tout de suite il se sentait en présentation. Il regardait les femmes et sans même s'en rendre compte redevenait charmeur.
Il réagissait très vite quand il sentait manifester sa queue dans sa cage, il revoyait les scènes d'amour qu'il vivaient maintenant avec sa nouvelle copine, cette situation pathétique. Son humeur qui était devenue plus joyeuse avec l’ambiance, retombait soudainement.
Il restait là le regard dans le vide à regarder la piste de danse jusqu'au moment ou Serena arrivait juste derrière lui et lui disait.
Va chercher la voiture , on rentre !
Sans rien répondre François allait chercher sa très belle voiture rouge et quand il revenait chercher sa princesse, Anthony était là à l'attendre le bras autour de la ceinture de Serena.
Elle était rayonnante. François sentait le froid lui glacer le cœur !
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