Le Maillot

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le Maillot Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2022 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Le Maillot
La fille, esthéticienne, blonde vaporeuse pas trop intello, me dit moi je suis toute nette du bulbe, vous voulez voir ?
Mais je reconnais avoir peu d’appétence pour ces déboisages de la colline. En sus, l’abricot de gamine des autres, très peu pour moi.
Alors la blonde esthéticienne a dû garder ses trésors par de-vers elle.
Moi, j’étais juste venue à cet institut pour me faire faire les pieds, ongles rouges en semi-permanent. Pas du tout pour dégager mes pilosités.

Faut dire que mes pilosités personnelles sont attrayantes et qu’aucun de ceux qui les connaissent n’envisagerait honnêtement me les ôter.

*
Ce n’est pas normal, ça, de circuler tout nu dans la rue. Les bêtes, oui. Les chiens par exemple circulent tout nus dans la rue. Et personne n’y trouve à redire.
Les chevaux aussi.
Et pourtant les chevaux sont bêtes nobles. Et bien les chevaux eux aussi circulent tout nus dans la nature.
Ne vous déplaise.

Et bien non, je ne sais pas pourquoi, mais nous, êtres humains, ne devons pas circuler tout nus dans les rues.
Est-ce que moi je circule toute nue dans ma rue ? Au risque d’être matée par le voisin ? Dans la rue ? Et bien non.
Pour circuler dans ma rue, je me vêts.

Petite robe d’été. Je cache un peu je montre beaucoup. Cuisses fines bronzées. Tant si bronzées qu’on ne sait pas au juste jusqu’où elles le sont.
Si vous saviez… Pour bronzer à la plage au soleil, nous les filles de la ville, n’avons aucune retenue en tous cas pas de maillot pas de culotte. On bronze à fond. La brassière on connaît pas. La seule ombre au tableau c’est la touffe qui va marquer. Trop marquer en fin d’été à l’automne au retour des plages.

Tout ça pour vous dire que moi je vaque néanmoins en habitude nue de nue dans mon salon à mon balcon à la ville et que c’est bon de bon que d’être toute nue en toute simplicité à sa maison.
Comme une chatte.
Une chatte, elle, elle est toujours toute nue, une jolie chatte, chartreuse toute grise gracieuse.
Il est vrai qu’une chatte c’est toujours tout habillée de pelage soyeux doux à caresser. Et chaud. Et ça ronronne une chatte pelotonnée sur vos genoux en rond.

C’est peut-être pour ça qu’on nomme ce lieu des filles, avec tendre toison, la chatte.

Moi je garde ma touffe toutes saisons. Tant pis pour les garçons qui vont encore me surnommer Néandertale et me faire réputation sulfureuse de Gothique.
Et rechigneront à me pourlécher le bitmini et les chairs tendres et roses au prétexte qu’elles seraient trop velues. Ceci est d’autant plus vexant qu’ils prétendent, eux, à pipes, sans vergogne de leur longue bite poilue, des couilles jusqu’au gland, hampe couverte de longs poils fortement goûteux.

En sus, velue, moi je le suis vraiment. Mes fesses elles aussi sont couvertes de poils et mon abdomen est ainsi tout doux tout tendre tout fin. Tout ouvert à la caresse du devant et du derrière. Ce qui ne gâte rien.

Alors pensez au succès que j’ai dans mon quartier de fille toute nue qui passe et rapasse aux porte-fenêtres de mon étage en habit de nuditude fortement poilue.

Les garçons se pressent aux balcons alentours.

Ce qui plait le plus, ce n’est pas mon pubis largement habillé de toison épaisse qui cache discrètement mes secrets non plus que mes hauts de cuisse couverts jusqu’à mi-hauteur de poils longs et fins comme duvet presque transparent. Non, ce qui plait aux gars, ce sont mes fesses, mes petites fesses de fille sportive qui lieu d’être toutes roses toutes fraîches toutes propres sont vêtues de noire fourrure comme une fine chevelure largement couvrante et bien régulière mais malheureusement pas bien épaisse.

En plus, je ne vous l’ai pas dit, mais j’adore les caresses faites à mes fesses par les mains divines de mes partenaires. Partenaires de tendresse, rarement genrés. Filles garçons, du moins les trois quarts du temps.

Enfin juste pour vous dire que moi j’aime ça.

Mais comment ne pas aimer ces mains qui passent en caresses légères dans ma fine chevelure de fesse, qui s’égarent en fond de craque dans le moite le profond le vrai velu vêtu, lui, de poils longs et frisés. Un doigt effleurant mon cul, deux autres en visite protocolaire à ma vulve palpitante et trempée. Le bonheur absolu.

En plus je vais vous dire mais mes fesses et leur fine toison sont attraction qui attire les foules. Vous n’imaginez pas le nombre inouï d’impétrants qui s’intéressent à mon cul, le veulent voir toucher admirer et surtout, bonheur pour moi, en finalité l’enfiler.

D’un doigt mouillé timide, majeur, ou mieux d’une bite dure fine longue étroite mais déterminée.
Il est vrai que, pour visite de la porte étroite, la modestie est souvent préférable. Parfois à l’écriveur au narrateur prend l’envie de lier l’histoire qu’il vient d’écrire à un vécu personnel sympathique.
Relier le roman aux bribes de réalité qui l’ont plus ou moins un peu suggéré.

Souvent c’est le contraire qui se produit et c’est le roman, l’histoire inventée, qui viennent faire surgir du lointain passé l’aventure la rencontre oubliée. Et le sourire vient à l’auteur à revivre un peu sa jeunesse son passé, ses amours oubliées.

De cette histoire que vous venez de lire me sont revenus en mémoire, parfaitement précis, les éléments du réel vécu qui l’ont inspirée.

Je m’en vais vous les conter, même si c’est un peu impudique, un peu indiscret. Vous allez voir, c’est intéressant de voir comment le vécu est transformé par la Muse du conteur en roman parfaitement anonyme.


Paris 1972, début d’été, études terminées en vague recherche d’un boulot. Un peu en vacances, encore un peu étudiant avec ma piaule au sixième sans ascenseur ni douche, WC sur le palier, mangeant midi et soir au resto U, heureux de mon diplôme et des promenades pédestres à travers ce Paris éblouissant le provincial Petit Chose que j’étais.

J’avais préféré rester l’été à la capitale plutôt que de rentrer chez moi.

Un midi, au resto U Bullier à Port Royal je vois un groupe d’une quinzaine de filles étrangères et parmi elles, une cheveux courts blonde de blé visage rieur espiègle grande qui me plait qui me fascine.

Je me faufile je m’immisce je m’incruste et je me retrouve habile assis avec mon plateau en face d’elle.
Manque de pot elle est Polonaise et ne parle rien de civilisé. Pas de français, pas d’allemand, pas d’anglais. Que le polonais, le russe, l’ukrainien.

Je comprends que j’ai tiré un mauvais numéro. Peut-on sauter une fille sans pouvoir lui dire gentillement préalablement qu’on va le faire parce qu’on en a envie et que la vie c’est chouette?

Mais étonnamment ni l’un ni l’autre n’étions gênés de la situation. On avait compris sans causer qu’on allait finir dans les bras l’un de l’autre et on se souriait avec bienveillance.

La guide, qui, elle, parlait français, a su que ça collait entre nous. Elle m’a dit, cet aprèm on va à la piscine, c’est planifé par le parti. Mais vous allez devoir m’aider car j’ai un problème.
Chez nous le bonnet est obligatoire aussi toutes les filles ont un bonnet dans leur bagage et moi aussi. En revanche dans les pays de l’est, en Russie et autres possessions soviétiques le maillot de bain est inutile superflu. Nous on se baigne en piscine comme en mer du Nord Baltique ou Noire toujours toutes nues, fente et poitrails libres de toute entrave.
Aussi aucune d’entre nous n’a apporté en bagage de maillot et moi non plus je n’en n’ai pas.

Alors je m’interroge sur l’accueil qui nous sera réservé à Deligny. Surtout que nous filles de l’est n’avons pas habitudes à débroussaillage de touffe en institut laser ou même pommade Veet. Nous on est comme en préhistoire, Cro Magnon intégrales.
Même que nos copains disent qu’on a la nomenclatura épaisse et soyeuse. Et ils aiment bien ça.

Bon tout cela ne résout pas le problème.

Moi je pensais, à Deligny, piscine sur la Seine sous soleil d’été avec petites Parisiennes en bikini mini, quand ils vont voir débarquer sur les planches Deauville les filles de Pologne avec leurs aisselles velues à la portugaise et en sus à poil de chez poil en épaisseur généreuse de pays nordique, protection des rigueurs du climat de là bas, ils vont disjoncter.

J’ai recommandé à la guide d’emmener son cheptel visiter le Louvre plutôt que de déclencher scandale à Deligny.
Ma nouvelle copine et moi, on a filé en douce visiter ma piaule du sixième dans le treizième.

Là j’ai compris que le système soviétique avait de gros avantages.
La fille a levé les fines bretelles de sa robe de bure façon Laura Ashley et l’a laissé couler sur ses chevilles. C’est à ce moment que je l’ai vue toute nue. Car o surprise les Polonaises manifestement ne portent rien en dessous que leur épaisse pilosité. Et rien non plus au dessus d’icelle.

Pas de brassière pas de soutif, non, rien que leur joli sein blanc pommelant tout rond avec mamelon rebiquant et téton rose pointu qui vous regarde par en dessous.

Pas de culotte non plus que de slip pour empaqueter leur touffe sombre. Étonnamment sa touffe était sombre brune lors que sa chevelure claire aurait pu faire penser qu’elle serait blonde de pubis. Et bien non.
Moi j’avais eu des brunes à touffe brune, des blondes à touffe blonde et même une fois une rousse fille du nord de la Belgique dont la fente était couverte d’une toison carotte du meilleur effet.

Alors pensez ma déconvenue.

Bon, passons sur ces concordances des temps qui ne concordent pas. Ma première surprise fut qu’elle ne portait aucun dessous. Elle n’avait pas l’air d’y accorder importance et s’échignait dorénavant, à genoux, à abaisser le zip de ma braguette.
Manifestement elle était plus rompue à faire sauter les boutons qu’à cette technologie nouvelle de zip éclair occidental.
Je comprenais que cette fille de pays soviétique avait d’autres habitudes que les nôtres. Coutumes différentes. Mais je trouvais néanmoins sympa que si vite elle ait été à genoux à s’occuper de ma braguette. La mondialisation est manifestement en route et tout près d’aboutir.

Elle a abouti et a dit hourra dans sa langue imbitable et étonnamment je l’ai compris. Faut dire que mon engin alors déjà très tendu s’est fait bonheur à jaillir direct entre ses lèvres et qu’elle a d’une paume habile dégagé les peaux prépuciales pour engober le gland glabre tout enduit de préséminal sucré et goûteux.

Les filles de l’Est sucent bien.
Aussi bien sinon mieux que les filles d’Oklahoma ou du Wisconsin.

Faudra voir next time les gamines à chaussettes blanches du Japon… il paraît qu’elles sont bonnes elles aussi. A fond de gosier.

Pour en revenir à l’histoire vécue que je vous rapporte, la Polonaise a voulu que je décharge ma cargaison et l’a traie jusqu’à qu’au dernier millilitre. Elle a dit, bouche pleine, des choses mais je n’en n’ai pas saisi l’exacte signification. J’ai néanmoins compris que ce qu’elle avait pris de ma fourniture n’irait pas aux soviétiques. Le partage serait à l’exclusive de la Polonaise. Poland for ever. Enfin, je ne cherchais pas à comprendre, elle avait tout avalé et j’étais en parfaite sérénité. Enfin pour vous dire, j’étais bien.

Toute nue dans ma chambrette elle était superbe. Surtout avec ce regard gentil les yeux braqués sur ma quique.
Elle avait des poils partout. Tout noirs tous ces poils lors qu’elle était de belle chevelure blonde claire.

Moi, j’étais content et je n’ai fait aucune remarque d’autant que je me doutais qu’elle n’en comprendrait rien.
Le plus chouette, c’était ses fesses.
Alors j’y ai passé la main, comme quand on caresse une chatte.
C’était doux.
Elle n’a rien dit. De toutes façons, quoique qu’elle eût dit je n’en n’aurais rien compris.
Mais quand mes doigts groupés ont glissé sur son cul elle a gémi et on s’est tous deux compris comme étant de même espèce de même nature de même race, pareils.

Voilà, vous savez tout d’où est venue cette histoire que je vous ai contée préalablement. Et je suis bien content de vous l’avoir raconté. C’est comme qui dirait, forme de vérité.

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Texte coquin : Le Maillot
Histoire sexe : Une rose rouge
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