Le réveil de ma copine
Récit érotique écrit par Licoorne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le réveil de ma copine
<p> D’habitude, Mish prenait rendez vous trois, quatre jours avant. Toujours chez moi. Pour baiser. Ce coup là, elle est arrivée sans prévenir…. La mine défaite… Au bord du suicide ? Babillant, mais PAS comme d’habitude : ses parents, morts, sa copine, le bar, hier…. Ses propos, complètement décousus, sur un rythme hyper rapide, incompréhensible…
Je l’avais fait entrer, servi un verre, qu’elle n’a pas touché, PAS comme d’habitude, et son moulin à paroles, hyper…. Je n’y comprenais rien. Je l’avais assise dans mon salon, même pas dévêtue, je l’avais écoutée, essayant, PAS comme d’habitude, de la suivre… Mi-allongée sur le canapé, elle m’a fait : “Tu veux baiser ?“. “Pas vraiment…. M’as pas prévenu…“. Belle excuse, d’habitude son seul nom me fait bander comme un ours !
Elle m’a quand même dégrafé le pantalon, saisit la bitte, et…. S’est endormie… Je me suis dégagé, reboutonné, l’est couverte délicatement d’un plaid, et l’est regardé dormir….Elle qui, d’HABITUDE, semblait égrillarde, était innocence ; enjouée, triste à souhait ; je ne la reconnaissais plus.
D’habitude, elle arrivait, la bouche pleine de potins insipides, je lui servais un verre, l’emmenais sur notre terrain de sexe du moment, et nous baisions. Point et re-point. Pas de confidences, pas d’aveux, rien sur elle, ni sur moi, ni sur nous. En parlant sexe, pour une fois, j’avais eu droit à : “Avec 2 hommes ? Bof, peut-être…“. “Avec 2 femmes ? T’assures ?“. “On m’encule pas…. Vas en voir une autre !“. Réponses lapidaires et simples.
Je la regardais, et pour la voir comme je la connaissais, fallait que je ferme les yeux… Un cul de rêve, avec des fesses fermes et rebondies, des seins en obus, qu’il me plaisait de durcir d’une caresse, du doigt ou de la langue, une taille fine et des hanches larges, au milieu des quelles trônait une touffe rebondie et poilue, sombre comme je les aimes, un abricot pulpeux, que je faisais juter par plaisir. Et juste derrière, son vagin, ombrageux comme personne, tétanisé et préempteur, ou si large et insensible que j’avais l’impression de tirer un tunnel…
Elle dormait toujours, un visage d’ado, pur et encore asexué. Je refermais les yeux, pour la voir, en levrette, reins exagérément creusés, genoux écartés, cuisses ouvertes, con béant et ruisselant en attente de la bitte, seins tendus, bourgeons raides. Je la retournais en esprit, lui levait une jambe au plafond, et la fourrais, bite à moule, bien à fond… Ou encore, debout, la foufoune en avant, connasse arquée, tendue, patiente, sûre de se faire foutre par une queue bien raide, bien grosse, dégoulinante de jus à venir…
Elle dormait encore, et je la voyais tête sur le lit, cul en l’air, pieds écartés, moule ouverte, fourrée d’un index inquisiteur, ruer de plaisir dans la fouillade , une bitte branlée dans la raie, un gland dans la paume, son index remuant sur son bouton exacerbé… Et son ventre, animé d’ondes pulsatives, son vagin, monté en pompe aspirante, qui te serre le zob a t’en asphyxier les couilles, à te tirer tout ton jus, en jets longs et brûlants, dégoulinants dans ses poils.
Elle dormait enfin, et ses rêves lui tiraient un sourire…Innocent, joyeux… Je l’ais revue, endormie un jour, nue sur ma couche, m’attendant sans doute, rendez-vous manqué, pas-tout-à-fait , puisqu’elle était encore là, alanguie ! Une jambe allongée, l’autre genou au ventre, couchée sur le coté, le nez dans le bras, je distinguais que son cul, et un bout de nichon, téton au repos… Dormait-elle vraiment ? J’en doute maintenant… Vite déshabillé, je m’étais allongé à son coté, elle toujours inerte…
J’avais posé une main sous son ventre, l’autre prés de son téton, et entrepris de la caresser, doucement, en haut et en bas, frôlant sa vulve, son nichon, entrouvrant son con, pinçant sa mamelle. Creusant les reins, comme par réaction, elle avançait la motte vers mon doigt, sa framboise durcissait. Dormait-elle ? Demi-tournée, téton accessible à la caresse, elle était maintenant à genoux jambes pliées, écartée, en attente…
Je continuais à lui titiller le téton, la vulve, écartant les lèvres, pinçant son bouton entre mes doigts, je finis par la fourrer du majeur, en tournant un peu, pour augmenter les sensations. J’appuyais bien à fond, pour mieux la perforer, et toucher son clito, si possible. Elle arquait les reins, répondant à mes poussées à grand coup de fion. Elle semblait bien chaude, prête à la bourrade, elle s’était déjà secouée d’orgasmes préliminaires; sa moule m’aspirait le doigt, et je sentais son anneau se resserrer, m’entraîner plus au fond.
Me plaçant derrière ses fesses, je la mettais sur un genou, un pied à plat sur le lit, jambe verticale, tête dans les bras, reins bien creusés pour faire ressortir son con baveux et je lui enfilais ma bitte raide, grosse, exacerbée par l’attente. Je la défonçais sur toute la longueur, elle aussi était prête à jouir, serrée à plaisir, en attente de mon foutre. Elle a pris son pied, écrasé ma bitte entre ses chairs, j’ai giclé, tétanisé comme elle, fureur du cul, de la bite, du con.
En partant, elle m’a fait : “Merci, merci beaucoup… T’es gentil…“. Et avec son sourire HABITUEL : “Dans trois jours ?“
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Je l’avais fait entrer, servi un verre, qu’elle n’a pas touché, PAS comme d’habitude, et son moulin à paroles, hyper…. Je n’y comprenais rien. Je l’avais assise dans mon salon, même pas dévêtue, je l’avais écoutée, essayant, PAS comme d’habitude, de la suivre… Mi-allongée sur le canapé, elle m’a fait : “Tu veux baiser ?“. “Pas vraiment…. M’as pas prévenu…“. Belle excuse, d’habitude son seul nom me fait bander comme un ours !
Elle m’a quand même dégrafé le pantalon, saisit la bitte, et…. S’est endormie… Je me suis dégagé, reboutonné, l’est couverte délicatement d’un plaid, et l’est regardé dormir….Elle qui, d’HABITUDE, semblait égrillarde, était innocence ; enjouée, triste à souhait ; je ne la reconnaissais plus.
D’habitude, elle arrivait, la bouche pleine de potins insipides, je lui servais un verre, l’emmenais sur notre terrain de sexe du moment, et nous baisions. Point et re-point. Pas de confidences, pas d’aveux, rien sur elle, ni sur moi, ni sur nous. En parlant sexe, pour une fois, j’avais eu droit à : “Avec 2 hommes ? Bof, peut-être…“. “Avec 2 femmes ? T’assures ?“. “On m’encule pas…. Vas en voir une autre !“. Réponses lapidaires et simples.
Je la regardais, et pour la voir comme je la connaissais, fallait que je ferme les yeux… Un cul de rêve, avec des fesses fermes et rebondies, des seins en obus, qu’il me plaisait de durcir d’une caresse, du doigt ou de la langue, une taille fine et des hanches larges, au milieu des quelles trônait une touffe rebondie et poilue, sombre comme je les aimes, un abricot pulpeux, que je faisais juter par plaisir. Et juste derrière, son vagin, ombrageux comme personne, tétanisé et préempteur, ou si large et insensible que j’avais l’impression de tirer un tunnel…
Elle dormait toujours, un visage d’ado, pur et encore asexué. Je refermais les yeux, pour la voir, en levrette, reins exagérément creusés, genoux écartés, cuisses ouvertes, con béant et ruisselant en attente de la bitte, seins tendus, bourgeons raides. Je la retournais en esprit, lui levait une jambe au plafond, et la fourrais, bite à moule, bien à fond… Ou encore, debout, la foufoune en avant, connasse arquée, tendue, patiente, sûre de se faire foutre par une queue bien raide, bien grosse, dégoulinante de jus à venir…
Elle dormait encore, et je la voyais tête sur le lit, cul en l’air, pieds écartés, moule ouverte, fourrée d’un index inquisiteur, ruer de plaisir dans la fouillade , une bitte branlée dans la raie, un gland dans la paume, son index remuant sur son bouton exacerbé… Et son ventre, animé d’ondes pulsatives, son vagin, monté en pompe aspirante, qui te serre le zob a t’en asphyxier les couilles, à te tirer tout ton jus, en jets longs et brûlants, dégoulinants dans ses poils.
Elle dormait enfin, et ses rêves lui tiraient un sourire…Innocent, joyeux… Je l’ais revue, endormie un jour, nue sur ma couche, m’attendant sans doute, rendez-vous manqué, pas-tout-à-fait , puisqu’elle était encore là, alanguie ! Une jambe allongée, l’autre genou au ventre, couchée sur le coté, le nez dans le bras, je distinguais que son cul, et un bout de nichon, téton au repos… Dormait-elle vraiment ? J’en doute maintenant… Vite déshabillé, je m’étais allongé à son coté, elle toujours inerte…
J’avais posé une main sous son ventre, l’autre prés de son téton, et entrepris de la caresser, doucement, en haut et en bas, frôlant sa vulve, son nichon, entrouvrant son con, pinçant sa mamelle. Creusant les reins, comme par réaction, elle avançait la motte vers mon doigt, sa framboise durcissait. Dormait-elle ? Demi-tournée, téton accessible à la caresse, elle était maintenant à genoux jambes pliées, écartée, en attente…
Je continuais à lui titiller le téton, la vulve, écartant les lèvres, pinçant son bouton entre mes doigts, je finis par la fourrer du majeur, en tournant un peu, pour augmenter les sensations. J’appuyais bien à fond, pour mieux la perforer, et toucher son clito, si possible. Elle arquait les reins, répondant à mes poussées à grand coup de fion. Elle semblait bien chaude, prête à la bourrade, elle s’était déjà secouée d’orgasmes préliminaires; sa moule m’aspirait le doigt, et je sentais son anneau se resserrer, m’entraîner plus au fond.
Me plaçant derrière ses fesses, je la mettais sur un genou, un pied à plat sur le lit, jambe verticale, tête dans les bras, reins bien creusés pour faire ressortir son con baveux et je lui enfilais ma bitte raide, grosse, exacerbée par l’attente. Je la défonçais sur toute la longueur, elle aussi était prête à jouir, serrée à plaisir, en attente de mon foutre. Elle a pris son pied, écrasé ma bitte entre ses chairs, j’ai giclé, tétanisé comme elle, fureur du cul, de la bite, du con.
En partant, elle m’a fait : “Merci, merci beaucoup… T’es gentil…“. Et avec son sourire HABITUEL : “Dans trois jours ?“
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