C’est très agréable de travailler le code - histoire érotique

Dès que j’ai eu l’âge j’ai passé mon permis de conduire et j’ai incité tous mes amis à en faire autant. Du coup je les ai souvent aidé à préparer le code.

Un jour, à la fac, Lucille vient me demander de l’aider pour le code. Je ne la connais pas bien, on s’est vu à quelques fêtes, elle me plait beaucoup physiquement mais je n’ai jamais rien tenté parce qu’elle a un mec.
Je lui propose de commencer à réviser tout de suite après notre cours d’éco. Elle a un cours de droit ensuite donc elle me propose de la retrouver chez elle pour 18 heures comme ça elle m’offrira l’apéritif après pour me remercier.

Je me pointe chez elle à l’heure convenue avec mon livre de code, elle me fait rentrer. Lucille s’est changé depuis nos cours alors que je suis toujours en bermuda et t-shirt. Maintenant elle porte une robe noir en cuir, ses cheveux blonds sont attachés en chignon, ses yeux verts tachés de marron son encore plus magnifique et elle s’est légèrement maquillée. J’espère que c’est de bonne augure.

On s’installe autour de la table dans la pièce à vivre, elle est assise autour de la table et je suis souvent debout. Nous revenons sur tout: distance de sécurité, vitesse, panneaux de signalisation… elle en connait presque tout.
Entre 2 questions Lucille me dit:
« J’ai froid aux épaules, tu veux bien me les réchauffer? », vu le gabarit de son mec je ne la réchauffe pas avec mes mains comme je le voudrais mais je lui prête ma veste en jean.
Pendant que je fais les cents pas derrière elle, Lucille balance régulièrement ses bras en arrière et en profite pour me caresser les cuisses mais aussi les fesses.
Maintenant ses intentions sont clairs et je dois dire que la tension érotique, que j’ai senti dès mon entrée chez elle, augmente d’un niveau. Mais comme son mec ne me sort pas de la tête je me concentre sur le but de ce moment qui est lui faire réviser le code.
Je me tiens debout à côté de Lucille et elle me demande:
« Et si je fais ça il se passe quoi? », elle pose sa main sur mon entre jambe. Je ne sais pas quoi répondre, par contre sa main qui était immobile commence à me caresser la bite qui n’était totalement endormie mais se réveille et gonfle. Lucille doit prendre mon érection pour une invitation car elle continue de me masser.

Elle pose son autre main pour défaire ma ceinture mais je l’arrête et lui dit:
« Et ton mec? », elle repousse ma main et continue à ouvrir mon pantalon en m’expliquant que c’est fini depuis 2 semaines et qu’elle est en manque de sexe depuis. Elle descend lentement mon pantalon et tombe nez à nez avec mon slip blanc, j’avais pas prévu de me retrouver à poil devant une fille alors je le baisse rapidement.
Lucille commence à me branler doucement du bout des doigts mais seulement sur ma tige, je crois qu’elle fait exprès d’éviter mon frein et mon gland. Elle ne doit pas trop avoir l’habitude de branler les mecs parce qu’elle fait à peine plus que m’effleurer alors je décide de l’aider en lui disant de mettre plus de pression autour de ma queue. Ce qui a pour faire immédiat de me faire un peu plus gonfler. Puis je lui demande de faire des plus grands mouvements et plus rapide. Maintenant c’est beaucoup mieux et ma bite est tendue au maximum.

Sa main se ballade vraiment bien sur moi et son autre main touche mon pubis et couilles complètement épilés (j’avais envie d’essayer et ça à l’air de lui plaire). Sa langue se balade autour de ses lèvres ce qui me donne encore en plus envie qu’elle goute à mon sexe comme j’ai envie de gouter le sien. J’allais lui demander de me sucer quand Lucille entre ouvre les lèvres et dirige mon gland vers sa bouche. Ella avale que mon champignon, compresses ses lèvres autour de mon frein et reste un moment immobile sauf sa main qui continue de me malaxer les couilles.

J’ai envie qu’elle m’enfonce jusqu’à sa gorge mais je crois qu’elle fait exprès d’attendre pour augmenter mon désir. Puis au bout d’une minute, qui m’a semble être une éternité, elle commence à faire tourner sa langue autour de mon gland, elle passe de partout la sensation est divine. Ensuite elle m’enfonce de plus en plus dans sa bouche tout en continuant à faire tournoyer sa langue. C’était la première fois que l’on me suce comme ça et rien que ça me suffirait pour me rappeler d’elle à vie.
C’est comme une spirale infernale qui part de mon gland pour atteindre la base de ma bite. Je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Je la laisse continuer pendant plusieurs longues minutes sa gâterie quand je lui dit:
« A toi Lucille, j’ai envie de partir à la découverte de ta grotte secrète. »
Pour toute réponse elle soulève sa robe noir et laisse découvrir son petit string blanc que je vois déjà taché. L’humidité laisse apparaitre quelques poils bruns (c’est donc une fausse blonde). Je commence par lui laper la chatte et son petit bouton à travers le tissu puis je le pousse du bout de la langue pour découvrir entièrement son sexe qui brille déjà de plaisir.

Je plonge la tête la première sur son clito que je lèche, suce, aspire et mordille. L’effet est immédiat car elle colle une de ses mains sur ma tête pour augmenter le contact et se met à gémir de plus en plus fort. Au bout de quelques minutes de ce traitement Lucille me dit:
« Arrêtes sinon je vais jouir », je continue quand même en approchant deux doigts de sa fente mais elle me repousse et me dit
« Baise moi! » sur un ton très directif.
Je me lève, je ramasse ma veste quand elle me demande si je pars, au lieu de lui répondre j’ouvre devant elle le préservatif que je viens de prendre et je le déroule le long de ma queue excitée à fond. Après avoir enlevé mon t-shirt je la déshabille entièrement, je découvre ses seins qui paraissent bien plus gros que quand elle est habillée. Ensuite je l’attrape par le bras pour l’emmener jusqu’au canapé derrière moi.

Je m’assoie et la fais m’enjamber face moi pour que nous puissions nous regarder bien dans les yeux. Je trouve cette position extrêmement chargé d’érotisme. J’empoigne ma bite pour qu’elle soit en bonne position et Lucille s’empale doucement sur moi jusqu’à ce que ses fesses soient sur mes cuisses. Mes gestes sont fougueux et rapide mais très précis.
Elle quitte mon regard pour pencher sa tête en arrière et reprend ses gémissement sonore. Dans cette position ses seins sont juste en face de mon visage du coup je pose ma bouche sur l’un de ses tétons que je commence à butiner. Puis je passe de l’un à l’autre en accentuant de plus en plus mes pressions de langue.
Sans lâcher ses seins je m’enfonce le plus profondément possible en elle et je l’immobilise. Lucille commence des mouvements d’avant en arrière alors que j’empoigne chacune de ses fesses. Je les écarte et je rapproche tout doucement mes doigts de son petit trou. J’ai envie qu’elle soit totalement à moi et je lui fait comprendre.
Avec mon majeur je lui titille la rondelle, qui s’ouvre rapidement et j’ai à peine le temps d’y introduire ma deuxième phalange que je sens son vagin se contracter autour de ma queue. Lucille accélère ses mouvements qui reste pas trop brusque pour pas que mon doigt sorte et elle part dans un orgasme très sonore.

Avant de totalement redescendre de son nuage elle se soulève, ma queue quitte sa chatte dans un gros bruit. Je retire mon doigt doucement et abandonne ses fesses mais je la fais se pencher en avant. Elle plante sa tête entre les coussins, se cambre bien et je viens me placer derrière elle.
J’écarte les jambes de Lucille, je place ma langue sur son clito que je titille quelques instants et je remonte pour laper ses lèvres et je m’arrête après avoir bien lécher son petit trou. Elle aime ça puisque ses mains écartent ses fesses pour me donner un meilleur accès. Il ne m’en faut pas plus pour recommencer et même plusieurs fois.
Tous ses trous sont bien ouvert maintenant et malgré tout je refais encore 2 passages de langue. Puis je fais la même chose mais avec mon gland en insistant sur chacun de ses trous jusqu’à ce que je m’enfonce entièrement dans sa chatte dégoulinante. Dans cette position j’ai l’impression d’aller encore plus profondément en elle.
Je la ramone le plus largement possible en me frottant bien contre sa paroi supérieure. Je ne sais pas ce qui me prend mais je commence à lui donner une fessée. Vu ses gémissements quand ma main s’est abattu sur son derrière je recommence et son plaisir se manifeste de plus en plus fort.

J’abandonne son fessier pour titiller sa rosette. Mon index y rentre comme du beurre donc rapidement mon majeur vient se rajouter. Je ramone ses deux trous au même rythme mais par alternance. Avec mes doigts dans son cul je caresse ma bite à chaque passage entre la fine paroi qui les sépare. Vu ses cris de plaisir, elle apprécie autant que moi.
De tempes temps je sors entièrement ma queue de son sexe pour encore mieux la pénétrer et la posséder. Maintenant c’est elle qui m’en redemande jusqu’à ce qu’elle parte dans un dernier orgasme encore plus sonore que le premier.
J’avais envie que l’on vienne ensemble mais ce ne sera pas le cas. Je retire mes deux doigts de son cul tout en continuant à ramoner sa moule. Puis je ralentis le rythme dans sa chatte et me retire entièrement. Je pose mon gland sur son oeillet que je commence à masser et quand je mets une pression sur son petit trou elle m’arrête et me dit:
« Pas cette fois ».
Elle en profite pour se retourner, elle fait valser la capote et me gobe en faisant tourner sa langue autour de son sexe comme tout à l’heure. je ne vais pas encore tenir très longtemps à ce rythme alors je la préviens. Elle me fait sortir de sa bouche, empoigne ma queue et commence à me malaxer brutalement le frein avec son pouce et son ongle. Bien qu’elle dirige mon gland vers sa poitrine elle donne régulièrement des coups de langue sur mon méat jusqu’à ce que je recouvre sa poitrine de 4 très généreuses giclées de sperme.

Une fois nos esprits repris nous nous rhabillons, nous prenons l’apéro tout en nous pelotant sous nos habits. Nous sommes restés toute la nuit à « étudier » …