Une Grande

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une Grande Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Une Grande
En fait, c’était une Grande, juste ça.
C’était la copine de ma voisine. Elle était venue par hasard en passant on sait pas pourquoi, la visiter. Et moi qui traînais là pour un service à rendre à la dite voisine j’avais bien aimé chez cette grande ses rires et son air intello pas trop catho pas trop coco mais juste presque.
Une fille bordelaise standard qui jouait sa branchée.

Elle était grande et mince mais lourdement nibarrée. Une fille fine avec forte poitrine c’est plaisant. Et moi ça me plaisait.
Mais vu que c’était une grande, je n’osais pas trop.
Mais je pensais quand même … je me disais aque si.

Moi je n’avais guère d’expérience de sexe et mon idée était que si cette grande voulait bien et bien moi aussi je voudrais aussi. Histoire de pas mourir idiot. Enfin pas trop idiot, un peu éclairé, quoi.

Et cette grande, voyez-vous, elle était du genre à éclairer le gamin un peu obscur, de ses luminosités à elle. Sorte de Pygmalion. Le René de Céline à l’envers … si vous voyez.

J’en étais là de mes pensées et j’étais tout timide tout intimidé. Mais quand même je bandais.
Nous, à Bordeaux, je sais pas pourquoi, mais on bande d’abord on pense après. C’est notre nature à nous, les garçons d’Aquitaine, de Guyenne. Même peut-être aussi de Gascogne.

Bon, pour tout vous dire, une fin d’après-midi je suis allé chez elle. Parce-que j’étais de passage dans son quartier des Chartrons. Je venais d’acheter un ampli d’occase à un mec du coin, un Parpaillot électronicien. L’ampli était ficelé de sandows sur le porte-bagage de mon vélo. Et moi, guilleret, je pensais à ses gros machins qu’elle avait par devant et je me disais, je suis là à sa maison, je gare le vélo je sonne je monte et va la vie. Calda é la vita.

Quand même j’étais inquiet pour l’ampli, là sur le porte-bagage du vélo garé bêtement dans la rue.
La fille est descendue m’ouvrir l’huis, une grosse porte de bois sombre. J’avais ôté mes pinces de cheville et les avais enfouies dans les poches de mon pantalon.
Elle était contente de me voir et moi j’étais timide mais mon enthousiasme pour ses gros nichons s’exprimait par mes yeux braqués sur son chemisier blanc gonflé sous la veste bleu marine de fille bordelaise.

J’ai cessé de m’inquiéter pour l’ampli sur le porte-bagage du vélo. Et j’ai souri à la fille.
Pourtant l’achat de cet ampli m’avait coûté de longs mois d’économies sur mon maigre argent de poche. Et cet ampli était important pour ma guitare et mes ambitions musicales.

La fille m’a mené à sa chambrette aux étages de toiture. Elle m’a dit, je suis juste petite pensionnaire chez ces Bordelais de haute volée, étudiante en mansarde avec fenestron qui ouvre sur la vie de la ville les chaleurs du printemps et les rumeurs de la rue.
Elle m’a dit merci d’être venu me voir. Moi je suis fille de campagne maraîchaire, du Lot et Garonne.
Vois ma couche est tout étroite et sera, pour deux, difficile. Difficile pour s’endormir.

Mais, a-t-elle ajouté, es-tu venu me visiter pour dormir ?
Ou seulement pour baiser ?

Moi, j’étais trop jeune trop inexpérimenté pour comprendre ces languages. Moi, juste je bandais à mater ses nibars ultra gonflés.

Elle a tout compris et m’a attrapé le paquet dans le jean et elle serrait.

Et moi, comme un con, je pensais juste à mon ampli serré de sandows sur le porte-bagage du vélo.
Un bel ampli. D’occase oui mais quasi neuf m’avait assuré l’hérétique qui en sus habitait rue Notre Dame, jolie facétie bordelaise de l’évêché.

Cette réticence, cette retenue de ma part ont eu bon effet sur cette grande qui a voulu se surpasser et montrer au jeunot, qu’elle avait de la technique et bonne efficience. Une autre Brigitte quoi… Tu seras mon Emmanuel, je serai ta Brigitte.

Alors elle a fait sauter le bouton de laiton de ceinture du jean et puis, en suivant, ses frères, les boutons plus modestes dits de braguette.
Vrai, je ne savais pas qu’il y avait sur un simple jean autant de boutons de braguette et que chacun en sautant me procurerait autant de bonheur.
C’est sympa un bouton de braguette quand ça saute. Mieux encore qu’un bouchon de champagne.

Le dégrafage s’est fait rapidement et quand il a été fait mon long zob trop confiné dans les étoffes serrées s’est brusquement échappé du calbut pour jaillir comme à ressort au visage de la grande.
Laquelle, à ma grande surprise, l’a immédiatement enfourné de bouche happeuse et de gosier profond malaxant en déglutitions.

Je ne vous raconterai pas la suite qui m’a fait honteusement décharger mes belles provisions pour l’hiver en longues giclées généreuses au fond de sa gorge.

Puis, me laissant reprendre contenance, elle a passé ses deux mains sous la jupe plissée bleu marine et descendu une petite culotte toute blanche sur ses chevilles.
Elle s’est retournée et sans un mot quant au mode d’emploi m’a présenté sa croupe.

Moi j’étais l’oie blanche, le novice.
Je ne savais quel orifice choisir. Le petit soleil strié du dessus ou bien le large dindon rose sombre palpitant d’en dessous ?

Vrai, j’hésitais, en expectative de puceau véritable.

Mais en jeunes années on n’hésite jamais très longtemps.
Ma décision fut simple. J’enfilerai d’abord le compliqué velu de volutes multiples et puis, en seconde main le clair orifice glabre et luisant, étroit mais brillant de bon accueil.

Ainsi fut fait et la grande était maintenant repue, contente. Souriante.

Et je suis alors vite redescendu à mon vélo et moi aussi je fus bien content car personne n’avait chouravé mon ampli.

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Texte coquin : Une Grande
Histoire sexe : Une rose rouge
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