Souvenir de vacances à la plage - histoire érotique

En ce mois de juin, le soleil étincelle noyant la plage de St Germain sous un flot de lumière. La plage est encore déserte avant les vacances estivales.
J'aime fouler le sable chaud pieds nus. J'étends méticuleusement ma natte et ma serviette de plage. Une fois qu'elle est satisfaite de mon installation, je m'étends en bikini et m'offre aux rayons du soleil.
Libre de toute contrainte, je vie selon mon bon vouloir, mes envies et mes désirs. Mes parents m'avaient laissé la résidence secondaire pour les trois mois d'été. A17 ans, j'étais une jolie jeune fille qui attirais les regards masculins quelque soit l'âge. Il faut dire que dés mes 13 ans, j'avais tout ce qu'il faut là où il faut.
Sans chercher à plaire, j'attire les garçons. Je ne suis pas dupe de l'effet que je renvoie à la gent masculine. Etendue à plat ventre sur le sable, je rêvasse, laissant mon esprit vagabonder. La plage commence à se peupler. Les cris des enfants, les rires des adolescents, les cris des mamans mettant un pied dans l'eau, tout s'anime.
Derrière mes lunettes de soleil, je regarde tout ce petit monde profiter des bienfaits du bord de mer. Jugeant que mon dos a assez pris le soleil, je me retourne. Je me mets à quatre pattes, défroissant ma serviette avant de me retourner. Mon maillot deux pièces couvre mal mes seins et mon string, dans la manœuvre découvre légèrement ma vulve.
C'est à ce moment précis qu'un ballon me percute me faisant sursauter. Je me frotte les fesses en toute impudeur. Deux gars de mon âge arrivent à toute vitesse en rigolant, stoppant devant moi en soulevant une gerbe de sable.
« Excuse nous ! »
Je les regarde sans rien dire, avant d'enfin réagir :
« Vous pourriez faire attention quand même ! »
«  On est désolé ... On n'a pas fait exprès. Saïd a tiré trop fort. »
«  Ce n'est pas une raison pour viser les gens ! »
« Mais non ! On vous a pas visé ! »
«  C'est bon... C'est bon.... Allez jouer ailleurs et faites attention la prochaine fois. »
Les deux jeunes s'excusent encore et repartent avec leur ballon. Je me mets sur le dos, mon cabas sous sa tête pour avoir un semblant d'oreiller. J'observe mes deux footballeurs que je trouve à mon goût. Deux jeunes félins sûrs d'eux prêts à croquer le monde à pleines dents. Leurs maillots moulants laissent deviner des attributs que la jeune fille averti que je suis, juge plus qu'honorables. Il faut avouer que le sexe n'a plus beaucoup de secret pour moi qui collectionne les mecs. Je sens déjà des papillons dans mon ventre et une lourdeur moite entre mes cuisses.
Les deux garçons sont à nouveau devant moi.
«  Quoi encore ?.... Laissez-moi tranquille... »
Saïd me tend une bouteille de Coca fraîche.
«  C'est pour nos excuser avec le ballon... »
«  Merci... Il ne fallait pas....C'est gentil ! »
Ils se tournent pour partir. Et je ne sais pas pourquoi, je leur dis :
«  Attendez.... Asseyez-vous... »
Assis en tailleur sur le sable, ils me regardent boire lentement.

«  Moi c'est Maryaline et vous ? »
« Saïd et lui c'est Mehdi... On habite ici... Et toi ? »
« Avec mes parents, nous avons une maison de vacances non loin de la plage. »
Ils sont sympas et nous rigolons de bêtises ensemble.
« Tu viens, on va se baquer ?  »
«  Non non, elle est encore trop froide. »
«  Froide? Comme tu veux... Bonne journée. »
Je les regarde s'éloigner et foncer ensemble vers l'eau, me laissant seule. Ils plongent d'un coup en criant des onomatopées incompréhensibles.
Seule sur ma serviette, je me sens ridicule d'avoir refusé leur proposition de baignade. Je les regarde s'ébattre dans l'eau. Ils ne font plus attention à moi. Et puis zut ! C'est trop bête. Jeme dirige vers l'eau, trempe un pied, puis l'autre. L'eau n'est pas si froide que cela. J'avance lentement. Les deux garçons se sont aperçus de son entrée dans l'eau et foncent vers moi dans un crawl vigoureux. Je les trouve beaux.
Saïd le plus déluré des deux me prend le poignet pour m'emmener plus loin dans l'eau. Etant bonne nageuse, je commence un dos crawlé lentement. Les garçons tournent lentement autour de moi comme des requins. Ils regardent leur proie. Et je me doute que leurs intentions ne sont pas saines. Les regards sont troubles.
Je coupe court à mes envies et leurs dis :
« Mince, il est tard...Il faut que je rentre chez moi ! »
Pointant du doigt ma maison, mes seins plutôt opulents dépassant de l'eau. Les adolescents ne regardent pas la direction pointée.
Je sors de l'eau et me sèche. Les jeunes me demandent :
«  Tu veux qu'on t'accompagne ? Mehdi a un scooter si tu veux. »
«  Non merci. J'ai envie de marcher. »
«  A demain alors ? »
«  On verra, je sais pas si je pourrais, il faut que je trouve un garage. »
«  Un garage ? »
Les deux garçons la regardent décontenancés.
«  Oui, ma voiture ne veut plus démarrer. Et trouver un garage sérieux c'est pas facile. Je dois télé... »
Mehdi la coupe :
«  Mais on est garagiste ! On te la dit ?! »
«  Vous ?! »
«  Oui on fait apprentissage dans le garage de mon Oncle. »
«  Et vous vous y connaissez en voiture ? »
Fanny naïve ne se rend même pas compte de l'incongruité de sa question. Et vexe les garçons.
«  Bien sûr qu'on s'y connaît ! » Répond Saïd outré.
« Si tu veux on vient la réparer maintenant. »
«  Non non, ne vous dérangez, pas ce soir. »
«  Demain on vient si tu veux. Donne-nous l'adresse. »
J'hésite, mais devant leur air franc et ouvert, elle leur donne l'adresse.
«  A demain Maryaline ! On vient avec du matos. »
Je les regarde partir. Ils lui sont très sympathiques. Mais les deux jeunes on bien une idée derrière la tête car Saïd dit à Mehdi.
«  On va pas lui amener que du matos demain ? T'as vu comme elle est gaulée la meuf ! »
«  Ouaip ! Elle est bonne ! »
Sur le chemin du retour, je repense à eux. Ils me troublent. Vivement demain.
Le lendemain matin, je suis réveillée par des cris.
Ils sont en bas devant l'entrée à hurler mon prénom. Sans penser que je suis nue, je me précipite sur le balcon. Ils lui font de grands gestes de la main. Ils sont venus en voiture. Un petit monstre rutilant et bruyant qu'ils font pétarader. Je m'aperçois tout à coup que je suis nue et lance :
« Calmer vous j'arrive. »
J'enfile un truc à la va vite et descend rapidement pour calmer leur enthousiasme.
Il m'embrasse en me serrant un peu plus qu'il ne faudrait. Avant que je ne dise quoi que se soit, Mehdi me demande :
« Alors ? Elle est où cette voiture ? »
«  Au parking en bas au sous-sol. »
Je ne me rends pas du tout compte de l'incongruité de la chose. Descendre dans un sous-sol avec deux garçons que je ne connais que d'hier et dans la petite tenue où je suis.
«  Ok ! On y va ! »
«  C'est ta caisse ça ?.... »
Il en font le tour, manifestement découragés.
«  Tu l'a pas laver depuis quand ??? »
«  Euh... Je sais pas ? »
«  Et c'était quand la dernière révision ??? »
«  Euh … c'est mon oncle qui la fait... Mais c'est vrai que je lui demande pas... »
Ils se regardent catastrophés.
« Ok Ok...On va voir tout ça... Laisse-nous les clefs et on s'y met !'
Saïd gare leur voiture près de mon épave et Mehdi sort du coffre de leur voiture un matériel ahurissant.
« Maryaline, laisse-nous ! Va prendre ta douche et nous faire une café ! Ya du taf sur ta caisse ! »
«  Enfin si on peut appeler ça une voiture ??? » Ajoute un Mehdi hilare.
En les laissant à leur occupation. Je passe devant les phares allumés de leur voiture et m'aperçoit que par transparence on devine ma nudité. Les garçons s'échangent des regards admiratifs.
Saïd en regardant Mehdi plaque sa main sur sa braguette dans un mouvement obscène du bassin. Je prend ma douche en pensant à ces deux mecs et mon ventre me trahi.
Je prépare le café en petite tenue et regarde ma montre.
Cela fait presque deux heures qu'ils bossent sur ma voiture. J'enfile une petite robe et vais les rejoindre pour leur proposer un café.
Brusquement quelqu'un crie mon prénom à gorge déployée. Elle va à la fenêtre. C'est Mehdi.
«  Descends ! »
Je ne reconnaît pas ma voiture. Propre lustrée, aspirée ; avec un ronronnement régulier. « Vous avez.... »
Je saute de joie et tape des mains comme une gamine. Je leur »saute au cou de joie.
«  Oh merci merci.... Merci les garçons.... C'est magnifique... »
«  Allez monte on va faire un tour pour que tu vois ... »
Je suis subjuguée de découvrir ce qu'ils avaient fait de mon vieux tacot.
«  Je ne sais pas comment vous remercier. Venez manger avec moi ? »
Ils ne se firent pas prier longtemps et les pizzas et le reste furent rapidement avalés. Pendant que je débarrasse, les deux garçons sont assis sur le canapé. Je leur sers un café et ils regardent Eurosport. Quand je passe devant eux, anny passe devant eux, leurs yeux suivent ma croupe. Le contre-jour dessine mes formes et il ne peuvent réprimer une belle érection mal contenue dans leur jogging. Ils se regardent d'un air de connivence. Mais ils n'osent pas.
Saisissant une assiette au milieu de la table, ma robe se soulève presque à la hauteur de mes fesses nues. Mehdi n'en peut plus. Il regarde Saïd qui est fasciné par ce qu'il devine.
Mehdi se lève. On voit comme un chapiteau à hauteur de son sexe. Le jogging est très tendu. Saïd regarde son copain sans bouger. Il cligne d'un œil et fait un geste d'encouragement de la tête à Mehdi. Penchée sur la table, je n'ai pas le temps de me redresser et me fige en sentant sa queue tendu contre mes fesses.
« T'es trop belle ! » Me dit-il dans un chuchotement.
Comme par reflexe, je me cambre. Le message est clair. Je me sens languissante, le ventre lourd avec des prémices que je connais trop bien. Mehdi se tourne vers Saïd avec un sourire incrédule et un pouce levé dans un geste de vainqueur. D'une poussée ferme, je sens son sexe grogresser dans mon vagin trempé de plaisir. Je ferme les yeux et réprime un feulement de femelle en chaleur.
Ses mains remontent vers mes seins qui se balancent doucement sous la robe si légère, il les les empaument, les pressent. Je le laisse faire devant son pote qui se masturbe.
« Tu es trop bonne ! On va te donner du plaisir ! »
Le On employé par Mehdi ravit Saïd et me trouble profondément. Je me se laisse faire, incapable de me révolter. Je me retrouve coincée entre Saîd et Medhi maintenant, ,légèrement tremblante entre les deux hommes qui se pressent contre moi en me caressant. Les garçons sont en train de m’entraîner dans un tourbillon de sensations J'aia envie de leurs corps, leurs forces, leurs odeurs.
Dans un ballet parfait les garçons me mettent nue. J'ai honte de les laisser faire ainsi et rougi, ravissante d'ingénuité. Nue entre les deux garçons ; leurs mains prennent doucement possession de mon corps. Je reste soumise entre leurs mains, me laissant faire sans rien dire, sans m'offusquer . Mais j'ai envie de les goutter et je prend l'initiative.
Les jeunes n'en reviennent pas de la chance qu'ils ont. Je les suce comme certainement aucune femme ne les a sucé comme ça. A ce moment, je lâche une queue pour m'enfiler dessus. L'autre revient dans ma bouche et me voilà bien embrochée avec Saîd dans ma bouche.
Leurs regards sont fiévreux, il s'échangent les places et je couine en permanence du plaisir qu'il me procurent. C'est un rêve, que dis-je un fantasme qui devient une réalité.
«  Elle mouille un max... je la baise comme dans du beurre ! »S'écrie Mehdi.
«  Vas-y mon frère. Profite... Baise la bien à fond... »
Pour seul réponse je couine de plaisir. Mehdi ondule souplement sur elle. Les coups de rein sont réguliers, puissants, profonds, de plus en plus rapides. Je gémis d'excitation. Le garçon le comprend et accélère le rythme.
« Putain, tu es trop bonne ... Trop chaude ... »
Brusquement un orgasme violent me prend dans un long cri de délivrance.
Mehdi est surpris et lâche la purée aussitôt suivie de son frère dans ma bouche.
« Putain elle est trop bonne cette meuf ! »
Cette façon qu'ils ont de parler de moi ne me choque pas, tellement il m'ont donné du plaisir.
«  Super ! Tu es magnifique Maryaline ! »
Pantelante, je les remercie en leur disant qu'il peuvent revenir quand ils veulent et que je suis prête à recommencer quand ils en auront envie.