Nico - Dépucelage de Fred (1)
Récit érotique écrit par Raba [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nico - Dépucelage de Fred (1)
Comme souvent à cette période de l'année, je passais quelques jours sur la côte atlantique. L'océan, le soleil et la nudité, rien de mieux pour conclure la période estivale. La plage que j'avais l'habitude de fréquenter, offrait à mes désirs sexuels toute la liberté de s'exprimer, des hommmes, pour tous les goûts, chauds et disponibles. Ce jour-là, après plusieurs bains, je me sentais d'un appétit féroce, j'avais envie de nouveauté. Je déambulais au bord de la dune, endroit idéal pour trouver mon prochain partenaire. Je pouvais voir et être vu aussi bien des locataires de la plage que des "habitants" de la dune. Dame Nature m'ayant pourvu d'attributs généreux, j'aime montrer mon corps que j'entretiens assidument en pratiquant plusieurs sports. Un brin exhib, j'en conviens. Mon premier passage me permit de faire quelques repérages. Mais rien qui sorte de l'ordinaire. Je voulais, absolument, de la nouveauté!
Et puis je l'ai vu, allongé au bord de la dune sur une serviette bleue. Un visage quasi angélique, des lèvres que j'imaginais aisément autour de ma queue, un corps fin et musclé et une paire de fesses, rondes, dodues et blanches qui n'avaient jamais dû voir le soleil. Jeune, certes. A peine 20 ans. Mais il n'était sûrement pas là par hasard, seul à priori et exhibant son joli cul aux regards des estivants. Son âge était dissuasif mais j'avais envie d'innovation. La proie idéale, mignon à croquer, et mon instinct me disait qu'il possédait des qualités, celles que je cherche, à laisser émerger. Dans le cas contraire, à cet âge-là, on jouit vite!
Je passai à plusieurs reprises devant lui, essayant de ne pas trop l'effrayer. Je savais qu'il m'avait remarqué sans oser le manifester, une rougeur au visage qui n'était pas due au soleil.
Timide, sans aucun doute. Qui ne le serait pas, à cet âge, en pareilles circonstances? Je profitai du moment où nos regards se croisèrent pour lui adresser mon plus beau sourire y ajoutant un léger signe de tête pour l'inciter à me suivre. Je fis quelques pas en m'éloignant. Il n'avait pas bougé. D'un pas assuré, je me dirigeai vers lui. Accroupi à ses cotés je le gratifiai d'un "bonjour mignon" qu'il méritait amplement et lui demandai s'il avait envie de me suivre. Pas besoin de plus d'explications, il savait bien pourquoi il était là. Embarrassé et plutôt hésitant, il répondit favorablement et me fit comprendre qu'il bandait et n'osait pas bouger dans cet état. Je souris intérieurement et trouvai illico une solution. "Mets ta serviette autour de la taille. Je passe devant, tu n'as qu'à m'suivre". Je partis à la recherche d'un endroit isolé, m'assurant régulièrement qu'il me suivait. Je connaissais un lieu peu fréquenté. L'endroit idéal pour m'amuser avec ce beau jeune homme au cul tout rond qui m'excitait. Je décidai de laisser faire les choses. J'avais mis mon pote Fabien au courant de mon escapade, il avait apprécié mon choix... On verrait bien. Chaque chose en son temps!
Arrivé à destination, je me retournai vers lui, souriant. Il approchait timide, me rendant maladroitement mon sourire. Son malaise apparent aiguisait mes instincts de chasseur. Je l'attirai à moi, désireux de goûter ses lèvres charnues. Il accueillit ma langue, docile. Je dévorai sa bouche avec avidité, douceur aussi pour ne pas l'effrayer. Sa petite tige, toujours prisonnière de son drap de bain, palpitait contre moi, m'indiquant qu'il appéciait. Collés l'un contre l'autre, mes mains partirent à la découverte de son dos. Sa peau était douce, lisse et chaude. Je dégageai la serviette d'un geste pour apprécier la rondeur et la fermeté de son cul. Son sexe bandé frottait mes cuisses ou mes couillles. Il m'excitait ce jeune. Je lui donnai quelques conseils pour profiter de nos baisers, le complimentai sur son corps, son postérieur et sur sa queue, raide depuis qu'il avait quitté le bord de la dune. A cet âge, on bande pour un rien. Sa queue me plaisait, de taille moyenne, circoncice et très harmonieuse. Mignon, tout l'était chez lui. J'avais bien choisi son prénom! J'étais sûr qu'il était puceau et passif même s'il ne le savait pas encore...
Ses mains, hésitantes, caressaient mon ventre, mon torse, délicates et maladroites, curieuses malgré tout. Et stimulantes. Je léchais abondamment son visage angélique, multipliais mes baisers. Il apprenait vite. Sa bouche avide y participait pleinement et nos jeux de langues s'intensifiaient. Je le testais discrètement, emplissant sa bouche de salive qu'il partageait ou avalait sans manifester d'opposition. Excellent point pour lui. Mais j'en voulais plus, beaucoup plus...
Je savais, sans que rien n'ait été dit, que c'était sa première fois. Cette idée et nos ébats débutants faisaient gonfler ma queue. Elle se déployait, tranquillement, fière et conquérante. Il fallait qu'il y goûte. A coup sûr il apprendrait vite. Je posai mes mains sur ses épaules, imprégnant une légère pression. Sans un mot, docile, il se retrouva à genoux sur le sable. J'imaginais déjà ses lèvres distendues sur ma tige. Cette vision et son attente à mes pieds termina l'expansion de ma queue et déjà la mouille s'échappait, lubrifiant mon gros gland. "Tu peux y goûter, mignon. Ca va t'plaire". Il pointa sa langue et recueillit le liquide sans hésitation. Surprenant. Et prometteur. Agrippé à mes cuisses, il fit courir sa langue et ses lèvres sur mon sexe. Son inexpérience, son application et son envie me troublaient au-delà de ce que j'aurais voulu. "Maintenant, mignon, tu peux la prendre en bouche. Fais bien attention à tes dents, elle est sensible la bête!". C'est ainsi que je nomme ma queue, souvenir d'un ami-amant passionné. Il ouvrit sa bouche en grand et engloutit le gland. Je le conseillai à nouveau pour qu'il puisse apprécier la situation et me satisfaire, pour qu'il en gobe le plus possible. Mater sa bouche dilatée par la bête était un pur bonheur. Je voyais les efforts et l'attention qu'il mettait à sa dégustation.
Si c'était une première, il était plutôt doué! Je l'encourageais, lui disant comme sa bouche était bonne, combien il me surprenait et m'excitait. Je glissai ma main gauche derrière sa nuque et amorçai quelques légers va-et-vient. Sagement il se laissait faire. Sa petite queue toujours dressée manifestait son plaisir. Buttant une première fois au fond de sa gorge, une brève nausée se manifesta mais il conserva la bête en bouche. Je ne lui laissais pas le choix. Il ne se rebella pas non plus... Une bonne téteuse en devenir, mon intuition ne m'avait pas trompé. Je titillais ses mamelons plats, une habitude, tout en poursuivant le remplissage de sa bouche. Il aimait ça. Je savourais sa bouche chaude, humide, d'où la bave s'écoulait, lubrifiant sa gorge pour faciliter le passage. "T'es gourmand, mignon...". Il ne pouvait répondre bien sûr. Prenant plaisir à engloutir ma queue au mieux de ses capacités, mon excitation s'amplifiait. Désirant le tester, j'ajoutai peu après "Gourmand, mignon... comme une petite femelle en chaleur!". Ses mots, murmurés, eurent un effet immédiat et inattendu. Il se mit à jouir sans même se toucher. J'avais visé juste.
Je l'aidai à se redresser et plongeais ma langue dans sa bouche appréciant, et le baiser, et le goût que ma queue y avait laissé. D'une main, je descendis le long de son dos et claquai une première fois son postérieur si tentant. Il ne broncha pas. A la seconde, plus ferme, il gémit dans ma bouche. Je lui confiais combien il me surprenait. Poursuivant son apprentissage et par défi je recueillis le sperme qui maculait sa petite queue, molle pour la première fois depuis notre rencontre. "Nous allons goûter ton jus, veux-tu?". Sans attendre de réponse, je glissai un doigt dans sa bouche qu'il suça avec application, les yeux clos. Je tenais à y goûter moi aussi. Collant ma bouche à la sienne, je la fouillai de la langue savourant ce premier baiser foutreux. J'étais enchanté par cette rencontre inattendue, surpris par sa docilité, son désir d'apprendre et de me satisfaire. Il appréciait lui aussi la situation, je le savais, même s'il ne le formulait pas.
Dans mon désir de "formateur" je voulais qu'il éprouve encore plus de plaisir. Souriant, je quittai mes lunettes de soleil lui disant qu'il me plaisait beaucoup. Les mots m'avaient échappé mais c'était dit. A mon grand étonnement il marmonna un "Merci, toi aussi". Je l'attirai vers moi, j'avais faim de sa bouche et de son corps. Je me sentais protecteur, tendre, attentionné mais aussi dominant, avide et désireux de poursuivre son apprentissage. Une multitude de scénarios vicieux se bousculaient dans ma tête.
Et puis je l'ai vu, allongé au bord de la dune sur une serviette bleue. Un visage quasi angélique, des lèvres que j'imaginais aisément autour de ma queue, un corps fin et musclé et une paire de fesses, rondes, dodues et blanches qui n'avaient jamais dû voir le soleil. Jeune, certes. A peine 20 ans. Mais il n'était sûrement pas là par hasard, seul à priori et exhibant son joli cul aux regards des estivants. Son âge était dissuasif mais j'avais envie d'innovation. La proie idéale, mignon à croquer, et mon instinct me disait qu'il possédait des qualités, celles que je cherche, à laisser émerger. Dans le cas contraire, à cet âge-là, on jouit vite!
Je passai à plusieurs reprises devant lui, essayant de ne pas trop l'effrayer. Je savais qu'il m'avait remarqué sans oser le manifester, une rougeur au visage qui n'était pas due au soleil.
Timide, sans aucun doute. Qui ne le serait pas, à cet âge, en pareilles circonstances? Je profitai du moment où nos regards se croisèrent pour lui adresser mon plus beau sourire y ajoutant un léger signe de tête pour l'inciter à me suivre. Je fis quelques pas en m'éloignant. Il n'avait pas bougé. D'un pas assuré, je me dirigeai vers lui. Accroupi à ses cotés je le gratifiai d'un "bonjour mignon" qu'il méritait amplement et lui demandai s'il avait envie de me suivre. Pas besoin de plus d'explications, il savait bien pourquoi il était là. Embarrassé et plutôt hésitant, il répondit favorablement et me fit comprendre qu'il bandait et n'osait pas bouger dans cet état. Je souris intérieurement et trouvai illico une solution. "Mets ta serviette autour de la taille. Je passe devant, tu n'as qu'à m'suivre". Je partis à la recherche d'un endroit isolé, m'assurant régulièrement qu'il me suivait. Je connaissais un lieu peu fréquenté. L'endroit idéal pour m'amuser avec ce beau jeune homme au cul tout rond qui m'excitait. Je décidai de laisser faire les choses. J'avais mis mon pote Fabien au courant de mon escapade, il avait apprécié mon choix... On verrait bien. Chaque chose en son temps!
Arrivé à destination, je me retournai vers lui, souriant. Il approchait timide, me rendant maladroitement mon sourire. Son malaise apparent aiguisait mes instincts de chasseur. Je l'attirai à moi, désireux de goûter ses lèvres charnues. Il accueillit ma langue, docile. Je dévorai sa bouche avec avidité, douceur aussi pour ne pas l'effrayer. Sa petite tige, toujours prisonnière de son drap de bain, palpitait contre moi, m'indiquant qu'il appéciait. Collés l'un contre l'autre, mes mains partirent à la découverte de son dos. Sa peau était douce, lisse et chaude. Je dégageai la serviette d'un geste pour apprécier la rondeur et la fermeté de son cul. Son sexe bandé frottait mes cuisses ou mes couillles. Il m'excitait ce jeune. Je lui donnai quelques conseils pour profiter de nos baisers, le complimentai sur son corps, son postérieur et sur sa queue, raide depuis qu'il avait quitté le bord de la dune. A cet âge, on bande pour un rien. Sa queue me plaisait, de taille moyenne, circoncice et très harmonieuse. Mignon, tout l'était chez lui. J'avais bien choisi son prénom! J'étais sûr qu'il était puceau et passif même s'il ne le savait pas encore...
Ses mains, hésitantes, caressaient mon ventre, mon torse, délicates et maladroites, curieuses malgré tout. Et stimulantes. Je léchais abondamment son visage angélique, multipliais mes baisers. Il apprenait vite. Sa bouche avide y participait pleinement et nos jeux de langues s'intensifiaient. Je le testais discrètement, emplissant sa bouche de salive qu'il partageait ou avalait sans manifester d'opposition. Excellent point pour lui. Mais j'en voulais plus, beaucoup plus...
Je savais, sans que rien n'ait été dit, que c'était sa première fois. Cette idée et nos ébats débutants faisaient gonfler ma queue. Elle se déployait, tranquillement, fière et conquérante. Il fallait qu'il y goûte. A coup sûr il apprendrait vite. Je posai mes mains sur ses épaules, imprégnant une légère pression. Sans un mot, docile, il se retrouva à genoux sur le sable. J'imaginais déjà ses lèvres distendues sur ma tige. Cette vision et son attente à mes pieds termina l'expansion de ma queue et déjà la mouille s'échappait, lubrifiant mon gros gland. "Tu peux y goûter, mignon. Ca va t'plaire". Il pointa sa langue et recueillit le liquide sans hésitation. Surprenant. Et prometteur. Agrippé à mes cuisses, il fit courir sa langue et ses lèvres sur mon sexe. Son inexpérience, son application et son envie me troublaient au-delà de ce que j'aurais voulu. "Maintenant, mignon, tu peux la prendre en bouche. Fais bien attention à tes dents, elle est sensible la bête!". C'est ainsi que je nomme ma queue, souvenir d'un ami-amant passionné. Il ouvrit sa bouche en grand et engloutit le gland. Je le conseillai à nouveau pour qu'il puisse apprécier la situation et me satisfaire, pour qu'il en gobe le plus possible. Mater sa bouche dilatée par la bête était un pur bonheur. Je voyais les efforts et l'attention qu'il mettait à sa dégustation.
Si c'était une première, il était plutôt doué! Je l'encourageais, lui disant comme sa bouche était bonne, combien il me surprenait et m'excitait. Je glissai ma main gauche derrière sa nuque et amorçai quelques légers va-et-vient. Sagement il se laissait faire. Sa petite queue toujours dressée manifestait son plaisir. Buttant une première fois au fond de sa gorge, une brève nausée se manifesta mais il conserva la bête en bouche. Je ne lui laissais pas le choix. Il ne se rebella pas non plus... Une bonne téteuse en devenir, mon intuition ne m'avait pas trompé. Je titillais ses mamelons plats, une habitude, tout en poursuivant le remplissage de sa bouche. Il aimait ça. Je savourais sa bouche chaude, humide, d'où la bave s'écoulait, lubrifiant sa gorge pour faciliter le passage. "T'es gourmand, mignon...". Il ne pouvait répondre bien sûr. Prenant plaisir à engloutir ma queue au mieux de ses capacités, mon excitation s'amplifiait. Désirant le tester, j'ajoutai peu après "Gourmand, mignon... comme une petite femelle en chaleur!". Ses mots, murmurés, eurent un effet immédiat et inattendu. Il se mit à jouir sans même se toucher. J'avais visé juste.
Je l'aidai à se redresser et plongeais ma langue dans sa bouche appréciant, et le baiser, et le goût que ma queue y avait laissé. D'une main, je descendis le long de son dos et claquai une première fois son postérieur si tentant. Il ne broncha pas. A la seconde, plus ferme, il gémit dans ma bouche. Je lui confiais combien il me surprenait. Poursuivant son apprentissage et par défi je recueillis le sperme qui maculait sa petite queue, molle pour la première fois depuis notre rencontre. "Nous allons goûter ton jus, veux-tu?". Sans attendre de réponse, je glissai un doigt dans sa bouche qu'il suça avec application, les yeux clos. Je tenais à y goûter moi aussi. Collant ma bouche à la sienne, je la fouillai de la langue savourant ce premier baiser foutreux. J'étais enchanté par cette rencontre inattendue, surpris par sa docilité, son désir d'apprendre et de me satisfaire. Il appréciait lui aussi la situation, je le savais, même s'il ne le formulait pas.
Dans mon désir de "formateur" je voulais qu'il éprouve encore plus de plaisir. Souriant, je quittai mes lunettes de soleil lui disant qu'il me plaisait beaucoup. Les mots m'avaient échappé mais c'était dit. A mon grand étonnement il marmonna un "Merci, toi aussi". Je l'attirai vers moi, j'avais faim de sa bouche et de son corps. Je me sentais protecteur, tendre, attentionné mais aussi dominant, avide et désireux de poursuivre son apprentissage. Une multitude de scénarios vicieux se bousculaient dans ma tête.
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