Branlette au sport Ep04 Il n'y a pas que la branlette dans le sport

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Branlette au sport Ep04 Il n'y a pas que la branlette dans le sport Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Branlette au sport Ep04 Il n'y a pas que la branlette dans le sport
Branlette au sport Ep04
Il n'y a pas que la branlette dans le sport


J'ai un peu sursauté, le contact était tellement doux, tellement léger tout d'abord que je n'ai pas compris mais quand j'ai réagi je n'ai pas bronché. Je baissais les yeux et je le voyais agir, ma queue qui était pourtant de belle taille disparaissait complètement dans sa bouche. C'était une première, j'y avait souvent pensé, j'avais souvent penser faire ça avec un mec mais je n'avais jamais osé passer à l'acte.

Vous ne le répétez pas surtout, j'avais vingt ans à l'époque, mais j'étais encore puceau.

C'était comme une caresse dont je n'aurais jamais pu deviner la douceur. Ma queue se retrouvait envelopper totalement, je sentais ses lèvres qui se déposaient sur la base de ma bite, un peu comme un anneau terriblement doux, un anneau trop grand ou une caresse infinie.

Ma queue glissait lentement dans sa bouche. Oulala, je ne vous dis pas mais si vous n'avez jamais essayé, n'attendez pas plus. C'était divin, fantastique, merveilleux.

Au moment ou son visage s'écrasait contre mon ventre, je sentais mon gland s'écraser sur quelque chose d'incroyablement doux. C'était sa glotte, le fond de sa gorge ? Je ne sais pas mais j'ai vraiment beaucoup aimé, sans même m'en rendre compte je lui caressais les cheveux, il me laissait faire et par moment j'appuyais, j'appuyais fort.

Il ne pouvait plus respirer mais moi j'aimais bien ce qu'il me faisait aussi, je m'en moquais un peu. Je ne le lâchais que quand il se débattait, et sans m'en rendre compte je finissait par l'obliger à garder ma queue dans sa bouche.

Je n'avais pas vraiment envie de le lâcher, c'était trop bon. Il ne semblait pas vraiment apprécier mais on ne va pas s'arrêter à si peu. Ou alors c'est parce que je lui tripotait les couilles un peu trop fort. Ça aussi, c'était trop marrant.

La base de son pénis était dure, il bandait, à toucher ça ne faisait aucun doute mais ses couilles, elles, pendouillaient lourdement. C'était la première fois que je tripotais des couilles qui n'étaient pas les miennes, et ça aussi j'aimais bien.

Sur ma lancée je parcourais son corps, je lui caressais le dos puis je descendais sur ses fesses. Régulièrement je revenais à ses couilles, en les malaxant je pensais à nos deux camarades Jeff et Bobby, ils devait certainement être dans le même état que lui.

Pour eux c'était nouveau, pour lui, Djimmy c'était déjà une situation normale, je me demandais seulement ce que ça faisait.

– Mais dis moi Djimmy, ça fait quoi de ne plus pouvoir bander, le plus dur à supporter …

Il relevait la tête et me regardait.

– Tu es bien sûr de vouloir parler de ça maintenant ?
– Oui OK, tu as raison …

Il continuait à me regarder.

– Tu peux continuer si te plé, c'était très bon. Lui demandais-je.

Il replongeait, de nouveau il avalait ma queue avec tendresse. Je n'osais plus appuyer sur sa tête, il semblait apprécier. Au bout d'un moment il relevait la tête.

– Et si on passait à autre chose maintenant ?

Je continuais à le caresser, j'insistais sur ses fesses et doucement je tentais d'y glisser un doigt. Il se raidissait tout de suite.

– Pas à sec, ça fait mal !

J'arrêtais en sursautant. Il me donnait alors un peu de gel.

– Vas-y avec ça, là ça glisse tout seul.

J'étais peut être encore puceau à cette époque mais pas idiot et je savais à quoi ça servait. Je lui en mettais un grosse goutte sur son petit cul et aussitôt y glissait un doigt, il gémissait de plaisir, il avait ma queue dans la bouche et un de mes doigts dans le cul, il aimait, j'y mettais un deuxième doigt, puis je les agitais vigoureusement.

Il gémissait encore plus fort, il relevait la tête et dans ses yeux je voyais le plaisir que je prodiguais. J'agitais mes doigts plus vite, je repérais sa prostate ( puceau peut être mais je me suis quand même documenté) et la tambourinais avec un doigt, puis avec les deux.

Son visage retombait sur mes genoux, il gémissait tellement qu'il ne pouvait plus me sucer.

Je continuais le traitement pendant encore un moment puis finissais par me calmer. Il relevait la tête.

– Maintenant tu m'encules !

Je n'hésitais pas une seconde, je me levais, me lubrifiais la queue, il prenait position appuyé sur le fauteuil, je me plaçais juste derrière lui. Avec la queue je lui caressais la raie du cul. Sans prévenir, je m'arrêtais juste au bon endroit et je poussais.

Il a crié, ma queue est entrée, il a crié encore, ma queue s'enfonçait d'avantage et glissait lentement. Il faisait une épouvantable grimace, il ouvrait la bouche en grand mais aucun son n'en sortait plus. Il respirait fort, on sentait qu'il devait en baver, en tout cas moi j'aimais bien.

J'étais content, je n'étais plus puceau, ce n'était pas prévu mais ce n'en était que mieux. C'était improvisé mais ça n'en était que mieux ! Je le sentais trembler entre mes bras, je m'enfonçait complètement en forçant. Ça résistait, je forçais plus fort et mon ventre s'écrasait sur ses fesses.

Je le tirais vers moi, et je poussais mon bassin contre lui. Il ne respirait plus !

Non il n'était pas mort, je vous rassure, il était juste un peu saisi. Il retrouvait sa respiration peu de temps après.

C'est au moment ou je me retirais pour lui limer le cul joyeusement qu'il a réagi. Il s'est mis à gémir de nouveau à chaque fois que mon ventre s'écrasait sur ses fesses, je me laissais aller, je devais arborer un large sourire de satisfaction et je me laissais aller.

Je m'enfonçais et me retirais de plus en plus vite et plus violent. Je me retirais totalement, marquais une pose et revenait en un mouvement rapide et violent bien à fond. Mon ventre claquait sur ses fesses et il poussait un cri. Mais il encaissait, il ne tentait pas de se dégager, il encaissait. Je recommençais.

Le plaisir montait, j'avais l'impression qu'il montait plus pour lui que pour moi, je le sentais se tortiller, je sentais sa respiration qui devenait irrégulière et de plus en plus fort.

Mais c'est moi qui ai joui en premier, enfin en premier je ne sais pas, mais j'ai joui comme un fou, j'ai éjaculé, à chaque jet je lui donnais un coup de bassin violent et sec. Il était là à genoux devant moi, je me laissais tomber sur son dos.

Moi aussi je respirais fort, je n'étais plus puceau, je me sentais bien.

Je sentais son anus qui se contractait autour de ma queue, c'était bon. Là je finissais enfin par débander, ça faisait un moment que ça durais si vous avez tout bien suivi. Ma queue ressortait d'elle même, elle prenait toujours du volume, mais était devenue toute molle. J'avais une grosse molle qui pendouillait, mes couilles en faisaient autant.

Je me laissais tomber sur le côté, il s'écroulait de l'autre côté, on se retrouvait face à face sur le tapis. Il me souriait, moi j'étais aux anges et je lui souriais.

On récupérait, on ouvrait une autre bière …

– Raconte ! Lui demandais-je. C'est quoi le plus dure quand on porte un truc pareil.
– Le plus dur c'est de le sentir tout le temps.
– C'est pas de ne pas pouvoir jouir.
– Non, ça c'est pas vraiment gênant en fait.
– Même quand tu passes ton temps à te branler.
– Même ! Rajoutait-il en rigolant.

Je restais un peu dubitatif de sa réponse, moi je pensais toujours que le plus dur c'était de ne pas éjaculer, on se sent tellement bien après. Je terminais ma boisson et me laissais aller. Je me suis réveillé en pleine nuit, j'avais un petit coussin très confortable sous ma tête, une couette sur moi et Djimmy, il était blotti contre moi, il dormait.

Voyant que la situation n'avait rien d'inquiétant, je me rendormais.

Il faisait jour quand je me réveillais, Djimmy était dans la cuisine il préparait le petit déjeuner, c'était une cuisine ouverte et je pouvais le voir. Il était toujours entièrement nu. Il remarquait que je me réveillais.

– J'aime bien me balader à poil quand je suis chez moi ! Me lançait-il. Tu viens j'ai fais des gaufres …

Je me levais, je bandais, ma queue se redressait à la verticale. Je me montrais dans cet état à mon nouvel ami.

– C'est le moment le plus dur de la journée. M'expliquait-il. Au réveil on ne contrôle rien, en plus il y a eu de la pression sur la queue et toujours au même endroit. Il faut la réajuster. Là c'est pas facile.
– Si tu veux je me couvre.
– Non, j'adore voir un mec bander. Surtout au milieu de mon appartement.
– C'est dur là ?
– Ça va mieux, ça fait un moment que je suis réveillé. Il paraît que avec le temps tu finis par trouver très agréable, même ce moment de la journée.
– Et tu vas garder le truc combien de temps ?
– Je suis un branleur, il vaut mieux que je reste sous contrôle.
– Oui mais tu vas te marier un jour.
– Je lui donnerai la clé et le contrôle sur ma sexualité, un contrôle total.
– Tu crois que tu vas facilement trouver une fille qui voudra de toi dans cet état ?
– Mais qui te parles d'une fille.

Là il m'avait cloué le bec.

– Il me faut un mec, et bien monté en plus, il me faut de la queue et de la grosse. Je pensais que tu l'avais compris.
– En fait je crois que j'ai rien compris, mais rien compris depuis cette séance d'entraînement. Mais nos amis Jeff et Bobby, ils vont garder le truc combien de temps ?
– Au moins six mois, la saison commence juste et ils ont prévu de le garder jusqu'à la fin de la saison sportive.
– J'y crois pas.
– Tu aurais vu comment ce truc m'a transformer en à peine plus d'un mois.
– J'imagine, sur le terrain, tu étais un branleur maintenant tu es presque bon.
– C'est ça rigole ! J'ai fait des progrès incroyable.
– Et les grosses bite c'est pour ton cul ?
– Tu verrais le coach à poil, il en a une belle lui aussi.
– Ah parce que le coach aussi ?
– En fait c'est comme ça qu'il m'a convaincu à garder le truc au début. Maintenant … je sais pas pourquoi je le garde … Sans doute parce que je sais que c'est bon pour moi !
– C'est bon, comment ça, c'est bon ?
– Mes performances sportives augmentent, c'est pas croyable.
– C'est pour ça que Jeff et Bobby on voulu en porter un de ces truc aussi.

Que dire d'autre pour cette première journée, on s'est quitté un peu plus tard, on se reverrait, ça c'est sûr …

Ah ! Et puis aussi il sait faire des super gaufres …


A suivre


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