Brunette se réjouit, son visage s'éclaire

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Brunette se réjouit, son visage s'éclaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Brunette se réjouit, son visage s'éclaire
Je vous avais promis un plagiat, le voilà
Je n'ai aucune vergogne, le texte plagié était excellent
Vous allez voir, on en bande du premier mot au dernier
Tout est bon, l'accent de là-bas, la façon de cette fille de raconter ses trucs, l'esprit jubilatoire de la baise normale
Enfin, moi je m'y sens bien dans ce con fluide qui sent bon l'amour le vrai

Alors, qu' HDS me pardonne, oui je plagie, mais plagier rien que du bon ça fait bon résultat


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Voilà plusieurs mois que nous correspondons.

Je suis en Amérique du Nord, toi en Europe.
Je t’envoie quotidiennement une photo de mes fesses, de mon petit string, de ma chatte et de plein d'autres choses encore de moi.
Je te raconte mon aventure avec le stagiaire de là où je travaille et je t’envoie même quelques selfies avec lui et aussi avec d'autres hommes du boulot que je fréquente assez intimement.

Tu as tellement aimé ces images que tu es venu dans ton slip en lisant mon mail, m'as-tu dit.

Mais je te sens jaloux du petit stagiaire qui, aujourd’hui, me suit dans le couloir au travail. J'ai levé ma jupe écossaise pour lui montrer mon string, sais-tu ?
Je m’amuse avec lui, mais soft, sois tranquille.
J’attends juste qu’il prenne initiative de venir à moi et de me supplier de le sucer et d’aller baiser dans sa voiture ou quelque chose comme ça.

Aujourd’hui, j’étais coiffée cheveux détachés qui viennent recouvrir un œil. Je portais une camisole à bretelles minces noires et une jupe écossaise carotte rouge. J’avais un soutien-gorge rouge push-up et un string noir. Je portais des bas noirs qui montent haut sur les cuisses avec des bottes à talons aiguille noirs et des attaches argentées qui montent au niveau de la cheville.

Aujourd’hui un client particulier est entré dans mon bureau. Il semblait me connaître. Il semblait m’avoir déjà parlé. Il a sorti une enveloppe brune avec des photos. Il me les a mises sous le pif et m’a demandé si je les reconnaissais.

C’était les photos prises par le stagiaire avec l'iPhone lors de notre aventure.

Je regarde ce client dans les yeux et je dis, surprise,
" Antoine !!! "

Tu as refermé la porte de mon bureau et tu as tourné la serrure. Je me suis levée, vraiment sur le choc,
" Comment as-tu fait pour trouver où je travaille, comment as-tu traversé l’Atlantique, pourquoi ? "

Tu sors une autre enveloppe avec des photos. Ce sont d’autres photos de cette même aventure mais que je ne t’avais pas envoyées.
Je suis interrogatrice,
" Comment les as-tu obtenues ? "

Tu me dis que tu as fait des recherches sur internet et que tu les as trouvées.
En plus, le stagiaire les a mises sur son compte personnel sans discrétion. Tu l’as trouvé sur Facebook. Il y disait qui était son employeur et avec les pages jaunes tu as trouvé l’endroit.
J'en suis bouche bée… Tu dois travailler pour la police !

Je te regarde avec un petit sourire et un regard insistant,
« Tu ne dois pas avoir traversé l’Atlantique pour rien »

Tu ris. Je descends mon regard sur ton entre-jambe et je vois toutes tes raisons et ambitions. Je me mords la lèvre. Je me mets en mode « JEU ». Je m’approche, d’une démarche féline. Je m’approche de toi. Je te pousse vers la porte fermée, une main sur ton torse. Je te regarde dans les yeux et d’une voix insistante, même rauque, je dis,
« Avoue que tu veux que je sorte ta queue, et je pose ma main sur la bosse de ton jean, et que je caresse la bosse, que je la caresse de mes mains, de mes deux mains, de ces deux mains-là »
« Après, tu voudrais encore que je m’agenouille devant toi pour te sucer et te laisser venir sur mon visage»

Je te caresse au travers de ton jean d’une main, l’autre te plaque contre cette porte. Je continue,
"Ensuite "

et je prends une voix plus douce et innocente,
" Tu voudrais que je te laisse me caresser le minou, tu voudrais que je te laisse mettre ton gros objet en moi "

Ma voix plus enfantine t’allume, ton sexe est dur. Je continue à le caresser.
« Tu voudrais que je te supplie de prendre mon cul. Ouch, ça fait mal. Tu veux que lorsque tu seras en moi «

J’arrête de parler, je penche la tête en arrière. Je fais un petit cri de jouissance.
Je crie ton nom et te dis que je jouis de ta queue.

Je redresse la tête, je fais bouger mes cheveux. Je tourne la tête et je me retourne d’un coup sec en arrêtant de te toucher, je fais un pas en avant pour m’éloigner de toi. En me tournant je dis d’une voix autoritaire,
" Ah tu rêves en couleur, te vaudrait mieux retourner d’où tu viens. "

Avant de n'être plus à portée, tu m’attrapes une main et me tires vers toi. Je fais un tour sur moi-même avant d’atterrir contre ton torse. Tu m’enserres la taille d’un bras et de l’autre main tu viens me serrer la gorge. Tu me forces à pencher ma tête en arrière. Ta main vient se poser sur ma poitrine. Ton nez vient sentir ma nuque.

Tu commences à parler d’une voix douce.
"Je vais commencer par te caresser avec tes vêtements. Je vais faire dresser ces mamelons pour qu’ils soient visibles. Je vais ensuite retirer ta camisole vraiment trop arrogante et ton soutien-gorge magique pour aller les croquer. Ensuite, je vais te faire asseoir sur ton rocking-chair. Je vais m’agenouiller devant toi, remonter ta jupe, retirer ton string et enfouir ma tête entre tes jambes. Je vais manger ta chatte et sucer ton clito. Je vais entrer plusieurs doigts en toi jusqu’à ce que tu viennes et me gicles au visage"

Ton discours a fait de l’effet. Je cale mes fesses et me colle à toi. Tu sens que tu n’as plus besoin de me retenir. Alors, tu retires ta main de ma gorge. Celle-là va me caresser le ventre. Tu caresses mes seins et tu sens mes mamelons se raidir. Tu en serres un dans tes doigts. Tu le serres suffisamment fort pour que je lâche un petit « ouch ».

Ma respiration est plus rapide. Je sens des papillons dans mon bas ventre. Ta main s’affaire à faire dresser mon deuxième mamelon. Tu le roules entre tes doigts. Encore, tu le serres jusqu’à ce que j’aie mal. Tes deux mains viennent se poser sur mes hanches, à la jonction entre la camisole et la jupe. Je frotte mes fesses contre toi. Tu me guides un peu comme si nous dansions dans une boîte de nuit. Je passe mes bras par-dessus ma tête et je viens entourer ta tête. Je tourne ma tête, tu approches la tienne. Tu viens m’embrasser. Tu entres ta langue dans ma bouche et viens rencontrer la mienne. Nous nous embrassons tranquillement.

Mes fesses sentent la bosse contre elles. Tes mains sur mes hanches saisissent ma camisole et tirent vers le haut. Je lève les bras, brise le baiser et elle se retrouve au sol. Je me retourne et entoure ton cou de mes bras. En face à face, je retourne t’embrasser. Je colle mes seins sur ton torse. Je fais la même manœuvre que toi pour enlever ton t-shirt. Nous brisons le french kiss pour un moment. Tes mains se posent sur mes fesses. Je recommence à me frotter contre toi. Mes mains lâchent ton cou pour s’intéresser à ton torse. Je passe mes doigts sur tes pectoraux, remonte aux épaules et descends aux mains, sur mes fesses.
Quant à être à cet endroit, je descends la petite fermeture éclair et détache la ceinture pour que la jupe tombe raide sur le plancher.
Je me colle à toi et je descends mon corps. Je me retrouve à genoux à défaire ta ceinture et ta braguette. Je descends tes jeans. Je caresse ton sexe au travers le boxer en coton.
Je regarde vers le haut pour voir ton approbation. Tu poses ta main sur ma tête. Je descends ton boxer et je te prends en bouche. Ton sexe est dur comme de la pierre. Le gland est bien gonflé. Je le suce et je le lèche jusqu’à sentir une pression sur ma tête.
Tu veux que je le prenne plus profond. Je l’entre dans ma bouche. Ton gland touche ma luette, j’ai un petit sursaut. Tu cesses de pousser. Je fais des allers-retours et te suçant bien le gland. J’arrive à ma luette. Cette fois, tu veux que j’aille plus loin. Je me force et arrive à prendre toute ta queue. Je referme ma bouche. Tu me tiens quelques secondes et je me retire. Je cherche mon souffle. Je le reprends en continuant de caresser ta queue pleine de salive. Je fais des va et vient rapides. Tu me demandes d’y mettre un peu de dents. Je lève les yeux. Tu sembles aux anges. Tu me dis que tu vas venir bientôt.

Je te propose alternative, dans ma bouche ou sur mon visage ?

Tu choisis sur le bord de ma bouche. Je te suce encore quelques coups et tu me dis que tu viens. Je mets ton gland contre mes lèvres et te masturbe quelques coups tout en sentant ton sperme monter. J’ai les yeux levés. Le premier jet jaillit sur mon palais, le second sur ma lèvre et le troisième sur ma joue. Je reprends ton gland pour le nettoyer et je nettoie ma joue et mes lèvres d’un mouvement de deux doigts et un sourire joueur.

Je me relève, tu essuies un peu ma joue. Tes bras m’enlacent les épaules pour aller dégrafer mon soutien-gorge. Tu libères mes seins. Tu te jettes à les embrasser. Tu me mords un mamelon. Tu me pousses à reculer vers ma rocking-chair. Tu me pousses à m’asseoir. Je serre les jambes en m’assoyant. Tu te mets à genoux. Tu t’avances vers mon entre-jambe, mais tu te heurtes à mes jambes. Tu entres tes deux mains au centre et force pour les écarter. Le passage s’ouvre, mais difficilement. C’est mon côté joueuse qui ressort là. Tu arrives à mon string. Il est tout mouillé. Tu l’embrasses et passes ton nez dedans. Ce mouvement me caresse la chatte et te donne une bonne bouffée de mon odeur. Tu déplaces ma culotte et tu suces mon clito.

Je passe ma main dans tes cheveux ébouriffés.

Tu descends vers mon ouverture. Tu la lèches et entres à l’intérieur avec ta langue. Tu me fais du bien. Je te dis d’y mettre un doigt. Tu t’exécutes. Tu l’entres bien droit et le sorts comme un crayon. Je te demande de le courber, tu trouveras le bon spot.

Je commence alors à me doigter en me grattant l’intérieur. Tu me suces toujours le clito. Je dis pour la première fois ton nom. Mes jambes entourent ton cou. Elles bougent de droite à gauche. J’ai chaud.

Tu me suces bien et tes doigts vont me faire jaillir. Je te dis d’aller plus vite. Tu accélères le doigtage, tu en ajoutes un. Je dis encore ton nom. Je t’encourage. Ma tête est penchée en arrière. J’ai les yeux fermés et les jambes qui serrent ta tête comme dans un étau. Tu sens mes muscles se contracter et les spasmes m’envahir. Je viens, je crie longuement. Je t’éclabousse le visage.

Ta tête est coincée. Tu lèches ma chatte pour la nettoyer alors que mon heure de gloire diminue. Je suis essoufflée, mais encore allumée. Je te libère, me lève, retire mon string. D’un coup de bras, je libère le bureau. Tu es debout derrière moi. Je me retourne. Je te regarde dans les yeux. Tu avances vers moi. Je m’assois sur le bureau, les jambes ouvertes.

Tu viens te placer et entres ta verge en moi. Je souris de cette satisfaction. Je t’entoure de mes bras et je vais t’embrasser. Le mouvement est lent, mais très fluide. Mon sexe est très bien lubrifié. Dans ce liquide, tu me baises pendant dix bonnes minutes lorsque je me retire et me relève.
Je te demande de venir te coucher sur le bureau. Ta verge est bien luisante et bien droite et se dresse vers le ciel. Je me penche et la reprends en bouche. Je la suce quelques minutes et je grimpe sur le bureau et t’enjambe. Je prends ton sexe en main et l’enligne vers mon petit trou. Je me redresse et m’empale sur toi.
La douleur est présente et se fait voir sur mon visage, mais celle-ci m’excite davantage. Je descends tranquillement jusqu’à la base. Je m’habitue à toi et je remonte. Cette fois, je m’empale d’un coup sec.
Je recommence, comme une guillotine qui tombe. Je relève doucement et je redescends d’un coup. Je commence à mettre un peu de rythme.
Tu poses tes mains sur mes seins. Je te chevauche cavalièrement. Je dis encore ton nom.
« Antoine, viens dans mon cul, je sais que tu le veux. J’aime tellement sentir ta grosse queue m’écarteler, ça me fait jouir »

Je continue à m’empaler. Je crie. Le bruit de mes fesses contre toi m’excite au plus haut point. Tu es sur le point de venir. Je te garde en moi. Je veux que ta décharge inonde mon cul. Je veux sentir ce liquide chaud redescendre en moi et sortir de mon cul.

Tu viens en moi. Tu jouis bruyamment. Je t’accompagne.
« Ah oui, c’est chaud, c’est bon »

Je te garde en moi encore quelques minutes et je me retire. Je sens mon cul dilaté se refermer tranquillement. C’est vraiment jouissif.
Tu te relèves. Nous nous rhabillons et tu t’apprêtes à ouvrir la porte lorsque je te dis d’attendre. Je prends un post-it et un crayon. J’écris mon numéro de téléphone. Je ramasse mon string par terre. Je te donne le post-it et glisse mon string dans ta poche arrière.

Je t’embrasse une dernière fois et tu pars.

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