Titre de l'histoire érotique : Quand elle s'occupe de tout...
Récit érotique écrit par Licoorne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Quand elle s'occupe de tout...
Lorsque Mish passait me voir, elle babillait habituellement sur son shopping-copines-maquillage et autres potins insipides ; je m’occupais généralement de la suite, sexuelle, elle se taisait et suivait mes directives, quitte à tout accentuer, positions, mouvements, sensations. Cette fois là, elle m’avait prévenu : “Laisse moi faire, je m’occuperai de tout“.
En arrivant, pour cette fois silencieuse, je remarquais son petit sourire et ses yeux encore plus malicieux que d’habitude. Me poussant vers la chambre, son blouson ôté, elle me fit : “A poils… Couche toi, sur le lit, bras et jambes écartés“. Concours de vitesse de déshabillage, et pendant que je m’installais, prenant soin de m’adosser à la tête de lit, elle prenait des poses lascives, entamait une petite danse du ventre, sourire aux lèvres.
Je ne la quittais pas des yeux, ses petits seins en obus, son cul rebondi, sa taille fine et mobile, sa chatte poilue me ravissaient. “Tu regardes, et tu bouges pas !“. Elle s’était placée à genoux entre mes jambes, m’avait écarté encore un peu les cuisses, comme j’avais l’habitude de le faire avec elle ; je bandais déjà fort correctement ; elle saisit mon gland à trois doigts, pouce, index, majeur et commença à me branler, le recouvrant et découvrant alternativement du prépuce ; j’adorais cette caresse, et elle le savait, la garce !
A chacun de ses mouvements, j’en accentuais l’amplitude d’un balancement de cul, avant arrière, mais elle avait décidé de rester maîtresse des opérations, un pouce bloquait maintenant mon pubis, mes couilles dans ses doigts me forçaient à rester immobile : “J’avais dit : Bouges pas !“. Ses doigts ont quitté mon bout, saisis ma tige décalottée juste sous le gland, et repris le mouvement de branlage de prépuce, très lent cette fois, recouvrant découvrant juste, tout juste le couronne ; la pression sur mes couilles m’incitait à rester bien sage, bien immobile…
Se penchant en avant, elle avait posé sa bouche dessus son poing fermé sur ma queue ; elle se débrouillait pour que mon gland soit juste effleuré par ses lèvres, à chaque descente de sa main. Je sentais ma bitte grossir et durcir de plus en plus… Elle devait se rendre compte de l’effet, elle lâcha mon zob, et se l’enfourna dans la bouche, sensation délicieuse, mais moins violente : elle voulait en profiter encore, sûrement.
Me lâchant, elle se redressait, et toujours agenouillée, avançait en soulevant mes jambes sur ses cuisses ; mon zob tendu touchait mon ventre ; elle souleva les hanches, arquant son con en avant, me saisit la tige et la redressant doucement, l’inclina ensuite vers elle, gland effleurant ses lèvres ; elle me bloquait toujours d’une main, en se balançant d’avant en arrière, se caressant du périnée au clito, s’ouvrant la moule de mon bout. Je sentais sa mouille me couler dessus. J’aurais voulu l’emmancher, sa poigne m’empêchait de bouger.
Elle s’était collée ma trique au bord du vagin, elle pouvait maintenant la lâcher ; une main de libre, son index fureteur venait maintenant caresser son bouton et le bord de ma queue ; son doigt s’accélérait, je la sentais maintenant pulser du ventre, elle s’enquillât du doigt, bien à fond, et dans le mouvement basculât son con moite sur ma bitte. Elle commençait à se ramoner sur mon dard, index en double, sa main l’empêchait de s’empaler à fond. Elle la voulait toute, elle ôtait sa main, se retirait de ma bitte, un genou toujours sur le lit, elle passait un pied au dessus de ma jambe. Elle était maintenant demi agenouillée, je m’étais tourné légèrement, pour pointer mon zob encore plus vers son entrejambe.
Lâchant mes couilles, elle s’était à nouveau emmanchée, cette fois bien à fond, poils à poils, elle me tirait par les hanches pour s’empaler encore, et je sentais son vagin me serrer la base de la trique… Puis son étreinte remontait vers mon gland, comme pour l’aspirer dans sa matrice. Elle allait jouir… Elle jouissait, en aspirations rapprochées, les yeux fermés, râle aux lèvres.
D’un coup, tout s’est relâché, étreinte, vagin, corps : elle avait jouit… Elle inclinait son buste vers moi, tétons presque à tétons, et oscillant lentement, se caressait sur mon torse ; inclinée ainsi, son clito pouvait être sous pression, peut être au contact de mes poils…Elle semblait s’exciter un peu, son minou reprenait vie, toujours large et mou,mais elle s’activait maintenant sur ma hampe, tournant du bassin, cherchant le contact avec ses parois inertes ; elle s’activait en se pilonnant à fond sur ma trique raide, lentement d’abord, puis de plus en plus vite.
La cadence s’était ralentie, mouvements amples, je la sentais coulisser sur toute ma longueur… A défaut de se remplir le ventre de ma bitte, elle recommençait à se resserrer… Jouissance, encore, pour elle, puis relâchement, me permettant ainsi d’attendre encore, dans son vagin élargit, glissant de suint, que ses spasmes se rapprochent de plus en plus, me serrant dans son étau, et que j’explose enfin en longs jets chauds dans son extase finale, l’inondant de foutre jusqu’aux dents….
En partant, elle m’avait prévenu : “La prochaine fois, l’initiative t’appartient !“. Quand même !
En arrivant, pour cette fois silencieuse, je remarquais son petit sourire et ses yeux encore plus malicieux que d’habitude. Me poussant vers la chambre, son blouson ôté, elle me fit : “A poils… Couche toi, sur le lit, bras et jambes écartés“. Concours de vitesse de déshabillage, et pendant que je m’installais, prenant soin de m’adosser à la tête de lit, elle prenait des poses lascives, entamait une petite danse du ventre, sourire aux lèvres.
Je ne la quittais pas des yeux, ses petits seins en obus, son cul rebondi, sa taille fine et mobile, sa chatte poilue me ravissaient. “Tu regardes, et tu bouges pas !“. Elle s’était placée à genoux entre mes jambes, m’avait écarté encore un peu les cuisses, comme j’avais l’habitude de le faire avec elle ; je bandais déjà fort correctement ; elle saisit mon gland à trois doigts, pouce, index, majeur et commença à me branler, le recouvrant et découvrant alternativement du prépuce ; j’adorais cette caresse, et elle le savait, la garce !
A chacun de ses mouvements, j’en accentuais l’amplitude d’un balancement de cul, avant arrière, mais elle avait décidé de rester maîtresse des opérations, un pouce bloquait maintenant mon pubis, mes couilles dans ses doigts me forçaient à rester immobile : “J’avais dit : Bouges pas !“. Ses doigts ont quitté mon bout, saisis ma tige décalottée juste sous le gland, et repris le mouvement de branlage de prépuce, très lent cette fois, recouvrant découvrant juste, tout juste le couronne ; la pression sur mes couilles m’incitait à rester bien sage, bien immobile…
Se penchant en avant, elle avait posé sa bouche dessus son poing fermé sur ma queue ; elle se débrouillait pour que mon gland soit juste effleuré par ses lèvres, à chaque descente de sa main. Je sentais ma bitte grossir et durcir de plus en plus… Elle devait se rendre compte de l’effet, elle lâcha mon zob, et se l’enfourna dans la bouche, sensation délicieuse, mais moins violente : elle voulait en profiter encore, sûrement.
Me lâchant, elle se redressait, et toujours agenouillée, avançait en soulevant mes jambes sur ses cuisses ; mon zob tendu touchait mon ventre ; elle souleva les hanches, arquant son con en avant, me saisit la tige et la redressant doucement, l’inclina ensuite vers elle, gland effleurant ses lèvres ; elle me bloquait toujours d’une main, en se balançant d’avant en arrière, se caressant du périnée au clito, s’ouvrant la moule de mon bout. Je sentais sa mouille me couler dessus. J’aurais voulu l’emmancher, sa poigne m’empêchait de bouger.
Elle s’était collée ma trique au bord du vagin, elle pouvait maintenant la lâcher ; une main de libre, son index fureteur venait maintenant caresser son bouton et le bord de ma queue ; son doigt s’accélérait, je la sentais maintenant pulser du ventre, elle s’enquillât du doigt, bien à fond, et dans le mouvement basculât son con moite sur ma bitte. Elle commençait à se ramoner sur mon dard, index en double, sa main l’empêchait de s’empaler à fond. Elle la voulait toute, elle ôtait sa main, se retirait de ma bitte, un genou toujours sur le lit, elle passait un pied au dessus de ma jambe. Elle était maintenant demi agenouillée, je m’étais tourné légèrement, pour pointer mon zob encore plus vers son entrejambe.
Lâchant mes couilles, elle s’était à nouveau emmanchée, cette fois bien à fond, poils à poils, elle me tirait par les hanches pour s’empaler encore, et je sentais son vagin me serrer la base de la trique… Puis son étreinte remontait vers mon gland, comme pour l’aspirer dans sa matrice. Elle allait jouir… Elle jouissait, en aspirations rapprochées, les yeux fermés, râle aux lèvres.
D’un coup, tout s’est relâché, étreinte, vagin, corps : elle avait jouit… Elle inclinait son buste vers moi, tétons presque à tétons, et oscillant lentement, se caressait sur mon torse ; inclinée ainsi, son clito pouvait être sous pression, peut être au contact de mes poils…Elle semblait s’exciter un peu, son minou reprenait vie, toujours large et mou,mais elle s’activait maintenant sur ma hampe, tournant du bassin, cherchant le contact avec ses parois inertes ; elle s’activait en se pilonnant à fond sur ma trique raide, lentement d’abord, puis de plus en plus vite.
La cadence s’était ralentie, mouvements amples, je la sentais coulisser sur toute ma longueur… A défaut de se remplir le ventre de ma bitte, elle recommençait à se resserrer… Jouissance, encore, pour elle, puis relâchement, me permettant ainsi d’attendre encore, dans son vagin élargit, glissant de suint, que ses spasmes se rapprochent de plus en plus, me serrant dans son étau, et que j’explose enfin en longs jets chauds dans son extase finale, l’inondant de foutre jusqu’aux dents….
En partant, elle m’avait prévenu : “La prochaine fois, l’initiative t’appartient !“. Quand même !
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