Ce mot là compte triple
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Ce mot là compte triple
Elle était fine et menue.
Depuis un moment je la reluquais. Enfin voilà plusieurs semaines que je la voyais à la cantine et qu'elle me plaisait.
J'étais dans cette entreprise depuis peu de temps et déjà j'en pinçais pour une secrétaire des bureaux, mince comme brindille avec des cheveux courts sur le crâne, à la garçonne et des petits seins pointus qui crevaient son devant, effrontés, saillants.
On m'avait dit à l'embauche, interdit de tirer les filles de l'usine. Je crois même que c'était clause du contrat. Mais bon, on dit tant de choses. Et puis il ne faut pas croire tout ce qu'on dit. Les gens disent tant de bêtises … qui ne riment à rien. Surtout question cul. Et puis ce DRH me donnait le sentiment d’aimer les filles et de vouloir rien que se garder sa chasse perso de filles d’usine.
Moi, je ne crois que les choses qui sont bonnes à croire... C'est comme qui dirait le bon sens près de chez nous, non ?
Bon, la fille avec sa jolie frimousse de gamine, son buste large et ses petits tétés devant, sa robe courte en coton liberty sous laquelle j'imaginais la culotte haute crochée aux hanches, la fille dansait là-bas devant le buffet et moi, comme un con, je n'avais d'yeux que pour elle...
C'était l'arbre de Noël et nous avions, en ce samedi après midi, une sorte de quartier libre d'entreprise, petits fours sangria et punch, quatuor guitares, saxo et chanteuse, les ouvrières avec leurs maris, les techniciens et leurs copines, le directeur, ses adjoints et leurs dames. C'était sympa et se voulait motivation, empathie et autres balivernes de management social.
Mes copains du bureau d'étude tchachaient foot et montée en division en sifflant les jaunes au mètre. Moi, je matais les fesses de l'autre petite caille, moulées par le coton léger aux impressions futiles. Et elles dansaient, dansaient.
Verre de Blanquette en main je tournicotais les yeux braqués sur ce petit cul agité. Petit cul vrappé par l'étoffe qui ne cachait rien des rondeurs musclées. Mon esprit vacillait.
Je n'osais pas approcher. Elle avait ses copines, des filles de bureaux. Elles restaient ensemble et ne se mêlaient pas. Elles formaient groupe et l'on comprenait que ce groupe n'était pas ouvert aux autres gens d’usine.
Une sorte de hiérarchie, les ouvriers d’un coté, les techniciens de l’autre et elles au milieu.
Non pas qu'elles aient été bégueules, non, juste que c'étaient des filles qui restaient entre filles administratives.
Moi, quand même je tournais. Je remplissais mon verre de PVC blanc à leur fontaine de rosé du Languedoc et je me nourrissais exclusivement des olives vertes et noires de leur grand saladier. Même que je déposais mes noyaux dans leur poubelle de table, crachés dans ma paume et délicatement déposés ensuite, avec les leurs, en compagnie des leurs. Enfin, pour vous dire, je faisais copain...
Mon approche sournoise a fait que j'ai été entrepris par une grande blondasse. Une fille qu'on connaissait bien vu que c'était la préposée à la photocopieuse. Une chaudasse aux mains baladeuses dont il fallait se garer qui n'avait pas de retenue même dans les couloirs ou à la machine à café.
Je lui ai dit, discrétos, je te retrouve dans le monte-charge quand le dirlo fera son discours et elle m'a lâché les basquets. A l’usine faut savoir ruser… Je ne m’inquiétais pas pour cette blonde, elle saurait trouver autre opportunité ; la photocopieuse, est fonction essentielle dans cette usine.
J'ai pu alors approcher celle que je cherchais.
J'étais devant le buffet. On était, cette fille fine et moi côte à côte debout devant le buffet. Ma hanche touchait sa taille. Je poussais doucement. Elle poussait aussi, aussi fort que moi. On était complices de poussage réciproque. Cuisses collées par coté.
On ne se parlait pas, on ne se regardait pas. On regardait devant nous le buffet, rien que le buffet.
On était là bêtement à se pousser latéralement et à rien faire d'autre pendant un long moment.
Ne me demandez pas ce qu’il y avait au buffet, honnêtement je n’en n’ai aucune mémoire…
Alors j'ai dit, viens. J'ai pris sa main et nous sommes partis. Si vite que personne n’en n’a rien vu. Ma veste, son manteau nous étions déjà dans mon auto. Pas un geste, pas un mot et en quelques minutes de conduite calme et silencieuse nous arrivions à mon chez-moi, à mon appart.
A la soirée Noël de l’usine, nous avions mangé, nous avions bu, nous étions repus.
Dans mon salon, il faisait chaud ; elle a pendu son manteau derrière la porte. Elle a vu le jeu de Scrabble sur la table basse. Elle a dit, à ça je suis champion. Elle s'est assise en tailleur sur la moquette et a distribué les lettres. Elle a enlevé, l’une après l’autre, délicatement, ses chaussures et les a rangées sous la table, alignées, soeurs jumelles. Elle était chez elle. et avait déjà marqué ses rangements.
Ses yeux étaient velours. Je pensais je ne sais rien d'elle et on va jouer au Srabble. Va-t-elle gagner ?
J’ai vu à ses pieds qu’elle portait des bas, des bas clairs avec un renforcé au niveau des orteils.
Et l'idée de baiser avec elle ne m'était pas encore venue, ou presque pas encore … du moins pour l’instant.
Assis à croupeton en face d'elle je la matais qui réfléchissait concentrée. Elle était à mon goût, elle me plaisait. J'aime les filles qui réfléchissent en oubliant les pointus de leurs seins qui déchirent leur devant et qui font avec leurs lèvres des mimiques de pensées profondes perturbées.
Elle a levé vers moi les yeux, de beaux yeux noirs triomphants, elle avait trouvé un mot complet de sept lettres et me narguait de suffisance, en silence.
Il m'a fallu moi-aussi penser aux lettres plutôt que penser à son cul : je ne voulais pas la laisser gagner. Enfin je voulais moi-aussi être champion. Le seul, l’unique champion.
Entre-nous, j'étais à mon affaire de lettres et d'arrangements mais mon esprit s'était totalement échappé dédoublé et un gros paquet de neurones avait les yeux braqués à travers la glace de la table basse sur le sombre entre ses cuisses sur ma moquette.
La robe était troussée et je voyais tout. Enfin je devinais tout car, on ne voyait rien.
Sur la barrette de bois je faisais circuler les lettres en cherchant le mot qui tue, qui compte double, qui exploite la lettre chère, et surtout qui fera 7 lettres pour avoir le bonus cinquante.
Je savais maintenant que ce n’étaient pas des bas mais des collants. Des collants clairs de cuisses mais sombres en haut. Ses chevilles se croisaient, ses genoux écartés haut balisaient la table basse, la robe coincée sous ses fesses ne couvrait plus grand chose mais elle n’en n’avait cure, toute à sa réflexion de lettres et de combinaisons.
Le mot est venu tout seul devant mes yeux. Je l’ai posé, fier comme bar-tabac d’avoir scoré plus de cent en un seul coup. Je pensais, vois petite ton nouveau copain a de la ressource et il va bientôt te le montrer. Et mes yeux sont revindus à ce gousset sombre que j’imaginais derrière les reflets de la glace de la table basse.
Je voyais dans ma tête sa fente, verticale, profonde avec lèvres charnues de part et d’autre. Je voyais presque le léger renflé du bouton. Sur le haut du collant, je ne rêvais pas, un peu de sombre, de frisé, sa touffe brune, de l’exacte couleur de ses cheveux, j’étais capable de le comprendre de le croire de le vivre.
Elle avait noté mes points sur le papier qui faisait marque. Son regard sur moi en relevant le porte-mine Bic HB en disait long … j’étais déjà lauréat … de son cul
Je pensai, c’est le moment de baiser, de porter estocade
Elle mouillait, c’est sûr. Mais l’idée était dans ma tête, dans ma tête seulement et je n’ai même pas songé à regarder son entrejambe pour voir la tachoune confirmer mes espoirs.
Le Scrabble j’aime tant ça que je ne pensais même pas à la baiser … c’est con, non ?
Elle avait tiré ses lettres depuis longtemps et réfléchissait. Moi je tirai les miennes. Dont un X et un W. Sacrée déveine. Au Scrabble ces deux lettres se traînent souvent jusqu’à la fin et te gâchent tout le plaisir de la partie.
Elle me dit, quelle référence as-tu, le Robert ?
Oui, il est là. Le Petit Robert blanc-sale posé sur l’étagère lui tendait les bras. Elle voulait confirmer un mot avant de le poser. J’ai dis, non. Tu poses d’abord, on regarde après. Si tu as faux, t’as perdu et tu passes ton tour.
Elle me dit, priapisme, tu l’écris comment ? Avec un Y ou pas ?
Je lui dis, tu te fous de moi, il y a 9 lettres à priapisme, où crois-tu le poser ?
Elle a ri et sa frimousse s’est brusquement éclairée comme un bonheur de nuit d’été.
Elle a dit, c’est d’accord, j’ai perdu, viens on va baiser.
On était fatigués, on n’a pas cherché à finasser, on est allés tout droit à la chambre main dans la main.
Son collant, sa robe sur la chaise de droite, mes petites affaires sur celle de gauche, les lampes de chevet éteintes en simultané, mes bras autour d’elle et moi dans les siens, nous nous sommes endormis sans plus penser à rien.
Au matin, je me suis levé pour ouvrir les volets.
Le dimanche, toujours, le soleil inonde mon lit.
En sortant de la douche j’étais triomphant
Mais elle n’y avait aucun mérite, le matin en sortant de la douche je suis toujours triomphant.
Elle dormait profondément. Cependant son oeil du dessus n’étant pas tout à fait fermé, j’ai vu un sourire sur sa bouche engourdie de sommeil.
J’ai fait le tour du lit et, encore un peu humide, me suis glissé sous les draps. Elle était chaude et je me suis serré contre elle, prenant, par le dos, son corps serré entre mes bras. Elle était toute coulante et je suis entré en elle comme par hasard, sans le vouloir, sans du tout l’avoir du tout voulu.
Je ne la voyais pas. Comme on dit, elle me tournait le dos.
Nous avions dormi, elle et moi, paisibles, toute une nuit.
Ma bite était en elle, ses fesses collées à mon ventre. Ses fesses étaient musclées, je le ressentais.
Je pensais au Scrabble et les lettres tournaient dans ma tête. Je voyais parfaitement cette case bleu pale marquée lettre-compte-triple et je n’avais qu’une idée, y poser le X ou même le W. Les mots virevoltaient. Essayer aussi, en plus de faire, sur le rose, mot compte double…
Autour de moi elle a entamé une farandole. Elle me pressait. Je sentais bien qu’elle cherchait à assurer sa prise. Elle partait de bas, de ma racine, du pubis. Son serrage remontait ma tige. Je pensais, bientôt elle en sera au gland. Vais-je résister ?
Le gland, quand il est au fond est bien. Enfin, dirai-je, est à son affaire. Le fond n’est pas zone active. Au fond il y a la fameuse porte étroite. Dure, visqueuse, accueillante … la porte de vie, le grand col.
Moi, j’aime au fond, glisser mon méat entre les lèvres solides de l’utérus; je sais bien, je sens bien que c’est là et pas ailleurs qu’il faut gicler les bons spermatos porteurs de vie.
Ces filles du service administratif de l’usine sont des princesses, de vraies princesses.
Jpj, février 2014
Depuis un moment je la reluquais. Enfin voilà plusieurs semaines que je la voyais à la cantine et qu'elle me plaisait.
J'étais dans cette entreprise depuis peu de temps et déjà j'en pinçais pour une secrétaire des bureaux, mince comme brindille avec des cheveux courts sur le crâne, à la garçonne et des petits seins pointus qui crevaient son devant, effrontés, saillants.
On m'avait dit à l'embauche, interdit de tirer les filles de l'usine. Je crois même que c'était clause du contrat. Mais bon, on dit tant de choses. Et puis il ne faut pas croire tout ce qu'on dit. Les gens disent tant de bêtises … qui ne riment à rien. Surtout question cul. Et puis ce DRH me donnait le sentiment d’aimer les filles et de vouloir rien que se garder sa chasse perso de filles d’usine.
Moi, je ne crois que les choses qui sont bonnes à croire... C'est comme qui dirait le bon sens près de chez nous, non ?
Bon, la fille avec sa jolie frimousse de gamine, son buste large et ses petits tétés devant, sa robe courte en coton liberty sous laquelle j'imaginais la culotte haute crochée aux hanches, la fille dansait là-bas devant le buffet et moi, comme un con, je n'avais d'yeux que pour elle...
C'était l'arbre de Noël et nous avions, en ce samedi après midi, une sorte de quartier libre d'entreprise, petits fours sangria et punch, quatuor guitares, saxo et chanteuse, les ouvrières avec leurs maris, les techniciens et leurs copines, le directeur, ses adjoints et leurs dames. C'était sympa et se voulait motivation, empathie et autres balivernes de management social.
Mes copains du bureau d'étude tchachaient foot et montée en division en sifflant les jaunes au mètre. Moi, je matais les fesses de l'autre petite caille, moulées par le coton léger aux impressions futiles. Et elles dansaient, dansaient.
Verre de Blanquette en main je tournicotais les yeux braqués sur ce petit cul agité. Petit cul vrappé par l'étoffe qui ne cachait rien des rondeurs musclées. Mon esprit vacillait.
Je n'osais pas approcher. Elle avait ses copines, des filles de bureaux. Elles restaient ensemble et ne se mêlaient pas. Elles formaient groupe et l'on comprenait que ce groupe n'était pas ouvert aux autres gens d’usine.
Une sorte de hiérarchie, les ouvriers d’un coté, les techniciens de l’autre et elles au milieu.
Non pas qu'elles aient été bégueules, non, juste que c'étaient des filles qui restaient entre filles administratives.
Moi, quand même je tournais. Je remplissais mon verre de PVC blanc à leur fontaine de rosé du Languedoc et je me nourrissais exclusivement des olives vertes et noires de leur grand saladier. Même que je déposais mes noyaux dans leur poubelle de table, crachés dans ma paume et délicatement déposés ensuite, avec les leurs, en compagnie des leurs. Enfin, pour vous dire, je faisais copain...
Mon approche sournoise a fait que j'ai été entrepris par une grande blondasse. Une fille qu'on connaissait bien vu que c'était la préposée à la photocopieuse. Une chaudasse aux mains baladeuses dont il fallait se garer qui n'avait pas de retenue même dans les couloirs ou à la machine à café.
Je lui ai dit, discrétos, je te retrouve dans le monte-charge quand le dirlo fera son discours et elle m'a lâché les basquets. A l’usine faut savoir ruser… Je ne m’inquiétais pas pour cette blonde, elle saurait trouver autre opportunité ; la photocopieuse, est fonction essentielle dans cette usine.
J'ai pu alors approcher celle que je cherchais.
J'étais devant le buffet. On était, cette fille fine et moi côte à côte debout devant le buffet. Ma hanche touchait sa taille. Je poussais doucement. Elle poussait aussi, aussi fort que moi. On était complices de poussage réciproque. Cuisses collées par coté.
On ne se parlait pas, on ne se regardait pas. On regardait devant nous le buffet, rien que le buffet.
On était là bêtement à se pousser latéralement et à rien faire d'autre pendant un long moment.
Ne me demandez pas ce qu’il y avait au buffet, honnêtement je n’en n’ai aucune mémoire…
Alors j'ai dit, viens. J'ai pris sa main et nous sommes partis. Si vite que personne n’en n’a rien vu. Ma veste, son manteau nous étions déjà dans mon auto. Pas un geste, pas un mot et en quelques minutes de conduite calme et silencieuse nous arrivions à mon chez-moi, à mon appart.
A la soirée Noël de l’usine, nous avions mangé, nous avions bu, nous étions repus.
Dans mon salon, il faisait chaud ; elle a pendu son manteau derrière la porte. Elle a vu le jeu de Scrabble sur la table basse. Elle a dit, à ça je suis champion. Elle s'est assise en tailleur sur la moquette et a distribué les lettres. Elle a enlevé, l’une après l’autre, délicatement, ses chaussures et les a rangées sous la table, alignées, soeurs jumelles. Elle était chez elle. et avait déjà marqué ses rangements.
Ses yeux étaient velours. Je pensais je ne sais rien d'elle et on va jouer au Srabble. Va-t-elle gagner ?
J’ai vu à ses pieds qu’elle portait des bas, des bas clairs avec un renforcé au niveau des orteils.
Et l'idée de baiser avec elle ne m'était pas encore venue, ou presque pas encore … du moins pour l’instant.
Assis à croupeton en face d'elle je la matais qui réfléchissait concentrée. Elle était à mon goût, elle me plaisait. J'aime les filles qui réfléchissent en oubliant les pointus de leurs seins qui déchirent leur devant et qui font avec leurs lèvres des mimiques de pensées profondes perturbées.
Elle a levé vers moi les yeux, de beaux yeux noirs triomphants, elle avait trouvé un mot complet de sept lettres et me narguait de suffisance, en silence.
Il m'a fallu moi-aussi penser aux lettres plutôt que penser à son cul : je ne voulais pas la laisser gagner. Enfin je voulais moi-aussi être champion. Le seul, l’unique champion.
Entre-nous, j'étais à mon affaire de lettres et d'arrangements mais mon esprit s'était totalement échappé dédoublé et un gros paquet de neurones avait les yeux braqués à travers la glace de la table basse sur le sombre entre ses cuisses sur ma moquette.
La robe était troussée et je voyais tout. Enfin je devinais tout car, on ne voyait rien.
Sur la barrette de bois je faisais circuler les lettres en cherchant le mot qui tue, qui compte double, qui exploite la lettre chère, et surtout qui fera 7 lettres pour avoir le bonus cinquante.
Je savais maintenant que ce n’étaient pas des bas mais des collants. Des collants clairs de cuisses mais sombres en haut. Ses chevilles se croisaient, ses genoux écartés haut balisaient la table basse, la robe coincée sous ses fesses ne couvrait plus grand chose mais elle n’en n’avait cure, toute à sa réflexion de lettres et de combinaisons.
Le mot est venu tout seul devant mes yeux. Je l’ai posé, fier comme bar-tabac d’avoir scoré plus de cent en un seul coup. Je pensais, vois petite ton nouveau copain a de la ressource et il va bientôt te le montrer. Et mes yeux sont revindus à ce gousset sombre que j’imaginais derrière les reflets de la glace de la table basse.
Je voyais dans ma tête sa fente, verticale, profonde avec lèvres charnues de part et d’autre. Je voyais presque le léger renflé du bouton. Sur le haut du collant, je ne rêvais pas, un peu de sombre, de frisé, sa touffe brune, de l’exacte couleur de ses cheveux, j’étais capable de le comprendre de le croire de le vivre.
Elle avait noté mes points sur le papier qui faisait marque. Son regard sur moi en relevant le porte-mine Bic HB en disait long … j’étais déjà lauréat … de son cul
Je pensai, c’est le moment de baiser, de porter estocade
Elle mouillait, c’est sûr. Mais l’idée était dans ma tête, dans ma tête seulement et je n’ai même pas songé à regarder son entrejambe pour voir la tachoune confirmer mes espoirs.
Le Scrabble j’aime tant ça que je ne pensais même pas à la baiser … c’est con, non ?
Elle avait tiré ses lettres depuis longtemps et réfléchissait. Moi je tirai les miennes. Dont un X et un W. Sacrée déveine. Au Scrabble ces deux lettres se traînent souvent jusqu’à la fin et te gâchent tout le plaisir de la partie.
Elle me dit, quelle référence as-tu, le Robert ?
Oui, il est là. Le Petit Robert blanc-sale posé sur l’étagère lui tendait les bras. Elle voulait confirmer un mot avant de le poser. J’ai dis, non. Tu poses d’abord, on regarde après. Si tu as faux, t’as perdu et tu passes ton tour.
Elle me dit, priapisme, tu l’écris comment ? Avec un Y ou pas ?
Je lui dis, tu te fous de moi, il y a 9 lettres à priapisme, où crois-tu le poser ?
Elle a ri et sa frimousse s’est brusquement éclairée comme un bonheur de nuit d’été.
Elle a dit, c’est d’accord, j’ai perdu, viens on va baiser.
On était fatigués, on n’a pas cherché à finasser, on est allés tout droit à la chambre main dans la main.
Son collant, sa robe sur la chaise de droite, mes petites affaires sur celle de gauche, les lampes de chevet éteintes en simultané, mes bras autour d’elle et moi dans les siens, nous nous sommes endormis sans plus penser à rien.
Au matin, je me suis levé pour ouvrir les volets.
Le dimanche, toujours, le soleil inonde mon lit.
En sortant de la douche j’étais triomphant
Mais elle n’y avait aucun mérite, le matin en sortant de la douche je suis toujours triomphant.
Elle dormait profondément. Cependant son oeil du dessus n’étant pas tout à fait fermé, j’ai vu un sourire sur sa bouche engourdie de sommeil.
J’ai fait le tour du lit et, encore un peu humide, me suis glissé sous les draps. Elle était chaude et je me suis serré contre elle, prenant, par le dos, son corps serré entre mes bras. Elle était toute coulante et je suis entré en elle comme par hasard, sans le vouloir, sans du tout l’avoir du tout voulu.
Je ne la voyais pas. Comme on dit, elle me tournait le dos.
Nous avions dormi, elle et moi, paisibles, toute une nuit.
Ma bite était en elle, ses fesses collées à mon ventre. Ses fesses étaient musclées, je le ressentais.
Je pensais au Scrabble et les lettres tournaient dans ma tête. Je voyais parfaitement cette case bleu pale marquée lettre-compte-triple et je n’avais qu’une idée, y poser le X ou même le W. Les mots virevoltaient. Essayer aussi, en plus de faire, sur le rose, mot compte double…
Autour de moi elle a entamé une farandole. Elle me pressait. Je sentais bien qu’elle cherchait à assurer sa prise. Elle partait de bas, de ma racine, du pubis. Son serrage remontait ma tige. Je pensais, bientôt elle en sera au gland. Vais-je résister ?
Le gland, quand il est au fond est bien. Enfin, dirai-je, est à son affaire. Le fond n’est pas zone active. Au fond il y a la fameuse porte étroite. Dure, visqueuse, accueillante … la porte de vie, le grand col.
Moi, j’aime au fond, glisser mon méat entre les lèvres solides de l’utérus; je sais bien, je sens bien que c’est là et pas ailleurs qu’il faut gicler les bons spermatos porteurs de vie.
Ces filles du service administratif de l’usine sont des princesses, de vraies princesses.
Jpj, février 2014
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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La suite tourne dans ma tête. Et ma tête tourne elle aussi. Si vous saviez, tous les matins je rassemble les rêves de ma nuit et, petit déjeuner avalé, je me cale dans le canapé, tablette en main, grand verre de jus d'orange allongé d'eau qui pique à proximité.
Et puis ça démarre, mon doigt court sur le clavier virtuel, court, court...
Cette fille là, qui joue au Scrabble, j'en suis un peu amoureux
La suite prend forme
Misa en a lu quelques pages, c'est pour cela qu'ele parle des brioches et du café clair
La suite s'appellera Via Ferrata
Devinez pourquoi...
Et puis ça démarre, mon doigt court sur le clavier virtuel, court, court...
Cette fille là, qui joue au Scrabble, j'en suis un peu amoureux
La suite prend forme
Misa en a lu quelques pages, c'est pour cela qu'ele parle des brioches et du café clair
La suite s'appellera Via Ferrata
Devinez pourquoi...
Tout avait si bien commencé ...
Pourquoi oubliez vous de si mignons tétons ...
Pourquoi oubliez vous de si mignons tétons ...
Ben oui, toujours pressé! S'ils savaient, quand tu remets sur le métier comme ça prend goût! Le goût des brioches du petit matin qui font aimer les cafés clairs avant de retourner au lit.
Très bien écrit...rythmé cela donne envie de lire la suite