Nico - Dépucelage de Fred (2) - histoire érotique

Baisers et caresses lui rendirent rapidement sa raideur. Bizarrement je me sentais fier de lui et je le lui dis. Il était temps pour moi de découvrir son cul. Poursuivant la dégustation de sa bouche et son visage, j'attrapais une fesse dans chaque main, pétrissant, caressant, claquant ce cul sublime selon mes envies. Mon jeune amant gémissait, sursautait parfois, appréciant sans rien dire la façon dont je m'occupais de son cul. La bête, malaxée entre nous, conservait sa splendeur. Alors que je léchais son cou, j'aperçus à une quinzaine de mètres un spectateur excité par nos ébats. J'allais lui demander de s'éloigner quand je reconnus Fabien. Ca changeait tout. J'allais lui offrir ce jeune cul à dépuceler. L'idée inattendue excitait mes sens et mon gland gonflé se couvrit de mouille fraiche. J'avais envisagé de le dépuceler moi-même mais l'offrir à un autre, qu'il ne verrai pas, était bien plus bandante. J'écartai son cul à deux mains, exposant sa rondelle à notre voyeur. Discrètement je lui adressai un sourire accompagné d'un geste de la main lui indiquant de s'approcher. La quarantaine sportive, Fabien astiquait de sa main droite sa belle tige dont les dimensions, sans atteindre les miennes, me semblaient idéales pour une première saillie. J'avertis mon compagnon de jeu de l'arrivée toute proche d'un autre homme, lui interdisant de se retourner, comme il tenta de le faire à cette annonce. Je l'assurai que je veillais sur lui et qu'il pouvait me faire confiance. Profitant de notre différence de taille, je me penchai sur son visage pour le couvrir de baisers. La position, idéale, le maintenait cambré, cul offert, je prenais possession de son trou. Je le voulais et le sentais femelle, pour mon plaisir et le sien.
J'étais certain qu'il prendrait son pied. Je l'informai de mon désir, ordonnant plus que demandant. Je caressais son trou de deux doigts. L'anus, légèrement boursouflé, était très sensible à mes doigts. Fabien était là, tout proche, sexe dressé, décalotté. Il joignit un doigt aux miens. Je lui laissai la place, maintenant le jeune cul écarté à deux mains. Ayant remarqué sa receptivité aux mots crus, je lui murmurais des encouragements salaces, lui dévorais sa jolie bouche à pipes. Je profitais aussi du spectacle, je n'avais qu'à me pencher légèrement vers l'avant pour mater son trou et j'incluais des commentaires à mes mots vicieux. Le doigt de Fabien est entré facilement. Attentif aux réactions de mon jeune amant, je ne notai que l'expression du plaisir. Il se mit à gémir, s'empalant bientôt de lui-même sur le doigt qui fouillait son cul. Enfoncé bien au fond, Fabien déployait tout son savoir-faire pour assouplir l'orifice et lui offrir du plaisir. J'avais vu juste, c'était bien une petite femelle en devenir! Je perçus une tension à l'arrivée d'un deuxième doigt dans son cul. Crispation vite dissipée quand ses gémissements de plaisir reprirent.
Une vraie petite salope! Notre partenaire inattendu, ou pas, je l'avais quand même informé de mes intentions, retira ses doigts, cracha dans sa main pour étaler sa bave sur la rondelle, vierge encore pour quelques instants. Le gland gonflé s'approcha alors du trou à investir. Je matais le spectacle, commentais les étapes à cet amant surprenant, le conseillais pour accueillir et et apprécier le membre dressé qui le pénétrait. La bite progressait lentement en lui. Tout se déroulait simplement, l'enculé semblait apprécier la prise de possession de son cul. Savourer même.
Il émettait depuis le passage du gland une sorte de roucoulement ténu. Dès que la queue l'emplit à fond, il se mit à jouir bruyamment. J'ai cru un instant que le dépucelage était fini, mais sa petite tige restée raide, nous encouragea à poursuivre. Je fis comprendre à Fabien qu'il pouvait poursuivre. Il déploya tout son talent! Un enculage doux et progressif pour investir la place puis une variation de rythmes, d'intensités, de profondeurs. Son souffle s'accélérant, je savais qu'il allait bientôt jouir. Comme maître du jeu, je l'autorisais à jouir dans ce cul qu'il venait de révéler. Ma demande fut rapidement exaucée, il se vida les burnes callé au fond du trou. La scène m'avait ébranlé, mes burnes pleines voulaient cracher. Laissant Fabien récupérer, je félicitai mon amant du jour, l'insultant de tous les qualificatifs que méritait ce petit enculé... J'astiquais la bête, étirais mes couilles. Le regard fixé sur la petite salope devant moi, qui n'osait pas me regarder, je jutais un lait épais, abondant, hurlant mon plaisir et inondant son torse. Fabien, ayant déculé nous quittait. J'en profitai pour glisser un doigt dans le trou dilaté, lui ordonnant de se branler. L'effet fut quasi immédiat. Pour la troisième fois il jouit. Je l'attrapais pour l'embrasser à nouveau. Mon jus étalé sur son torse vint se coller à mes poils.Je souriais, heureux et détendu, appréciant le corps de ce magnifique garçon, étonné et perplexe par ses prouesses sexuelles. J'avais envie de le revoir. Ne pas brusquer les choses, à ce moment-là en tout cas. Je lui conseillai un bain de mer salutaire dont j'avais besoin moi aussi. Il partit en premier, je devais le rejoindre rapidement.
Je l'ai cherché un bon moment souhaitant partager son bain. Il avait disparu! Le p'tit con, même pas eu le temps de programmer une suite.