Carole et moi sur une plage qui pourrait s’appeler le baisodrome

- Par l'auteur HDS Romainro -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Carole et moi sur une plage qui pourrait s’appeler le baisodrome Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2019 dans la catégorie Plus on est
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Carole et moi sur une plage qui pourrait s’appeler le baisodrome
Après cette journée de boulot en extra pour une fête privée au restaurant, je suis bien claqué. Le service à été stressant mais je trouve l’énergie pour me motiver surtout que cette journée s’annonce excellente. Elle a déjà très bien commencée, pendant que nous préparions les tables et les buffets, Carole (ma collègue et plan cul du moment) n’a pas arrêter de me chauffer. Le point culminant a quand même été quand elle m’a discrètement avoué qu’elle avait un plug coincé dans sa chatte et des boules de geisha dans son cul. En plus j’ai eu le droit à la preuve en image, mais ça ne s’est pas arrêter là.

En effet, juste avant l’arrivée des invités, alors que je me reposais dans la chambre aménagée dans les réserves, Carole est venue me rejoindre. Elle a eu envie d’une dose de mon sperme qu’elle trouve si bon. Elle me dit régulièrement que ma semence à un goût de miel et de vanille, alors je lui donne ce plaisir à chaque fois qu’elle le souhaite. Après m’avoir longuement sucé, elle s’est occupée de mon petit trou et j’ai fini en jouissant dans sa bouche pour qu’elle puisse profiter de sa récolte.

Maintenant que nous sommes libre jusqu’au lendemain 10h30, nous allons enfin pouvoir profiter de notre journée plage et de nous même. Nous décidons de partir qu’à une seule voiture et de laisser la sienne sur le parking du resto. Nous étions sur le point de partir quand Josyane, la femme du propriétaire, me signe de venir lui parler un moment.

Elle me demande comment je m’habitue au boulot en étant très tactile avec moi. C’est vrai qu’à la soirée où je l’ai rencontré avec son mari, elle m’a tout de suite séduite bien qu’elle ait plus du double de mon âge. Depuis que je travaille là bas, je l’ai très peu croisé, je crois même jamais, mais surtout je me suis concentré sur ma « relation » avec Carole. En voyant ma collègue, Josyane me fait comprendre qu’elle est très déçue de mon choix en faisant une grimace de dégoût.

Je retourne vers ma voiture et je vois que Carole à la même réaction que la femme du propriétaire. Une fois que les portes sont fermées, je n’ai pas le temps de démarrer qu’elle me lance sur un ton énervé:« D’où tu la connait? »Je lui explique que je l’ai rencontré en même temps que notre patron et que c’est à la suite de cette soirée que j’ai commencé à bosser ici.

Je démarre dans une mauvaise ambiance et suis ses indication. Après quelques minutes de route dans un silence glacial, Carole ose enfin me demander:« Tu as couché avec elle? »C’est la première fois qu’elle me fait une crise de jalousie. Je ne comprends pas sa réaction surtout que nous ne sommes pas un couple et qu’elle ne baise pas qu’avec moi.

Je la rassure quand même en lui disant que non, elle se détend rapidement puisqu’elle vient même se coller à moi. Elle devient de plus en plus tactile, sa main se pose sur ma cuisse et me caresse alors que j’essaye d’avoir plus de renseignement sur cette plage où elle veut m’amener depuis un moment. Elle me fait toujours la même réponse:« Tu verras bien sur place! »
Alors que sa main masse mon paquet bien gonflé, nous nous garons au milieu de quelques autres voitures, apparement nous serons pas seuls sur cette plage, c’est dommage car j’aurai bien voulu déjà profiter de son corps et sa folie sexuelle. Surtout que mine de rien, elle m’a bien excité pendant le trajet. J’attrape les deux sacs que nous avons amener et je suis la belle Carole en admirant ses fesses se dandiner devant moi. Nous arrivons devant un énorme rocher qui bloque la vue de la mer mais aussi de la plage elle-même. Ca doit être pour ça qu’elle l’appelle « la maison en pierre ».

Nous contournons cet énorme bloque de roche puis commençons descendre. Je vois enfin l’eau, le sable et des petits groupe de personnes. Nous nous installons un peu à l’écart des autres personnes. Pendant que je place nos serviettes je vois un couple en train de baiser avec plusieurs mecs autour d’eux qui se masturbent. Quand j’ouvre mon pantalon je vois que Carole, comme tous les autres, est complètement nue. Quand elle s’allonge sur les serviettes, jambes bien ouvertes, on voit dépasser le plug de sa chatte et la ficelle des boules de geisha de son cul. Je comprends tout de suite pourquoi elle voulait absolument m’emmener sur cette plage.

Je ne vais pas me taper la honte à sortir mon maillot de bain et en enlevant mon t-shirt, je vois un mec à genoux en train d’en sucer un autre. Carole, en ne les quittant pas des yeux, me dit que c’est la première fois qu’elle voit deux hommes ensemble et que ça l’excite beaucoup, elle fait bouger son plug en me parlant. Une fois que je suis moi aussi totalement nu, elle retire l’objet de sa grotte et me lance:« Dépêche toi, j’ai envie de te sentir en moi! »
Elle me tend un préservatif que je m’empresse d’enfiler et je viens m’installer entre ses cuisses. Je rentre en elle d’un coup sec et malgré le plug qu’elle a porté toute la journée, ses parois sont bien plaquées contre ma tige. Je commence à la ramoner gentiment, les voyeurs ne me dérange pas car j’ai déjà découvert mon côté exhibe.

Quand j’augmente la cadence, Carole me dit tout en gémissant:« C’est trop bon! J’adore sentir ta grosse queue me défoncer! »Elle veut jouer à ça pas de problème, même si un homme se rapproche de nous en se masturbant, je lui réponds:« Tu aimes mouiller comme la bonne salope que tu es! »
Carole entour ma taille avec ses jambes qui se referment dans mon dos. Dans cette position je peux rentrer encore plus profondément en elle et nous apprécions tous les deux. Apparemment nous ne sommes pas les seuls car notre voyeur passe derrière nous pour observer la pénétration et le cul offert de ma belle.

Je la lime à différents rythmes, de temps en temps je ralentis bien la cadence mais c’est uniquement pour encore mieux la ramoner après. Au bout d’un moment, je me penche vers l’oreille de Carole et lui murmure qu’un mec nous matte depuis un moment et qu’à mon avis il convoite ses jolies fesses si accueillantes. Sans même réfléchir une seconde, elle me répond entre 2 halètements:« Donne lui une capote! »
Je me colle bien à elle, ses jambes toujours fermées autour de mon corps et pendant que je nous fais rouler sans sortir de sa chatte, elle rajoute:« Il va être surpris de voir que mon cul est déjà plein! » Une fois que je suis au-dessous et que ma collègue me chevauche ardemment, je sors un préservatif du sac de Carole que je tends à l’inconnu, en lui précisant:« Attention, il y a déjà un occupant! »
L’homme déroule le morceau de latex sur sa queue, plus longue mais aussi plus fine que la mienne, puis il s’agenouille entre nos jambes. Je m’enfonce entièrement dans la grotte de Carole et l’immobilise sur moi. Alors que notre inconnue tire sur la ficelle, je sens les boules glisser contre ma tige à travers la membrane qui nous sépare. J’adore cette sensation même si je vais préférer sentir sa bite glisser contre la mienne.

Une fois qu’il a retiré le jouet, il ne la sodomise pas directement. Il attrape le plug, recouvert de mouille, qui est posé sur la serviette et commence à pénétrer les entrailles de notre copine de jeu, avec. Plus il l’enfonce, plus la rondelle s’ouvre et plus son sexe se referme autour du mien. Je me sens de plus en plus compressé en elle, c’est tellement bon.

Il fait aller et venir le jouet, entre les fesses de Carole, en l’enfonçant à chaque fois un peu plus. Il ne le rentre pas entièrement car la base est vraiment très large, moi non plus j’aurai pas pris le risque. De nouveaux voyeurs/masturbateurs arrivent et un petit cercle se forme autour de nous. En les observant je remarque que le mec, qui suçait une bite à notre arrivée, est en train de se faire enculer. Je fais signe à Carole pour qu’elle les voit faire.

En les observant, elle recommence à me chevaucher férocement malgré le plug dans son cul. Quand elle se calme et se rassoit sur moi, elle se retourne vers le mec qui lui ouvre le cul. Alors que c’est la première fois qu’elle voit son visage (je suis sûr qu’elle a aussi regarder sa queue), elle lui lance sauvagement:« Mets moi ta bite dans le cul! »
L’inconnu ne se fait pas prier, rapidement je sens son gland contre ma queue puis sa tige coulisser contre la mienne. Nous restons un moment immobile, bien planté en elle. C’est Carole qui commence à se déchaîner et fait glisser nos sexes dans ses orifices au gré de ses mouvements. Elle se baise en double sur nos deux belles queues alors qu’une bonne dizaine de mecs nous observe en se paluchant vigoureusement.

L’inconnu, attrape Carole par la taille pour l’immobiliser sur moi. Il la sodomise sauvagement ce qui les fait gémir en coeur. Même si je manifeste moins mon plaisir, j’en prends beaucoup. D’abord d’être dans le sexe de ma collègue mais aussi de la sentir dégouliner de bonheur sur moi. Enfin, je profite aussi de la queue et des veines de l’inconnu qui se frottent à ma tige et mes veines.

Carole la gourmande, profite d’être prisonniers de nos deux corps pour faire signe à un des voyeurs, il s’approche. Alors qu’elle commence à sucer un gros gland violacé au bout d’une bite courte mais bien large, je me remets à bouger en elle. Heureusement qu’elle ma bien vidé ce matin ce qui me permet d’encore mieux tenir sur la longueur.

Pendant qu’elle se fait marteler les 2 trous du bas, je la vois sucer goulument cette tige bien excitée. Quand le mec commence à reculer pour quitter les lèvres de ma belle, je le rassure en lui disant qu’il peut lui gicler dans sa bouche ou sur son visage, je lui précisé même qu’elle adore. Il retire son sexe et pendant qu’il se branle, Carole attend patiemment la bouche grande ouverte. Il ne tarde pas à cracher 5 giclées bien fournies directement sur la langue de notre copine de jeu.

Elle avale la semence pendant que nous continuons de la pilonner. Puis elle ouvre la bouche pour montrer au juteur qu’elle a bien tout avalé. Elle se penche vers moi, ce qui permet à son enculeur d’encore plus la posséder, elle me murmure:« Je préfère ton goût! »Elle m’embrasse langoureusement et effectivement ses lèvres ont un goût très aigre.

Quand elle se redresse, elle fait signe à un nouveau mec de s’approcher, j’en profite pour m’occuper d’un de ses tétons avec ma bouche et pour l’autre avec la main. Elle se met à sucer notre nouveau compagnon de jeu. Elle l’a qu’à moitié en bouche que l’homme se met déjà à gémir comme un cochon. Il retire son sexe des lèvres charnues de Carole et arrose son visage avec seulement 2 petits jets.

Elle ouvre la bouche et me montre qu’il avait déjà commencé à gicler dans sa bouche, c’est quand même un rapide. Je l’entends avaler alors que je sens l’autre mec lui défoncer le cul. Pendant qu’elle ramasse le jus qui est sur son visage, je sens la deuxième bite qui l’a prend, déculer lentement. Le mec se rapproche de notre visage, Carole retire la capote et le suce jusqu’à le faire jouir.

En plus d’avoir une belle queue, c’est un sacré juteur car après avoir envoyer je ne sais combien de giclées dans sa bouche, il recouvre le visage de la belle de 4 jets bien généreux. Alors que du sperme commence à dégouliner de ses joues, je me penche pour bien mordiller ses tétons. Carole gémit de plus en plus fort mais m’arrête pour me demander de donner un préservatif au mec qu’il lui doigte le cul.

J’abandonne sa poitrine et tend un emballage fermé au nouveau venu. Pendant qu’un autre voyeur se rapproche pour se faire sucer, j’observe l’autre dérouler le latex sur sa tige. Sa queue doit être 2 ou 3 centimètres plus courtes que la mienne mais elle me semble plus large. Bien que les entrailles de Carole sont déjà bien ouvertes, il met un moment pour la sodomiser aisément.

Pendant ce temps, le sucé a déjà éjaculer et un autre voyeur a pris sa place entre les lèvres de ma collègue. Cette fois elle garde ses 3 orifices remplis pendant un long moment. Une partie des autres voyeurs commencent à perdre patience et se rapproche du quatuor que nous formons pour éjaculer, à tour de rôle, sur le visage ou le dos de Carole.

Le sucé finit par céder au charme des caresses buccales de la demoiselle et se repend entre les lèvres qui sont toujours fermées autour de sa tige. Une fois qu’elle a tout avalé, un autre mec se rapproche, elle lui fait signe d’attendre alors il continue de se masturber vigoureusement en nous observant.

Nous ne sommes plus que 4 hommes autour de Carole. C’est sans compter le couple d’hommes qui a finit de baiser et nous observe en étant dans les bras l’un de l’autre. Celui qui se faisait prendre se fait branler en nous regardant. La belle ramasse le sperme qu’elle a sur le visage mais aussi la poitrine, à chaque fois que ses doigts sont bien recouverts, elle les lèche.

Quand ses seins sont assez propres, je peux retourner m’occuper de ses tétons. Le mélange de goût me plait pas mais je sais qu’elle adore quand je m’occupe de sa poitrine en baisant. Je me dis que maintenant qu’elle a 2 belles queues en elle qui s’excitent ça doit être encore mieux. Une fois qu’elle a tout avaler, elle fait signe à un des deux derniers voyeurs de s’approcher.

Pendant qu’elle le suce goulument, je sens que je me rapproche dangereusement du point de non retour. Heureusement la bite qu’elle suce ne tarde pas à palpiter et se vider dans sa bouche et sur son visage. Je la laisse récupérer tout le nouveau sperme qui est sur elle en continuant de la ramoner vigoureusement. Quand elle a finit je fais signe à notre compagnons de baise de déculer.

Une fois que son cul est libre, je la soulève de sur moi. Je n’ai rien besoin de lui demander, Carole s’agenouille devant nous bouche ouverte. Je fais signe au dernier voyeur et à l’enculeur de venir nous rejoindre. Sa bouche passe d’une bite à l’autre et je suis le premier à exploser sur son visage.

Dès qu’elle me sent gicler, elle abandonne le sexe qu’elle cajole et me prend en bouche pour ne plus en perdre un goutte. Elle m’aspire férocement pour être sûre de ne rien perdre. Alors que je suis toujours entre ses lèvres, son dernier enculeur jute sur sa joue et ses cheveux. Carole m’abandonne pas pour autant et continue de faire coulisser ses lèvres autour de mon membre même s’il ramolli doucement.

Une fois qu’il s’est vidé, le mec nous remercie et disparait. Elle attrape la dernière queue raide pour la masturber. Le couple gay se lève et vient prendre la place libre. Le passif se fait branler au dessus du visage de Carole par son enculeur. Pendant ce temps Carole continue de caresser le dernier voyeur et elle prend presque entièrement en bouche mon sexe flasque.

Les deux mecs arrosent, en même temps, son visage et sa poitrine. C’est uniquement en la voyant récupérer du sperme sur ses seins et redescendre vers son entrejambe que je comprends qu’elle se malaxe le clito. Quand elle obtient son dernier orgasme, elle libère enfin ma queue. Alors qu’elle reprend sa respiration, les 3 autres mecs nous remercie et nous laisse reprendre nos esprits.

Quand Carole redescend de son petit nuage, je l’accompagne dans l’eau pour essayer d’enlever le plus possible de sperme qu’elle a sur elle. Je dois avouer que le fait de frictionner son joli corps ainsi réveille doucement la bête. Je commence à embrasser passionnément Carole mais elle me repousse en me disant qu’elle ne se sent pas encore d’attaque. Elle rajoute pour se justifier:« Je crois que j’ai jamais eu autant d’orgasmes d’affilés de ma vie! »
Je continue de la nettoyer mais plus gentiment, en tout cas physiquement parce que dans ma tête les imagines défilent et ma bite continue de gonfler. Nous ressortons de l’eau même si des taches sont trop sèches pour disparaitre comme ça. Carole voit mon érection et une fois sur nos serviettes, elle me dit:« Ne t’inquiètes pas mon choux, on continuera à la maison! »
Nous profitons des derniers rayons du soleil pour nous sécher complètement nus. Carole se lève la première et enfile sa robe, je l’imite. Pendant qu’elle plie les serviettes je ramasse ses jouet, nos sous vêtements et les capotes non utilisées. Quand nous quittons la plage, les mecs qui ont participé à notre sauterie, et qui sont toujours là, nous remercie une dernière fois.

Sur le trajet pour chez moi Carole s’endort contre mon épaule. Je suis vraiment heureux de l’avoir rencontré et des nouvelles expériences qu’elle me fait vivre. Une fois le moteur coupé, elle se réveille tout doucement. Nous rentrons chez moi et avant qu’elle enlève toutes les traces de la jouissance qu’elle a provoqué à une bonne dizaine d’hommes, je lui saute dessus.

Je profite longuement de chacun de ses trous, vu ses gémissements, elle en profite aussi. Une fois que nous avons, tous les deux, atteint le nirvana, on s’affale sur mon lit et nous nous endormons avant même d’aller se doucher. Je ne vous raconte pas l’odeur de la chambre le lendemain matin.

Nous avons continué à nous voir et à nous amuser, de moins en moins avec Gilles mais introduisant d’autres hommes ou femmes dans notre « couple ». Quelques mois après cette journée à la plage, Carole a voulu qu’on arrête de se voir parce qu’elle avait rencontré un homme. Elle a même quitté le restaurant et je n’ai plus jamais eu de ses nouvelles.

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