Que du classique, rien d'exotique

- Par l'auteur HDS Licoorne -
Récit érotique écrit par Licoorne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Que du classique, rien d'exotique Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Que du classique, rien d'exotique
Quand Mish était arrivée, je m’étais littéralement jeté sur elle : “Y a urgence, là, j’ai les grosses couilles, et aujourd’hui, rien d’exotique : un soixante-neuf, une levrette et un missionnaire… Allez, hop, en piste !“. Je l’avais entraînée, stupéfaite quand même, au salon, l’avais dépoilée à la hâte, jetée ma robe de chambre dans un coin, L’attrapant aux épaules, je l’avais fait pivoter sur elle-même, admirant au passage sa plastique impeccable : un cul rond et rebondi, des reins souples, des nichons en obus, haut perchés, aux larges aréoles, décorées de tétons érectiles et déjà dressés, un ventre souple, une touffe abondante et soyeuse et un abricot rebondi, souvent juteux, véritable appel à la pine…
J’étais seulement vêtu d’une ceinture de cuir, lâche sur les hanches ; j’attrapais celle de son jean’s, et l équipais de même.
Elle fronçait le sourcil, curieuse, mais silencieuse, et je l’entraînais vers le canapé, où je m’asseyais, lui attrapais les poignets et lui faisais poser les mains en haut du dossier, face à moi. Mes genoux étaient entre ses cuisses. “C’est pas vraiment un soixante-neuf, ça… ?“. “Attends, c’est juste pour commencer : faut bien que je te chauffe un peu, avant“. Je savais parfaitement qu’elle mouillait, déjà, et ma trique bandée montrait bien mon état : c’est un imaginant le futur scénario qu’elle m’était venue…
Je la saisissais aux nichons, les tirants vers ma bouche pour les lécher, en énerver le bout, mordiller les tétins ; elle s’était tendue en avant, genoux contre les coussins, pour faciliter mes caresses… Je montais un genou entre ses cuisses, contre son con, la soulevais un peu, sur la pointes de pieds : “Ahhh !“. Elle se frottait maintenant sur ma jambe, creusant les reins, ou les arrondissant, pour augmenter l’amplitude du mouvement. Je sentais sa mouille humecter ma cuisse. J’attendais qu’elle soit bien en arrière, lâchais ses mamelles, me rentrais le cul dans les coussins, montais le genou contre sa vulve, lui écartais les lèvres des pouces… Je sentais ma rotule à son entrée… “Ho, ouiii !“.
J’attrapais la ceinture et la tirais, comme pour la pénétrer. “Ouiii, oh, ouiii… Encore, ouiii…“. Elle ondulait du bassin, se frottant intensément sur mon articulation. Allez, basta… Je baissais la jambe : “Ho, non…“, lui caressais la touffe d’une main, les lymphes de l’autre ; elle se frottait encore, geignante. Je la fourrais de l’index, lentement, progressivement, et arrivé à fond, attrapais la ceinture, tirais vers moi, lui forçant le périnée : “Ahhhh…“. Sa mouille me coulait sur le poignet, et je sentais son vagin s’étrécir autour de mon doigt : elle démarrait son premier pied.
La poussant aux nichons, je la redressais, toujours fourrée, la repoussais un peu, et me relevais. Je la faisais pivoter, doigt dans la moule, puis l’allongeais sur les coussins, à plat dos, genoux relevés, et me plaçais à son coté, penché sur son torse ; je lui mordillais les tétons, agitant mon index dans son vagin, descendais vers sa touffe et lui suçais le clito… Elle gémissait, ondulait des hanches, et je sentais sa moule se serrer encore. Il fallait ralentir, je la défourrais : “Ahhh…“. Elle projetait son cul vers ses pieds, comme pour s’enfiler encore. Passant une main entre sa cuisse et le dossier, j’empoignais sa fesse et tirais, lui élargissant la raie. De l’autre coté, mon doigt glissais entre ses sphères, lui caressant le petit trou, en appuyant bien.
Ma langue s’activait à sa chatte, léchait clito, lèvres, je lui collais mon nez dans la fente, en appuyant bien… Elle ruisselait. Je tournais mon nez sur le bord de la moule, elle défaillait, haletait, prise de tremblements incontrôlables… Elle le prenait, son premier pied. Je la laissais finir. Elle s’était relâchée, inerte, vagin béant et j’entamais maintenant mon ballet habituel : douces caresses, bisous, onglades entre cuisses et lolos, pour réveiller ses sens momentanément assoupis…
Elle s’éveillait doucement, s’étirait, souriante, elle réagissait à mes caresses, à petits mouvements souples et sensuels…
Je retournais à  son abricot, en titillais les abords, puis le bord,  pour enfin l’investir à nouveau d’une phalange…
Bien éveillée, elle m’avait attiré par la cuisse, me faisait m’agenouiller au dessus de sa tête… Rien que pour ça, je l’enfilais doucement à deux doigts, index-majeur, et commençais à la branler doucement, sur toute la longueur… Elle avait fermement saisie ma tige, à ras du gland, qu’elle avait embouché, me laissant le soin d’aller et venir dans son poing et ses lèvres. J’adorais cette branlette : en ressortant, mon gland glissais entre ses lèvres, puis se recouvrait du prépuce dans son poing, en rentrant, il se découvrait lentement, pour se rabattre derrière la couronne et glisser à nouveau entre ses lèvres…
Je poussais mes doigts bien à fond dans son trou, les agitant, ensemble ou individuellement, et je la sentais les enserrer à nouveau ; elle haletait, bouche ouverte, et je me branlais dans son poing, son sang battait fort, elle allait repartir ; je la défourrais lentement, me relevais. Son ventre était agité de tics : “Allez, on change : levrette !“. Je la levais, presque de force, me rasseyais dans le canapé, et l’installais à quatre pattes au dessus de mes cuisses, ses genoux d’un coté, ses épaules de l’autre… Elle semblait ne plus s’étonner de rien…. Je lui avais saisi un lolo, à pleine pogne, et je lui triturais ; mon autre main sur son dos s’égarait dans sa raie, mon index descendait à ses lymphes, les entrouvrait… Je la poussais sous le ventre, en dos rond, me glissais sous elle, m’extirpais des coussins…
Agenouillé à  coté de son cul, une main par derrière entre ses cuisses, je lui écartais les genoux, et lui fourrais mon pouce, bien à fond, en tournant un peu, mon index lui balayait le bouton ; de l’autre main, je lui excitais les tétons, tournais, pinçais, renfonçais dans la mamelle… Elle gémissait, s’empalait à  coups de cul sur mon pouce, et sa tête ballait ; elle allait prendre un autre pied… Je délaissais ses nichons, me plaçais  derrière ses fesses, et remplaçais le pouce par l’index : je pouvais lui tourner d’un demi tour à chaque fois, frottant ses parois, le reste de mes doigts lui excitait lèvres, clito et trou du cul. Elle jouissait, encore, longuement, me pompant le doigt à fond de vagin…
Je m’agenouillais derrière elle, lui creusait les reins du plat de la main, con ressorti et je l’enfilais, lentement, profitant de ses derniers spasmes musculaires ; je la limais doucement, guettant ses dernières pulsations… Elle avait jouit, elle s’écroulait, tête dans les coussin, cul en l’air, toujours embittée sur mon vit. Je la défourrais, et elle restait dans la même position… Je repartais à la réveiller sexuellement, j’avais mal aux couilles d’attendre, et la trique impatiente…
Très vite, elle est revenue… Je la chauffais un peu, la rendais malléables sous mes caresses : “Bon, maintenant, missionnaire !“, et je l’avais assise sur le canapé, fesse au bord des coussins, jambes tendues devant elle. “Drôle de missionnaire !“. Je m’installais entre ses jambes et la broutais avec délectation… Mes mains passaient de ses nichons à ses hanches, ses cuisses, ses lymphes, sa raie.
Elle recommençait à onduler du bide, et je lui calais juste mon petit doigt dans la fente : je voulais la resserrer à  fond, lui faire bien ressentir ensuite la grosseur de ma bitte, maintenant affamée de son cul… Je la limais, à petits mouvements rapides, agitais les phalanges : elle se resserrait, à vue… de petit doigt. Elle râlait, arquée, jambes raides, elle allait jouir à nouveau, et pour de bon, cette fois, à répétition, sans arrêt, durant plusieurs minutes, entraînant ma bitte dans un tourbillon de jouissances. Je me relevais, m’inclinais sur elle, appuyé sur un bras, je lui caressais la vulve du gland, trouvais sa fente, et l’emmanchais lentement…
Mon gland ouvrait son vagin étroit, et je poussais encore ; elle geignait, je poussais toujours ; j’arrivais à fond, mes couilles dans les coussins ; je m’appuyais du front sur son épaules, libérant mes mains, je débouclais ma ceinture, la passais dans la sienne, la rebouclais serrée : nous étions liés par la taille. Je reprenais appui des deux mains sur le dossier, cambrais les reins, la soulevant, et d’un coup de cul, je la défonçais encore… “Ahhhh…“. Je sentais son organe pulser autour de ma queue, l’enserrer divinement ; je la soulevais à nouveau, nouveau coup de cul, nouveau râle… Elle m’aspirait la queue au fond de l’utérus. Je passais ses jambes une à  la fois autour de ma taille, elle me ceinturait au dessus des fesses, et en me secouant les hanches en arrière, j’arrivais encore à échapper à son con, à mi-bitte, retenu par les ceintures, pour la limer à grand coup de cul, et la défoncer encore…
Elle arrivait en finale d’orgasme, ma queue enserrée dans ses muqueuses n’en pouvait plus… Je l’emmanchais, bien à fond, me secouant encore, pour bien lui faire sentir ma trique dominatrice, et lui crachais tout mon foutre à fond d’ovaires, jets de sève libérateurs… J’aurais voulu que cela dure toujours… Nous nous sommes effondrés, toujours l’un dans l’autre, toujours attachés, avachis le long du canapé. J’avais dû la mordre : au réveil, elle portait des traces de dents sur un sein…
                       

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