Fred - Dépucelage (2) - Autobiographie romancée

- Par l'auteur HDS Raba -
Récit érotique écrit par Raba [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fred - Dépucelage (2) - Autobiographie romancée Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Fred - Dépucelage (2) - Autobiographie romancée
Ses nombreuses sollicitations sensuelles rendirent rapidement sa raideur à ma petite tige, pour le plus grand plaisir de mon partenaire. "C'est bien mignon. Je suis fier de toi". Il me plaqua contre lui. Pendant qu'il embrassait, léchait, dégustait mon visage et ma bouche, ses mains prirent possession de mon cul. Une fesse pour chaque main. Tantôt douce, tantôt ferme, de temps à autre une main claquait et je gémissais et frissonnais de plaisir. Collé contre moi je sentais sa tige gonflée accompagner d'un frémissement mes manifestations de plaisir. "Une petite femelle en chaleur, je ne suis pas trompé". Et agrippant chaque fesse, il exhibait mon trou duveteux à la nature environnante. La nature est parfois bien vivante. Alors qu'il s'apprêtait à enfourner sa langue dans ma bouche, il me souffla à l'oreille "Y'a un mec qui mate". Je voulus me retourner mais il m'en empêcha, bloquant mon visage entre ses deux mains. "Tu m'fais confiance, mignon?".
Je hochai la tête comme je pus pour acquiescer. "Ok" poursuivit-il. "Je t'interdis de te retourner". Sa bouche reprit possession de la mienne, ses mains libérèrent ma tête pour retourner à mon cul. Pétri, écarté, gentiment claqué, mon fessier s'échauffait. Plus grand que moi (je lui arrivais à "mi-visage"), il dévorait ma bouche me forçant à tenir ma tête penchée en arrière.
La position ainsi imposée, m'obligeait à me cambrer, les fesses tendues vers l'inconnu derrière moi. Et mon compagnon de jeu prenait plaisir à les maintenir à présent bien écartées. "Je te veux comme une petite femelle". Et je sentais deux doigts jouer avec mon trou. "Une petite femelle qui va faire plaisir à son mâle". Le salaud! Il savait m'exciter. Les mots étaient sussurés avec fermeté et tendresse. Je percevais derrière moi une présence de plus en plus franche. "Il est là tout près. Il mate ton cul et...il bande pour lui. J'vais lui donner". Je gémissais presqu'à chaque mot. "Le mignon baisé par un inconnu... ça a l'air de te plaire. Sois bien femelle, rien que pour moi .Je le veux!". Je hochais de nouveau la tête. "Je suis là, je veille sur toi". Il me rassurait. Je me sentais protégé, hyper excité aussi par ses gestes et ses paroles, innocent que j'étais. Je sentis alors un doigt supplémentaire sur mon trou. "Tu sens le doigt de l'homme?".
Je grognais un "ouiii". "Il va entrer en toi, dilater ta jolie p'tite rondelle". Et comme s'ils étaient tous les deux en connection, je sentis mon trou humidifié et aussitôt pénétré. Sans aucune douleur, sans résistance perceptible, malgré tout ce que j'avais pu lire à ce sujet. Je sentais l'intrus caresser l'intérieur de mon cul et cette sensation nouvelle me chavirait. "Tu aimes ça, mignon... j'en étais sûr. Et ce n'est que l'début". Ces mots, glissés à mon oreille, me rendaient fou d'excitation. Le doigt qui me fouillait, chauffait mon trou. Sans vraiment m'en rendre compte j'ai commencé à aller et venir, m'empalant sur le doigt inconnu. "C'est ça, mignon. Une bonne petite femelle, une bonne petite femelle comme je les aime. Ah, tu m'excites, tu sais!". Il alternait murmures, baisers tendres ou voraces et régulièrement plongeait par dessus mon épaule pour s'abreuver du spectacle. Ses mains agrippaient toujours mon fessier, l'écartant pour faciliter l'accès à mon trou, qu'un doigt audacieux dilatait. "Si tu voyais comme c'est beau, mignon, ce doigt planté dans ton cul". Et il revenait à ses baisers... Une nouvelle pression se fit sentir sur ma rondelle. Je fus vite informer. "Tu vas avaler un deuxième doigt, mignon gourmand. Tu vas voir comme c'est encore meilleur". La pression se fit plus forte et mon anus sollicité, accueillit un autre doigt. Dans l'innocence de mes 18 ans, j'avais l'impression d'être dilaté au maximum de ce que je pouvais supporter. L'étirement de mon trou, insolite et désagréable avec deux doigts, devint vite une source de plaisirs sous le savoir faire du doigteur inconnu. Je gémissais, couinais, ahanais, au grand bonheur de mes partenaires. Les doigts allaient et venaient ou élargissaient mon trou ou enfoncés au maximum caressaient et excitaient mon fondement offert. Divin plaisir. Je perdais tête, sentant mon cul s'échauffer, des ondes de plaisir me parcouraient. Brusquement, mon anus se retrouva vide, avec une impression de manque, d'absence... je m'étais vite habitué! J'ai entendu derrière moi, l'homme inconnu cracher à deux reprises. Sans que j'ai eu le temps d'y réflechir, il étalait sa bave sur ma rondelle frémissante. Ses deux mains ont attrapé mes hanches, suivi d'une chaude et douce pression sur mon trou baveux. "C'est le moment, mignon. Tu vas te faire baiser... et baiser bien profond. Tu vas voir le pied que tu vas prendre...". "Détend-toi et pousse doucement... oui comme ça". "Hummm, je mate ton trou qui s'ouvre... du bonheur, mignon, que du bonheur...". Je suivais ses conseils avisés, je sentais ma rondelle se dilater encore plus qu'avant, doucement, lentement. Les bords s'écartaient pour accueillir la queue de l'inconnu.
Je me sentais ouvert, offert, prêt à exploser... Un "ah" s"échappa de ma gorge quand la bite est entrée. "Ca y'est, mignon. Le gland est passé. Le plus dur est fait... le meilleur reste à venir".
"Savoure cette première queue qui t'ouvre, te dilate. Elle vient honorer ton cul...". A ma grande surprise, après un léger inconfort, j'appréciais cette sensation d'ouverture extrême de mon cul, cette tige volumineuse qui occupait toute la place. Ils avaient pris le temps et nulle douleur ne s'était fait sentir. Un dépucelage anal idéal, comme j'en avais rêvé... Puis, savamment, presque millimètre par millimètre, l'inconnu inséra son sexe. Voluptueux plaisir, exquise surprise. J'accueillais avec délice ce "monstrueux" visiteur. (N'ayant jamais vu cette première queue, c'est uniquement la sensation vécue par ma première sodomie qui me fait évoquer un monstre...). Mon bel amant poilu soufflait à mon oreille "Elle entre toute seule, mignon". "Tu vois comme c'est bon de se faire remplir". "Ca y est, la moitié est passée". "Encore un moment et tu seras un véritable enculé, mon mignon". "Hummmm, quand viendra mon tour de te faire danser sur ma queue". Ses murmures étaient pour moi comme des encouragements, chaque mot pétillait dans ma tête, accentuait mon excitation. La bite progressait, s'installait. Quand j'ai senti sur mes fesses le poil rugueux du pubis et la queue profondément ancrée en moi, j'ai joui une nouvelle fois sans me toucher. Je me sentais comblé, envahi. A mon grand étonnement, mon sexe est resté raide. Et l'enculeur a commencé un lent va-et-vient. J'étais accroché à la taille du mâle velu. Les mouvements, de quelques centimètres au début, s'amplifièrent. Le rythme variait. Le souffle dans mon dos s'accélérait. Je sentais sa queue glisser en moi, repartir dans l'autre sens à la limite de sortir, puis replonger dans mes entrailles, s'imposer à mon ventre. "Il va cracher, mignon, et tout sera pour toi". Et je l'entendis dire à mon baiseur "Il meurt d'envie que tu l'fécondes, te gêne surtout pas!". A croire qu'il n'attendait que la permission, je sentis sa queue pulser à plusieurs reprises à l'intérieur de mon cul pendant qu'il soufflait fort sur ma nuque. Le calme s'est réinstallé doucement. La bite en moi mollissait au même rythme. Mon amant velu manifestait sa satisfaction par des grognements sourds, tout en caressant mes couilles d'une main et son gland turgescent de l'autre. "Waouh, mignon, tu dépasses toutes mes espérances... d'abord p'tite femelle et p'tit enculé en si peu d'temps... Un truc pareil, ça s'arrose!". Et jaillit de sa queue gonflée à bloc, plusieurs jets, puissants et lourds qui s'écrasèrent sur moi. Fier et satisfait, il me gratifia d'un superbe sourire. "Branle toi, p'tit pédé".Et comme la queue qui venait de me dépuceler quittait mon cul, il y planta prestement un doigt. (L'enculeur nous quittait, je crois). L'effet fut quasi-immédiat et je jouis une fois encore. Je me retrouvais collé contre lui, mon torse foutreux frottait sa toison et je sentais son sexe retrouver, petit à petit, des dimensions raisonnables.
Sa langue, affamée de ma bouche, l'envahit une fois de plus. Doux, tendre et sucré, ce dernier baiser. "A l'eau, mignon. Tu vas aller nettoyer tout ça. Je t'y retrouve très vite." Je retournai sur mes pas.
J'éprouvais, de plus en plus pressant, le besoin de me laver, d'éliminer toute trace de cet épisode débridé. L'océan m'offrit cette possibilité, un peu honteux, encore excité, la tête pleine des images de ces instants, je me baignais comme pour me purifier. Je n'attendis pas le retour de l'homme velu et récupérant prestement mes affaires, je quittai l'endroit d'un pas rapide.

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