Candauliste

- Par l'auteur HDS Maryaline69X -
Auteur femme.
  • • 8 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Maryaline69X ont reçu un total de 25 558 visites.
Récit libertin : Candauliste Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2025 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 3 275 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Candauliste
Parfois, les choses les plus excitantes de la vie arrivent de manière inattendue. Il y a quelques jours, mon mari m’a fait asseoir, l’air plutôt sérieux.
« Tu sais que tu es très séduisante, n’est-ce pas, Maryaline ? Tu as un visage magnifique avec un regard malicieux et je sais que tu es prête à tout pour moi. »
« Mais il y a bien d’autres choses, un cul de pêche à mourir, des yeux bleux étonnants, des seins doux et quand tu portes tes cheveux en chignon, je ne peux vraiment pas m’empêcher de poser les mains sur toi. Penses-tu que d’autres hommes ressentent la même chose ? »
« Je l’espère ? Je sais que beaucoup d'homme prennent le corps féminin pour une œuvre d’art, alors je soigne mon apparence pour partager cette beauté » Lui ai-je répondu en minaudant. 
« J’ai quelque chose à te demander. Jusqu’où le partage de la beauté te pousserait-elle ? Te contentes-tu d’être jolie en ville, ou peut-être t'exhiber nue ? »
« Tu deviens lourd... Tu sais que j’adore être nue, tu le sais ! Et si quelqu’un me voit comme ça, ça m’excite. »
Je pouvais déceler un gonflement dans son pantalon, l’idée que je sois nue et que je me masturbe pendant qu’un voyeur m’observe en secret l’excitait manifestement.
« Pourrais-tu aller plus loin ? » Insiste-t-il
« Que veux-tu dire ? »
« Tu connais mon ami, Claude ? Sa femme a une liaison avec son patron et quand il l’a mise au défi, elle lui a dit qu’il ne s’occupait pas assez d’elle, qu’il passait tout son temps au travail ou sur le terrain de golf.  Il se sent mal et je me demandais si tu pourrais lui remonter le moral ? »
« Où veux-tu en venir ? »
« Et bien, une petite fellation comme tu sais si bien les faire par exemple ? »
L'idée ne me déplaisait pas et je m'imaginais déjà entrain de le sucer devant lui.
Intérieurement, je n’étais pas du tout réfractaire à cette idée, mais je craignais plutôt qu’il ne soit jaloux de mon enthousiasme.
« Et si je lui faisais une fellation, tu ne seras pas jaloux ? »
« Ça ira et je serai probablement excité à l’idée que ma superbe petite salope fasse ça pour moi et, bien sûr, pour lui ! »
Il m’a serré dans ses bras et m’a remercié d’avoir été si compréhensive. Il était loin de se douter à quel point j’avais hâte d’y être.
Il a invité Claude pour la soirée et il s’est avéré être un vrai gentleman. Mon mec nous a laissés seuls pendant une demi-heure environ, sous prétexte qu’il allait allumer le gril et chercher des boissons, nous laissant faire connaissance. J’avais mis des vêtements sexy.
Nous avons bavardé pendant un moment, mais Claude était manifestement plus concentré sur mon décolleté que sur le fait de me regarder dans les yeux.
« J’ai appris que votre femme avait une liaison avec son boss ? » Lui ai-je demandé.
« Oui. Et ça me mine. »
« C’est vraiment dommage. Puis-je vous remonter le moral ? »
Sans attendre de réponse, je me lève et m’agenouille devant lui en tendant ma main sur la bosse de son pantalon., j’ai tendu la main pour dégrafer son jean.
« Mais ? Que faites-vous ? » A-t-il bégayé.
J’ai sorti sa bite déjà raide de son jean et j’ai commencé à lui donner la tétée, en utilisant mes meilleures compétences orales. Il a rejeté la tête en arrière sur sa chaise et a gémi pendant que je montais et descendais sur sa bite.
Mon mari est revenu et c'est écrié :
«Mais que fais-tu Maryaline ? »
« Et toi Claude ? Tu es mon meilleur ami et tu te fais sucer par cette salope ? »
Sans me préoccuper de mon homme, j'ai continuée ma prestation. L'intervention de mon mari ne faisant que décupler mon plaisir.
«  Mais… c’était l’idée de ta nana...Je te jure ! » A bégayé Claude.
Avec un grand sourire, mon copain m'a alors pris par les hanche et m'a enfilé ; faisant ainsi comprendre à son ami qu'il n'était pas en colère, bien au contraire.
Il a commencé à me baiser et Claude, rassuré, s'est mis à me forcer la bouche en gorge profonde. J’étais comblée.
Claude à ce rythme là ne tient pas longtemps et dans un grognement de bête m'asperge le palais de d’épais jets de sperme. La jouissance de son ami entraîne cette de mon mari qui joui à son tour, remplissant mon vagin de son précieux nectar.
Nous nous sommes assis tous les trois, silencieux le temps de nous remettre et de rassembler nos idées. Après quelques verres, nous avons remis le couvert. Les deux heures qui ont suivi ont été une vraie débauche sexuelle.
J’étais prête à tout et les deux hommes étaient complètement vidés à la fin de la soirée.
Peut-être que Claude amènera sa femme la prochaine fois ?
Comme il avait aimé ma prestation sexuelle, il profita de l'absence de mon homme quelques jours plus tard pour venir chez moi, en début d'après midi. Je ne l'attendais pas.
On sonne à la porte. Je suis en bikini par ces grosses chaleurs et je vais ouvrir ? Surprise de le voir, je le fais entrer.
« Bonjour Claude ? Que viens-tu faire ici ? Alain n'est pas là ? »
Sans me répondre, il entre et claque la porte derrière lui. Aussitôt, il me colle au mur et me roule une pelle d'enfer. Surprise, je réponds malgré tout à ce baisé fiévreux.Nos langue se mélange et je ne peux m'empêcher de me liquéfier. Il se presse contre moi et je peux sentir son pénis bomber à travers son jean. Ses mains s'attardent sur mes seins pointant à travers mon haut devenu informe de part son pétrissage en règle.
Puis, il appuie sur mes épaules et m'oblige à me mettre à genoux. Je comprends bien sûr le message et en bonne femelle soumise j'ouvre son pantalon, sort son sexe trop à l'étroit et sans plus d'explication, enfourne son sexe dans ma bouche.
Je commence à le sucer. Mais il en veux plus et se met à me bourrer la bouche, ses couilles claquant contre ma mâchoire. Je suffoque, j'étouffe, je le repousse, mais il ne s'arrête pas.
Il se retire un court instant pour mieux s'y s'enfoncer de plus belle.
Ce n'est pas la première fois que je trompe mon mari, mais là, c'est autre chose. Je ne suis pas Maître de la situation. Son pote m'utilise comme une simple pute. Je n'aurais jamais osé me faire traiter de la sorte sans le consentement de mon mari.
Il me pénètre la gorge sans ménagement. J'ai envie de vomir. J'ai beau lui griffer les fesses, le frapper, rien ne l’arrête. Je veux crier, mais rien ne sort. Puis... il s'arrête enfin. Je tousse, tente de reprendre ma respiration et l), il en profite pour utiliser mes seins en branlette espagnole.
Après quelques va et vient entre mes seins, il me soulève pour me mettre à quatre pattes. Il me fouille la chatte et me dit :
« T'aime ça ma salope tu mouille comme une pute ! »
Pas le temps de répondre qu'il est déjà en moi et me laboure la chatte comme un soudard.
Les quelques va et vient qu'il effectue dans ma chatte n'est que pour bien lubrifier son dard. Car c'est mon cul qu'il vise le salop. Il présente alors son gland contre ma rosette et d'un coup de rein puissant, il m'éclate la rondelle. Je hurle sous cette énorme dilatation sans aucune précaution et brutale.
Il me sodomise avec une bestialité qui me fait hurler. Mais, curieusement, je me mets à aimer ça, cette dualité entre douleur, humiliation et plaisir. Il m'excite terriblement, j'ai mal, mais Dieu qu'il m'excite. Je comprends que je suis là pour son seul plaisir.
Il se retire alors et me prenant par les cheveux, il s'enfonce à nouveau au fond de ma gorge et se déverse à longue giclée crémeuse, m'obligeant à tout avaler pour ne pas étouffer.
Ses couilles vidées, il se retire. Il reboutonne son pantalon, retourne vers la porte et s'en va, sans même me considérer ou un merci.. Il n'aura toujours prononcé aucun mot. Je n'aurais même pas joui. Je me retrouve au sol, un peu honteuse avec le goût de son foutre dans ma bouche.
Plus tard, il m'enverra des SMS que j'hésitais à répondre. Une sorte de honte m'envahissait. Un sentiment un peu coupable d'avoir aimé être considérée comme une vide couilles, une femme facile, une femelle soumise. J'ai pourtant envie de revivre cette expérience. Mais il faut qu j'en parle à mon mari. Je ne peux pas garder ça pour moi quitte à ce qu'il me punisse pour expier ma faute.
Alors que le soir je voulais lui raconter cette malheureuse aventure, il me coupa la parole en me disant joyeusement :
« Prépare-toi ! On va rejoindre Claude en boite ce soir ! »
Nous dansions depuis un moment et Alain me pelotait ouvertement.
Claude est venu se coller derrière moi. Je n'ai rien dit et ils ont commencé à me caresser, passant leurs mains sous ma robe.
Ils ne se génèrent pas pour m'enfiler leurs doigts dans mes trous. Ils m'ont emmené dans une alcôve et ont commencé à me déshabiller. Je n'étais plus qu'en sous vêtement à la vue de tous.
Ils m'ont fait écarter les cuisses au maximum en me traitant de salope.
« Regarde comme tu es une pute ! Tous le monde peut te voir ! »
Puis, ils m'ont pris en sandwich. Je couinais comme une salope sans me soucier des regards des clients.
La situation m'excitait.
Ce soir je ne suis plus la bourgeoise BCBG mais Maryaline la salope qui n'a qu'une envie se faire démonter sans retenue
Je suis au anges Oh mon dieu que je les aime ces deux mâle qui m'utilise aussi rudement à leur guise. Leurs queues qui me fouille et leurs mains qui malaxent ma vulve et mes seins. Ma respiration s’accélère,
« Oh ! C'est trop bon continuez les gars ! »
Il augmentent le rythme et je les encourage en ondulant des hanche et en m'enfonçant la queue plus profond dans ma bouche.
L'un d'eux en attrapant mes cheveux commence ces vas et vient dans ma bouche gourmande. D’une main je caresse ses testicule alors que derrière je me fais ramoner comme jamais. Celui qui me ramone accélère encore.
« Petite petite salope, je vais jouir dans ton cul de pute ! »
Tout à cette éjaculation anal, je suis surprise des premières giclées dans ma gorge. J'avale et je suis tellement secouée que les dernière giclée arrivent sur mon visage.
Leurs jouissances entraînent mon orgasme Je jouis et m’écroule épuisée sous les applaudissement des voyeurs.
On prend 5mn pour reprendre nos esprits, tellement cette jouissance à était forte.
Ils me proposent un verre de planteur au bar. Une foule de client reste auprès de nous au cas où un autre spectacle commencerait. Le patron ravi d'avoir chez lui une pute gratuite, nous offre les rafraîchissements. Un buvant mon verre, d’une main je caresse le sexe de Claude alors qu'Alain me malaxe les fesses.
Je bois mon verre cul sec et encouragé par la foule, je m'accroupie et prend le sexe de Claude dans la bouche.
Mon mari me force à le prendre au fonde de ma gorge. Claude halète, gémit, grogne.
Mon homme met fin à ma caresse buccale. Il veut me voir me faire enfiler en public par son pote. Je me positionne à califourchon sur ce sexe et m'enfonce dessus sans difficulté tant mon vagin est détrempé. Ma chatte est une véritable fournaise. Il me me rempli si bien le conduit. Je feule come une chatte en chaleur au fur et à mesure qu'il s'enfonce en moi.
Claude ne bouge pas, c’est moi qui mène cette danse. Je monte et descend sur ce sextoy vivant., je ne cherche plus que mon propre plaisir, sans aucune pudeur. Je m'empale, j’accélère sur ce sexe qui me fait tant de bien.
Claude gémit.
« Vas-y salope ! Fait toi jouir sur ma grosse bite comme une chienne devant ton mec et les clients ! »
Mais, il change de trou pour me démonter l'anus. Je cris de douleur et de surprise. Je le supplie d'arrêter. Mais le public et mon mari l'encourage à continuer.
J'entends mon mari lancer à la volée :
« Ma salope aime les grosses bites noires ! Si l'un de vous veux s'en servir, c'est open bar ! »
Je n'en crois pas mes oreilles. Évidemment, aussitôt, c'est un défilé de queues black, plus grosses, les unes que les autres.
Je suis comme folle. Je ne sais pas si se sont des orgasme ou du plaisir en continue, mais maintenant, la douleur fait place à une jouissance en continue. Je suis une vraie fontaine.
Les queues qui me prennent sont à la limite de l’explosion. Je sens une chaleur intense se propager dans mon vagin et mon anus. Je suis une vrai furie.
« Oh oui ma chienne continu ! Ils vont tous te remplir de foutre comme une grosse pute ! »
Comme une transe vaudou, l’orgasme prend possession de mon corps. Je jouis en hurlant et m’écroule, inerte, alors que des queues continuent à se vider en moi.
Une foi que tous les hommes qui en avaient envie se sont vidés les couilles, Claude et mon mari m'aide à quitter la boite pour rejoindre la voiture.
« Tu aimes ça salope ! » Me disent-ils en touchant ma chatte dégoulinante de foutre.
Je suis trop exténuée pour répondre, mais même si c'était trop puissant et je mon cul et ma chatte sont trop sensibles, oui j'ai aimé être une vide couilles.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Elle a dit non à la base pour la sodo sans oublier l’absence de capotes. 😤🤦‍♀️

Histoire Erotique
Wouawww
Je viens de lire tous tes écrits, c'est hyper excitant
Merci beaucoup Maryaline...

Cyrille

Histoire Erotique
Histoire très sympa, merci

Histoire Erotique
wow toute une histoire



Texte coquin : Candauliste
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Maryaline69X

Soirée hard pour moi - Récit érotique publié le 25-07-2025
Candauliste - Récit érotique publié le 24-07-2025
Dans la cave - Récit érotique publié le 23-07-2025
Une séance rude - Récit érotique publié le 22-07-2025
Une sodomie pour faire plaisir - Récit érotique publié le 18-07-2025
un shooting avec mon boss - Récit érotique publié le 16-07-2025
L'art de me dominer - Récit érotique publié le 07-07-2025
J'aime sucer - Récit érotique publié le 06-07-2025