L'abricotier
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'abricotier
C’était sur le site des « voisins sympas », un site local de chez nous.
J’avais proposé en ligne des plants de tomates vu que mes semis avaient super bien marché et que j’avais pléthore de petits plants. Je les avais transférés dans des culs de carton de jus d’orange. Et j’en avais plein, alignés les uns derrière les autres au soleil.
Une fille du site était intéressée. Elle voulait se nourrir de tomates de culture personnelle afin d’éviter les légumes aux ONG et autre glyphosate et divers machins pas bien bons. Elle craignait pour sa santé.
C’était une grande fille écolo bobo. Comme j’aime, surtout quand elles sont en sus vêtues de grandes robes fluides et qu’elles se meuvent à vélo. Le bas en cloche de leur robe couvre jusqu’à mi-cuisse leurs hanches et la selle du vélo. Elles sont superbes en présentation dans les ruelles de la vieille ville.
Et l’esprit des garçons se glisse sous la robe, juste au niveau de la selle. Et nous les garçons on pense au bonheur de la selle.
Elle m’a proposé, en échange, des abricotiers. Elle m’a raconté qu’elle avait chaque été grosse récolte d’abricots, bien mûrs bien bons juteux et goûteux. Ça m’a bien plu et on s’est entendus pour une rencontre chez moi.
La fille était fine, bien faite encore qu’il n’était pas bien facile d’en juger avec son accoutrement genre Laura Ashley qui estompait ses formes.
Elle est arrivée avec ses deux abricotiers dans des pots en plastique marron façon jardinerie ficelés sur le porte-bagages de son vélo. On a longuement déficelé les abricotiers puis garé le dit vélo dans la cour. Elle a voulu attacher celui-ci avec un U géant allemand Abus complété d’un câble souple cadenassé au tuyau d’arrosage de la cour.
Manifestement elle tenait fort à son vélo.
Montés sur ma terrasse on a fait visite aux plants de tomates.
Ils lui ont bien plu. Faut dire qu’ils étaient beaux et vigoureux, comme elle aime.
Elle a vu sur le dossier d’une chaise de jardin mon calbut plié.
Elle a dit, votre caleçon est là sur le dossier d’une chaise. Ce qui veut donc dire que vous ne le portez pas. Ne portez-vous pas votre caleçon ? Vous baladez-vous toujours ainsi la bite pendante dans votre short ?
Pendante ou bien bandée, mademoiselle, ne présumez pas, voyez donc par vous-même.
Et elle m’a immédiatement mis la main au paquet sans crier gare.
C’était pas mal. D’autant qu’elle avait empaumé tout le paquet et qu’elle serrait. C’était bon.
J’ai dû m’expliquer. Voyez-vous, par ces canicules je me douche Gardena tous les quarts d’heure, alors je reste tout nu dans ma chaise longue à lire et écrire. Juste quand vous avez sonné j’ai enfilé le short pour vous recevoir. C’est plus convenable, non ?
Elle a dit, c’est quoi ce Gardena ?
Vous pourriez m’arroser moi aussi ?
Et elle a tombé sa robe de bretelles fines en petit tas sur ses pieds.
Moi j’ai dit, si je vous arrose on va ruiner vos Birkenstock. Posez les là par côté. Et elle a dansé tourné toute nue sous mon jet frais d’arrosage. Elle ne portait aucun sous vêtement, ni brassière ni culotte, sous sa robe de hippie.
Elle a dit, voyez moi aussi je vis toute nue sous ma robe Laura Ashley, à circuler sur ma bicyclette à travers la ville et c’est bien bon.
Les abricotiers sont plantes hermaphrodites, c’est à dire qu’elles donnent des fruits sans avoir besoin d’être polénisées.
Quand on y pense c’est plutôt triste, non.
Mais bon, nous on n’est pas des plantes. Heureusement.
Vu qu’elle me disait ça avec ses deux pots de fleurs à la main, lesquels contenaient chacun un petit abricotier et qu’elle était elle-même toute nue ruisselante de mes arrosages. Et qu’en sus elle était toute hilare et rigolante, j’ai pensé que je me devais d’être en concordance. Alors j’ai tombé le short.
J’avoue qu’il a eu du mal à tomber vue la bandaison de mon organe qui faisait rétention.
On a placé les abricotiers côté soleil et elle a voulu les arroser au prétexte que ma terrasse était mal ombragée.
Bien entendu elle en a profité pour m’arroser abondamment la bite et la triturer en tirant sur les peaux pour dégager la tête et la nettoyer à fond, comme si cela était vraiment nécessaire…
Je lui ai donné les plants de tomates convenus mais j’avais compris qu’il me fallait respecter la charte des «voisins sympas » et lui offrir en sus un peu de tendresse.
Ce site des voisins sympas existe je crois dans plusieurs villes de France. Renseignez-vous, il y en a probablement un là où vous habitez. C’est un peu le style Bon Coin mais on n’a rien à payer en euro, on échange. Avec juste un peu de tendresse en sus. En soulte en quelque sorte. Je dirais même que c’est le genre OVS, on va sortir, mais avec prétexte bien honnête de rendre service avant de baiser. Ou après l’avoir fait…
La fille m’a dit merci pour les plants de tomate mais elle ajouta, j’ai encore bien chaud, on pourrait s’arroser encore avec votre pistolet Gardena. Je propose un jeu, un coup c’est moi qui vous arrose, le coup suivant on alterne.
J’ai sorti mon savon liquide, récupéré de chez le Club Med, pour joindre l’utile à l’agréable et se faire bien propres. Elle a tout compris et en battant des mains elle a dit, et après on se fera suçage réciproque, pipe et minette. D’ailleurs je vois là, à l’ombre du parasol, un matelas de terrasse sympathique qui nous tend les bras.
Effectivement je la trouvais sympathique cette grande fille fine bobo-écolo toute nue avec son abricot de gamine glabre dont rien ne dépassait et bronzée sans la moindre marque du maillot. En plus elle était assez conviviale.
J’ai profité du gel douche Club Med hyper glissant pour lui fourrer deux doigts dans la cougourle et lui caresser l’aine par côtés d’index et d’auriculaire. Faut croire que le savon du Club Med est boosté à l’aphrodisiaque, elle était déjà en orgasme au troisième aller retour.
De mon aspergeur pistolet Gardena en main gauche, flux réglé sur bien dru, j’ai visé sa rondelle pour ouvrir son cul et emplir à fond son ampoule rectale tandis que de main droite j’avais recueilli une grosse lampée de gel douche.
Coupant l’arrosage j’ai violé de mon grand doigt son sphincter anal. Ça lui a bien plu.
Les filles bobo-écolo sont épatantes. Elle n’a pas crié, non, juste elle a cambré les reins pour s’ouvrir plus largement et elle m’a susurré à l’oreille, va, plus besoin de préliminaires, baise moi maintenant direct sur ton matelas de terrasse. Ça ira bien.
*
Pour les abricotiers, si ta moisson n’est pas bonne, appelle moi, on verra à peut être te trouver un polénisateur bien burné pour contourner l’hermaphrodisme.
Moi j’ai compris que la fille avait bonheur à la chose et me proposait ingénument un revenez-y.
Mais quand elle est redescendue à son vélo et que nous avons ficelé les plants de tomates sur son porte-bagages, j’ai pensé en voyant la selle de vieux cuir buriné, en voilà une qui va encore prendre une bonne couche de foutre comme Barrane, cirage nutritif pour l’entretien des cuirs de qualité.
Elle est partie en danseuse monter la ruelle en pente de chez moi et je voyais dans ma tête les coulures sur ses hauts de cuisse à chaque coup de pédale avec les deux plants de tomate sur le porte-bagages.
Je pensais aux abricotiers et à leur triste destin d’hermaphrodites.
J’avais proposé en ligne des plants de tomates vu que mes semis avaient super bien marché et que j’avais pléthore de petits plants. Je les avais transférés dans des culs de carton de jus d’orange. Et j’en avais plein, alignés les uns derrière les autres au soleil.
Une fille du site était intéressée. Elle voulait se nourrir de tomates de culture personnelle afin d’éviter les légumes aux ONG et autre glyphosate et divers machins pas bien bons. Elle craignait pour sa santé.
C’était une grande fille écolo bobo. Comme j’aime, surtout quand elles sont en sus vêtues de grandes robes fluides et qu’elles se meuvent à vélo. Le bas en cloche de leur robe couvre jusqu’à mi-cuisse leurs hanches et la selle du vélo. Elles sont superbes en présentation dans les ruelles de la vieille ville.
Et l’esprit des garçons se glisse sous la robe, juste au niveau de la selle. Et nous les garçons on pense au bonheur de la selle.
Elle m’a proposé, en échange, des abricotiers. Elle m’a raconté qu’elle avait chaque été grosse récolte d’abricots, bien mûrs bien bons juteux et goûteux. Ça m’a bien plu et on s’est entendus pour une rencontre chez moi.
La fille était fine, bien faite encore qu’il n’était pas bien facile d’en juger avec son accoutrement genre Laura Ashley qui estompait ses formes.
Elle est arrivée avec ses deux abricotiers dans des pots en plastique marron façon jardinerie ficelés sur le porte-bagages de son vélo. On a longuement déficelé les abricotiers puis garé le dit vélo dans la cour. Elle a voulu attacher celui-ci avec un U géant allemand Abus complété d’un câble souple cadenassé au tuyau d’arrosage de la cour.
Manifestement elle tenait fort à son vélo.
Montés sur ma terrasse on a fait visite aux plants de tomates.
Ils lui ont bien plu. Faut dire qu’ils étaient beaux et vigoureux, comme elle aime.
Elle a vu sur le dossier d’une chaise de jardin mon calbut plié.
Elle a dit, votre caleçon est là sur le dossier d’une chaise. Ce qui veut donc dire que vous ne le portez pas. Ne portez-vous pas votre caleçon ? Vous baladez-vous toujours ainsi la bite pendante dans votre short ?
Pendante ou bien bandée, mademoiselle, ne présumez pas, voyez donc par vous-même.
Et elle m’a immédiatement mis la main au paquet sans crier gare.
C’était pas mal. D’autant qu’elle avait empaumé tout le paquet et qu’elle serrait. C’était bon.
J’ai dû m’expliquer. Voyez-vous, par ces canicules je me douche Gardena tous les quarts d’heure, alors je reste tout nu dans ma chaise longue à lire et écrire. Juste quand vous avez sonné j’ai enfilé le short pour vous recevoir. C’est plus convenable, non ?
Elle a dit, c’est quoi ce Gardena ?
Vous pourriez m’arroser moi aussi ?
Et elle a tombé sa robe de bretelles fines en petit tas sur ses pieds.
Moi j’ai dit, si je vous arrose on va ruiner vos Birkenstock. Posez les là par côté. Et elle a dansé tourné toute nue sous mon jet frais d’arrosage. Elle ne portait aucun sous vêtement, ni brassière ni culotte, sous sa robe de hippie.
Elle a dit, voyez moi aussi je vis toute nue sous ma robe Laura Ashley, à circuler sur ma bicyclette à travers la ville et c’est bien bon.
Les abricotiers sont plantes hermaphrodites, c’est à dire qu’elles donnent des fruits sans avoir besoin d’être polénisées.
Quand on y pense c’est plutôt triste, non.
Mais bon, nous on n’est pas des plantes. Heureusement.
Vu qu’elle me disait ça avec ses deux pots de fleurs à la main, lesquels contenaient chacun un petit abricotier et qu’elle était elle-même toute nue ruisselante de mes arrosages. Et qu’en sus elle était toute hilare et rigolante, j’ai pensé que je me devais d’être en concordance. Alors j’ai tombé le short.
J’avoue qu’il a eu du mal à tomber vue la bandaison de mon organe qui faisait rétention.
On a placé les abricotiers côté soleil et elle a voulu les arroser au prétexte que ma terrasse était mal ombragée.
Bien entendu elle en a profité pour m’arroser abondamment la bite et la triturer en tirant sur les peaux pour dégager la tête et la nettoyer à fond, comme si cela était vraiment nécessaire…
Je lui ai donné les plants de tomates convenus mais j’avais compris qu’il me fallait respecter la charte des «voisins sympas » et lui offrir en sus un peu de tendresse.
Ce site des voisins sympas existe je crois dans plusieurs villes de France. Renseignez-vous, il y en a probablement un là où vous habitez. C’est un peu le style Bon Coin mais on n’a rien à payer en euro, on échange. Avec juste un peu de tendresse en sus. En soulte en quelque sorte. Je dirais même que c’est le genre OVS, on va sortir, mais avec prétexte bien honnête de rendre service avant de baiser. Ou après l’avoir fait…
La fille m’a dit merci pour les plants de tomate mais elle ajouta, j’ai encore bien chaud, on pourrait s’arroser encore avec votre pistolet Gardena. Je propose un jeu, un coup c’est moi qui vous arrose, le coup suivant on alterne.
J’ai sorti mon savon liquide, récupéré de chez le Club Med, pour joindre l’utile à l’agréable et se faire bien propres. Elle a tout compris et en battant des mains elle a dit, et après on se fera suçage réciproque, pipe et minette. D’ailleurs je vois là, à l’ombre du parasol, un matelas de terrasse sympathique qui nous tend les bras.
Effectivement je la trouvais sympathique cette grande fille fine bobo-écolo toute nue avec son abricot de gamine glabre dont rien ne dépassait et bronzée sans la moindre marque du maillot. En plus elle était assez conviviale.
J’ai profité du gel douche Club Med hyper glissant pour lui fourrer deux doigts dans la cougourle et lui caresser l’aine par côtés d’index et d’auriculaire. Faut croire que le savon du Club Med est boosté à l’aphrodisiaque, elle était déjà en orgasme au troisième aller retour.
De mon aspergeur pistolet Gardena en main gauche, flux réglé sur bien dru, j’ai visé sa rondelle pour ouvrir son cul et emplir à fond son ampoule rectale tandis que de main droite j’avais recueilli une grosse lampée de gel douche.
Coupant l’arrosage j’ai violé de mon grand doigt son sphincter anal. Ça lui a bien plu.
Les filles bobo-écolo sont épatantes. Elle n’a pas crié, non, juste elle a cambré les reins pour s’ouvrir plus largement et elle m’a susurré à l’oreille, va, plus besoin de préliminaires, baise moi maintenant direct sur ton matelas de terrasse. Ça ira bien.
*
Pour les abricotiers, si ta moisson n’est pas bonne, appelle moi, on verra à peut être te trouver un polénisateur bien burné pour contourner l’hermaphrodisme.
Moi j’ai compris que la fille avait bonheur à la chose et me proposait ingénument un revenez-y.
Mais quand elle est redescendue à son vélo et que nous avons ficelé les plants de tomates sur son porte-bagages, j’ai pensé en voyant la selle de vieux cuir buriné, en voilà une qui va encore prendre une bonne couche de foutre comme Barrane, cirage nutritif pour l’entretien des cuirs de qualité.
Elle est partie en danseuse monter la ruelle en pente de chez moi et je voyais dans ma tête les coulures sur ses hauts de cuisse à chaque coup de pédale avec les deux plants de tomate sur le porte-bagages.
Je pensais aux abricotiers et à leur triste destin d’hermaphrodites.
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