Ça commence au restau 01

Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Ça commence au restau 01
Ça commence au restau 01
J'y croyais pas, elle me regardait régulièrement, un peu trop peut être même. Elle était belle, très belle mais là encore ce n'était pas naturel, je n'avais pas l'habitude de me faire draguer par d'aussi jolies filles ! Surtout qu'elle n'était pas seule. Il y avait son compagnon.
Ça ne faisait aucun doute que c'était bien son compagnon, il était face à elle à la table, moi j'étais seul. Ma copine qui était venu avec moi m'avait fait un sale plan, elle m'avait largué au moment ou la choucroute était servie.
Ça faisait des années que nous étions ensemble et elle savait choisir son moment.
Elle s'est alors levée et m'a dit cette dernière phrase …
C'est fini !
Je n'ai pas retenu les autres phrases, les explication. Et je vous jure que ce n'était pas à cause de la choucroute.
Je me retrouvais face à deux parts de choucroute maison, une merveille, ne vous imaginez pas que ça me faisait peur, oh non, il m'en faut plus que cela. C'est pas une double part de choucroute qui … Mais qu'est ce que je raconte, je venais de me faire largué au milieu d'un restaurant et je vous parle de la choucroute. Vous imaginez la suite …
j'ai commencé par manger ma part puis j'ai attaqué celle de ma copine. Je fais beaucoup de sport, et je ne soufre pas d’embonpoint. Et il y avait cette fille qui me regardait depuis la table en face de moi.
Son partenaire lui prenait la main, la portait à son visage puis au dernier moment l'embrassait , il y déposait un baiser très doux, enfin je suppose qu'il était très doux. Moi je mangeais, pas comme un goinfre, en prenant bien mon temps je prenais une bouchée de purée une bouché de choucroute et un peu de garniture.
C'était un gratin de choucroute, une choucroute normale recouverte d'une couche de purée et gratinée avec de l'émental et du parmesan ... vous connaissez pas ? C'est une recette de Juan Pédro Cofre à la télé, essayez vous m'en direz des nouvelles . Mais c'est pas le sujet.
En face de moi la fille était vraiment extraordinairement belle et son camarade était bel homme aussi, il était viril. Un visage bien carré mais avec des traits fins et doux. Elle me regardait au moment ou il lui suçait un doigt. J'ai sursauté, il m'a bien semblé qu'elle me faisait un signe avec ses lèvres, sa langue glissait sur ses lèvres. Et je ne vous cacherais pas que là je me sentais tout chose.
Je terminais sans broncher la deuxième assiette de choucroute, et elle semblait incliner la tête vers moi comme pour me féliciter .
Oui je sais, ma copine venait de me larguer et je bouffais comme un goinfre, mais c'était un gratin de choucroute, et je suis un petit peu goinfre. De plus il en faut plus que cela pour me couper l’appétit. Mais là je me sentais tout drôle, c'est pas que j'avais trop mangé, il m'en faut plus que cela ! Non , c'était la dame en face. Son partenaire s'était penché sur elle et lui avait donné un baiser dans le cou. Là ça devenait un peu chaud.
Surtout qu'elle me regardait pendant ce moment en passant sa langue sur ses lèvres.
Elle s'est alors penchée dans ma direction et m'a demandé du feu !
Heu, oui, enfin non mais je fume pas !
C'est bien me répondit-elle, moi non plus, c'était juste pour commencer une discussion. Enfin je ne vous importune pas j'espère.
Oui bien sur , bafouillais-je en regardant son partenaire qui lui suçait un doigt , heu non, je voulais dire non mais heu voilà, non pas du tout, au contraire , enfin … Je sais plus …
Elle me faisait bafouiller. Elle échangeait un regard avec son partenaire, je ne sais pas pourquoi je dis partenaire, même si l'avenir m'a montré que le terme est parfaitement adapté.
Finalement c'est lui qui d'un geste de la main m'invitait à les rejoindre à leur table. Mes deux desserts arrivaient peu après . Je vous rappelle qu'au début je n'étais pas seul !
Là on a discuté, il travaillait comme garçon d'étage dans un hôtel, elle … c'est vrai, qu'elle n'a pas abordé le sujet. Elle voyageait, et se déplaçait beaucoup. Pour son boulot surtout, enfin c'est ce que j'ai supposé. On a parlé de tout et de rien. Elle s'appelait Sophie, lui s'appelait Eddy. On a rapidement avalé la bouteille de champagne puis une autre qui arrivait je ne sais d’où.
On a terminé la soirée chez la dame, elle logeait à l'hôtel, et son petit copain aussi. Pendant que je m'installais, Eddy faisait monter une bouteille de champagne.
On s'est installé on a picolé, on a discuté.
Elle est ! N'est -ce pas ? Me demandait Eddy.
Très belle !
Désirable ?
Oui je suppose !
Tu la désires ?
Là je ne comprenais plus trop sa réplique. Il lui tenais la main, la caressait et avec son autre main elles ouvrait son corsage, révélant un décolleté tombant, mais tellement tombant que c'en était à tomber à la renverse.
Quelques instant plus tard il lui lâchait la main et elle ouvrait totalement son corsage et se retrouvait torse ne. Elle était plus belle qu'on ne pouvait l'imaginer. Une poitrine de belle taille mais sans plus, mais une poitrine qui se relevait fière et provocante, qui ne tombait pas du tout.
Un ventre plat, un taille fine . Elle se relevait et dansait devant nous, elle faisait glisser ses vêtements sans se presser, elle prenait bien son temps, il n'y avait pas urgence, elle remarquait que je réagissait. Mon pantalon ne cachait plus du tout mon érection. Je bandais comme un malade et là je ne contrôlais plus rien.
Eddy la regardait, il semblait amusé, intéressé mais amusé, il me lançait réguièrement un regard pour voir ou j'en étais. Sophie se penchait sur moi et me donnait un baiser, sans y penser je passais mes doigts sur ses seins.
Sa peau était douce et je sentais ses seins se relever, durcir, il m'embrassait. C'était un régal. Je vous garantie qu'à ce moment je ne pensai plus du tout à ma copine qui m'avait abandonné devant deux gratin de choucroute. J'avait autre chose dans la tête.
Elle glissait mes mains sur mon torse, avec douceur. Ses doigts glissaient sous ma chemise et mes tétons durcissaient à leur tour. Je l'ai laissé faire quand ses doigts ouvraient totalement ma chemise, quand ils couraient sur mon corps, quand ils ouvraient la ceinture de mon pantalon. Là j'ai compris ou elle voulait en venir …
Nan , je déconne , j'avais compris bien avant.
Mais je vous jure que j'ai rien fait pour la repousser. Elle était penchée sur moi, Eddy s'était penché sur elle il passait ses bras autour de son corps et lui caressait la poitrine, elle gémissait de plaisir.
Elle m'ouvrait totalement mon pantalon et voyant ma bite qui se relevait avec conviction, elle ne cachait pas sa satisfaction et sans aucune hésitation me la prenait dans la bouche.
C'était le pied, là je fermais les yeux et me m'abandonnait entièrement à mon plaisir. Je respirais fort, et poussais des gémissements ponctués par des petits cris de plaisir. C'était le pied, je ne vous dis pas. Mon ex ne m'avait jamais fait ça, et puis de toutes façon, mon ex, c'était devenu de l'histoire ancienne.
Je finissais par réouvrir les yeux et je pouvais voir que Eddy avait lui aussi retiré ses vêtements. Il était bien installé dans le dos de Sophie, il devait lui aussi se faire plaisir et la limait vigoureusement. En tout cas c'est l'impression qu'il donnait.
Sophie se redressait, je caressait tout son corps, mes mains suivaient le mouvement. Là j'ai remarqué que Eddy ne la pénétrait pas, je n'ai pas senti sa queue entre les cuisses de Sophie.
Elle s'est entièrement redressé, lui s'est un peu retirer, il me laissait la place. J'étais vautré sur le canapén les jambes allongées, elle me chevauchait et avec conviction me glissait en elle. C'était doux comme jamais, c'était brûlant et terriblement bon.
Eddy était un peu en retrait et c'est à ce moment que j'ai vu. Sa queue ne pendait pas, ne se redressait pas non plus. Ses couilles oui, pendaient et se balançait à chacun de ses mouvement. Mais sa queue semblait comme enfermée dans une sorte de cage. Je ne comprenais plus rien mais Sophie était tellement douce que je m'en moquais. Sur le coup je m'en moquais. Je ne réalisais pas ce que je voyais.
Sophie s'agitait sur moi, ma que entrait et ressortait, je glissais en elle. Le plaisir montait doucement en moi, elle s'agitait et je me tendais , je me retenais le plus possible. J'arrivais au moment ou le plaisir ne peut plus qu'exploser et je perdais le contrôle, mon plaisir s'exprimait et je le laissais exploser en elle.
Elle continuais à s'agiter et son plaisir aussi montait. Je la sentais vibrer dans mes bras, je la sentais trembler, elle vibrait sous l'effet du plaisir que je lui donnais. Elle me saisissait avec force, refermait ses cuisses autour de moi et je la sentais me retenir avec force. Elle jouissait à son tour, et je le ressentais. Nous partagions un plaisir intense, je la retenais avec force et nous ne formions plus qu'un.
Eddy s'était installé sur le fauteuil, il nous regardait avec un étrange sourire, il avait les jambes écartées et ses couilles s'écrasaient lourdement sur le fauteuil. Je ne comprenais pas, il avait un sourire un peu crispé.
Je retrouvais mon souffle.
Eh, c'est quoi ce truc là sur ta queue ? Demandais je à Eddy.
C'est pour faire monter le plaisir, pour découvrir un autre plaisir. Me répondait Sophie.
Je comprends pas !
Mais si je te jure, c'est une autre manière de percevoir les choses. Rajoutait-elle.
Eddy hochait la tête de haut en bas.
Si c'est vrai, je te jure, elle te dis pas de conneries.
Mais enfin là tu peux rien faire ?
Justement, le désir monte, et monte encore, jusqu'au moment ou je le libère et là … BA BA BOUM … Je te dis pas, c'est le pied comme jamais. Il faut le garder quelque jours, juste quelque jours. La première fois je l'ai gardé une semaine complète et je te dis pas l'orgasme que j'ai eu quand je l'ai retiré.
Je le regardais incrédule, mon regard passait des son regard à son sexe,je ne comprenait pas mais je sentais ma queue qui prenait de nouveau un peu de volume.
Je crois que c'est lui qui te fait cet effet. Déclarait Sophie en me regardant. Tu devrais l'enculer !
Je voyais Eddy sursauter.
Mais c'était pas prévu ça ! Rajoutait-il en rigolant.
Mais il te faut reconnaître que c'est une idée ! Concluait Sophie.
Eddy, pouffait de rire.
J'étais là vautré dans le canapé et je rigolais doucement dans ma barbe. Je n'étais pas contre cette idée .
A suivre !
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire
J'y croyais pas, elle me regardait régulièrement, un peu trop peut être même. Elle était belle, très belle mais là encore ce n'était pas naturel, je n'avais pas l'habitude de me faire draguer par d'aussi jolies filles ! Surtout qu'elle n'était pas seule. Il y avait son compagnon.
Ça ne faisait aucun doute que c'était bien son compagnon, il était face à elle à la table, moi j'étais seul. Ma copine qui était venu avec moi m'avait fait un sale plan, elle m'avait largué au moment ou la choucroute était servie.
Ça faisait des années que nous étions ensemble et elle savait choisir son moment.
Elle s'est alors levée et m'a dit cette dernière phrase …
C'est fini !
Je n'ai pas retenu les autres phrases, les explication. Et je vous jure que ce n'était pas à cause de la choucroute.
Je me retrouvais face à deux parts de choucroute maison, une merveille, ne vous imaginez pas que ça me faisait peur, oh non, il m'en faut plus que cela. C'est pas une double part de choucroute qui … Mais qu'est ce que je raconte, je venais de me faire largué au milieu d'un restaurant et je vous parle de la choucroute. Vous imaginez la suite …
j'ai commencé par manger ma part puis j'ai attaqué celle de ma copine. Je fais beaucoup de sport, et je ne soufre pas d’embonpoint. Et il y avait cette fille qui me regardait depuis la table en face de moi.
Son partenaire lui prenait la main, la portait à son visage puis au dernier moment l'embrassait , il y déposait un baiser très doux, enfin je suppose qu'il était très doux. Moi je mangeais, pas comme un goinfre, en prenant bien mon temps je prenais une bouchée de purée une bouché de choucroute et un peu de garniture.
C'était un gratin de choucroute, une choucroute normale recouverte d'une couche de purée et gratinée avec de l'émental et du parmesan ... vous connaissez pas ? C'est une recette de Juan Pédro Cofre à la télé, essayez vous m'en direz des nouvelles . Mais c'est pas le sujet.
En face de moi la fille était vraiment extraordinairement belle et son camarade était bel homme aussi, il était viril. Un visage bien carré mais avec des traits fins et doux. Elle me regardait au moment ou il lui suçait un doigt. J'ai sursauté, il m'a bien semblé qu'elle me faisait un signe avec ses lèvres, sa langue glissait sur ses lèvres. Et je ne vous cacherais pas que là je me sentais tout chose.
Je terminais sans broncher la deuxième assiette de choucroute, et elle semblait incliner la tête vers moi comme pour me féliciter .
Oui je sais, ma copine venait de me larguer et je bouffais comme un goinfre, mais c'était un gratin de choucroute, et je suis un petit peu goinfre. De plus il en faut plus que cela pour me couper l’appétit. Mais là je me sentais tout drôle, c'est pas que j'avais trop mangé, il m'en faut plus que cela ! Non , c'était la dame en face. Son partenaire s'était penché sur elle et lui avait donné un baiser dans le cou. Là ça devenait un peu chaud.
Surtout qu'elle me regardait pendant ce moment en passant sa langue sur ses lèvres.
Elle s'est alors penchée dans ma direction et m'a demandé du feu !
Heu, oui, enfin non mais je fume pas !
C'est bien me répondit-elle, moi non plus, c'était juste pour commencer une discussion. Enfin je ne vous importune pas j'espère.
Oui bien sur , bafouillais-je en regardant son partenaire qui lui suçait un doigt , heu non, je voulais dire non mais heu voilà, non pas du tout, au contraire , enfin … Je sais plus …
Elle me faisait bafouiller. Elle échangeait un regard avec son partenaire, je ne sais pas pourquoi je dis partenaire, même si l'avenir m'a montré que le terme est parfaitement adapté.
Finalement c'est lui qui d'un geste de la main m'invitait à les rejoindre à leur table. Mes deux desserts arrivaient peu après . Je vous rappelle qu'au début je n'étais pas seul !
Là on a discuté, il travaillait comme garçon d'étage dans un hôtel, elle … c'est vrai, qu'elle n'a pas abordé le sujet. Elle voyageait, et se déplaçait beaucoup. Pour son boulot surtout, enfin c'est ce que j'ai supposé. On a parlé de tout et de rien. Elle s'appelait Sophie, lui s'appelait Eddy. On a rapidement avalé la bouteille de champagne puis une autre qui arrivait je ne sais d’où.
On a terminé la soirée chez la dame, elle logeait à l'hôtel, et son petit copain aussi. Pendant que je m'installais, Eddy faisait monter une bouteille de champagne.
On s'est installé on a picolé, on a discuté.
Elle est ! N'est -ce pas ? Me demandait Eddy.
Très belle !
Désirable ?
Oui je suppose !
Tu la désires ?
Là je ne comprenais plus trop sa réplique. Il lui tenais la main, la caressait et avec son autre main elles ouvrait son corsage, révélant un décolleté tombant, mais tellement tombant que c'en était à tomber à la renverse.
Quelques instant plus tard il lui lâchait la main et elle ouvrait totalement son corsage et se retrouvait torse ne. Elle était plus belle qu'on ne pouvait l'imaginer. Une poitrine de belle taille mais sans plus, mais une poitrine qui se relevait fière et provocante, qui ne tombait pas du tout.
Un ventre plat, un taille fine . Elle se relevait et dansait devant nous, elle faisait glisser ses vêtements sans se presser, elle prenait bien son temps, il n'y avait pas urgence, elle remarquait que je réagissait. Mon pantalon ne cachait plus du tout mon érection. Je bandais comme un malade et là je ne contrôlais plus rien.
Eddy la regardait, il semblait amusé, intéressé mais amusé, il me lançait réguièrement un regard pour voir ou j'en étais. Sophie se penchait sur moi et me donnait un baiser, sans y penser je passais mes doigts sur ses seins.
Sa peau était douce et je sentais ses seins se relever, durcir, il m'embrassait. C'était un régal. Je vous garantie qu'à ce moment je ne pensai plus du tout à ma copine qui m'avait abandonné devant deux gratin de choucroute. J'avait autre chose dans la tête.
Elle glissait mes mains sur mon torse, avec douceur. Ses doigts glissaient sous ma chemise et mes tétons durcissaient à leur tour. Je l'ai laissé faire quand ses doigts ouvraient totalement ma chemise, quand ils couraient sur mon corps, quand ils ouvraient la ceinture de mon pantalon. Là j'ai compris ou elle voulait en venir …
Nan , je déconne , j'avais compris bien avant.
Mais je vous jure que j'ai rien fait pour la repousser. Elle était penchée sur moi, Eddy s'était penché sur elle il passait ses bras autour de son corps et lui caressait la poitrine, elle gémissait de plaisir.
Elle m'ouvrait totalement mon pantalon et voyant ma bite qui se relevait avec conviction, elle ne cachait pas sa satisfaction et sans aucune hésitation me la prenait dans la bouche.
C'était le pied, là je fermais les yeux et me m'abandonnait entièrement à mon plaisir. Je respirais fort, et poussais des gémissements ponctués par des petits cris de plaisir. C'était le pied, je ne vous dis pas. Mon ex ne m'avait jamais fait ça, et puis de toutes façon, mon ex, c'était devenu de l'histoire ancienne.
Je finissais par réouvrir les yeux et je pouvais voir que Eddy avait lui aussi retiré ses vêtements. Il était bien installé dans le dos de Sophie, il devait lui aussi se faire plaisir et la limait vigoureusement. En tout cas c'est l'impression qu'il donnait.
Sophie se redressait, je caressait tout son corps, mes mains suivaient le mouvement. Là j'ai remarqué que Eddy ne la pénétrait pas, je n'ai pas senti sa queue entre les cuisses de Sophie.
Elle s'est entièrement redressé, lui s'est un peu retirer, il me laissait la place. J'étais vautré sur le canapén les jambes allongées, elle me chevauchait et avec conviction me glissait en elle. C'était doux comme jamais, c'était brûlant et terriblement bon.
Eddy était un peu en retrait et c'est à ce moment que j'ai vu. Sa queue ne pendait pas, ne se redressait pas non plus. Ses couilles oui, pendaient et se balançait à chacun de ses mouvement. Mais sa queue semblait comme enfermée dans une sorte de cage. Je ne comprenais plus rien mais Sophie était tellement douce que je m'en moquais. Sur le coup je m'en moquais. Je ne réalisais pas ce que je voyais.
Sophie s'agitait sur moi, ma que entrait et ressortait, je glissais en elle. Le plaisir montait doucement en moi, elle s'agitait et je me tendais , je me retenais le plus possible. J'arrivais au moment ou le plaisir ne peut plus qu'exploser et je perdais le contrôle, mon plaisir s'exprimait et je le laissais exploser en elle.
Elle continuais à s'agiter et son plaisir aussi montait. Je la sentais vibrer dans mes bras, je la sentais trembler, elle vibrait sous l'effet du plaisir que je lui donnais. Elle me saisissait avec force, refermait ses cuisses autour de moi et je la sentais me retenir avec force. Elle jouissait à son tour, et je le ressentais. Nous partagions un plaisir intense, je la retenais avec force et nous ne formions plus qu'un.
Eddy s'était installé sur le fauteuil, il nous regardait avec un étrange sourire, il avait les jambes écartées et ses couilles s'écrasaient lourdement sur le fauteuil. Je ne comprenais pas, il avait un sourire un peu crispé.
Je retrouvais mon souffle.
Eh, c'est quoi ce truc là sur ta queue ? Demandais je à Eddy.
C'est pour faire monter le plaisir, pour découvrir un autre plaisir. Me répondait Sophie.
Je comprends pas !
Mais si je te jure, c'est une autre manière de percevoir les choses. Rajoutait-elle.
Eddy hochait la tête de haut en bas.
Si c'est vrai, je te jure, elle te dis pas de conneries.
Mais enfin là tu peux rien faire ?
Justement, le désir monte, et monte encore, jusqu'au moment ou je le libère et là … BA BA BOUM … Je te dis pas, c'est le pied comme jamais. Il faut le garder quelque jours, juste quelque jours. La première fois je l'ai gardé une semaine complète et je te dis pas l'orgasme que j'ai eu quand je l'ai retiré.
Je le regardais incrédule, mon regard passait des son regard à son sexe,je ne comprenait pas mais je sentais ma queue qui prenait de nouveau un peu de volume.
Je crois que c'est lui qui te fait cet effet. Déclarait Sophie en me regardant. Tu devrais l'enculer !
Je voyais Eddy sursauter.
Mais c'était pas prévu ça ! Rajoutait-il en rigolant.
Mais il te faut reconnaître que c'est une idée ! Concluait Sophie.
Eddy, pouffait de rire.
J'étais là vautré dans le canapé et je rigolais doucement dans ma barbe. Je n'étais pas contre cette idée .
A suivre !
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