Biberonnage et gorge profonde
Récit érotique écrit par Raba [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Raba ont reçu un total de 22 239 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 117 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Biberonnage et gorge profonde
Tout était conforme à ses explications.
Le portail métallique, blanc, l'allée latérale qui donnait accès à l'arrière de la maison et l'escalier, en colimaçon, qui menait au deuxième étage.
Je montais les marches, lentement, les photos qu'il m'avait partagées défilaient dans ma tête. Ma queue était gonflée depuis le début de mon trajet et grossissait encore pendant mon ascension. Je savais aussi que je ne verrai pas son visage, sa notoriété locale nous imposait cette contrariété. Le butde ma visite était tout autre...
La porte en haut de l'escalier était entrouverte. Un quart de seconde d'hésitation, mélange de doute et d'excitation, et je franchis le seuil. Je refermai la porte comme il me l'avait indiqué. Une petite entrée, obscure, donnait accès à l'endroit où il m'attendait. La pièce était peu éclairée, mais il était là, installé dans un large fauteuil noir, nu, le visage masqué par une cagoule. Ses yeux brillaient dans la pénombre. Son corps, sculpté par le sport, arborait une toison sombre. Les photos ne mentaient pas. Des poils couvraient son torse, son ventre, ses avant-bras musclés, ses cuisses puissantes. Il transpirait la virilité triomphante, accentuée par le harnais de cuir qui magnifiait ses pectoraux. Entre ses cuisses écartées, sa queue, épaisse, veineuse, reposait sur deux grosses couilles lisses. Le contraste entre la blancheur de son volumineux paquet et le reste de son corps était saisissant. Ma propre queue palpitait, toujours emprisonnée dans mon jean. Je phantasmais depuis trois jours sur lui et il était là, comme je l'avais admiré en photo, si proche et si désirable. Ma température augmenta d'un coup et ce n'était pas la chaleur de la pièce qui en était responsable. Il me sourit. "Avance" me dit-il. Quelle voix! J'en frissonnai presque. Je fis trois pas vers lui, comme convenu. Il était temps de me dévêtir. Il m'avait communiqué quelques consignes simples pour le début de notre rencontre. Debout face à lui, je fis tomber, parfois maladroitement, troublé et excité comme je l'étais, mes vêtements. Une fois nu, je m'approchais à quatre pattes vers l'objet de ma convoitise. J'étais comme fasciné. Mon regard fixait son entrejambe, admirant le relief apparent du gland partiellement recouvert. Je devais avancer lentement. La distance était courte. Je perçus un léger gonflement de sa tige et une perle s'écoula du méat. Il m'avait prévenu, il mouillait beaucoup. Et j'adore ça ! Comme je posai mon menton sur le bord du fauteuil, il saisit sa queue, écrasant légèrement son bout. "Un amuse-bouche" annonça-t-il, faisant poindre le précieux liquide. Je pointais ma langue et recueillit avec délicatesse le présent qu'il m'offrait. Sous ma caresse, son sexe s'étira, libérant de nouveau le nectar dont je me régalai.
Il saisit alors ma tête à deux mains, l'enfouit dans sa toison pubienne, caressant mes cheveux. J'inhalais goulûment ses bonnes odeurs de mâle, amplifiant bruyamment ma respiration, pour exprimer mon plaisir. "T'aimes ça, on dirait". J'acquiesçais de la tête. Je n'avais pas l'autorisation de parler, cela faisait partie du deal. Je sentais contre mon cou, sa bite qui durcissait, gonflait et libérait sa mouille abondante. Libérant une de ses mains, il agrippa mon téton droit, l'excitant, le pinçant, entraînant mes gémissements qui l'incitaient à poursuivre. Ma tête bouillait, j'emplissais mes poumons de son parfum viril, ses poils chatouillaient mes lèvres et ma langue. Le jeu se poursuivit un moment...
Abandonnant mon téton endolori, il repoussa ma tête. Je pus comtempler sa queue charnue, déployée dans toute sa majesté. Le gland luisait, inondé de mouille, de la taille d'un petit abricot. "Vas-y" pousuivit-il, "elle est toute à toi!"Je n'avais pas besoin de plus d'encouragement. J'étais venu pour ça ! Je voulais d'abord la déguster, la savourer, cette superbe bite qu'il m'offrait.
J'approchai mes lèvres ouvertes, glissant son gland humide entre elles. Ma langue s'activa, léchant, suçant, son gros bout qui emplissait ma bouche. Je tétais aussi, alternant mes caresses buccales au gré de mes envies, glissant ma langue à l'entrée du méat, me gavant de sa mouille, qui s'écoulait de façon continue, encouragé par son souffle qui s'accentuait et sa main qui caressait ma nuque. J'étais bien décidé à l'avaler en entier sa volumineuse queue, je m'en savais capable ! Il fallait juste me laisser un peu de temps. Son gland palpitait sous mes assauts, décuplant mon appétit. J'ouvris plus largement mes lèvres et entrepris de l'engloutir.
Petit à petit, appréciant chaque centimètre que j'avalais, ma gorge fut bientôt comblée par son membre charnu. Epaisse et bien dressée, sa bite gardait une certaine souplesse qui facilitait l'introduction. Ce premier essai, bien qu'infructueux, m'assurait de ma prochaine victoire. Il retira sa queue, jouant avec ses doigts qu'il glissait dans ma gorge. Des filets de bave couvraient mon menton. "T'es une sacrée suceuse, toi... une téteuse de première ! On va prendre le temps de s'amuser un peu, tous les deux". Je ne pouvais rien répondre, ses doigts pénétraient ma bouche et d'ailleurs je n'en avais toujours pas le droit.
Il décida ensuite de se lever, m'allongea au sol, sur le dos en ayant pris soin de glisser un petit coussin sous ma tête. Debout au dessus de moi, les pieds calés sous mes aisselles, empêchant le service de mes bras, il me dominait de toute sa puissance. La vue était splendide. Il branlait doucement sa grosse tige, faisant rouler dans son autre main ses lourdes burnes glabres. Ses yeux fixaient mon visage. "T'aimes c'que tu vois?... Je l'sais, je l'sens...". Il avait à peine fini sa phrase, qu'il se retourna. Assurant sa stabilité en écartant les pieds, je le vis s'accroupir, écarter ses globes fessiers à deux mains. La vision furtive de sa raie velue masquant une rondelle brune m'électrisa. "Régale toi" ajouta-t-il en écrasant son cul sur ma bouche. Une odeur musquée envahit ma tête, je plongeai ma langue dans sa forêt de poils à la recherche de son trou. Ses lourdes couilles couvraient mon cou, je transpirais rapidement.
L'excitation et la moiteur de l'endroit... Comme je léchais son derrière avec avidité, il s'intéressa de nouveau à mes tétons. Il savait y faire, l'animal.
Je gémissais sous ses caresses viriles, m'appliquant aussi à assouplir sa rondelle de la langue. Je voulais qu'elle l'encule! Il venait de modifier le "programme" pour mon plus grand plaisir. Lui aussi savourait. Par de légers mouvements du bassin, il frottait son trou sur ma bouche, et je sentais l'orifice se détendre... Quand ma langue pénétra sa rondelle, il saisit ma nuque, bloquant toute échappatoire. J'étouffais presque, mais quel pied de bouffer l'oeillet de ce superbe mâle. Comme je peinais vraiment à respirer, il lâcha son emprise, se retourna brusquement pour plonger sa langue au plus profond de ma bouche.
J'avais le visage couvert de bave et de transpiration. Des poils de barbe, échappés de sa cagoule, irritaient mes lèvres alors qu'il tétait ma langue, comme avide des odeurs de son trou.
Après une courte pause, pour nous désaltérer, il reprit sa place dans le fauteuil. "Viens" m'ordonna-t-il. Il avait partiellement débandé, mais l'engin gardait une taille plus que respectable. Son gland etait luisant de mouille. Rien de tel pour ranimer mes ardeurs. Je léchai consciencieusement, par petits ou grands coups de langue, succion des lèvres. La bite gonflait, retrouvant peu à peu son ampleur enivrante. Je repris l'introduction, savourant comme j'aime le faire, chaque nouveau centimètre englouti. Je ne voulais pas l'avaler tout de suite, juste prendre mon temps pour jouir pleinement de sa queue. Il me laissait faire, je savais à son souffle qu'il appréciait mes attentions et de temps à autre un "ouiiii" s'échappait de sa bouche. J'étais sur la bonne voie. Après de nombreux allers-retours où j'enfournais son gros manche plus ou moins loin dans ma gorge, je me sentis près à le gober tout entier. J'agrippai ses burnes dans une main, me relevai légèrement. Rien que l'idée de l'engloutir, de sentir enfin ses poils pubiens contre mon nez, me rendait fou. Avec encore plus de lenteur qu'auparavant, je remontais mes lèvres vers la base de sa queue. D'abord le gland, que je pris plaisir à téter, puis le reste de son membre, petit à petit, envahit ma gorge. Je respirais bruyamment, les narines dilatées, goûtant la pénétration de plus en plus profonde... Finalement bloquant mon souffle, j'avalais les derniers centimètres... Je butai sur son pubis velu. Un "ohh" de plaisir accompagna ma victoire. Il caressait gentiment mon crâne. Je restai accroché à sa queue aussi longtemps que je le pus. Je retirai ma tête, pris le temps d'une profonde inspiration et renouvelai l'opération. Une fois, deux fois, trois fois, ... Le sentir s'exciter sous mon savant biberonnage entretenait mon propre plaisir. Sa tension montait graduellement. Ma bave ruisselait, inondant mon menton, mon cou, sa bite et ses boules que je sentais palpiter dans ma main. Le divin nectar qui viendrait récompenser mes caresses. Après une dernière intromission totale, il reprit les choses en main, bloquant ma tête contre son bas-ventre alors que sa queue était enfoncée dans ma gorge. Il me libérait quand mon souffle manquait, dégageait les centimètres me permettant de respirer à nouveau, puis replongeait au plus profond. Il me baisait la gorge et j'adorais ça. Je dégoulinais de bave... Le jeu se poursuivit. Il haletait de plus en plus, sa jouissance était proche. L'amplitude de la pénétration buccale diminuait petit à petit alors que son rythme s'accélérait. Il m'annonça soudain, dans un souffle "je vais te gaver". Et je sentis aussitôt son jus chaud et épais qui inondait ma bouche. Quatre ou cinq grosses giclées. Je saisis à mon tour ma queue et je crachai abondamment, arrosant le sol et une partie du fauteuil.
Il avait laissé sa tige dans ma bouche. Nous avions convenu d'un nettoyage en règle! "Avale" me lança-t-il alors qu'il commençait à se détendre. Je dégustai son foutre, légèrement sucré, puis m'appliquai à nettoyer sa tige. Elle dégonflait lentement et j'avais beaucoup de mal à la quitter. Finalement il me tendit une serviette et je pus sommairement m'essuyer. "T'inquiètes pas" me dit-il, "on se reverra!"...
Le portail métallique, blanc, l'allée latérale qui donnait accès à l'arrière de la maison et l'escalier, en colimaçon, qui menait au deuxième étage.
Je montais les marches, lentement, les photos qu'il m'avait partagées défilaient dans ma tête. Ma queue était gonflée depuis le début de mon trajet et grossissait encore pendant mon ascension. Je savais aussi que je ne verrai pas son visage, sa notoriété locale nous imposait cette contrariété. Le butde ma visite était tout autre...
La porte en haut de l'escalier était entrouverte. Un quart de seconde d'hésitation, mélange de doute et d'excitation, et je franchis le seuil. Je refermai la porte comme il me l'avait indiqué. Une petite entrée, obscure, donnait accès à l'endroit où il m'attendait. La pièce était peu éclairée, mais il était là, installé dans un large fauteuil noir, nu, le visage masqué par une cagoule. Ses yeux brillaient dans la pénombre. Son corps, sculpté par le sport, arborait une toison sombre. Les photos ne mentaient pas. Des poils couvraient son torse, son ventre, ses avant-bras musclés, ses cuisses puissantes. Il transpirait la virilité triomphante, accentuée par le harnais de cuir qui magnifiait ses pectoraux. Entre ses cuisses écartées, sa queue, épaisse, veineuse, reposait sur deux grosses couilles lisses. Le contraste entre la blancheur de son volumineux paquet et le reste de son corps était saisissant. Ma propre queue palpitait, toujours emprisonnée dans mon jean. Je phantasmais depuis trois jours sur lui et il était là, comme je l'avais admiré en photo, si proche et si désirable. Ma température augmenta d'un coup et ce n'était pas la chaleur de la pièce qui en était responsable. Il me sourit. "Avance" me dit-il. Quelle voix! J'en frissonnai presque. Je fis trois pas vers lui, comme convenu. Il était temps de me dévêtir. Il m'avait communiqué quelques consignes simples pour le début de notre rencontre. Debout face à lui, je fis tomber, parfois maladroitement, troublé et excité comme je l'étais, mes vêtements. Une fois nu, je m'approchais à quatre pattes vers l'objet de ma convoitise. J'étais comme fasciné. Mon regard fixait son entrejambe, admirant le relief apparent du gland partiellement recouvert. Je devais avancer lentement. La distance était courte. Je perçus un léger gonflement de sa tige et une perle s'écoula du méat. Il m'avait prévenu, il mouillait beaucoup. Et j'adore ça ! Comme je posai mon menton sur le bord du fauteuil, il saisit sa queue, écrasant légèrement son bout. "Un amuse-bouche" annonça-t-il, faisant poindre le précieux liquide. Je pointais ma langue et recueillit avec délicatesse le présent qu'il m'offrait. Sous ma caresse, son sexe s'étira, libérant de nouveau le nectar dont je me régalai.
Il saisit alors ma tête à deux mains, l'enfouit dans sa toison pubienne, caressant mes cheveux. J'inhalais goulûment ses bonnes odeurs de mâle, amplifiant bruyamment ma respiration, pour exprimer mon plaisir. "T'aimes ça, on dirait". J'acquiesçais de la tête. Je n'avais pas l'autorisation de parler, cela faisait partie du deal. Je sentais contre mon cou, sa bite qui durcissait, gonflait et libérait sa mouille abondante. Libérant une de ses mains, il agrippa mon téton droit, l'excitant, le pinçant, entraînant mes gémissements qui l'incitaient à poursuivre. Ma tête bouillait, j'emplissais mes poumons de son parfum viril, ses poils chatouillaient mes lèvres et ma langue. Le jeu se poursuivit un moment...
Abandonnant mon téton endolori, il repoussa ma tête. Je pus comtempler sa queue charnue, déployée dans toute sa majesté. Le gland luisait, inondé de mouille, de la taille d'un petit abricot. "Vas-y" pousuivit-il, "elle est toute à toi!"Je n'avais pas besoin de plus d'encouragement. J'étais venu pour ça ! Je voulais d'abord la déguster, la savourer, cette superbe bite qu'il m'offrait.
J'approchai mes lèvres ouvertes, glissant son gland humide entre elles. Ma langue s'activa, léchant, suçant, son gros bout qui emplissait ma bouche. Je tétais aussi, alternant mes caresses buccales au gré de mes envies, glissant ma langue à l'entrée du méat, me gavant de sa mouille, qui s'écoulait de façon continue, encouragé par son souffle qui s'accentuait et sa main qui caressait ma nuque. J'étais bien décidé à l'avaler en entier sa volumineuse queue, je m'en savais capable ! Il fallait juste me laisser un peu de temps. Son gland palpitait sous mes assauts, décuplant mon appétit. J'ouvris plus largement mes lèvres et entrepris de l'engloutir.
Petit à petit, appréciant chaque centimètre que j'avalais, ma gorge fut bientôt comblée par son membre charnu. Epaisse et bien dressée, sa bite gardait une certaine souplesse qui facilitait l'introduction. Ce premier essai, bien qu'infructueux, m'assurait de ma prochaine victoire. Il retira sa queue, jouant avec ses doigts qu'il glissait dans ma gorge. Des filets de bave couvraient mon menton. "T'es une sacrée suceuse, toi... une téteuse de première ! On va prendre le temps de s'amuser un peu, tous les deux". Je ne pouvais rien répondre, ses doigts pénétraient ma bouche et d'ailleurs je n'en avais toujours pas le droit.
Il décida ensuite de se lever, m'allongea au sol, sur le dos en ayant pris soin de glisser un petit coussin sous ma tête. Debout au dessus de moi, les pieds calés sous mes aisselles, empêchant le service de mes bras, il me dominait de toute sa puissance. La vue était splendide. Il branlait doucement sa grosse tige, faisant rouler dans son autre main ses lourdes burnes glabres. Ses yeux fixaient mon visage. "T'aimes c'que tu vois?... Je l'sais, je l'sens...". Il avait à peine fini sa phrase, qu'il se retourna. Assurant sa stabilité en écartant les pieds, je le vis s'accroupir, écarter ses globes fessiers à deux mains. La vision furtive de sa raie velue masquant une rondelle brune m'électrisa. "Régale toi" ajouta-t-il en écrasant son cul sur ma bouche. Une odeur musquée envahit ma tête, je plongeai ma langue dans sa forêt de poils à la recherche de son trou. Ses lourdes couilles couvraient mon cou, je transpirais rapidement.
L'excitation et la moiteur de l'endroit... Comme je léchais son derrière avec avidité, il s'intéressa de nouveau à mes tétons. Il savait y faire, l'animal.
Je gémissais sous ses caresses viriles, m'appliquant aussi à assouplir sa rondelle de la langue. Je voulais qu'elle l'encule! Il venait de modifier le "programme" pour mon plus grand plaisir. Lui aussi savourait. Par de légers mouvements du bassin, il frottait son trou sur ma bouche, et je sentais l'orifice se détendre... Quand ma langue pénétra sa rondelle, il saisit ma nuque, bloquant toute échappatoire. J'étouffais presque, mais quel pied de bouffer l'oeillet de ce superbe mâle. Comme je peinais vraiment à respirer, il lâcha son emprise, se retourna brusquement pour plonger sa langue au plus profond de ma bouche.
J'avais le visage couvert de bave et de transpiration. Des poils de barbe, échappés de sa cagoule, irritaient mes lèvres alors qu'il tétait ma langue, comme avide des odeurs de son trou.
Après une courte pause, pour nous désaltérer, il reprit sa place dans le fauteuil. "Viens" m'ordonna-t-il. Il avait partiellement débandé, mais l'engin gardait une taille plus que respectable. Son gland etait luisant de mouille. Rien de tel pour ranimer mes ardeurs. Je léchai consciencieusement, par petits ou grands coups de langue, succion des lèvres. La bite gonflait, retrouvant peu à peu son ampleur enivrante. Je repris l'introduction, savourant comme j'aime le faire, chaque nouveau centimètre englouti. Je ne voulais pas l'avaler tout de suite, juste prendre mon temps pour jouir pleinement de sa queue. Il me laissait faire, je savais à son souffle qu'il appréciait mes attentions et de temps à autre un "ouiiii" s'échappait de sa bouche. J'étais sur la bonne voie. Après de nombreux allers-retours où j'enfournais son gros manche plus ou moins loin dans ma gorge, je me sentis près à le gober tout entier. J'agrippai ses burnes dans une main, me relevai légèrement. Rien que l'idée de l'engloutir, de sentir enfin ses poils pubiens contre mon nez, me rendait fou. Avec encore plus de lenteur qu'auparavant, je remontais mes lèvres vers la base de sa queue. D'abord le gland, que je pris plaisir à téter, puis le reste de son membre, petit à petit, envahit ma gorge. Je respirais bruyamment, les narines dilatées, goûtant la pénétration de plus en plus profonde... Finalement bloquant mon souffle, j'avalais les derniers centimètres... Je butai sur son pubis velu. Un "ohh" de plaisir accompagna ma victoire. Il caressait gentiment mon crâne. Je restai accroché à sa queue aussi longtemps que je le pus. Je retirai ma tête, pris le temps d'une profonde inspiration et renouvelai l'opération. Une fois, deux fois, trois fois, ... Le sentir s'exciter sous mon savant biberonnage entretenait mon propre plaisir. Sa tension montait graduellement. Ma bave ruisselait, inondant mon menton, mon cou, sa bite et ses boules que je sentais palpiter dans ma main. Le divin nectar qui viendrait récompenser mes caresses. Après une dernière intromission totale, il reprit les choses en main, bloquant ma tête contre son bas-ventre alors que sa queue était enfoncée dans ma gorge. Il me libérait quand mon souffle manquait, dégageait les centimètres me permettant de respirer à nouveau, puis replongeait au plus profond. Il me baisait la gorge et j'adorais ça. Je dégoulinais de bave... Le jeu se poursuivit. Il haletait de plus en plus, sa jouissance était proche. L'amplitude de la pénétration buccale diminuait petit à petit alors que son rythme s'accélérait. Il m'annonça soudain, dans un souffle "je vais te gaver". Et je sentis aussitôt son jus chaud et épais qui inondait ma bouche. Quatre ou cinq grosses giclées. Je saisis à mon tour ma queue et je crachai abondamment, arrosant le sol et une partie du fauteuil.
Il avait laissé sa tige dans ma bouche. Nous avions convenu d'un nettoyage en règle! "Avale" me lança-t-il alors qu'il commençait à se détendre. Je dégustai son foutre, légèrement sucré, puis m'appliquai à nettoyer sa tige. Elle dégonflait lentement et j'avais beaucoup de mal à la quitter. Finalement il me tendit une serviette et je pus sommairement m'essuyer. "T'inquiètes pas" me dit-il, "on se reverra!"...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Raba
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...