Brins de laine
Récit érotique écrit par Licoorne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Brins de laine
<p>Elle m’avait prévenu : “La prochaine fois, à toi l’initiative…“. J’avais donc préparé quelques gadgets, dans la table de nuit, et même trouvé un objet ravissant, et sûrement très “fonctionnel“. A essayer. En arrivant, Mish m’inondait de paroles, comme d’habitude, et je lui répondais par abréviations, comme toujours… Il ne nous était jamais arrivé de discuter réellement… Nos rapports étaient strictement sexuels. Je trouvais cela très bien. Elle aussi, faut croire.
Je prenais son manteau, lui tendais son orangeade favorite, attendais qu’elle termine, puis la guidais, une main sur les fesses, vers la chambre qu’elle connaissais, bien sur, même si nos ébats habituels se tenaient partout dans la maison. “Mets toi à l’aise…“. Elle se déshabillait lentement, laissant apparaître épaule, puis seins, fesses, tournant sa touffe vers moi, main sur la tête pour remonter ses nichons en obus, propulsant sa motte en avant pour mieux exhiber son abricot renflé. J’admirais en silence, j’adorais redécouvrir son corps sensuel à chacune de nos rencontres. Elle me faisait bander…
Enfin nue, je jetais ma robe de chambre dans un coin, et lui tendais une petite boite : “Ouvres…“. “C’est quoi ?“. Elle tenait quatre longs fils de laines. “J’expliques : tu te couches, sur le dos, bras et jambes écartés, je t’attache pieds et poing au lit, je te fais jouir, et on baise ; si tu casses les fils, j’ai gagné, sinon, c’est toi…“. “Et on gagne quoi ?“. “Rien, on gagne, c’est tout…“. Elle s’était couchée, membres en croix, et j’avais noués les brins de laines…
J’ouvrais le tiroir de la table de nuit, en tirait une plume, et commençais à lui caresser la poitrine en grands cercles autour des nichons, ses tétons commençaient à durcir, je descendais sur son ventre vers sa touffe sombre, remontait aux lolos, effleurait les pointes gonflées, redescendait sur sa motte, griffant le haut de ses lèvres, glissait jusqu’à sa raie. Je vrillais la plume dans son abricot, l’entrouvrait, elle commençait à juter.
Posant la plume à plat sur ses lèvres, je la limais en règle, rebroussant les barbes de la plume à chaque aller, les lissant à chaque retour, son ventre s’animait, en petites ondes régulières… Je posais une main sur son nombril : “Hé ! Faut pas casser, du calme ! Et t’as rien vu !“. J’avais posé la plume, et prit un papillon vibrant dans le tiroir ; j’écartais les bords de sa vulve, découvrant son clito, je posais le papillon dessus, et tout en le maintenant de l’index, je le mettais en route. Les vibrations lui agitaient les lèvres, et j’appuyais juste assez pour qu’elles soient au maximum. Les yeux fermés, Mish ronronnait de plaisir… Sa mouille humectait le drap.
Elle restait toujours immobile, juste ce petit mouvement de bassin, haut-bas. Temps de passer à la suite.
Le papillon toujours en place sous mon doigt, je sortais cette fois un œuf vibrant (lui aussi), cylindre aux bouts juste arrondis, et doté d’un fil de “récupération“. Je commençais à lui frotter la moule, de haut en bas, vibration à fond, puis l’introduisais doucement, juste au bord, pour mieux le retirer, et le replacer ; l’œuf était de bon diamètre, et je forçais un peu à chaque fois.
Je finissais par lui mettre entièrement, ses lèvres agitées de vibrations, refermées sur le fil. En tirant un peu, je pouvais le faire réapparaître, puis disparaître à nouveau. Après quelques minutes de ce jeu, je lâchais le papillon, et de l’index poussait l’œuf un peu plus loin, pour le ressortir et le repousser encore. Le bassin de Mish était agité de soubresauts, et je sentais sur mon doigt l’étreinte de son vagin, et sur l’œuf l’aspiration qu’elle lui faisait subir… Elle allait jouir… Avant de se relâcher complètement, vagin béant, muscles détendus.
Je la laissais jouir sur l’œuf à son envie, et prenais un autre jouet dans le tiroir : un gode de bois, plus fin qu’une vraie bitte, avec un gland plus long et plus carré, avec une longue tige annelée, facile à prendre en main. Elle avait jouit, détendue, flasque… Je tirais doucement l’œuf, le faisant sortir très lentement, pour ranimer ces lèvres inertes, titillant un téton entre mes doigts. Elle se réveillait…Je sortais entièrement l’œuf et glissais le gode au bord de sa fente, juste le “gland“, pas la “tige“, en cercles lents et réguliers ; j’attendais qu’elle se resserre, pour lui faire sentir le coulissement annelé du zob de bois…
Les cercles devenaient plus petits, et elle ondulait à nouveau sous la caresse ; je lui essuyais le con avec une serviette, en asséchant l’intérieur : je voulais admirer ! Je poussais la trique d’un cran, lèvres dans le premier creux, puis dans un autre, fasciné par chatte aspirée dans le vagin, bosse après bosse ; je ne voulais pas la blesser, je l’avais enfilée de 15 bon cm, je ressortais doucement l’engin, creux après creux, admirant l’étirement de sa vulve, redevenue préhensible, elle recommençait à pomper le gode, prémices de jouissance.
Ses liens étaient toujours intacts ; je la laissais jouir encore, le manche aspiré à fond d’abricot, fendu, juteux et qui déjà reprenait du service. J’ôtais le gode, et je l’emmanchais à fond, mon gland dans les ovaires, et restais immobile, attendant ses spasmes vigoureux, rapprochés, ma bitte dans sa pompe, mon foutre dans ses boyaux, en longs jets blancs, et son extase, corps rigide, étau serré, tétanisée.
Nous avons dormis, je crois…
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Je prenais son manteau, lui tendais son orangeade favorite, attendais qu’elle termine, puis la guidais, une main sur les fesses, vers la chambre qu’elle connaissais, bien sur, même si nos ébats habituels se tenaient partout dans la maison. “Mets toi à l’aise…“. Elle se déshabillait lentement, laissant apparaître épaule, puis seins, fesses, tournant sa touffe vers moi, main sur la tête pour remonter ses nichons en obus, propulsant sa motte en avant pour mieux exhiber son abricot renflé. J’admirais en silence, j’adorais redécouvrir son corps sensuel à chacune de nos rencontres. Elle me faisait bander…
Enfin nue, je jetais ma robe de chambre dans un coin, et lui tendais une petite boite : “Ouvres…“. “C’est quoi ?“. Elle tenait quatre longs fils de laines. “J’expliques : tu te couches, sur le dos, bras et jambes écartés, je t’attache pieds et poing au lit, je te fais jouir, et on baise ; si tu casses les fils, j’ai gagné, sinon, c’est toi…“. “Et on gagne quoi ?“. “Rien, on gagne, c’est tout…“. Elle s’était couchée, membres en croix, et j’avais noués les brins de laines…
J’ouvrais le tiroir de la table de nuit, en tirait une plume, et commençais à lui caresser la poitrine en grands cercles autour des nichons, ses tétons commençaient à durcir, je descendais sur son ventre vers sa touffe sombre, remontait aux lolos, effleurait les pointes gonflées, redescendait sur sa motte, griffant le haut de ses lèvres, glissait jusqu’à sa raie. Je vrillais la plume dans son abricot, l’entrouvrait, elle commençait à juter.
Posant la plume à plat sur ses lèvres, je la limais en règle, rebroussant les barbes de la plume à chaque aller, les lissant à chaque retour, son ventre s’animait, en petites ondes régulières… Je posais une main sur son nombril : “Hé ! Faut pas casser, du calme ! Et t’as rien vu !“. J’avais posé la plume, et prit un papillon vibrant dans le tiroir ; j’écartais les bords de sa vulve, découvrant son clito, je posais le papillon dessus, et tout en le maintenant de l’index, je le mettais en route. Les vibrations lui agitaient les lèvres, et j’appuyais juste assez pour qu’elles soient au maximum. Les yeux fermés, Mish ronronnait de plaisir… Sa mouille humectait le drap.
Elle restait toujours immobile, juste ce petit mouvement de bassin, haut-bas. Temps de passer à la suite.
Le papillon toujours en place sous mon doigt, je sortais cette fois un œuf vibrant (lui aussi), cylindre aux bouts juste arrondis, et doté d’un fil de “récupération“. Je commençais à lui frotter la moule, de haut en bas, vibration à fond, puis l’introduisais doucement, juste au bord, pour mieux le retirer, et le replacer ; l’œuf était de bon diamètre, et je forçais un peu à chaque fois.
Je finissais par lui mettre entièrement, ses lèvres agitées de vibrations, refermées sur le fil. En tirant un peu, je pouvais le faire réapparaître, puis disparaître à nouveau. Après quelques minutes de ce jeu, je lâchais le papillon, et de l’index poussait l’œuf un peu plus loin, pour le ressortir et le repousser encore. Le bassin de Mish était agité de soubresauts, et je sentais sur mon doigt l’étreinte de son vagin, et sur l’œuf l’aspiration qu’elle lui faisait subir… Elle allait jouir… Avant de se relâcher complètement, vagin béant, muscles détendus.
Je la laissais jouir sur l’œuf à son envie, et prenais un autre jouet dans le tiroir : un gode de bois, plus fin qu’une vraie bitte, avec un gland plus long et plus carré, avec une longue tige annelée, facile à prendre en main. Elle avait jouit, détendue, flasque… Je tirais doucement l’œuf, le faisant sortir très lentement, pour ranimer ces lèvres inertes, titillant un téton entre mes doigts. Elle se réveillait…Je sortais entièrement l’œuf et glissais le gode au bord de sa fente, juste le “gland“, pas la “tige“, en cercles lents et réguliers ; j’attendais qu’elle se resserre, pour lui faire sentir le coulissement annelé du zob de bois…
Les cercles devenaient plus petits, et elle ondulait à nouveau sous la caresse ; je lui essuyais le con avec une serviette, en asséchant l’intérieur : je voulais admirer ! Je poussais la trique d’un cran, lèvres dans le premier creux, puis dans un autre, fasciné par chatte aspirée dans le vagin, bosse après bosse ; je ne voulais pas la blesser, je l’avais enfilée de 15 bon cm, je ressortais doucement l’engin, creux après creux, admirant l’étirement de sa vulve, redevenue préhensible, elle recommençait à pomper le gode, prémices de jouissance.
Ses liens étaient toujours intacts ; je la laissais jouir encore, le manche aspiré à fond d’abricot, fendu, juteux et qui déjà reprenait du service. J’ôtais le gode, et je l’emmanchais à fond, mon gland dans les ovaires, et restais immobile, attendant ses spasmes vigoureux, rapprochés, ma bitte dans sa pompe, mon foutre dans ses boyaux, en longs jets blancs, et son extase, corps rigide, étau serré, tétanisée.
Nous avons dormis, je crois…
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