Camping sauvage Ep 01 Un campeur isolé

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Camping sauvage Ep 01 Un campeur isolé Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Camping sauvage Ep 01 Un campeur isolé
Camping sauvage Ep 01
Un campeur isolé


Il y avait un parking à l'entrée du parc, j'y avait laissé ma voiture. Le reste du voyage je le ferais à pied, et c'est chargé comme une bourrique que je continuais. C'était un endroit sauvage, le camping était autorisé mais à condition de se déplacer à pied. Il n'y avait pas d'animaux sauvages, à part les ours et les loups … ainsi que différentes autres bestioles plus ou moins carnivores … Oups . Je viens de comprendre que quand on m'avait dit pas d'animaux sauvage, on s'était moqué de moi !

Et c'est donc plein de courage ou d'inconscience que je suivais le chemin principal pendant … je sais pas moi mais ça devait durer … des kilomètres, oué, des kilomètres, et plus d'un. J'étais arrivé le matin, on était dans le milieu de l'après midi et je marchais, je marchais, je marchais même tellement que j'avais l'impression d'être perdu. Heureusement, nous vivons une époque bénie ou le GPS nous indique instantanément ou on est.

Et moi j'étais très exactement … Heu … Au milieu de nulle part !

Je suivais un chemin en me disant qu'il devait bien conduire quelque part, enfin probablement, mais j'étais pas sûr. C'est à peu près à ce moment que j'ai cru apercevoir une tente. J'étais pas sûr là non plus ( oui je sais mais là je n'étais plus sûr de rien sauf d'être perdu ), elle était verte donc peu visible mais quand quelqu'un en sortait, là je voyais mieux, surtout qu'il portait une chemise rouge, genre chemise de bûcheron.

Je me cachais derrière un buisson comme si je voulais jouer les voyeurs, mais je vous jure c'était un réflexe, c'était pas prémédité. Il retirait son bermuda, il avait un beau bermuda avec plein de poches, genre aventurier. Une chemise rouge qui semblait bien douillette et qui se voyait de loin dans ce monde végétal.

Il retirait sa chemise et se dirigeait vers un arbre. Je remarquais alors qu'il y avait suspendu un gros sac qui semblait être une douche de voyage, enfin je ne sais pas si ça s'appelle comme ça, mais c'est ce que c'est. On rempli le gros sachet d'eau, on le laisse au soleil toute la journée et le lendemain matin on a une douche tiède. Il faudra que je m'en achète une …

j'avais vu juste, c'était une douche. Il y avait un petit tuyau et au bout un mini pommeau pour se mouiller. Ça devenait intéressant cette affaire. Il était bien bâti. Épaules larges, fourrure généreuse, bras épais comme j'aime. D’où j'étais je ne pouvais pas voir comment ça se passait sous sa ceinture mais déjà la partie haute était très agréable à regarder.

Il se mouillait rapidement le torse, je ne loupais rien, venait ensuite le gel douche, il économisait l'eau, sa réserve était limitée. Il se caressait le torse, les bras puis passait à la partie inférieure. Je me relevais pour mieux voir et là, c'était la surprise. Il n'était pas seulement bien bâti, il était bien monté aussi et sous l'effet de ses caresses il commençait à bander.

Là, ça devenait intéressant. Il se savonnait les jambes également, il s'attardait sur ses fesses. Puis il se rinçait, j'étais un peu surpris, on arrive vraiment à prendre une douche avec si peu d'eau. Il était beau comme un dieu, et là j'ai du marcher sur un petit bout de bois et ça a fait crac, et il a regardé dans ma direction, il m'a vu et il m'a gueulé dessus.

Ça c'était pas prévu !

Comme il m'engueulait fort, j'ai paniqué et j'ai préféré me sauver. Je me retournais donc, le haut de mon sac à dos se prenait dans les branches d'un arbre et me retenait. En plus je me prenais les pieds dans des branches au sol et m'étalait par terre, mon sac à dos sur moi … J'étais sonné !

Quelques instants plus tard, je me soulevais sans rien faire, j'étais sonné et je ne comprenais pas tout de suite. C'était le mec, il me soulevait, il avait attrapé mon sac et le soulevait, comme il était accroché à mon dos je suivais.

– Alors on joue les voyeurs ?
– Heu oui Msieu, je voulais dire non Msieu.
– C'est bien moi que tu regardais.
– Oui Msieu, non Msieu. Je passais par là et …
– Et quand tu m'as vu tu t'es planqué pour mater !
– Oui Msieu, heu non, je voulais dire non Msieu. Je me suis juste caché pour qu'on ne me voit pas !

Il me remettait sur mes pieds, il était super costaud le mec. Il levait les yeux au ciel. Mes réponses avaient du lui paraître stupides.

– Bon donne moi une bonne raison pour que je ne te casse pas la tête.
– Je suis sûr que je ne vais pas aimer du tout. C'est pas une bonne raison ça ?
– Soit tu es un petit futé soit tu es un véritable abruti toi !

Il était psychologue. Il rigolait, au moins j'avais sauvé ma tête. Il était toujours à poil, il avait de l'allure, j'étais aux anges, surtout qu'il ne semblait plus vouloir me casser la tête. Il repartait vers sa tente, je voyais ses fesses de près, il était beau, de dos autant que de face. Sans même m'en rendre compte je le suivais.

Au moment ou il arrivait à sa tente, il se retournait.

– Tu es encore là toi ?
– Heu non Msieu, je voulais dire oui Msieu.
– Non mais tu me cherches en plus.

Le ton montait, il gueulait, il me montrait sa bite …

– Tu sais ce qui va t'arriver si tu continue à me chercher toi ? Tu vas me trouver.
– Je vous jure de ne pas crier, ou pas fort alors même si vous me faites mal.

Là il ne bougeait plus, il avait l'air surpris pas ma réplique …

– Finalement pas de doute, tu n'est pas futé !
– Bein non Msieu !

Il était tellement beau que je ne pouvais plus détacher mes yeux de lui. Il bandait maintenant et sa queue était impressionnante. Elle était bien raide, bien droite, bien large, bien longue. Je me disais que ça pouvait faire mal mais j'avais envie d'y goûter.

Il pausait sa main sur mon épaule, il appuyait fort …

– Bon ! Suce moi, on verra après.

Je ne le faisais pas répéter je vous jure. Je m'accroupissais devant lui et commençais à lui sucer la queue. Je la caressais et je la prenais dans ma bouche.

– Et puis décroche ton sac à dos, tu es ridicule comme ça.

Il avait raison et en plus c'était plus confortable, je me sentais plus léger. Ça m'encourageait, je n'avais pas vraiment besoin d'encouragement mais ça m'encourageait quand même. Et je m'activais, je lui caressais la queue puis je la prenais dans la bouche. Je recommençais, je la gardais plus longtemps dans la bouche, je tentais d'appuyer mon visage sur son ventre, ça résistais un peu mais c'était bon. J'aime bien et j'avais comme l'impression que lui aussi il aimait bien.

Il gémissait de plaisir, et rapidement s'amusait à appuyer sur ma tête. Là c'était dur, quand il appuyait sa queue entrait en entier et elle était longue, et bien grosse. Mais je faisais au mieux, je fermais les yeux très fort et j'ouvrais la bouche en grand. Je synchronisais ma respiration, je connais bien les trucs mais c'était pas facile pour autant.

Il finissait par me prendre la tête entre ses deux mains et c'est lui qui imprimait le mouvement. Il me tirait vers lui et en même temps me balançait de violents coups de bassin. J'encaissais mais c'est lui, c'est surtout lui qui appréciait.

– Allez met toi à poil ! Me lançait-il sur un ton autoritaire.

Je m'exécutais tout de suite.

– Retourne toi je vais t'enculer.

Je n'attendais que ça et je lui tournais déjà le dos au moment ou je baissait mon short. Il me saisissait une fesse fermement, il glissait ses doigts entre mes fesses, lubrifiait, il avait tout ce qu'il fallait dans sa tente. Il était prévoyant c'est bien. Il m'enfonçait ses deux pouces en même temps et là j'ai couiné. Il ne m'a pas fait mal mais c'était la surprise.

Avec ses pouces, il me lubrifiait longuement le cul. Je commençais déjà à éprouver un grand plaisir qui montait. Il me saisissait par les hanches et me tirait vers lui. Je sentais sa queue se positionner sur mon cul, juste dans l'axe, il me tirait alors fermement avec ses mains et me donnait un coup de bassin. Ça m'a fait un mal de chien.

J'ai pas crié, comme promis, mais ça m'a fait un mal de chien. Je sentais mon cul se dilater et sa queue glisser en moi. Puis je sentais son ventre s'écraser contre mes fesses. Je manquais d'air.

Il me caressait le torse, il avait refermé ses bras sur moi. Il me caressait, ses mains descendaient le long de mon torse, puis de mon ventre avant d'arriver à mon sexe. Sa mains se refermait sur mon sexe et là il découvrait ma cage de chasteté.

Il s'arrêtait net.

– Mais c'est quoi ce truc ?
– C'est rien Msieu, c'est rien.

Je le sentais, il s'énervait. Avec sa main il me tripotait mon dispositif de chasteté avec force, au début ça l'avait peut être surpris mais par la suite, ça l'amusait beaucoup. Il continuait à me buriner le cul de toutes ses forces.

Je manquais d'air, il s'en moquait. Il continuait à me tirer vers lui en même temps qu'il balançait des coup de bites avec force. Il recommençais encore et encore. Il me serrait les couilles dans la main. Décidément mon dispositif l'amusait, il devait même l’exciter il ne faiblissait pas.

Il se retirait et sa queue se retirait totalement, ça ne le calmais pas, quelques gouttes de gel et c'était reparti, il me faisait gémir, j'avais envie de hurler mais j'avais promis, mais je poussais des petits cris de plainte.

Ses coups devenaient plus violents puis sans prévenir c'est lui qui poussait un cri, pas de douleur, un cri de plaisir au moment ou il jutait dans mon cul. Il jutait, il jutait bruyamment. Suivait un dernier coup de bassin particulièrement fort. Là j'ai crié, mais ça n'a pas semblé le déranger.

Il me lâchait, je tombais sur le sol. Il s'essuyait, retournait à sa douche pour se laver la queue. Je le suivais, j'en profitait pour me laver la cul.

– Tu es un drôle de personnage toi ! Me disait-il.
– Beuh, je ne sais pas.
– Alors c'est ça que tu cherchais finalement ?
– Non Msieu, non mais je crois que j'ai eu de la chance.

On s'est assis dans sa tente, elle était grande ouverte, on a regardé le soleil se coucher entre les arbres. On n'a pas pris la peine de se rhabiller, il était bien comme ça, enfin moi j'aimais bien. Il était tellement beau. A chacun de ses mouvement je voyais sa queue qui glissait sur sa cuisse, ou se balançait lourdement quand il marchait.

On s'est finalement couché, il s'est allongé sur le dos, je n'en attendait pas plus pour me pencher sur lui et prendre de nouveau sa queue dans ma bouche, il appréciait. Il n'avait rien demandé, je proposais c'est tout. Ensuite je me suis assis sur sa queue, là il m'a laissé faire, il me caressait les cuisses, il me tripotait les couilles, jouait avec mon dispositif de chasteté, il avait un large sourire ravi.

J'étais assis de tout mon poids sur sa queue, elle entrait bien profond et me dilatait les entrailles. Je me basculait d'avant en arrière lentement, je prenais bien mon temps. Le plaisir montait, j'ai cru devenir dingue, je tremblais comme un fou au moment ou j'ai joui, j'ai juté sur son ventre. Il s'en ai rendu compte et quelques instants plus tard, c'est lui qui jutais, il a gémi, il a gémi fort.

Je restais là sans bouger, empalé sur sa queue, pendant un long moment je ne bougeais plus, je profitais juste de la situation. Il finissait par débander et je jouissais de nouveau, mais sans juter cette fois ci, au moment ou sa queue redevenue molle ressortait toute seule de mon cul.

Après tout ça, j'ai bien dormi moi, j'étais dans ses bras. J'ai profité de sa chaleur et sa douceur et de sa force. Le lendemain on s'est séparé.

– C'est cool ton truc, en plus ça te met le feu au cul ! Me lançait-il avant que je m'éloigne.

Un dernier câlin et je reprenais ma route … Je reprenais donc mon voyage à l'endroit ou il s'était arrêté et comme je le disais plus haut mon GPS me localisait très exactement au milieu de nulle part …


Fin


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Texte coquin : Camping sauvage Ep 01 Un campeur isolé
Histoire sexe : Une rose rouge
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