Surprise et contrainte - histoire érotique

Il est 22h00, Alain fait un remplacement de nuit et vient de partir.
Je suis donc seule dans cette maison isolée vêtue seulement d'une jolie nuisette
Diaphane.
Tout à coup la sonnette retentit.
Persuadée que c'est Alain qui revient, ayant certainement oublié quelque chose, je vais ouvrir la porte sans prendre la précaution d'enfiler mon peignoir.
Devant moi, deux hommes apparaissent dans l'encadrement de la porte.
Gênée de me présenter nus sous cette nuisette, je bafouille quelques mots en essayant de me dissimuler derrière la porte.
« Oui c'est pourquoi ? »
« Bonjour, je me présente, Patrick et voici mon collègue, Gérard »
« Que me vaut cette visite tardive ? »
« Peut-être pourrions nous entrer ? Nous serions plus à l'aise pour discuter. »
Sans attendre ma réponse ce dernier pousse la porte et entre suivi du type qui l'accompagne.
Je suis stupéfaite et très en colère de cette intrusion.
Je ne pense même plus à ma tenue qui ne cache rien de mon intimité.
« Mais que faites-vous ? »
Les deux hommes très calmes croient me rassurer en me disant :
« N'aie crainte Maryaline, c'est Alain, qui nous a demandé de venir ce soir pour te tenir compagnie. Nous allons nous occuper de toi. Crois-moi tu ne vas pas le regretter. »
Je n'en crois pas mes oreilles. Alain n'aurait pas osé me faire un coup pareil ?
Là, je prends peur et me met à hurler.
« Au secours... Au secours »
Sans prendre garde à mes cris qui de toute façon ne servent à rien puisque la maison est en pleine campagne, Patrick me pousse sur le canapé et pose ses deux mains sur les seins en me disant :
« Aller Maryaline détends toi, hummm jolies roploplos! »
Gérard arrache mon string en s'exclamant :
« La saloooope ! Alain ne nous avait pas menti! Elle a bien la chatte épilée ! »
Je tente de me dégager de leur étreinte mais ils sont trop forts pour moi.
Je ne peux que subir leur assaut.
Cet agression et ce langage cru a bizarrement le pouvoir de m'exciter. Surtout que je devine que mon salopard de mari est derrière ça.
Je ressens des fourmillements bien familiers au creux de mon ventre et mes mamelons durcissent.
Le plus vulgaire des deux, me fouille la chatte dans un bruit de clapotis.
« Regardes Patrick, comme elle mouille cette salope! J'ai les doigts trempés! T'aimes ça salope?»
« Oui j'aime ça! » Répondis-je d'une voix presque enfantine empreinte de honte.
« On va te baiser comme une pute! "
Malgré la peur, ces mots insultant me font perdre la tête.
« Suces moi salope !! »
Sans plus attendre, je prends sa bite dans la bouche et le suce avec gourmandise.
Je lui taille une pipe comme je sais si bien les faire.
Il me tient par les cheveux et enfonce sa bite jusque dans ma gorge.
Il me baise la bouche me tenant par les cheveux.
Pendant tout ce temps Patrick laboure de sa grosse queue ma chatte trempée et offerte.
Gérard lui dit :
« Elle suce comme une pro. Suis sûr qu'elle aime se faire enculer aussi! »
Horrifiée j'extirpe tant bien que mal sa queue de ma bouche pour crier :
« Non, pas ça...je ne veux pas.. !!! »
« Ta gueule pétasse !!! On va te prendre à deux, salope, tu vas jouir comme une folle...et quand t'auras bien jouie tu nous suceras tous les deux et tu avaleras notre sperme comme un sac à foutre! »
Ni une ni deux Gérard me soulève et sans égard m'embroche le cul.
Je hurle de douleur, mais Patrick me reprend le vagin et me voilà investie par les deux queues de ces salopards.
« Alors putain !!! Dis nous que tu aimes çà! »
« Nooooon vous me faite maaaal !!!! »
« Ta gueule dis que tu aimes »
« Haaaaaaa ouuiiii haaaa j'aiiiime »
J'ai mal et même si j'acceptais d'habitude d'être enculée, c'était toujours en douceur avec une bonne préparation car je n'aimais pas çà.
Leurs bites me remplissent bien.
Leurs mouvement de va et vient me font hurler à la foi de douleur mais d'un plaisir insidieux.
J'hurle, je crie.
Ils me font vraiment jouir comme une folle.
Brusquement, ils se retirent tous les deux.
« Suces maintenant, bouffes nous la bite. Après t'avoir rempli la chatte et le cul on va te remplir la bouche! »
Trop excité Gérard se lâche en long jets crémeux dans ma bouche.
« Oh, putain ! Je jouis, avales tout salope! »
J'avale tant bien que mal.
Patrick se lâche tout à son tour.
Bien sûr j'avale aussi tout son jus.
Je suis épuisée.
Content de leur coup, les deux hommes se rhabillent en me disant :
« Si ton mari en a envie, On reviendra à trois ou quatre, peut-être plus! »
J'entends leurs propos comme dans un cauchemar sans prendre conscience de ce qu'ils me disent.
La porte se referme sur eux. Je mets un moment à me remettre de mes émotions. J'envoie un MMS à Alain en lui joignant une photo de mon visage couvert de sperme.
« Espèce de salop! Tu m'as envoyé tes amis pour me baiser comme une vraie salope! »
Quelques minutes plus tard, e reçois sa réponse :
« On en discutera demain quand je rentrerais. Je ne t'ai envoyé personne salope! »
Surprise de cette réponse, je pars me doucher avant de me coucher angoissée et en me posant des tonnes de questions.