Dans la cave - histoire érotique

« Bonjour Maître. 
Comme vous me l'avez demandé, je viens d'écrire une histoire où vous êtes le héro.
Je me suis permise d'y inclure mon mari. J'espère qu'elle vous plaira. Personnellement j'ai presque joui en l'écrivant. »
Depuis mon adolescence, je fantasmais sur la soumission. Je l'avais avouée à mon mari qui se fit un plaisir de réaliser mes fantasmes. Je suis devenue pour mon plus grand plaisir, sa femelle soumise. Pour pimenter ma soumission, il a convenu d'un scénario pour m'obliger à me plier à ses désirs. C'est ainsi qu'un jour je reçu un message laconique :
«  Demain à 10 heures, tu te présenteras devant la porte de ta cave pour une prise en main ! »
Je montre le message à mon mari qui semble ravi de la tournure des faits. Honteuse et obéissante, j'assume cette situation.
A 10 heures le lendemain, je me présente une boule au ventre devant la cave. David, ou devrais-je dire Maître David m'attend déjà. J'ouvre la porte de ma cave. J'en ai presque les larmes aux yeux. Maître David s'approche de moi et me caresse gentiment la joue. Puis entre dans le jeu du scénario.
« C'est simple, soit tu fais ce que je veux, soit je diffuse sur le net ces photos de toi où on te voit dans des situations scabreuses. Alors qu'est-ce que tu choisi ? »
« Qu'est-ce que vous voulez de moi Monsieur ? »
Je reçois une gifle.
« Pas Monsieur salope ! Maître ! »
David laisse glisser sa main sur mon corps et me palpe un sein et le serre de plus en plus fort attendant ma réponse. Je grimace de douleur. Il me regarde calmement en souriant.
« Oui Maître je ferais ce que vous voulez. »
Je ferme les yeux, honteuse de me laisser tripoter de la sorte par notre ami. Malgré la rudesse des assauts mes tétons durcissent sous la pression de ses doigts et je sens que je mouille.
« Salope ! Tu es donc décidée à aller jusqu'au bout ? »
« Oui Maître David. »
Il sait désormais que je vais satisfaire le moindre de ses désirs. Brusquement, il relâche son étreinte et me dit :
« Très bien ! Entre dans la cave  et fous toi à poil ! »
Alors que je me déshabille, je remarque le point rouge d'une caméra. Je devine que mon mari voit ce que je suis entrain de faire. Malgré la honte qui m’envahit, je ressens un profond plaisir d'obéir alors que mon mari doit être devant l'écran de son PC. Nue devant David, celui-cime fouille brusquement la chatte et en ressort les doigts gluants de mon liquide intime. Il éclate de rire en me voyant rouge de honte.
« Qu'est-ce que ça sent, salope ? » Me demande-t-il en me mettant ses doigts luisants de ma cyprine sous mon nez.
« Je... je ne sais pas, Maître? »
« Ca sent la petite chienne en chaleur... Comme si tu ne le savais pas ! Nettoie mes doigts petite pute ! »
Docile, je me mets à lécher comme une petite chienne les doigts de David qui tout à coup me les enfonce dans la bouche. Il savoure mon humiliation.
« Tu sais ? Je crois qu'on pourrait foutre autre chose dans une si belle bouche, non ? »
Je salive et me bruits de succion semble l'exciter.
« A ton avis, qu'est-ce qu'on pourrait mettre dans ta bouche ? »
Je continue à lui sucer les doigts ne voulant pas m'abaisser à lui répondre.
Perturbée, j'ai un moment d'hésitation.
« Tu n'as pas compris ce que je t'ai demandé ? J'veux que tu me supplie de me pomper le dard salope ! »
Il me pince les tétons m'obligeant à me mettre à genoux devant lui. Je sors de moi même son sexe du pantalon.
« Non, pétase ! Pas avec tes doigts ! Pompe moi les mains dans le dos ! »
Ses mots crus et mon humiliation, même consentie, me fond venir les larmes aux yeux. Je commence aussitôt une fellation comme je sais si bien les faire.
« Dis-moi Maryaline ! Tu aimes le sperme ? »
La bouche pleine je n'émets à cette question qu'une sorte de borborygme. David en me prenant par les cheveux imprime le rythme de ma fellation.
« Ma petite salope, je vais te faire goûter mon sperme. Tu me diras s'il est meilleur que celui de ton mec. »
Tout en me parlant, il enfonce sa grosse queue encore plus profondément dans ma bouche. Je gémis de plaisir et bave sur sa queue. Le salop me l'enfonce jusqu'à la garde. Je suis à deux doigts de vomir sous cet assaut. Il me maintient ainsi quelques secondes en me tenant par les cheveux et brutalement, il me repousse. Je m'effondre sur le sol.
Les larmes aux yeux et toussant encore de cette gorge profonde brutale, il m'ordonne :.
« Met-toi à quatre pattes, que je vois un peu ton gros cul de garage à bites ! »
Je m'exécute et il entre 3 doigt dans ma chatte ouverte et dégoulinante de mouille. Je pousse un soupir de plaisir.
« Tu mouilles vraiment comme une chienne en chaleur salope ! »
« De quoi as-tu envie maintenant ? »
« Je veux que vous me baisiez Maître ! »
«  Dis le plus fort j'ai rien entendu ! »
« Prenez-moi comme une chienne Maître ! »
David me regarde d'un air dédaigneux en tournant autour de moi.
« Je sais pas si une chienne en chaleur comme toi mérite ma bite et mon sperme. »
« Je vous en prie Maître.... Baisez-moi !!! J'ai envie de m'abreuver de votre jus s'il vous plaît Maître ! »
A mes suppliques, David me prend par les cheveux et me fourreà nouveau sa grosse queue dans la bouche. Puis, avec une grande claque sur les fesses, il m'enfile d'un trait et me baise comme un sauvage. Il grogne et je sais qu'il ne va pas tarder à partir. Je suis peut-être son vide couille mais à ce moment-là, je le sens vulnérable. Mais, au dernier moment, il me perfore le cul me faisant hurler de douleur.
« Voilà comme je t'aime pouffiasse ! »
Après quelques vas et viens dans mon cul, il ressort pour m'asperger de sperme.
« C'est parfait petite pute ! Ton mari t'attend !  File ! »
J e ramasse ma robe, mais il me stoppe en disant :
« Une chienne c'est à poil qu'elle a à faire ! Remonte chez toi à oil ! »
Je me suis précipitée dans l'escalier nue en espérant ne rencontrer personne.
Je restais un peu sur ma faim, n'ayant pu jouir comme je l'aurais souhaité. Arrivée chez moi, Alain m'attend et me dit :
« Tu viens de te faire saillir comme une chienne Salope ?  Je crois que tu as besoin d'être dressée. »
Alors, il me baisa comme jamais et j'ai enfin pu vraiment jouir.