Petite Finlandaise
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Petite Finlandaise
Ma boîte m’avait envoyé dans cet hôtel de Val d’Isère pour réparer leur réseau WiFi qui marchait mal. Le froid, l’humidité et surtout les murs épais très isolés par des produits techniques à base de films d’aluminium gênaient fortement la propagation des ondes.
J’étais arrivé le matin et il allait me falloir plusieurs jours pour installer des prolongateurs et autres répéteurs afin de permettre à tous les clients de cet hôtel de profiter confortablement du WiFi.
Au soir la patronne m’a dit, vous avez bien bossé, allez donc en bas au sauna profiter d’un peu de relaxation avant de venir souper avec nous. En ce moment nous avons peu de clients, ce n’est pas la saison. Et puis vous pourrez aussi faire quelques longueurs dans la piscine mais attention, elle n’est pas chauffée.
Moi j’ai pensé, mais je n’ai pas emporté de maillot…
Elle a répliqué, au sauna vous resterez simplement tout nu dans votre serviette, quant à la piscine, rassurez-vous, vous serez le seul intrépide à oser se baquer et personne ne viendra vous mater.
Quand je suis descendu au sauna, la serviette en pagne sur les hanches, j’ai vu par la porte vitrée que la lumière n’était pas allumée.
J’ai ouvert la porte et le flux de chaleur m’a sauté au visage.
Je cherchais l’interrupteur d’éclairage à droite et à gauche et une voix est venue du fond obscur disant, soyez gentil de refermer la porte on se les gèle sinon. Une voix féminine claire et gaie.
Alors, j’ai obtempéré et suis entré pour m’assoir sur une clayette en bois brûlant dans la pénombre, en silence.
La fille a ajouté, vous pouvez aussi tomber la serviette, ici au sauna de Val, on sue tous tout nus et c’est bien plus sain. En plus vu qu’on y voit rien, personne ne mate personne. C’est bien ainsi.
Elle a dit, moi je suis habituée à la pénombre et vu que vous êtes assis juste en face de la porte vitrée je vois comme en plein jour votre paquet.
Venez donc ici au fond avec moi dans les obscurités ce sera plus discret que d’exposer ainsi vos atouts imposants.
On ne sait jamais … un client ou même une cliente de cet hôtel pourrait venir et s’enhardir.
Encore, je vous rassure, on est actuellement en basse saison et de clients il n’y a pas pléthore. Encore moins des gars aussi bien montés que vous.
Moi, Je bichai de ses discours.
La fille était finlandaise et se prénommait Amélya.
Elle ne portait rien. Ni brassière sur son thorax ni culotte sur son abdomen. Elle était assise sur la plus haute marche en bois du sauna toute nue et toute transpirante des chaleurs du lieu.
Elle a voulu que m’asseye à son côté en même état de totale nudité.
Elle disait, nous en Finlande on a pas de pudeur à frayer tous nus, garçons filles ensemble. Surtout au sauna et ensuite dans la neige à frottis frottas mutuels. C’est bon de bon. Même si c’est un peu froid.
Elle a dit, moi j’ai fait mon temps de sauna, je sors à la douche. Viens avec moi, on va se savonner de partout avec le gel douche de l’hôtel. Tu verras il est ultra glissant comme une lotion comme un baume.
La douche était éclairée et j’ai pu voir son corps de petite blonde râblée avec des seins larges et plats aux tétons pointus et son pubis tout frisé et épais de toison claire presque albinos.
Ma main avait empoigné son charnu et mes doigts entraient dans son creux glissant en caresse du profond remontant ensuite au bitmini proéminent tendu.
Ça lui plaisait bien et elle roucoulait sur mon épaule.
Elle, s’activait sur mon bitos pour nettoyer le gland et le sillon coronal qui pourtant étaient bien nets. Manifestement elle prenait précautions.
Revenus au sauna elle m’a fait confidences.
Elle m’a dit, nous en Finlande on est accros aux traditions de l’ancien temps. Un peu comme vous en Camargue. Les filles d’Arles se déguisent en Arlésiennes et les fêtes se déclinent autour des taureaux et des chevaux. Encierros, ferrades, fêtes des gardians, pégoulados, course de satin, fêtes votives.
Et bien chez nous Finlandais, c’est un peu pareil.
Nos traditions à nous ont un but, c’est échapper à la consanguinité. Vu que nous vivons depuis nuits des temps en fermes isolées dans les espaces immense de froidure, il est difficile de trouver diversité génétique. Alors la tradition veut que chaque fois qu’opportunité se présente on en profite à fond pour mêler nos sangs aux sangs exogènes.
Chaque fois qu’un visiteur passe par là on lui offre couvert et gîte et lui ouvre le lit de nos jeunes filles. En espérant qu’ils les féconderont pour progéniture de belle facture.
Alors faut reconnaître qu’on a bon succès dans nos fermes isolées perdues dans les neiges nordiques et nos gamines engrossées par des gars de passage fort différents de gènes et de variétés portent des enfants solides qui nous conviennent.
Alors nous les Finlandaises d’aujourd’hui, on a à cœur de perpétuer la tradition et de niquer sans retenue aucune tous les gars de passage. Sous pilule néanmoins … pour la tradition mais pas plus, quand même.
On était retournés au sauna et la fille finlandaise triturait mon zob avec ardeur et technique. Elle avait tiré bas les peaux prépuciales et caressait le gland d’un pouce affectueux. Elle serrait la hampe comme une petite fille serre son hochet pour s’endormir.
Elle m’a dit, moi j’aime le sauna car les gars bandent flaccides et c’est bien plus sympa pour les enfourner à fond de glotte que quand ils sont rigides. Moi j’aime les bites souples qui prennent les virages comme furets et s’en viennent en fond de gosier offrir leur gland glabre à malaxation dégurgitative.
En sus, c’est en cette position, quand le moment vient, que les jets spermatiques sont les plus jouissifs, giclant puissamment sur le pharynx.
Elle a ajouté, viens-t-en bouffer ma minette et boire à saciété mes sucs de fille. La chaleur du sauna est généreuse et tu auras tout ton soûl de mes sécrétions.
Moi j’étais bien content de cette rencontre d’une civilisation inuit inouïe. Sur les planches brûlantes de bois blond du sauna de cet hôtel de Val d’Isère, à peine protégé aux coudes aux genoux par les serviettes, la bite enfournée à fond de gosier par la Finlandaise je buvais son intimité généreuse et me régalais d’aspirer son petit bouton tout chaud tout lisse.
La Finlandaise a dit brusquement, maintenant on va à la piscine et on fait deux trois longueurs.
Horreur. L’eau était gelée ou presque.
Étonnamment je bandais dur long épais puissant.
Alors, sur la plage de plastique façon liner je l’ai mise, à fond et j’ai déchargé mon content ou mon comptant, je ne sais.
J’étais arrivé le matin et il allait me falloir plusieurs jours pour installer des prolongateurs et autres répéteurs afin de permettre à tous les clients de cet hôtel de profiter confortablement du WiFi.
Au soir la patronne m’a dit, vous avez bien bossé, allez donc en bas au sauna profiter d’un peu de relaxation avant de venir souper avec nous. En ce moment nous avons peu de clients, ce n’est pas la saison. Et puis vous pourrez aussi faire quelques longueurs dans la piscine mais attention, elle n’est pas chauffée.
Moi j’ai pensé, mais je n’ai pas emporté de maillot…
Elle a répliqué, au sauna vous resterez simplement tout nu dans votre serviette, quant à la piscine, rassurez-vous, vous serez le seul intrépide à oser se baquer et personne ne viendra vous mater.
Quand je suis descendu au sauna, la serviette en pagne sur les hanches, j’ai vu par la porte vitrée que la lumière n’était pas allumée.
J’ai ouvert la porte et le flux de chaleur m’a sauté au visage.
Je cherchais l’interrupteur d’éclairage à droite et à gauche et une voix est venue du fond obscur disant, soyez gentil de refermer la porte on se les gèle sinon. Une voix féminine claire et gaie.
Alors, j’ai obtempéré et suis entré pour m’assoir sur une clayette en bois brûlant dans la pénombre, en silence.
La fille a ajouté, vous pouvez aussi tomber la serviette, ici au sauna de Val, on sue tous tout nus et c’est bien plus sain. En plus vu qu’on y voit rien, personne ne mate personne. C’est bien ainsi.
Elle a dit, moi je suis habituée à la pénombre et vu que vous êtes assis juste en face de la porte vitrée je vois comme en plein jour votre paquet.
Venez donc ici au fond avec moi dans les obscurités ce sera plus discret que d’exposer ainsi vos atouts imposants.
On ne sait jamais … un client ou même une cliente de cet hôtel pourrait venir et s’enhardir.
Encore, je vous rassure, on est actuellement en basse saison et de clients il n’y a pas pléthore. Encore moins des gars aussi bien montés que vous.
Moi, Je bichai de ses discours.
La fille était finlandaise et se prénommait Amélya.
Elle ne portait rien. Ni brassière sur son thorax ni culotte sur son abdomen. Elle était assise sur la plus haute marche en bois du sauna toute nue et toute transpirante des chaleurs du lieu.
Elle a voulu que m’asseye à son côté en même état de totale nudité.
Elle disait, nous en Finlande on a pas de pudeur à frayer tous nus, garçons filles ensemble. Surtout au sauna et ensuite dans la neige à frottis frottas mutuels. C’est bon de bon. Même si c’est un peu froid.
Elle a dit, moi j’ai fait mon temps de sauna, je sors à la douche. Viens avec moi, on va se savonner de partout avec le gel douche de l’hôtel. Tu verras il est ultra glissant comme une lotion comme un baume.
La douche était éclairée et j’ai pu voir son corps de petite blonde râblée avec des seins larges et plats aux tétons pointus et son pubis tout frisé et épais de toison claire presque albinos.
Ma main avait empoigné son charnu et mes doigts entraient dans son creux glissant en caresse du profond remontant ensuite au bitmini proéminent tendu.
Ça lui plaisait bien et elle roucoulait sur mon épaule.
Elle, s’activait sur mon bitos pour nettoyer le gland et le sillon coronal qui pourtant étaient bien nets. Manifestement elle prenait précautions.
Revenus au sauna elle m’a fait confidences.
Elle m’a dit, nous en Finlande on est accros aux traditions de l’ancien temps. Un peu comme vous en Camargue. Les filles d’Arles se déguisent en Arlésiennes et les fêtes se déclinent autour des taureaux et des chevaux. Encierros, ferrades, fêtes des gardians, pégoulados, course de satin, fêtes votives.
Et bien chez nous Finlandais, c’est un peu pareil.
Nos traditions à nous ont un but, c’est échapper à la consanguinité. Vu que nous vivons depuis nuits des temps en fermes isolées dans les espaces immense de froidure, il est difficile de trouver diversité génétique. Alors la tradition veut que chaque fois qu’opportunité se présente on en profite à fond pour mêler nos sangs aux sangs exogènes.
Chaque fois qu’un visiteur passe par là on lui offre couvert et gîte et lui ouvre le lit de nos jeunes filles. En espérant qu’ils les féconderont pour progéniture de belle facture.
Alors faut reconnaître qu’on a bon succès dans nos fermes isolées perdues dans les neiges nordiques et nos gamines engrossées par des gars de passage fort différents de gènes et de variétés portent des enfants solides qui nous conviennent.
Alors nous les Finlandaises d’aujourd’hui, on a à cœur de perpétuer la tradition et de niquer sans retenue aucune tous les gars de passage. Sous pilule néanmoins … pour la tradition mais pas plus, quand même.
On était retournés au sauna et la fille finlandaise triturait mon zob avec ardeur et technique. Elle avait tiré bas les peaux prépuciales et caressait le gland d’un pouce affectueux. Elle serrait la hampe comme une petite fille serre son hochet pour s’endormir.
Elle m’a dit, moi j’aime le sauna car les gars bandent flaccides et c’est bien plus sympa pour les enfourner à fond de glotte que quand ils sont rigides. Moi j’aime les bites souples qui prennent les virages comme furets et s’en viennent en fond de gosier offrir leur gland glabre à malaxation dégurgitative.
En sus, c’est en cette position, quand le moment vient, que les jets spermatiques sont les plus jouissifs, giclant puissamment sur le pharynx.
Elle a ajouté, viens-t-en bouffer ma minette et boire à saciété mes sucs de fille. La chaleur du sauna est généreuse et tu auras tout ton soûl de mes sécrétions.
Moi j’étais bien content de cette rencontre d’une civilisation inuit inouïe. Sur les planches brûlantes de bois blond du sauna de cet hôtel de Val d’Isère, à peine protégé aux coudes aux genoux par les serviettes, la bite enfournée à fond de gosier par la Finlandaise je buvais son intimité généreuse et me régalais d’aspirer son petit bouton tout chaud tout lisse.
La Finlandaise a dit brusquement, maintenant on va à la piscine et on fait deux trois longueurs.
Horreur. L’eau était gelée ou presque.
Étonnamment je bandais dur long épais puissant.
Alors, sur la plage de plastique façon liner je l’ai mise, à fond et j’ai déchargé mon content ou mon comptant, je ne sais.
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