Beau-papa 32: Les jumelles, Kenza et Paloma. Confrontées à la « bête »

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Beau-papa 32: Les jumelles, Kenza et Paloma. Confrontées à la « bête » Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Beau-papa 32: Les jumelles, Kenza et Paloma. Confrontées à la « bête »
Beau papa.

Les jumelles, Kenza et Paloma.
Confrontées à la « bête »

Mon Dieu !!! Ce mec est réellement monté comme un cheval ! Il a un sexe bien plus gros et grand que celui de mon petit copain ! Habilement, je libère entièrement ce sexe de taille plus que respectable, dur et tendu, et le caresses légèrement.

Suite :
Je n’y teins plus et prends alors sa bite en bouche et la suce comme je sais si bien le faire, alternant vitesse et tendresse, léchant le gland gonflé tout en laissant échapper des « Mmmhhh, Mmmhhh » étouffés par ce sexe énorme. Il est aux anges, me dit que je le suce comme une vraie salope et m’ordonne de lui bouffer la queue. Ces mots me transcendent et me donne encore plus d’ardeurs à bien accomplir ma tâche.
Claude doit y prendre goût car il pose ses mains sur ma tête pour que mes lèvres qui l’embouchent délicieusement accompagnent les mouvements de mon beau visage sur sa verge bandé. J’en savoure chaque enfoncement vers la glotte en salivant abondement.
je voudrais plaquer ma tête contre son ventre mais c’est impossible, jamais un pénis n’a pénétré aussi profondément dans ma gorge, mes yeux commencent à se brouiller, je n’arrive plus à respirer. Il s’en aperçoit heureusement à temps et relâche la pression de ses mains sur ma nuque. Je reprends plus précautionneusement ma fellation et arrive enfin à mon but, le faire jouir…
Son premier jet jute au plus profond de ma gorge, je sens son sperme chaud couler en moi, lâche prise et lutte pour respirer, tousse pendant que sa verge enfin libérée continue à cracher. La deuxième giclée de sperme, un véritable jet, frappe juste mon œil droit avec une puissance que je n'aurais pu imaginer d’une gelée épaisse.
Puis aussitôt, une troisième dose tout aussi abondante, tout aussi violente entretenue par sa masturbation que Claude veille alors à l'orientation du jet, ne branlant plus sa lance qu'à deux doigts, au niveau du frein.
Encore une quatrième giclée et le torrent de sperme déversé recouvre déjà une partie de mon visage sous un volume incroyable de crème.
Et de cinq. La dose de sperme se tarit à peine, les expulsions sont toujours aussi fertiles. C'est à se demander comment ses testicules peuvent en contenir autant. L'épaisseur de son foutre en dépit de sa remarquable viscosité est telle que sa crème commence maintenant à couler le long de mon visage et goutte sur ma poitrine.
Les deux suivantes, plus espacées et beaucoup moins fournies terminent en apothéose la plus mémorable éjaculation qu’il m’est été donné de tirer d’un Mâle avec un M majuscule. Son sperme dégouline maintenant sur mon corps. Puis enfin deux derniers soubresauts qui n'émettent plus qu'un filet de foutre qui suinte sur son gland.

Je reprends en main son sexe qui vient de terminer son travail. Plus aucun soubresaut ni flot de foutre ne sort de cette énorme bite encore dure. À ma grande surprise, son mandrin qui dépasse allègrement le double-décimètre est toujours aussi gros et dur, bandé et épais. C'est comme s'il ne venait pas d'éjaculer plusieurs centilitres de foutre. Tout bonnement incroyable ! Son membre toujours érigé m’invite à d’autres plaisirs. Je suis dans un tel état que ma cyprine coule littéralement à flot de mon sexe en feu qui veut lui aussi être à telle fête. C’est lui qui parle par ma bouche.
-Prends- moi Claude ! Je veux sentir en moi ton pal !

Je m’allonge sur le dos en écartant les jambes, offrant à sa vue ma vulve entre-ouverte, dégoulinante de cyprine. Il s’approche de moi, sa trique bien raide et il l’enfonce dans ma grotte accueillante et détrempée. Quelle sensation de bien-être, de douceur, c’est si bon de sentir dans ma chatte cette poutre aux dimensions hors-normes, cela décuple mon ardeur.
Je contracte mon vagin sur sa bite, l’enserrant fermement sous ses coups de boutoir, mes mains caressent et malaxent ses fesses aux muscles crispés sous l’effort. Pendant un temps que je ne peux plus estimer, il me laboure sans pitié. Mes seins rebondissent sous les coups de boutoir de mon amant, et je gémis sous sa sauvagerie animale. Mes cris de jouissance résonnent dans la maison. Mais j’en veux encore plus.
-Enfonce un doigt dans mon cul. Tout en continuant à lui broyer la pine avec mes muscles vaginaux.

Il aventure un doigt vers un chemin que j’ai toujours interdit à mon petit-ami, le plaisir que me procure sa verge, se trouve beaucoup plus amplifié que je m’y attendais à ma grande surprise par son doigt qui fouille mon petit trou fripé, tous mes sens en sont chamboulés, je suis baignée par tant de plaisirs, je n’en peux plus, la pression que j’exerce sur son sexe devient incontrôlable. Enfin, dans un soubresaut il lâche un puissant jet de sa semence pour accompagner un ultime orgasme de ma part, ma jouissance est au paroxysme.
Son sexe toujours aussi dur et tendu crache sa semence par vague. Bon sang ! Quel amant incroyable, mon compagnon crachouille à peine quelques gouttes par rapport à Claude, lui se vide en flots continus. Je sens petit-à-petit mon vagin se remplir de son foutre chaud. Quelle sensation de ressentir le plaisir grimper puis refluer. Je n’en ai jamais ressenti d’aussi fort, j’ai vraiment l'impression d'être une pouliche qui s’est fait tringler sauvagement par l’étalon de la harde. Seule la grosse bite qui me défonce l'intérieur compte, j'en viens à oublier ma sœur, et tous mes principes…
Je suis vidée, étendue maintenant à côté de lui pour essayer de récupérer quelques forces. Au bout de quelques minutes supplémentaires, j'en viens à parler à Paloma, la prenant à témoin :
-Putain ce qu’il m’a mis ! Alors sœurette… fais-pas ta sainte-nitouche, je t’ai bien vu te tripoter. Viens au moins caresser sa pine, ça n’engage à rien et tu ne risques plus grand-chose maintenant que je lui ai essoré deux fois les couilles.

Paloma :
Je ne peux pas dire qu’elle a tort et que je n’ai pas été impressionnée par leur partie de jambes en l’air.
Je ne veux pas passer pour quelqu’un de prude, mais je n’ai jamais osé sauter le pas, j’ai menti à ma sœur en lui assurant que je suis déjà allé avec un garçon, c’est vrai et c’est faux car à part une branlette, je me suis enfuie quand il a voulu que je le suce. Ce qui me fais peur avec Claude, c’est la taille de sa verge, par comparaison avec celle de Léo, c’est le jour et la nuit, la saucisse de Morteau comparée à la merguez de Léo. Je dois bien avoué qu’un tel chibre m’attire, mais je n’oserai jamais tellement ça me terrifie. Autant ma sœur voit le verre à moitié plein, autant moi je le vois à moitié vide. Déjà, dès que j’avais un examen, une épreuve sportive ou tout autre évènement qui sort du train-train quotidien, je suis malade la veille, le ventre noué, alors là…
Je suis allongée sur le canapé et fais semblant de sommeiller. Il vient s’affaler sur le canapé à côté de moi, les jambes suffisamment écartées pour me permettre de voir son sexe, malgré les deux premiers rounds, son pénis a baisser de la tête mais est resté presque aussi gros que quand il était en pleine action avec Kenza. Je porte une jupe qui s’arrête au-dessus du genou et un chemisier blanc. Je le vois lorgner sur mes jambes. On boit un peu et la conversation tourne vite autour du sexe. Quelques minutes plus tard, je sens sa main sur mon épaule. Je pourrais le repousser mais ne réagis pas, il s’enhardit et pose sa main sur un de mes seins, la fait descendre ensuite sur mon corps puis la glisse entre mes genoux avant de la remonter tout doucement pour ne pas m’effrayer. Ma jupe est serrée et je sens qu’il la remonte. Je voudrais m’enfuir, mais quand sa main arrive près de ma chatte, j’écarte les jambes, comme par un instinct atavique sous le regard complice de ma sœur. Il s’arrête un instant, sûrement par peur de me voir m’enfuir.
Kenza se place de l’autre côté, prend ma main et me force à la poser sur la queue de Claude, je voudrais retirer ma main mais elle s’y oppose, c’est chaud, vivant. Je serre mes doigts autour de la hampe demi-molle pendant que Kenza vient maintenant me peloter les nichons et que Claude frotte sa main sur ma vulve. C'est la première fois qu’une femme me touche, et c’est ma sœur. Je suis un peu étonnée d'y trouver autant de plaisir que ce que me fait subir Claude. C'est tellement excitant !
Ils interrompent leurs caresses pour me dénuder malgré mes faibles protestations, nous nous retrouvons donc maintenant tous les droits entièrement nus. Je n’ai pas le même corps que ma sœur, elle est plus grande que moi de quinze centimètres et pourtant nous pesons pratiquement le même poids. Kenza a deux gros nichons comparé à ma poitrine plus petite, pareil pour le fessier, autant je suis svelte, avec un corps élancé, autant elle est beaucoup plus charpentée. Sa main suffit à englober entièrement un de mes seins, elle sait comment la caresser car c'est une femme sachant l’effet que ça fait.
Elle me fait reprendre en main le sexe de Claude qui doucement reprend du gourdin. Mon Dieu qu’il est gros et dur ! Je sens pulser la grosse veine qui gorge de sang son engin. Je n’ose aller plus loin alors Kenza pousse légèrement mais fermement ma tête vers le chibre de Claude. Comme je résiste encore un peu, elle se lève et va fouiller dans un tiroir de la commode de tante Lucie, en retire une cravache et revient vers moi. Un premier coup vient claquer juste sur mes fesses.
-Qu’est-ce que tu attends pour le sucer ! Allez, un peu de courage sœurette…

Après un petit "aïe" de ma part, je me résous à lui obéir et engloutis ce sexe dur, chaud et palpitant dans ma bouche. Enfin… Rien que le champignon mafflu sous un "ooohhh huuummm" d’appréciation de Claude. J’en ai déjà plein la bouche mais un deuxième coup de cravache tombe.
-Fais ta mijaurée. Tu n’en as goûté que la gueule. Un peu de courage, que diable…

A suivre : Les jumelles, Kenza et Paloma. Défloration.

Les avis des lecteurs

Histoire Coquine
Ma femme préfère"la bête" de l'auteur. Sublime...



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